979 resultados para Injury Outcome
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OBJECTIVES: To determine whether the initial benefits of spinal cord stimulation (SCS) treatment for critical limb ischemia (CLI) persist over years. DESIGN: Analysis of data prospectively collected for every CLI patient receiving permanent SCS. Follow-up range 12 to 98 months (mean 46+/-23, median 50 months). POPULATION: 87 patients (28% stage III, 72%stage IV) with unreconstructable CLI due (83%) or not (17%) to atherosclerosis and with an initial sitting/supine transcutaneous pO2 gradient >15 mmHg. METHODS: Assessment of actuarial patient survival (PS), limb salvage (LS) and amputation-free patient survival (AFPS). Analysis of the impact of 15 risk factors on long-term outcomes using the Fischer's exact test for categorical variables and the t test for continuous variables. RESULTS: Follow-up was complete for patient and limb survival. A single non-atherosclerotic patient died during follow-up. Among atherosclerotic patients PS decreased from 88% at 1y, to 76% at 3y, 64% at 5y and 57% at 7y. LS reached 84% at 1y, 78% at 2y, 75% at 3y and remained stable thereafter. Diabetes was found to affect LS (p<0.05) and heart disease to reduce PS (p<0.01). AFPS was reduced in heart patients (p<0.01), diabetics (p<0.05) and in patients with previous stroke (p<0.05). CONCLUSIONS: In CLI patients the beneficial effects of SCS persist far beyond the first year of treatment and major amputation becomes infrequent after the second year.
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BACKGROUND: The impact of osmotic therapies on brain oxygen has not been extensively studied in humans. We examined the effects on brain tissue oxygen tension (PbtO(2)) of mannitol and hypertonic saline (HTS) in patients with severe traumatic brain injury (TBI) and refractory intracranial hypertension. METHODS: 12 consecutive patients with severe TBI who underwent intracranial pressure (ICP) and PbtO(2) monitoring were studied. Patients were treated with mannitol (25%, 0.75 g/kg) for episodes of elevated ICP (>20 mm Hg) or HTS (7.5%, 250 ml) if ICP was not controlled with mannitol. PbtO(2), ICP, mean arterial pressure, cerebral perfusion pressure (CPP), central venous pressure and cardiac output were monitored continuously. RESULTS: 42 episodes of intracranial hypertension, treated with mannitol (n = 28 boluses) or HTS (n = 14 boluses), were analysed. HTS treatment was associated with an increase in PbtO(2) (from baseline 28.3 (13.8) mm Hg to 34.9 (18.2) mm Hg at 30 min, 37.0 (17.6) mm Hg at 60 min and 41.4 (17.7) mm Hg at 120 min; all p<0.01) while mannitol did not affect PbtO(2) (baseline 30.4 (11.4) vs 28.7 (13.5) vs 28.4 (10.6) vs 27.5 (9.9) mm Hg; all p>0.1). Compared with mannitol, HTS was associated with lower ICP and higher CPP and cardiac output. CONCLUSIONS: In patients with severe TBI and elevated ICP refractory to previous mannitol treatment, 7.5% hypertonic saline administered as second tier therapy is associated with a significant increase in brain oxygenation, and improved cerebral and systemic haemodynamics.
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Teenage Mental Health: What helps and what hurts? Report On The Outcome Of Consultations With Teenagers On Mental Health Click here to download PDF 1.3mb
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BACKGROUND: Prevalence of unhealthy alcohol use among medical inpatients is high. OBJECTIVE: To characterize the course and outcomes of unhealthy alcohol use, and factors associated with these outcomes. DESIGN: Prospective cohort study. PARTICIPANTS: A total of 287 medical inpatients with unhealthy alcohol use. MAIN MEASURES: At baseline and 12 months later, consumption and alcohol-related consequences were assessed. The outcome of interest was a favorable drinking outcome at 12 months (abstinence or drinking "moderate" amounts without consequences). The independent variables evaluated included demographics, physical/sexual abuse, drug use, depressive symptoms, alcohol dependence, commitment to change (Taking Action), spending time with heavy-drinking friends and receipt of alcohol treatment (after hospitalization). Adjusted regression models were used to evaluate factors associated with a favorable outcome. KEY RESULTS: Thirty-three percent had a favorable drinking outcome 1 year later. Not spending time with heavy-drinking friends [adjusted odds ratio (AOR) 2.14, 95% CI: 1.14-4.00] and receipt of alcohol treatment [AOR (95% CI): 2.16(1.20-3.87)] were associated with a favorable outcome. Compared to the first quartile (lowest level) of Taking Action, subjects in the second, third and highest quartiles had higher odds of a favorable outcome [AOR (95% CI): 3.65 (1.47, 9.02), 3.39 (1.38, 8.31) and 6.76 (2.74, 16.67)]. CONCLUSIONS: Although most medical inpatients with unhealthy alcohol use continue drinking at-risk amounts and/or have alcohol-related consequences, one third are abstinent or drink "moderate" amounts without consequences 1 year later. Not spending time with heavy-drinking friends, receipt of alcohol treatment and commitment to change are associated with this favorable outcome. This can inform efforts to address unhealthy alcohol use among patients who often do not seek specialty treatment.
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RESUME Objectif : Les lymphomes épiduraux primaires représentent moins de 10% des tumeurs épidurales et de 0,1 à 3,3% de tous les lymphomes. Le but de cette étude a été d'évaluer le profil clinique de cette maladie rare, son traitement, ses résultats ainsi que ses facteurs de pronostic. Matériel et méthode : Entre 1982 et 2002, 52 patients présentant un lymphome épidural primaire ont été traités dans neuf institutions membres du Rare Cancer Network. Les critères d'inclusion comprenaient : une biopsie confirmant le lymphome non-hodgkinien, un stade IE et IIE selon la classification de Ann Arbor, un traitement à visée curative de radiothérapie combinée ou non à une chimiothérapie et un suivi d'au moins six mois. Selon la Working Formulation, 12 patients (23%) présentaient un lymphome de bas grade, 28 (54%) un grade intermédiaire et 12 (23%) un haut grade. Les hommes étaient atteints 1.9 fois plus fréquemment que les femmes. L'âge moyen était de 61 ans (intervalle : 21 à 96). Le bilan incluait un Ct-scan spinal (98%), une IRM (52%), un CT-scan thoraco-abdominal (77%) et une aspiration ou biopsie de moelle osseuse (96%). Les symptômes les plus fréquents comprenaient des douleurs dorsales (79% des patients), une faiblesse musculaire (92%) et des déficits sensoriels (71 %). Quarante-huit patients ont subi une laminectomie de décompression avec résection partielle ou complète (42% et 13% des cas respectivement), tous ont reçu une radiothérapie seule (20 patients) ou en combinaison avec une chimiothérapie (32 patients). La dose médiane totale était de 36 Gy (intervalle 6-50 Gy) avec une moyenne de 20 Gy par fraction (intervalle : 1-25). Le suivi moyen était de 71 mois (intervalle : 22-165 mois). Résultats : Suite au traitement, une progression locale a été observée chez 6 patients après un temps de latence moyen de 6 mois. Le taux de rechute systémique a été de 42% (22 patients) le plus souvent dans les ganglions lymphatiques (n=9) après un intervalle de temps moyen de 20 mois. Lors du dernier contrôle, 28 patients étaient vivants et 24 patients étaient décédés. Le taux de survie à 5 ans, le taux de survie sans maladie et le contrôle local étaient de 69%, 57% et 88% respectivement. En analyse univariée, les facteurs pronostics favorables statistiquement significatifs concernant la survie sans maladie étaient un âge inférieur à 63 ans, ainsi qu'une réponse neurologique complète. Pour la survie à 5 ans, les facteurs favorables étaient un âge inférieur à 63 ans. En analyse multivariée, les facteurs pronostics favorables pour la survie globale à 5 ans étaient une réponse neurologique complète, un traitement combiné, un volume de radiothérapie plus que focal, une dose totale de radiothérapie supérieure à 36 Gy et une résection partielle ou complète de la tumeur. En ce qui concerne la survie sans maladie, les facteurs pronostics favorables étáient un âge inférieur à 63 ans et un traitement combiné. Conclusion : Ce qui ressort de cette analyse est que le bilan diagnostic devrait inclure une IRM ou un CT-scan, un échantillon de tissu pour poser le diagnostic pathologique définitif de la lésion, une histoire médicale et un examen physique complet, une chimie sanguine, un CTscan thoraco-abdominal et une biopsie de la moelle osseuse, un PET-scan devrait également faire partie du bilan. Le traitement devrait consister, dans la phase aiguë, en une chirurgie de décompression avec ou sans résection, suivie d'une radiothérapie d'au moins 36Gy en 2 Gy par fraction et d'une chimiothérapie. Tous les patients présentant un lymphome de haut grade ou de grade intermédiaire devraient pouvoir bénéficier d'un traitement combiné.
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Contexte et but de l'étude :Le statut socio-économique est suspecté d'avoir une influence significative sur l'incidence des attaques cérébrales (AVC), sur les facteurs de risque cardio-vasculaire, ainsi que sur le pronostic. L'influence de ce statut socio-économique sur la sévérité de l'AVC et sur les mécanismes physiopathologiques sous-jacents est moins connue.Méthode :Sur une période de 4 ans, nous avons collecté de manière prospective (dans un registre) des données concernant tous les patients avec AVC aigus admis à l'Unité Cérébrovasculaire du CHUV. Les données comprenaient le statut assécurologique du patient (assurance privée ou générale), les données démographiques, les facteurs de risque cérébrovasculaires, l'utilisation de traitements aigus de recanalisation vasculaire, le délai avant l'admission à l'hôpital, ainsi que la sévérité et le pronostic de l'AVC en phase aiguë, à 7 jours et à 3 mois des symptômes. Les patients avec assurance privée ont été comparés à ceux avec assurance générale.Résultats :Sur 1062 patients avec AVC, 203 avaient une assurance privée et 859 avaient une assurance générale. Il y a avait 585 hommes et 477 femmes. Les deux populations étaient similaires en âge. Les facteurs de risque cardio-vasculaire, la médication préventive, le délai d'arrivée à l'hôpital, l'incidence du taux de thrombolyse et l'étiologie de l'AVC ne différaient pas dans les deux populations. Le score de gravité de l'AVC en phase aiguë, mesuré par le NIHSS, était significativement plus élevé chez les patients avec assurance générale. Un pronostic favorable, mesuré par le score de Rankin modifié (mRS), était plus fréquemment obtenu à 7 jours et à 3 mois chez les patients avec assurance privée.Commentaires :Un statut socio-économique bas est associé à une incidence plus élevée de maladies cérébrovasculaires ainsi qu'à un plus mauvais pronostic, comme cela a été démontré dans différents pays. Il a été suspecté que l'accès à une prise en charge spécialisée en phase aiguë ou en rééducation soit différent selon le statut socio-économique. Comme la Suisse a un système de santé universel, avec une couverture assécurologique obligatoire pour chaque habitant, il y a là une occasion unique de comparer l'influence de l'aspect socio-économique sur la sévérité et le pronostic de l'AVC. De plus, les patients ont été admis dans la même Unité Cérébrovasculaire et pris en charge par la même équipe médicale.Conclusion et perspectives :Le lien entre le statut assécurologique et le statut socio-économique a déjà été prouvé par le passé dans d'autres pays. Nous avons mis en évidence une sévérité plus importante et un plus mauvais pronostic chez les patients avec assurance générale dans la population étudiée. L'étiologie de cette différence dans un système de santé à couverture universelle comme celui de la Suisse reste peu claire. Elle devrait être étudiée à plus grande échelle.
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Tissue damage resulting from chemical, mechanical, and biological injury, or from interrupted blood flow and reperfusion, is often life threatening. The subsequent tissue response involves an intricate series of events including inflammation, oxidative stress, immune cell recruitment, and cell survival, proliferation, migration, and differentiation. In addition, fibrotic repair characterized by myofibroblast transdifferentiation and the deposition of ECM proteins is activated. Failure to initiate, maintain, or stop this repair program has dramatic consequences, such as cell death and associated tissue necrosis or carcinogenesis. In this sense, inflammation and oxidative stress, which are beneficial defense processes, can become harmful if they do not resolve in time. This repair program is largely based on rapid and specific changes in gene expression controlled by transcription factors that sense injury. PPARs are such factors and are activated by lipid mediators produced after wounding. Here we highlight advances in our understanding of PPAR action during tissue repair and discuss the potential for these nuclear receptors as therapeutic targets for tissue injury.
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Stress radiographs have been recommended in order to obtain a better objective quantification of abnormal compartment knee motion. This tool has showed to be superior in quantifying a posterior cruciate ligament (PCL) lesion compared to clinical or arthrometer evaluation. Different radiographic techniques have been described in literature to quantify posterior pathological laxity. In this study we evaluated the total amount of posterior displacement (PTD) and side to side difference (SSD), before and after surgical reconstruction of PCL or PCL and posterolateral complex (PLC), using two different stress radiography techniques (Telos stress and kneeling view). Twenty patients were included in this study. We found a statistical significant difference about both total PTD and SSD among the two techniques preoperatively and at follow-up, with greatest values occurring using the kneeling view. Although stress radiographies has been introduced to allow an objective quantification of laxity in ligamentous injured knee, we believe that further studies on a large numbers of subjects are required to define the relationship between PTD values, measured with stress knee radiography, particularly using kneeling view, and ligamentous knee injury, in order to obtain a real useful tool in the decision making process, as well as to evaluate the outcome after ligamentous surgery.
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Primary cultures of cardiomyocytes represent a useful model for analyzing cardiac cell biology as well as pathogenesis of several cardiovascular disorders. Our aim was to standardize protocols for determining the damage of cardiac cells cultured in vitro by measuring the creatine kinase and its cardiac isotype and lactate dehydrogenase activities in the supernatants of mice cardiomyocytes submitted to different protocols of cell lysis. Our data showed that due to its higher specificity, the cardiac isotype creatine kinase was the most sensitive as compared to the others studied enzymatic markers, and can be used to monitor and evaluate cardiac damage in in vitro assays.
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La douleur neuropathique est définie comme une douleur causée par une lésion du système nerveux somato-sensoriel. Elle se caractérise par des douleurs exagérées, spontanées, ou déclenchées par des stimuli normalement non douloureux (allodynie) ou douloureux (hyperalgésie). Bien qu'elle concerne 7% de la population, ses mécanismes biologiques ne sont pas encore élucidés. L'étude des variations d'expressions géniques dans les tissus-clés des voies sensorielles (notamment le ganglion spinal et la corne dorsale de la moelle épinière) à différents moments après une lésion nerveuse périphérique permettrait de mettre en évidence de nouvelles cibles thérapeutiques. Elles se détectent de manière sensible par reverse transcription quantitative real-time polymerase chain reaction (RT- qPCR). Pour garantir des résultats fiables, des guidelines ont récemment recommandé la validation des gènes de référence utilisés pour la normalisation des données ("Minimum information for publication of quantitative real-time PCR experiments", Bustin et al 2009). Après recherche dans la littérature des gènes de référence fréquemment utilisés dans notre modèle de douleur neuropathique périphérique SNI (spared nerve injury) et dans le tissu nerveux en général, nous avons établi une liste de potentiels bons candidats: Actin beta (Actb), Glyceraldehyde-3-phosphate dehydrogenase (GAPDH), ribosomal proteins 18S (18S), L13a (RPL13a) et L29 (RPL29), hypoxanthine phosphoribosyltransferase 1 (HPRT1) et hydroxymethyl-bilane synthase (HMBS). Nous avons évalué la stabilité d'expression de ces gènes dans le ganglion spinal et dans la corne dorsale à différents moments après la lésion nerveuse (SNI) en calculant des coefficients de variation et utilisant l'algorithme geNorm qui compare les niveaux d'expression entre les différents candidats et détermine la paire de gènes restante la plus stable. Il a aussi été possible de classer les gènes selon leur stabilité et d'identifier le nombre de gènes nécessaires pour une normalisation la plus précise. Les gènes les plus cités comme référence dans le modèle SNI ont été GAPDH, HMBS, Actb, HPRT1 et 18S. Seuls HPRT1 and 18S ont été précédemment validés dans des arrays de RT-qPCR. Dans notre étude, tous les gènes testés dans le ganglion spinal et dans la corne dorsale satisfont au critère de stabilité exprimé par une M-value inférieure à 1. Par contre avec un coefficient de variation (CV) supérieur à 50% dans le ganglion spinal, 18S ne peut être retenu. La paire de gènes la plus stable dans le ganglion spinal est HPRT1 et Actb et dans la corne dorsale il s'agit de RPL29 et RPL13a. L'utilisation de 2 gènes de référence stables suffit pour une normalisation fiable. Nous avons donc classé et validé Actb, RPL29, RPL13a, HMBS, GAPDH, HPRT1 et 18S comme gènes de référence utilisables dans la corne dorsale pour le modèle SNI chez le rat. Dans le ganglion spinal 18S n'a pas rempli nos critères. Nous avons aussi déterminé que la combinaison de deux gènes de référence stables suffit pour une normalisation précise. Les variations d'expression génique de potentiels gènes d'intérêts dans des conditions expérimentales identiques (SNI, tissu et timepoints post SNI) vont pouvoir se mesurer sur la base d'une normalisation fiable. Non seulement il sera possible d'identifier des régulations potentiellement importantes dans la genèse de la douleur neuropathique mais aussi d'observer les différents phénotypes évoluant au cours du temps après lésion nerveuse.
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Patients who have overdosed on drugs commonly present to emergency departments, with only the most severe cases requiring intensive care unit (ICU) admission. Such patients typically survive hospitalisation. We studied their longer term functional outcomes and recovery patterns which have not been well described. All patients admitted to the 18-bed ICU of a university-affiliated teaching hospital following drug overdoses between 1 January 2004 and 31 December 2006 were identified. With ethical approval, we evaluated the functional outcome and recovery patterns of the surviving patients 31 months after presentation, by telephone or personal interview. These were recorded as Glasgow outcome score, Karnofsky performance index and present work status. During the three years studied, 43 patients were identified as being admitted to our ICU because of an overdose. The average age was 34 years, 72% were male and the mean APACHE II score was 16.7. Of these, 32 were discharged from hospital alive. Follow-up data was attained on all of them. At a median of 31 months follow-up, a further eight had died. Of the 24 surviving there were 13 unemployed, seven employed and four in custody. The median Glasgow outcome score of survivors was 4.5, their Karnofsky score 80. Admission to ICU for treatment of overdose is associated with a very high risk of death in both the short- and long-term. While excellent functional recovery is achievable, 16% of survivors were held in custody and 54% unemployed.This resource was contributed by The National Documentation Centre on Drug Use.
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BACKGROUND AND AIMS: Critically ill patients with complicated evolution are frequently hypermetabolic, catabolic, and at risk of underfeeding. The study aimed at assessing the relationship between energy balance and outcome in critically ill patients. METHODS: Prospective observational study conducted in consecutive patients staying > or = 5 days in the surgical ICU of a University hospital. Demographic data, time to feeding, route, energy delivery, and outcome were recorded. Energy balance was calculated as energy delivery minus target. Data in means+/-SD, linear regressions between energy balance and outcome variables. RESULTS: Forty eight patients aged 57+/-16 years were investigated; complete data are available in 669 days. Mechanical ventilation lasted 11+/-8 days, ICU stay 15+/-9 was days, and 30-days mortality was 38%. Time to feeding was 3.1+/-2.2 days. Enteral nutrition was the most frequent route with 433 days. Mean daily energy delivery was 1090+/-930 kcal. Combining enteral and parenteral nutrition achieved highest energy delivery. Cumulated energy balance was between -12,600+/-10,520 kcal, and correlated with complications (P < 0.001), already after 1 week. CONCLUSION: Negative energy balances were correlated with increasing number of complications, particularly infections. Energy debt appears as a promising tool for nutritional follow-up, which should be further tested. Delaying initiation of nutritional support exposes the patients to energy deficits that cannot be compensated later on.
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The H(+)-gated acid-sensing ion channels (ASICs) are expressed in dorsal root ganglion (DRG) neurones. Studies with ASIC knockout mice indicated either a pro-nociceptive or a modulatory role of ASICs in pain sensation. We have investigated in freshly isolated rat DRG neurones whether neurones with different ASIC current properties exist, which may explain distinct cellular roles, and we have investigated ASIC regulation in an experimental model of neuropathic pain. Small-diameter DRG neurones expressed three different ASIC current types which were all preferentially expressed in putative nociceptors. Type 1 currents were mediated by ASIC1a homomultimers and characterized by steep pH dependence of current activation in the pH range 6.8-6.0. Type 3 currents were activated in a similar pH range as type 1, while type 2 currents were activated at pH < 6. When activated by acidification to pH 6.8 or 6.5, the probability of inducing action potentials correlated with the ASIC current density. Nerve injury induced differential regulation of ASIC subunit expression and selective changes in ASIC function in DRG neurones, suggesting a complex reorganization of ASICs during the development of neuropathic pain. In summary, we describe a basis for distinct cellular functions of different ASIC types in small-diameter DRG neurones.
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Introduction: Les résultats d'une chirurgie du pied et de la cheville peuvent être évalués par des scores spécifiques à la région anatomique ainsi que par des scores spécifiques à la pathologie. Beaucoup de scores existent rendant la comparaison entre les études difficile. La présente étude se focalise sur une pathologie fréquente du pied et de la cheville et compare les résultats obtenu par deux scores spécifiques à la région et deux scores spécifiques à la pathologie. Méthode: Nous avons revu 41 patients ayant bénéficié d'une plastie ligamentaire externe de la cheville. Quatre scores ont été administrés simultanément: the Cumberland Ankle Instability Tool (CAIT) et the Chronic Ankle Instability Scale (CAIS), spécifiques à la pathologie, the American Orthopedic Foot & Ankle Society (AOFAS) hindfoot scale et the Foot and Ankle Ability Measure comprenant deux parties (FAAM1 et FAAM2), spécifiques à la région anatomique. Le degré de corrélation entre les scores a été évalué par le coefficient de corrélation de Pearson. L'analyse graphique des variances a été utilisée pour le choix de tests paramétriques versus non paramétriques. Des tests non paramétriques, le Kruskal-Wallis pour éliminer l'hypothèse nulle et le Mann-Whitney pour la comparaison entre les scores deux à deux, ont été utilisés. Résultats: Une différence significative (p<.005) a été démontrée entre le CAIS et l'AOFAS (p=.0002), entre le CAIS et le FAAM1 (p=.0001) et entre le CAIT et l'AOFAS (p=.0003) Conclusions: Cette étude compare les performances de quatre scores dont deux spécifiques à la région anatomique et deux spécifiques à la pathologie. Nous avons démontré une bonne corrélation entre les scores ainsi que des différences significatives entre les résultats obtenus par chacun d'eux. Les résultats obtenus par les scores spécifiques à la pathologie semblent être plus précis que ceux obtenus par les scores spécifiques à la région anatomique. De plus, nous avons mis en évidence une forte corrélation entre l'AOFAS et les autres scores. Le FAAM semble être un bon compromis car il offre la possibilité, du fait de ses deux parties, d'évaluer le résultat en fonction de la demande fonctionnelle du patient. Perspectives: Un algorithme est proposé qui permet d'évaluer la littérature spécifique de manière plus critique et peut s'adapter également à la recherche et à la clinique relative à d'autres pathologies du pied et de la cheville