957 resultados para ventrolateral prefrontal cortex


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La compréhension du discours, et son évolution au cours du vieillissement, constitue un sujet d’une grande importance par sa complexité et sa place dans la préservation de la qualité de vie des aînés. Les objectifs de cette thèse étaient d’évaluer l’influence du vieillissement et du niveau de scolarité sur les capacités de compréhension du discours et sur l’activité cérébrale s’y rattachant. Pour ce faire, trois groupes (jeunes adultes ayant un niveau universitaire de scolarité, personnes âgées ayant un niveau universitaire de scolarité et personnes âgées ayant un niveau secondaire de scolarité) ont réalisé une tâche où ils devaient lire de courtes histoires, puis estimer la véracité d’une affirmation concernant cette histoire. Les capacités de compréhension correspondant aux traitements de trois niveaux du modèle de construction-intégration de Kintsch (la microstructure, la macrostructure et le modèle de situation) ont été évaluées. L’imagerie optique (NIRS) a permis d’estimer les variations d’oxyhémoglobine (HbO) et de déoxyhémoglobine (HbR) tout au long de la tâche. Les résultats ont démontré que les personnes âgées étaient aussi aptes que les plus jeunes pour rappeler la macrostructure (essentiel du texte), mais qu’ils avaient plus de difficulté à rappeler la microstructure (détails) et le modèle de situation (inférence et intégration) suite à la lecture de courts textes. Lors de la lecture, les participants plus âgés ont également montré une plus grande activité cérébrale dans le cortex préfrontal dorsolatéral gauche, ce qui pourrait être un mécanisme de compensation tel que décrit dans le modèle CRUNCH. Aucune différence significative n’a été observée lors de la comparaison des participants âgés ayant un niveau universitaire de scolarité et ceux ayant un niveau secondaire, tant au niveau des capacités de compréhension que de l’activité cérébrale s’y rattachant. Les deux groupes ont cependant des habitudes de vie stimulant la cognition, entre autres, de bonnes habitudes de lecture. Ainsi, ces habitudes semblent avoir une plus grande influence que l’éducation sur les performances en compréhension et sur l’activité cérébrale sous-jacente. Il se pourrait donc que l’éducation influence la cognition en promouvant des habitudes favorisant les activités cognitives, et que ce soit ces habitudes qui aient en bout ligne un réel impact sur le vieillissement cognitif.

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L’adversité tôt dans la vie est associée au développement de symptômes anxieux pouvant perdurer jusqu’à l’âge adulte (Casey et el, 2010, Pine 2003). Des études chez l’adulte suggèrent que ces liens pourraient être associés à des altérations du « circuit de la peur » qui inclut l’amygdale, l’hippocampe antérieur, l’insula et le cortex préfrontal (Marek, 2013, Etkin & Wager, 2007). Ceci a cependant peu été étudié chez les jeunes. L’objectif principal de cette thèse était de définir les corrélats comportementaux, physiologiques, biologiques et neuronaux du traitement de la peur chez les jeunes en bonne santé, en lien ou non avec un historique d’adversité -- sous la forme de pratiques parentales coercitives -- et d’anxiété. D’abord, puisque nous nous intéressions aux pratiques parentales coercitives chroniques, nous avons examiné leur évolution et facteurs de risque, en nous concentrant sur la période de 17 à 72 mois. Un total de 2045 dyades mère-enfant ont été incluses dans une analyse de courbe de croissance latente. Nous avons démontré que la coercition maternelle suit une évolution non linéaire durant cette période et atteint un sommet à 42 mois. Les facteurs de risque relatifs à l’enfant et à la mère, mesurés à 17 mois, permettent de prédire les niveaux de coercition à 42 mois. Finalement, les prédicteurs relatifs à l’enfant et l’efficacité maternelle prédisent l’évolution des pratiques parentales coercitives entre 17 et 72 mois. Ensuite, afin de définir une méthodologie solide pour étudier le traitement de la peur chez des jeunes, nous avons adapté une tâche développée par Lau et ses collaborateurs (2008), employant des visages féminins comme stimuli. Le sexe des participants et des visages employés comme stimuli pouvant potentiellement moduler le traitement de la peur (Kret & de Gelder, 2012; McClure, 2000), nous avons étudié leurs influences respectives sur les réponses électrodermales et subjectives de peur durant le conditionnement et l’extinction de la peur chez 117 jeunes. Nous avons démontré que les stimuli féminins suscitent des réponses davantage comparables entre les garçons et les filles que les stimuli masculins. De plus, nous avons observé un effet du « même sexe », caractérisé par un conditionnement différentiel uniquement face aux stimuli du même sexe que le participant. Finalement, nous avons exploré les différences individuelles et conjointes associées aux différents niveaux de pratiques parentales coercitives et d’anxiété en termes de réponses de peur et d’activité cérébrale, durant le conditionnement et l’extinction de la peur chez 84 jeunes. Nous avons démontré que la coercition est spécifiquement associée au fonctionnement du lobe temporal médian et aux interactions entre l’amygdale et l’insula, durant le conditionnement. Durant l’extinction, les niveaux d’anxiété étaient associés à des différences spécifiques d’activation du gyrus cingulaire antérieur (GCA) dorsal. Enfin, les pratiques parentales coercitives et l’anxiété interagissent et viennent moduler la connectivité fonctionnelle amygdale - GCA rostral, l’activation d’une sous-région du GCA dorsal et les réponses subjectives de peur. Ces résultats ajoutent une pièce au casse-tête des neurosciences développementales et fournissent des pistes intéressantes pour le développement d’interventions futures.

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Plusieurs facteurs de risque de développement de troubles intériorisés, tels que les troubles d’anxiété et de l’humeur, ont été identifiés dans la littérature. Les deux plus importants facteurs de risques regroupent l’adversité vécue durant l’enfance (par exemple la maltraitance) et le risque parental (c’est-à-dire la présence d’un trouble intériorisé chez l’un ou les deux parents). Ces facteurs de risque ont été liés à des changements neuroanatomiques similaires à ceux observés en lien avec les troubles intériorisés. Ainsi, en présence de ces facteurs de risque, des anomalies anatomiques pourraient laisser présager l’apparition prochaine d’une symptomatologie de troubles intériorisés chez des individus encore asymptomatiques. Chez les quelques populations de jeunes investiguées, les participants présentaient des comorbidités et/ou étaient sous médication, ce qui rend difficile l’interprétation des atteintes cérébrales observées. Ce travail de thèse s’est intéressé aux liens entre ces deux facteurs de risque et les substrats neuroanatomiques associés à chacun d’eux, chez des adolescents asymptomatiques et n’étant sous aucune médication. Une première étude a examiné le lien entre le niveau de pratiques parentales coercitives et le niveau de symptômes d’anxiété, mesurés de manière longitudinale depuis la naissance, et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 2). Une deuxième étude a examiné le lien entre le risque parental de développer des troubles d’anxiété et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 3). Une troisième étude s’est intéressée au lien entre le risque parental de développer un trouble de dépression ou un trouble bipolaire et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 4). Les résultats démontrent des différences de volume et/ou d’épaisseur corticale dans plusieurs structures clés impliquées dans le traitement et la régulation des émotions. C’est le cas du cortex préfrontal, de l’amygdale, de l’hippocampe et du striatum. Ces résultats suggèrent que certaines des différences neuroanatomiques observées dans les troubles intériorisés peuvent être présentes avant que le trouble ne se manifeste, et représenter des marqueurs neuronaux du risque de développer le trouble. Les implications théoriques et les limites de ces trois études sont finalement discutées dans le Chapitre 5.

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L’utilisation de méthodes d’investigation cérébrale avancées a permis de mettre en évidence la présence d’altérations à court et à long terme à la suite d’une commotion cérébrale. Plus spécifiquement, des altérations affectant l’intégrité de la matière blanche et le métabolisme cellulaire ont récemment été révélées par l’utilisation de l’imagerie du tenseur de diffusion (DTI) et la spectroscopie par résonance magnétique (SRM), respectivement. Ces atteintes cérébrales ont été observées chez des athlètes masculins quelques jours après la blessure à la tête et demeuraient détectables lorsque les athlètes étaient à nouveau évalués six mois post-commotion. En revanche, aucune étude n’a évalué les effets neurométaboliques et microstructuraux dans la phase aigüe et chronique d’une commotion cérébrale chez les athlètes féminines, malgré le fait qu’elles présentent une susceptibilité accrue de subir ce type de blessure, ainsi qu’un nombre plus élevé de symptômes post-commotionnels et un temps de réhabilitation plus long. Ainsi, les études composant le présent ouvrage visent globalement à établir le profil d’atteintes microstructurales et neurométaboliques chez des athlètes féminines par l’utilisation du DTI et de la SRM. La première étude visait à évaluer les changements neurométaboliques au sein du corps calleux chez des joueurs et joueuses de hockey au cours d’une saison universitaire. Les athlètes ayant subi une commotion cérébrale pendant la saison ont été évalués 72 heures, 2 semaines et 2 mois après la blessure à la tête en plus des évaluations pré et post-saison. Les résultats démontrent une absence de différences entre les athlètes ayant subi une commotion cérébrale et les athlètes qui n’en ont pas subie. De plus, aucune différence entre les données pré et post-saison a été observée chez les athlètes masculins alors qu’une diminution du taux de N-acetyl aspartate (NAA) n’a été mise en évidence chez les athlètes féminines, suggérant ainsi un impact des coups d’intensité sous-clinique à la tête. La deuxième étude, qui utilisait le DTI et la SRM, a révélé des atteintes chez des athlètes féminines commotionnées asymptomatiques en moyenne 18 mois post-commotion. Plus spécifiquement, la SRM a révélé une diminution du taux de myo-inositol (mI) au sein de l’hippocampe et du cortex moteur primaire (M1) alors que le DTI a mis en évidence une augmentation de la diffusivité moyenne (DM) dans plusieurs faisceaux de matière blanche. De iii plus, une approche par région d’intérêt a mis en évidence une diminution de la fraction d’anisotropie (FA) dans la partie du corps calleux projetant vers l’aire motrice primaire. Le troisième article évaluait des athlètes ayant subi une commotion cérébrale dans les jours suivant la blessure à la tête (7-10 jours) ainsi que six mois post-commotion avec la SRM. Dans la phase aigüe, des altérations neuropsychologiques combinées à un nombre significativement plus élevé de symptômes post-commotionnels et dépressifs ont été trouvés chez les athlètes féminines commotionnées, qui se résorbaient en phase chronique. En revanche, aucune différence sur le plan neurométabolique n’a été mise en évidence entre les deux groupes dans la phase aigüe. Dans la phase chronique, les athlètes commotionnées démontraient des altérations neurométaboliques au sein du cortex préfrontal dorsolatéral (CPDL) et M1, marquées par une augmentation du taux de glutamate/glutamine (Glx). De plus, une diminution du taux de NAA entre les deux temps de mesure était présente chez les athlètes contrôles. Finalement, le quatrième article documentait les atteintes microstructurales au sein de la voie corticospinale et du corps calleux six mois suivant une commotion cérébrale. Les analyses n’ont démontré aucune différence au sein de la voie corticospinale alors que des différences ont été relevées par segmentation du corps calleux selon les projections des fibres calleuses. En effet, les athlètes commotionnées présentaient une diminution de la DM et de la diffusivité radiale (DR) au sein de la région projetant vers le cortex préfrontal, un volume moindre des fibres de matière blanche dans la région projetant vers l’aire prémotrice et l’aire motrice supplémentaire, ainsi qu’une diminution de la diffusivité axiale (DA) dans la région projetant vers l’aire pariétale et temporale. En somme, les études incluses dans le présent ouvrage ont permis d’approfondir les connaissances sur les effets métaboliques et microstructuraux des commotions cérébrales et démontrent des effets délétères persistants chez des athlètes féminines. Ces données vont de pair avec la littérature scientifique qui suggère que les commotions cérébrales n’entraînent pas seulement des symptômes temporaires.

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A cross-sectional study was carried out to examine the pattern of changes in the capacity to coordinate attention between two simultaneously performed tasks in a group of 570 volunteers, from 5 to 17 years old. Method: The results revealed that the ability to coordinate attention increases with age, reaching adult values by age 15 years. Also, these results were compared with the performance in the same dual task of healthy elderly and Alzheimer disease (AD) patients found in a previous study. Results: The analysis indicated that AD patients showed a lower dual-tasking capacity than 5-year-old children, whereas the elderly presented a significantly higher ability than 5-year-old children and no significant differences with respect to young adults. Conclusion: These findings may suggest the presence of a working memory system’s mechanism that enables the division of attention, which is strengthened by the maturation of prefrontal cortex, and impaired in AD. (J. of Att. Dis. 2016; 20(2) 87-95)

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Mental stress is known to disrupt the execution of motor performance and can lead to decrements in the quality of performance, however, individuals have shown significant differences regarding how fast and well they can perform a skilled task according to how well they can manage stress and emotion. The purpose of this study was to advance our understanding of how the brain modulates emotional reactivity under different motivational states to achieve differential performance in a target shooting task that requires precision visuomotor coordination. In order to study the interactions in emotion regulatory brain areas (i.e. the ventral striatum, amygdala, prefrontal cortex) and the autonomic nervous system, reward and punishment interventions were employed and the resulting behavioral and physiological responses contrasted to observe the changes in shooting performance (i.e. shooting accuracy and stability of aim) and neuro-cognitive processes (i.e. cognitive load and reserve) during the shooting task. Thirty-five participants, aged 18 to 38 years, from the Reserve Officers’ Training Corp (ROTC) at the University of Maryland were recruited to take 30 shots at a bullseye target in three different experimental conditions. In the reward condition, $1 was added to their total balance for every 10-point shot. In the punishment condition, $1 was deducted from their total balance if they did not hit the 10-point area. In the neutral condition, no money was added or deducted from their total balance. When in the reward condition, which was reportedly most enjoyable and least stressful of the conditions, heart rate variability was found to be positively related to shooting scores, inversely related to variability in shooting performance and positively related to alpha power (i.e. less activation) in the left temporal region. In the punishment (and most stressful) condition, an increase in sympathetic response (i.e. increased LF/HF ratio) was positively related to jerking movements as well as variability of placement (on the target) in the shots taken. This, coupled with error monitoring activity in the anterior cingulate cortex, suggests evaluation of self-efficacy might be driving arousal regulation, thus affecting shooting performance. Better performers showed variable, increasing high-alpha power in the temporal region during the aiming period towards taking the shot which could indicate an adaptive strategy of engagement. They also showed lower coherence during hit shots than missed shots which was coupled with reduced jerking movements and better precision and accuracy. Frontal asymmetry measures revealed possible influence of the prefrontal lobe in driving this effect in reward and neutral conditions. The possible interactions, reasons behind these findings and implications are discussed.

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Aims. The individual susceptibility to cocaine addiction, a factor of interest in the understanding and prevention of this disorder, may be predicted by certain behavioral traits. However, these are not usually taken into account in research, making it difficult to identify whether they are a cause or a consequence of drug use. Methods. Male C57BL/6J mice underwent a battery of behavioral tests (elevated plus maze, hole-board, novelty preference in the Y maze, episodic-like object recognition memory and forced swimming test), followed by a cocaine-conditioned place preference (CPP) training to assess the reinforcing effect of the drug. In a second study, we aimed to determine the existence of neurobiological differences between the mice expressing high or low CPP by studying the number of neurons in certain addiction-related structures: the medial prefrontal cortex, the basolateral amygdala and the ventral tegmental area. Results. Anxiety-like behaviors in the elevated plus maze successfully predicted the cocaine-CPP behavior, so that the most anxious mice were also more likely to search for cocaine in a CPP paradigm. In addition, these mice exhibited an increased number of neurons in the basolateral amygdala, a key structure in emotional response including anxiety expression, without differences in the others regions analyzed. Conclusions. Our results suggest a relevant role of anxiety as a psychological risk factor for cocaine vulnerability, with the basolateral amygdala as potential common neural center for both anxiety and addiction.

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Increased activity of the noradrenergic system in the amygdala has been suggested to contribute to the hyperarousal symptoms associated with post-traumatic stress disorder (PTSD). However, only two studies have examined the content of noradrenaline or its metabolites in the amygdala of rats previously exposed to traumatic stress showing inconsistent results. The aim of this study was to investigate the effects of an inescapable foot shock (IFS) procedure 1) on reactivity to novelty in an open-field (as an index of hyperarousal), and 2) on noradrenaline release in the amygdala during an acute stress. To test the role of noradrenaline in amygdala, we also investigated the effects of microinjections of propranolol, a β-adrenoreceptor antagonist, and clenbuterol, a β-adrenoreceptor agonist, into the amygdala of IFS and control animals. Finally, we evaluated the expression of mRNA levels of β-adrenoreceptors (β1 and β2) in the amygdala, the hippocampus and the prefrontal cortex. Male Wistar rats (3 months) were stereotaxically implanted with bilateral guide cannulae. After recovering from surgery, animals were exposed to IFS (10 shocks, 0.86 mA, and 6 seconds per shock) and seven days later either microdialysis or microinjections were performed in amygdala. Animals exposed to IFS showed a reduced locomotion compared to non-shocked animals during the first 5 minutes in the open-field. In the amygdala, IFS animals showed an enhanced increase of noradrenaline induced by stress compared to control animals. Bilateral microinjections of propranolol (0.5 μg) into the amygdala one hour before testing in the open-field normalized the decreased locomotion observed in IFS animals. On the other hand, bilateral microinjections of clenbuterol (30 ng) into the amygdala of control animals did not change the exploratory activity induced by novelty in the open field. IFS modified the mRNA expression of β1 and β2 adrenoreceptors in the prefrontal cortex and the hippocampus. These results suggest that an increased noradrenergic activity in the amygdala contributes to the expression of hyperarousal in an animal model of PTSD.

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El presente trabajo tuvo como objetivo evaluar la existencia de la relación entre la atrofia cortical difusa objetivada por neuroimagenes cerebrales y desempeños cognitivos determinados mediante la aplicación de pruebas neuropsicológicas que evalúan memoria de trabajo, razonamiento simbólico verbal y memoria anterógrada declarativa. Participaron 114 sujetos reclutados en el Hospital Universitario Mayor Méderi de la ciudad de Bogotá mediante muestreo de conveniencia. Los resultados arrojaron diferencias significativas entre los dos grupos (pacientes con diagnóstico de atrofia cortical difusa y pacientes con neuroimagenes interpretadas como dentro de los límites normales) en todas las pruebas neuropsicológicas aplicadas. Respecto a las variables demográficas se pudo observar que el grado de escolaridad contribuye como factor neuroprotector de un posible deterioro cognitivo. Tales hallazgos son importantes para determinar protocoles tempranos de detección de posible instalación de enfermedades neurodegenerativas primarias.

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We measured coherence between the electroencephalogram at different scalp sites while human subjects performed delayed response tasks. The tasks required the retention of either verbalizable strings of characters or abstract line drawings. In both types of tasks, a significant enhancement in coherence in the θ range (4–7 Hz) was found between prefrontal and posterior electrodes during 4-s retention intervals. During 6-s perception intervals, far fewer increases in θ coherence were found. Also in other frequency bands, coherence increased; however, the patterns of enhancement made a relevance for working memory processes seem unlikely. Our results suggest that working memory involves synchronization between prefrontal and posterior association cortex by phase-locked, low frequency (4–7 Hz) brain activity.

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Little is known about the specific functional contribution of the human orbitofrontal cortex with regard to memory processing, although there is strong evidence from lesion studies in monkeys that it may play an important role. The present investigation measured changes in regional cerebral blood flow with positron emission tomography in normal human subjects who were instructed to commit to memory abstract visual patterns. The results indicated that the rostral orbitofrontal region (area 11), which is primarily linked with the anterior medial temporal limbic region and lateral prefrontal cortical areas, is involved in the process of encoding of new information.

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To examine abnormal patterns of frontal cortical-subcortical activity in response to emotional stimuli in euthymic individuals with bipolar disorder type I in order to identify trait-like, pathophysiologic mechanisms of the disorder. We examined potential confounding effects of total psychotropic medication load and illness variables upon neural abnormalities. We analyzed neural activity in 19 euthymic bipolar and 24 healthy individuals to mild and intense happy, fearful and neutral faces. Relative to healthy individuals, bipolar subjects had significantly increased left striatal activity in response to mild happy faces (p < 0.05, corrected), decreased right dorsolateral prefrontal cortical (DLPFC) activity in response to neutral, mild and intense happy faces, and decreased left DLPFC activity in response to neutral, mild and intense fearful faces (p < 0.05, corrected). Bipolar and healthy individuals did not differ in amygdala activity in response to either emotion. In bipolar individuals, there was no significant association between medication load and abnormal activity in these regions, but a negative relationship between age of illness onset and amygdala activity in response to mild fearful faces (p = 0.007). Relative to those without comorbidities, bipolar individuals with comorbidities showed a trend increase in left striatal activity in response to mild happy faces. Abnormally increased striatal activity in response to potentially rewarding stimuli and decreased DLPFC activity in response to other emotionally salient stimuli may underlie mood instabilities in euthymic bipolar individuals, and are more apparent in those with comorbid diagnoses. No relationship between medication load and abnormal neural activity in bipolar individuals suggests that our findings may reflect pathophysiologic mechanisms of the illness rather than medication confounds. Future studies should examine whether this pattern of abnormal neural activity could distinguish bipolar from unipolar depression.

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Tonic immobility (TI) is an innate defensive behaviour elicited by physical restriction and Postural inversion, and is characterised by a profound and temporary state of akinesis. Our previous studies demonstrated that glutamatergic stimulation of the dorsomedial/dorsolateral Portion of periaqueductal gray matter (dPAG) decreases the duration of TI in guinea pigs (Cavia porcellus). Furthermore, evidence suggests that the anterior cingulate cortex (ACC) constitutes an important Source of glutamate for the dPAG. Hence, in the current study, we investigated the effects of microinjection of the excitatory amino acid (EAA) agonist DL-homocysteic acid (DLH) and the N-methyl-D-aspartate (NMDA) receptor antagonist MK-801 into the ACC on the duration of TI in guinea pigs. We also assessed the effect of the NMDA receptor antagonist (MK-801) into the dorsal periaqueductal gray matter (dPAG) prior to DLH microinjection into the ACC on the TI duration in the guinea pig. Our results demonstrated that DLH microinjections into the ACC decreased the duration of TI. This effect was blocked by previous MK-801 microinjections into the ACC or into the dPAG. The MK-801 microinjections alone did not influence TI duration. These results provide the new insight that EAAs in the ACC can decrease the duration of TI. The mechanism seems to be dependent on the NMDA receptors present in the ACC and in the dPAG. (C) 2009 Elsevier B.V. All rights reserved.

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BACKGROUND This study was realized thanks to the collaboration of children and adolescents who had been resected from cerebellar tumors. The medulloblastoma group (CE+, n = 7) in addition to surgery received radiation and chemotherapy. The astrocytoma group (CE, n = 13) did not receive additional treatments. Each clinical group was compared in their executive functioning with a paired control group (n = 12). The performances of the clinical groups with respect to controls were compared considering the tumor's localization (vermis or hemisphere) and the affectation (or not) of the dentate nucleus. Executive variables were correlated with the age at surgery, the time between surgery-evaluation and the resected volume. METHODS The executive functioning was assessed by means of WCST, Complex Rey Figure, Controlled Oral Word Association Test (letter and animal categories), Digits span (WISC-R verbal scale) and Stroop test. These tests are very sensitive to dorsolateral PFC and/or to medial frontal cortex functions. The scores for the non-verbal Raven IQ were also obtained. Direct scores were corrected by age and transformed in standard scores using normative data. The neuropsychological evaluation was made at 3.25 (SD = 2.74) years from surgery in CE group and at 6.47 (SD = 2.77) in CE+ group. RESULTS The Medulloblastoma group showed severe executive deficit (prefrontal-like deficit due to cerebellar lesions and/or cerebellar-frontal diaschisis, as indicate the results in astrocytoma group (without treatments), that also can be generated and/or increased by treatments in the medulloblastoma group. The need for differential rehabilitation strategies for specific clinical groups is remarked. The results are also discussed in the context of the Cerebellar Cognitive Affective Syndrome.

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The present study investigated the premise that individual differences in autonomic physiology could be used to specify the nature and consequences of information processing taking place in medial prefrontal regions during cognitive reappraisal of unpleasant pictures. Neural (blood oxygenation level-dependent functional magnetic resonance imaging) and autonomic (electrodermal [EDA], pupil diameter, cardiac acceleration) signals were recorded simultaneously as twenty-six older people (ages 64–66 years) used reappraisal to increase, maintain, or decrease their responses to unpleasant pictures. EDA was higher when increasing and lower when decreasing compared to maintaining. This suggested modulation of emotional arousal by reappraisal. By contrast, pupil diameter and cardiac acceleration were higher when increasing and decreasing compared to maintaining. This suggested modulation of cognitive demand. Importantly, reappraisal-related activation (increase, decrease > maintain) in two medial prefrontal regions (dorsal medial frontal gyrus and dorsal cingulate gyrus) was correlated with greater cardiac acceleration (increase, decrease > maintain) and monotonic changes in EDA (increase > maintain > decrease). These data indicate that these two medial prefrontal regions are involved in the allocation of cognitive resources to regulate unpleasant emotion, and that they modulate emotional arousal in accordance with the regulatory goal. The emotional arousal effects were mediated by the right amygdala. Reappraisal-related activation in a third medial prefrontal region (subgenual anterior cingulate cortex) was not associated with similar patterns of change in any of the autonomic measures, thus highlighting regional specificity in the degree to which cognitive demand is reflected in medial prefrontal activation during reappraisal.