954 resultados para Calculus of operations.
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Résumé Le μ-calcul est une extension de la logique modale par des opérateurs de point fixe. Dans ce travail nous étudions la complexité de certains fragments de cette logique selon deux points de vue, différents mais étroitement liés: l'un syntaxique (ou combinatoire) et l'autre topologique. Du point de vue syn¬taxique, les propriétés définissables dans ce formalisme sont classifiées selon la complexité combinatoire des formules de cette logique, c'est-à-dire selon le nombre d'alternances des opérateurs de point fixe. Comparer deux ensembles de modèles revient ainsi à comparer la complexité syntaxique des formules as¬sociées. Du point de vue topologique, les propriétés définissables dans cette logique sont comparées à l'aide de réductions continues ou selon leurs positions dans la hiérarchie de Borel ou dans celle projective. Dans la première partie de ce travail nous adoptons le point de vue syntax¬ique afin d'étudier le comportement du μ-calcul sur des classes restreintes de modèles. En particulier nous montrons que: (1) sur la classe des modèles symétriques et transitifs le μ-calcul est aussi expressif que la logique modale; (2) sur la classe des modèles transitifs, toute propriété définissable par une formule du μ-calcul est définissable par une formule sans alternance de points fixes, (3) sur la classe des modèles réflexifs, il y a pour tout η une propriété qui ne peut être définie que par une formule du μ-calcul ayant au moins η alternances de points fixes, (4) sur la classe des modèles bien fondés et transitifs le μ-calcul est aussi expressif que la logique modale. Le fait que le μ-calcul soit aussi expressif que la logique modale sur la classe des modèles bien fondés et transitifs est bien connu. Ce résultat est en ef¬fet la conséquence d'un théorème de point fixe prouvé indépendamment par De Jongh et Sambin au milieu des années 70. La preuve que nous donnons de l'effondrement de l'expressivité du μ-calcul sur cette classe de modèles est néanmoins indépendante de ce résultat. Par la suite, nous étendons le langage du μ-calcul en permettant aux opérateurs de point fixe de lier des occurrences négatives de variables libres. En montrant alors que ce formalisme est aussi ex¬pressif que le fragment modal, nous sommes en mesure de fournir une nouvelle preuve du théorème d'unicité des point fixes de Bernardi, De Jongh et Sambin et une preuve constructive du théorème d'existence de De Jongh et Sambin. RÉSUMÉ Pour ce qui concerne les modèles transitifs, du point de vue topologique cette fois, nous prouvons que la logique modale correspond au fragment borélien du μ-calcul sur cette classe des systèmes de transition. Autrement dit, nous vérifions que toute propriété définissable des modèles transitifs qui, du point de vue topologique, est une propriété borélienne, est nécessairement une propriété modale, et inversement. Cette caractérisation du fragment modal découle du fait que nous sommes en mesure de montrer que, modulo EF-bisimulation, un ensemble d'arbres est définissable dans la logique temporelle Ε F si et seulement il est borélien. Puisqu'il est possible de montrer que ces deux propriétés coïncident avec une caractérisation effective de la définissabilité dans la logique Ε F dans le cas des arbres à branchement fini donnée par Bojanczyk et Idziaszek [24], nous obtenons comme corollaire leur décidabilité. Dans une deuxième partie, nous étudions la complexité topologique d'un sous-fragment du fragment sans alternance de points fixes du μ-calcul. Nous montrons qu'un ensemble d'arbres est définissable par une formule de ce frag¬ment ayant au moins η alternances si et seulement si cette propriété se trouve au moins au n-ième niveau de la hiérarchie de Borel. Autrement dit, nous vérifions que pour ce fragment du μ-calcul, les points de vue topologique et combina- toire coïncident. De plus, nous décrivons une procédure effective capable de calculer pour toute propriété définissable dans ce langage sa position dans la hiérarchie de Borel, et donc le nombre d'alternances de points fixes nécessaires à la définir. Nous nous intéressons ensuite à la classification des ensembles d'arbres par réduction continue, et donnons une description effective de l'ordre de Wadge de la classe des ensembles d'arbres définissables dans le formalisme considéré. En particulier, la hiérarchie que nous obtenons a une hauteur (ωω)ω. Nous complétons ces résultats en décrivant un algorithme permettant de calculer la position dans cette hiérarchie de toute propriété définissable.
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Occupational exposures to wood dust have been associated with an elevated risk of sinonasal cancer (SNC). Wood dust is recognized as a human carcinogen but the specific cancer causative agent remains unknown. One possible explanation is a co-exposure to; wood dust and polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs). PAHs could be generated during incomplete combustion of wood due to heat created by use of power tools. To determine if PAHs are generated from wood during common wood working operations, PAH concentrations in wood dust samples collected in an experimental chamber operated under controlled conditions were analyzed. In addition, personal air samples from workers exposed to wood dust (n = 30) were collected. Wood dust was generated using three different power tools: vibrating sander, belt sander, and saw; and six wood materials: fir, Medium Density Fiberboard (MDF), beech, mahogany, oak and wood melamine. Monitoring of wood workers was carried out by means of personal sampler device during wood working operations. We measured 21 PAH concentrations in wood dust samples by capillary gas chromatography-ion trap mass spectrometry (GC-MS). Total PAH concentrations in wood dust varied greatly (0.24-7.95 ppm) with the lowest being in MDF dust and the highest in wood melamine dust. Personal PAH exposures were between 37.5-119.8 ng m(-3) during wood working operations. Our results suggest that PAH exposures are present during woodworking operations and hence could play a role in the mechanism of cancer induction related to wood dust exposure.
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Review of Department's Operations, Systems and Staffing Needs (Cromien Report). Provided by the Department of Education and Skills, Ireland.
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We present building blocks for algorithms for the efficient reduction of square factor, i.e. direct repetitions in strings. So the basic problem is this: given a string, compute all strings that can be obtained by reducing factors of the form zz to z. Two types of algorithms are treated: an offline algorithm is one that can compute a data structure on the given string in advance before the actual search for the square begins; in contrast, online algorithms receive all input only at the time when a request is made. For offline algorithms we treat the following problem: Let u and w be two strings such that w is obtained from u by reducing a square factor zz to only z. If we further are given the suffix table of u, how can we derive the suffix table for w without computing it from scratch? As the suffix table plays a key role in online algorithms for the detection of squares in a string, this derivation can make the iterated reduction of squares more efficient. On the other hand, we also show how a suffix array, used for the offline detection of squares, can be adapted to the new string resulting from the deletion of a square. Because the deletion is a very local change, this adaption is more eficient than the computation of the new suffix array from scratch.
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We address the performance optimization problem in a single-stationmulticlass queueing network with changeover times by means of theachievable region approach. This approach seeks to obtainperformance bounds and scheduling policies from the solution of amathematical program over a relaxation of the system's performanceregion. Relaxed formulations (including linear, convex, nonconvexand positive semidefinite constraints) of this region are developedby formulating equilibrium relations satisfied by the system, withthe help of Palm calculus. Our contributions include: (1) newconstraints formulating equilibrium relations on server dynamics;(2) a flow conservation interpretation of the constraintspreviously derived by the potential function method; (3) newpositive semidefinite constraints; (4) new work decomposition lawsfor single-station multiclass queueing networks, which yield newconvex constraints; (5) a unified buffer occupancy method ofperformance analysis obtained from the constraints; (6) heuristicscheduling policies from the solution of the relaxations.
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The impact of wood loads on bulk density and preconsolidation pressure and of harvester and forwarder traffic on rut depth, bulk density and preconsolidation pressure of two Ultisols were examined in this study. Our objective was to quantify the threshold beyond which significant soil compaction and rutting would occur. This study was carried out in the county of Eunápolis, state of Bahia, Brazil, (16 º 23 ' 17 '' S and 39 º 10 ' 06 '' W; altitude 80 m asl) in two Ultisols (PAd2 and PAd3) with different texture classes, in experimental areas with eucalypt plantation. The study involved measurements at the wood load site and machine driving at specific locations in the forest during logging operations. The treatments consisted of one harvester pass and, 8, 16 and 40 passes of a fully loaded forwarder. Thresholds were established based on the rut depth and percentage of preconsolidation pressure values in the region of additional soil compaction defined in the bearing capacity model. The percentage of soil samples with values of preconsolidation pressure in the region of additional soil compaction indicated a greater susceptibility of PAd3 than of PAd2 to soil compaction. The threshold levels established here based on preconsolidation pressure and rut depth indicated that no more than eight forwarder passes should be allowed in loading operations in order to minimize soil compaction.
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A t the request of the Iowa State Highway Commission, the Engineering Research Institute observed the traffic operations at the Interstate 29 (1-29) and Interstate 80 (1-80) interchange in the southwest part of Council Bluffs. The general location of the site is shown in Figure 1. Before limiting the analysis to the diverging area the project staff drove the entire Council Bluffs freeway system and consulted with M r . Philip Hassenstab (Iowa State Highway Commission, District 4, Resident Maintenance Engineer at Council Bluffs). The final study scope was delineated as encompassing only the operational characteristics of the diverge area where 1-29 South and 1-80 East divide and the ramp to merge area where 1-80 West joins 1-29 North (both areas being contained within the aforementioned interchange). Supplementing the traffic operations scope, was an effort to delineate and document the applicability of video-tape techniques to traffic engineering studies and analyses. Documentation was primarily in the form of a demonstration video-tape.