1000 resultados para Andral, Gr
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INTRODUCTION: The management of large lesions of the skull base, such as vestibular schwannomas (VS) is challenging. Microsurgery remains the main treatment option. Combined approaches (planned subtotal resection followed by gamma knife surgery (GKS) for residual tumor long-term control) are being increasingly considered to reduce the risk of neurological deficits following complete resection. The current study aims to prospectively evaluate the safety-efficacy of combined approach in patients with large VS. MATERIALS AND METHODS: We present our experience with planned subtotal resection followed by gamma knife surgery (GKS) in a consecutive a series of 20 patients with large vestibular schwannomas, treated between 2009 and 2014 in Lausanne University Hospital, Switzerland. Clinical and radiological data and audiograms were prospectively collected for all patients, before and after surgery, before and after GKS, at regular intervals, in dedicated case-report forms. Additionally, for GKS, dose-planning parameters were registered. RESULTS: Twenty patients (6 males and 14 females) with large VS had been treated by this approach. The mean age at the time of surgery was 51.6years (range 34.4-73.4). The mean presurgical diameter was 36.7 (range 26.1-45). The mean presurgical tumor volume was 15.9cm(3) (range 534.9). Three patients (15%) needed a second surgical intervention because of high volume of the tumor remnant considered too large for a safe GKS. The mean follow-up after surgery was 27.2months (range 6-61.3). The timing of GKS was decided on the basis of the residual tumor shape and size following surgery. The mean duration between surgery and GKS was 7.6months (range 413.9, median 6months). The mean tumor volume at the time of GKS was 4.1cm(3) (range 0.5-12.8). The mean prescription isodose volume was 6.3cm(3) (range 0.8-15.5). The mean number of isocenters was 20.4 (range 11-31) and the mean marginal prescription dose was 11.7Gy (range 11-12). We did not have any major complications in our series. Postoperative status showed normal facial nerve function (House-Brackmann grade I) in all patients. Six patients with useful pre-operative hearing (GR class 1) underwent surgery with the aim to preserve cochlear nerve function; of these patients, 5 (83.3%) of them remained in GR class 1 and one (16.7%) lost hearing (GR class 5). Two patients having GR class 3 at baseline remained in the same GR class, but the tonal audiometry improved in one of them during follow-up. Eleven patients (57.8%) were in GR class 5 preoperatively; one patient improved hearing after surgery, passing to GR class 3 postoperatively. Following GKS, there were no new neurological deficits, with facial and hearing function remaining identical to that after surgery. CONCLUSION: Our data suggest that planned subtotal resection followed by GKS has an excellent clinical outcome with respect to retaining facial and cochlear nerve function. This represents a paradigm shift of the treatment goals from a complete tumor excision perspective to that of a surgery designed to preserve neural functions. As long-term results emerge, this approach of a combined treatment (microsurgery and GKS) will most probably become the standard of care in the management of large vestibular schwanomma.
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Ancien possesseur : Belbeuf, Louis Pierre François Godard Mis de
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Los más altos valores de producción durante el año 1964 se hallaron en las regiones de divergencia, de mezcla vertical y capa de mezcla poco profunda, o donde el agua superficial era enriquecida a través de los afloramientos favorecidos por la acción de los vientos. La distribución de producción primaria en superficie fue muy similar a la producción total. La producción diaria entre las latitudes 4-6° S tuvo un promedio de 0.27 gr C/m2 (0.04-1.51 gr C/m2), y entre las latitudes 6°-18°30 'S de 0.45 gr C/m2 (0.03-2.42 gr C/m2 ), o sea una producción anual de 97 y 162 gr C/m2 , respectivamente. La máxima producción hallada en la Corriente Costera Peruana correspondió al Verano, y la mínima al Invierno, con una producción promedio anual de 190 gr C/m2. Hubo una variación geográfica de la producción total en la faja costera de 60 millas de ancho. A lo largo del litoral peruano los mayores valores de producción se presentaron entre las latitudes 8-9° S y 16-17° S con valores promedio de 1.00 y 1.30 gr C/m2, respectivamente.
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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.
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Pour lever les contraintes multiples auxquelles le pays est confronté, et développer les différents secteurs de l’agriculture et de la pêche, le gouvernement a adopté plusieurs programmes qui sont à différents stades de mise oeuvre, notamment: (i) le Programme national pour l'environnement, (ii) le Programme national de lutte contre la désertification, (iii) le Programme national de lutte contre la pauvreté, (iv) le Plan d'action forestier national, (v) le Plan directeur des ressources hydriques, (vi) le programme national de sécurité alimentaire, (vii) le Plan directeur pour l'élevage, et (viii) le plan de développement de l’horticulture. Bien que pertinents individuellement, les différents programmes nationaux ne sont point reliés entre eux par une stratégie cohérente de développement agricole au sens large, à moyen et long terme. Une assistance avait été apportée par la FAO au Cap-Vert en 19961 pour appuyer le GEP dans la formulation d'une stratégie sectorielle, en vue de la préparation du 4ème plan national de développement pour la période 1997-2000. Les nouvelles autorités nationales, en place en 2001, voudraient disposer d’une stratégie de développement agricole de long terme, allant au-delà des programmes nationaux de développement élaborés tous les 4 ans, au gré des mandats politiques. Par ailleurs, plusieurs partenaires au développement du Cap-Vert ont également indiqué au Gouvernement que leur nouveau cadre de coopération orienté vers l’aide budgétaire, doit disposer d’un cadre stratégique cohérent à long terme, et d’un plan d'action opérationnel indiquant les actions à entreprendre et les moyens humains, institutionnels, et financiers nécessaires à leur mise en oeuvre. La stratégie de développement agricole, au sens large, s’appuie sur des politiques, initiatives et dynamiques en cours, parmi lesquelles : la vision stratégique de développement à moyen termes du Gouvernement, présentée dans les Grandes Options du Plan 2002-2005 (GOP), le document intérimaire de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) du pays, indiquant la sécurité alimentaire et la garantie de la cohésion sociale en milieu rural comme des axes stratégiques importants, le programme national de sécurité alimentaire du Cap-Vert, avec une orientation marquée pour la réduction de la pauvreté le PANA II en cours d’élaboration, le document UNDAF2 pour le Cap-Vert élaboré en septembre 2002, avec quatre axes d’intervention prioritaire et cinq dimensions transversales. la dimension genre, pour favoriser la participation effective de toutes les couches de la société (notamment les femmes) au processus de développement socio-économique du pays, particulièrement dans les politiques, stratégies et programmes du MAAP en cohérence avec la politique de décentralisation du Gouvernement. les dynamiques d’intégration sous-régionale en cours dans le cadre de la CEDEAO3, et du CILSS4, et continentales dans le cadre du NEPAD5. C'est en tenant compte de l’ensemble du cadre contextuel évoqué et de la complexité des tâches à accomplir que le Gouvernement a sollicité l'assistance de la FAO, au titre du programme de coopération technique, pour l’aider à élaborer une stratégie de développement agricole à long terme (horizon 2015) et préparer un Plan d’actions prioritaires à moyen terme. 1 TCP/CVI/6611 : “Appui technique et méthodologique pour la formulation d’une stratégie et des politiques de développement rural “. 2 Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement. 3 Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest. 4 Comité inter-états de lutte contre la sécheresse au Sahel. 5 Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique.