705 resultados para Artistes de cirque
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Jusqu'au début des années 1920, le Québec ne possède pas d'institution offrant véritablement une formation artistique, si ce n'est les écoles de musée qui sont davantage l'apanage de groupes anglophones. Ce n'est qu'en 1922, et dans un contexte peu favorable, que les Écoles des Beaux-Arts voient le jour. Elles répondent aux demandes du milieu artistique qui prend conscience de la nécessité, pour la société québécoise, de former ses propres artistes. Cette voie éducative a été négligée dans les études en histoire de l'éducation au Québec. Bien que les E.B.A. représentent une alternative intéressante pour les filles désireuses de poursuivre leurs études après le pensionnat, l'histoire des femmes n'a pas abordé la question. D'autre part, l'histoire de l'art n'a que très peu étudié le rôle des E.B.A. dans le milieu artistique. Enfin, la question de la formation professionnelle des filles suscite débats et recherches. Notre étude donne donc un cadre historique à une question d'actualité.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée à la Division de la gestion des documents et des archives.
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Cet article étudie la réception de la musique, de la littérature et des arts plastiques russes en Belgique entre 1880 et 1914. Divers lieux de cette présence russe sont envisagés :salons, expositions universelles, musées, théâtres, concerts, sociétés d'artistes, revues artistiques et ouvrages académiques.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. To respect the reproduction rights and copyrights, the electronic version of this thesis was stripped of images and audiovisuals. The integral version has been left with Documents Management and Archives Service at the University of Montreal.
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Nous proposons, dans ce mémoire, d’explorer les possibilités pratiques et pédagogiques d’une approche autopoïétique de la création sonore au cinéma. Notre principal souci sera de saisir les modalités de l’ascèse propre aux artistes qui se livrent à une telle activité, comprise comme un « apprentissage de soi par soi » (Foucault), afin de faire celui qui peut faire l’œuvre (processus de subjectivation), et le rôle descriptif et opératoire de cet exercice - en tant qu’effort pour penser de façon critique son propre savoir-faire -, dans le faire-œuvre et l’invention de possibles dans l’écriture audio-visuelle cinématographique. Pour ce faire, d’une part, nous étudierons, à partir de témoignages autopoïétiques, le rapport réflexif de trois créateurs sonores à leur pratique et leur effort pour penser (et mettre en place) les conditions d’une pratique et d’une esthétique du son filmique comme forme d’art sonore dans un contexte audio-visuel, alors qu’ils travaillent dans un cadre normalisant : Randy Thom, Walter Murch et Franck Warner. D’autre part, nous recourrons à différentes considérations théoriques (la théorie de l’art chez Deleuze et Guattari, la « surécoute » chez Szendy, l’histoire de la poïétique à partir de Valéry, etc.) et pratiques (la recherche musicale chez Schaeffer, la relation maître-apprenti, les rapports entre automatisme et pensée dans le cinéma moderne chez Artaud et Godard, etc.), afin de contextualiser et d’analyser ces expériences de création, avec l’objectif de problématiser la figure de l’artiste-poïéticien sur un plan éthique dans le sillage de la théorie des techniques de soi chez Foucault.
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Dans le cadre de la célébration du nouveau millénaire, la National Gallery de Londres a organisé l'exposition Encounters: New Art from Old (14 juin - 17 septembre 2000). La formule consistait à inviter vingt-cinq artistes contemporains à choisir une œuvre de la collection permanente du musée et à s'en inspirer afin d'en créer une nouvelle. Certaines des œuvres produites pour l’occasion ont été exposées près de leurs sources dans les salles historiques de la collection du musée. Ce mémoire examine comment la formule de cette exposition et son accrochage anachronique agissent de façon directe sur la temporalité de la collection historique en invitant à sa réactualisation, et à la mise en valeur de la création. Il situe cette formule dans le cadre d’un regain d’intérêt pour les collections, décortique la sélection des artistes par le musée et la sélection des œuvres de la collection par les artistes. Il propose aussi une classification des modalités par lesquelles ceux-ci ré-interprètent la tradition. Enfin, en s’appuyant sur la théorie de la réception, ce mémoire considère les réponses générées par l’exposition : celles des artistes aux œuvres de leurs prédécesseurs, celles des critiques et celles du public.
L’empreinte d’une expérience performative en littérature : le cas de Sophie Calle et de Miranda July
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Le présent mémoire propose de croiser les démarches de deux auteures et artistes contemporaines, Sophie Calle et Miranda July, dont les quatre œuvres à l’étude – Douleur exquise (2003), Aveugles (2011), Rachel, Monique (2012) de Calle et Il vous choisit (2013) de July – se fondent sur des expériences en amont de l’écriture qui mobilisent le corps même des auteures, les engagent dans une action concrète et, bien souvent, dans des interactions avec autrui. Cet art de la contrainte, cet art action qui devient le sédiment de leurs écrits s’inscrit dans la filiation hypothétique des théories du philosophe pragmatique John Dewey et de celles de l’artiste Allan Kaprow – l’un des premiers à réfléchir l’art de la performance. L’écriture intermédiale qu’elles pratiquent – ce jeu de relations entre différents médias au sein même de l’œuvre – permet à la fois de réactiver la valeur performative de l’expérience qui a impulsé la création littéraire et d’embrayer une expérience de lecture qui devient elle-même performative. Exemplaires d’une esthétique relationnelle, polyphoniques dans les voix qui s’expriment, les quatre ouvrages du corpus donnent à sentir le bruissement d’une communauté. Il s’agit d’une littérature interdisciplinaire et intersubjective, mais surtout performative dans son questionnement incessant sur le pouvoir de l’art pour transformer la vie.
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Le présent mémoire porte sur la présence de la violence et de la sexualité sur la scène théâtrale québécoise, ainsi que sur l’influence du mouvement britannique In-yer-face sur la dramaturgie québécoise contemporaine. Par l’étude comparative des didascalies des textes ainsi que des mises en scènes de trois productions québécoises – soit Shopping and F**king (texte de Mark Ravenhill traduit par Alexandre Lefebvre, mise en scène de Christian Lapointe), Faire des enfants (texte d’Éric Noël, mise en scène de Gaétan Paré) et En dessous de vos corps je trouverai ce qui est immense et qui ne s’arrête pas (texte et mise en scène de Steve Gagnon) –, ce mémoire explore les diverses manières de représenter la violence et la sexualité sur la scène québécoise actuelle. Ce travail dépasse l’étude textuelle, il présente une réflexion sur le théâtre québécois et les nombreuses contraintes auxquelles les artistes doivent faire face lorsqu’ils veulent présenter un spectacle de théâtre comportant des scènes de violence et de sexualité au Québec.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. To respect the reproduction rights and copyrights, the electronic version of this thesis was stripped of images and audiovisuals. The integral version has been left with Documents Management and Archives Service at the University of Montreal.
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Nous proposons, dans ce mémoire, d’explorer les possibilités pratiques et pédagogiques d’une approche autopoïétique de la création sonore au cinéma. Notre principal souci sera de saisir les modalités de l’ascèse propre aux artistes qui se livrent à une telle activité, comprise comme un « apprentissage de soi par soi » (Foucault), afin de faire celui qui peut faire l’œuvre (processus de subjectivation), et le rôle descriptif et opératoire de cet exercice - en tant qu’effort pour penser de façon critique son propre savoir-faire -, dans le faire-œuvre et l’invention de possibles dans l’écriture audio-visuelle cinématographique. Pour ce faire, d’une part, nous étudierons, à partir de témoignages autopoïétiques, le rapport réflexif de trois créateurs sonores à leur pratique et leur effort pour penser (et mettre en place) les conditions d’une pratique et d’une esthétique du son filmique comme forme d’art sonore dans un contexte audio-visuel, alors qu’ils travaillent dans un cadre normalisant : Randy Thom, Walter Murch et Franck Warner. D’autre part, nous recourrons à différentes considérations théoriques (la théorie de l’art chez Deleuze et Guattari, la « surécoute » chez Szendy, l’histoire de la poïétique à partir de Valéry, etc.) et pratiques (la recherche musicale chez Schaeffer, la relation maître-apprenti, les rapports entre automatisme et pensée dans le cinéma moderne chez Artaud et Godard, etc.), afin de contextualiser et d’analyser ces expériences de création, avec l’objectif de problématiser la figure de l’artiste-poïéticien sur un plan éthique dans le sillage de la théorie des techniques de soi chez Foucault.
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Dans le cadre de la célébration du nouveau millénaire, la National Gallery de Londres a organisé l'exposition Encounters: New Art from Old (14 juin - 17 septembre 2000). La formule consistait à inviter vingt-cinq artistes contemporains à choisir une œuvre de la collection permanente du musée et à s'en inspirer afin d'en créer une nouvelle. Certaines des œuvres produites pour l’occasion ont été exposées près de leurs sources dans les salles historiques de la collection du musée. Ce mémoire examine comment la formule de cette exposition et son accrochage anachronique agissent de façon directe sur la temporalité de la collection historique en invitant à sa réactualisation, et à la mise en valeur de la création. Il situe cette formule dans le cadre d’un regain d’intérêt pour les collections, décortique la sélection des artistes par le musée et la sélection des œuvres de la collection par les artistes. Il propose aussi une classification des modalités par lesquelles ceux-ci ré-interprètent la tradition. Enfin, en s’appuyant sur la théorie de la réception, ce mémoire considère les réponses générées par l’exposition : celles des artistes aux œuvres de leurs prédécesseurs, celles des critiques et celles du public.
L’empreinte d’une expérience performative en littérature : le cas de Sophie Calle et de Miranda July
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Le présent mémoire propose de croiser les démarches de deux auteures et artistes contemporaines, Sophie Calle et Miranda July, dont les quatre œuvres à l’étude – Douleur exquise (2003), Aveugles (2011), Rachel, Monique (2012) de Calle et Il vous choisit (2013) de July – se fondent sur des expériences en amont de l’écriture qui mobilisent le corps même des auteures, les engagent dans une action concrète et, bien souvent, dans des interactions avec autrui. Cet art de la contrainte, cet art action qui devient le sédiment de leurs écrits s’inscrit dans la filiation hypothétique des théories du philosophe pragmatique John Dewey et de celles de l’artiste Allan Kaprow – l’un des premiers à réfléchir l’art de la performance. L’écriture intermédiale qu’elles pratiquent – ce jeu de relations entre différents médias au sein même de l’œuvre – permet à la fois de réactiver la valeur performative de l’expérience qui a impulsé la création littéraire et d’embrayer une expérience de lecture qui devient elle-même performative. Exemplaires d’une esthétique relationnelle, polyphoniques dans les voix qui s’expriment, les quatre ouvrages du corpus donnent à sentir le bruissement d’une communauté. Il s’agit d’une littérature interdisciplinaire et intersubjective, mais surtout performative dans son questionnement incessant sur le pouvoir de l’art pour transformer la vie.
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Le présent mémoire porte sur la présence de la violence et de la sexualité sur la scène théâtrale québécoise, ainsi que sur l’influence du mouvement britannique In-yer-face sur la dramaturgie québécoise contemporaine. Par l’étude comparative des didascalies des textes ainsi que des mises en scènes de trois productions québécoises – soit Shopping and F**king (texte de Mark Ravenhill traduit par Alexandre Lefebvre, mise en scène de Christian Lapointe), Faire des enfants (texte d’Éric Noël, mise en scène de Gaétan Paré) et En dessous de vos corps je trouverai ce qui est immense et qui ne s’arrête pas (texte et mise en scène de Steve Gagnon) –, ce mémoire explore les diverses manières de représenter la violence et la sexualité sur la scène québécoise actuelle. Ce travail dépasse l’étude textuelle, il présente une réflexion sur le théâtre québécois et les nombreuses contraintes auxquelles les artistes doivent faire face lorsqu’ils veulent présenter un spectacle de théâtre comportant des scènes de violence et de sexualité au Québec.