999 resultados para Suivi à long terme
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La present tesi proposa una metodología per a la simulació probabilística de la fallada de la matriu en materials compòsits reforçats amb fibres de carboni, basant-se en l'anàlisi de la distribució aleatòria de les fibres. En els primers capítols es revisa l'estat de l'art sobre modelització matemàtica de materials aleatoris, càlcul de propietats efectives i criteris de fallada transversal en materials compòsits. El primer pas en la metodologia proposada és la definició de la determinació del tamany mínim d'un Element de Volum Representatiu Estadístic (SRVE) . Aquesta determinació es du a terme analitzant el volum de fibra, les propietats elàstiques efectives, la condició de Hill, els estadístics de les components de tensió i defromació, la funció de densitat de probabilitat i les funcions estadístiques de distància entre fibres de models d'elements de la microestructura, de diferent tamany. Un cop s'ha determinat aquest tamany mínim, es comparen un model periòdic i un model aleatori, per constatar la magnitud de les diferències que s'hi observen. Es defineix, també, una metodologia per a l'anàlisi estadístic de la distribució de la fibra en el compòsit, a partir d'imatges digitals de la secció transversal. Aquest anàlisi s'aplica a quatre materials diferents. Finalment, es proposa un mètode computacional de dues escales per a simular la fallada transversal de làmines unidireccionals, que permet obtenir funcions de densitat de probabilitat per a les variables mecàniques. Es descriuen algunes aplicacions i possibilitats d'aquest mètode i es comparen els resultats obtinguts de la simulació amb valors experimentals.
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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.
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De plus en plus, la capacité de justifier les investissements devient une obligation qui incombe aux gestionnaires responsables de la formation. Dans le domaine de l'informatique utilisateur, cette responsabilité revêt une grande importance puisque les sommes investies en formation sont considérables. La présente étude répond donc aux besoins de ces gestionnaires par le développement d'outils leur permettant d'évaluer l'impact de la formation sur le personnel. De nombreuses informations de gestion leur sont ainsi transmises afin de faciliter la prise de décision à un niveau organisationnel. Dans un premier temps, notre outil d'évaluation des apprentissages leur permet de mesurer les connaissances et habiletés des apprenants au terme de la formation. Par la suite, notre outil d'évaluation et de suivi du transfert des apprentissages leur permet à la fois de mesurer et de qualifier l'utilisation de ces connaissances et habilités dans le contexte de travail. De plus, il leur permet d'identifier les principales raisons qui viennent expliquer ce transfert. Finalement, il est à noter que les outils présentés dans cet ouvrage ont été développés à l'aide de l'approche par compétences et s'adressent spécifiquement à une formation portant sur l'utilisation d'un logiciel de traitement de texte par des secrétaires. Toutefois, ces outils peuvent être adaptés à tout autre type de formation.
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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.
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L’objectif de cet essai repose sur l’élaboration d’un plan de gestion des matières résiduelles pour la communauté algonquine de Long Point First Nation, située dans la Municipalité régionale de comté de Témiscamingue. La Politique québécoise de gestion des matières résiduelles n’établit pas clairement à qui revient la responsabilité d’une saine gestion dans le cas des communautés autochtones. Le flou législatif derrière cet enjeu ne fait qu’accentuer l’isolement de ces communautés dans leur aspiration à développer des actions précises et à les concrétiser. Pourtant, le milieu autochtone se doit de poursuivre la voie de l’amélioration continue de son administration à ce sujet puisque celui-ci participe également au bilan provincial. Cet essai s’inscrit dans le but précis d’accompagner Long Point First Nation dans son cheminement vers une gestion éclairée de ses matières résiduelles. La communauté de Long Point First Nation a introduit la collecte sélective depuis quelques années déjà et en assure elle-même sa gestion. Néanmoins, elle est aux prises avec des situations problématiques limitant la gestion adéquate de ses matières résiduelles. L’éloignement géographique, les partenariats laborieux, les coûts élevés reliés à la gestion et l’instabilité au niveau de la collecte hebdomadaire freinent sa facilité administrative et son déploiement. L’usage des dépôts sauvages pour éliminer les matières non collectées amplifie les problèmes environnementaux et de santé publique. La désuétude de certaines installations et l’absence de campagnes usuelles d’information, de sensibilisation et d’éducation n’assurent pas une gestion optimale ni sa pérennité. Un plan d’action a été réalisé dans le but ultime de contrer ces enjeux. Ce plan priorise deux objectifs fondamentaux, celui d’instaurer un système de récupération des matières organiques au niveau résidentiel et celui de développer des infrastructures pouvant accueillir les matières résiduelles non collectées par la collecte sélective actuellement en place. En plus de ces priorités, cinq autres objectifs sont mis de l’avant, soit le regroupement d’informations concernant la gestion des matières résiduelles et son suivi, la qualité de gestion de la collecte municipale, l’assurance de la qualité environnementale de son territoire, l’affinement du tri des matières recyclables et l’amélioration de la transmission d’informations auprès des résidents. Le tout représente un essai se voulant pragmatique colligeant objectifs et mesures afin d’élaborer un plan d’action réaliste à caractère environnemental.
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Purpose. To determine the mechanisms predisposing penile fracture as well as the rate of long-term penile deformity and erectile and voiding functions. Methods. All fractures were repaired on an emergency basis via subcoronal incision and absorbable suture with simultaneous repair of eventual urethral lesion. Patients' status before fracture and voiding and erectile functions at long term were assessed by periodic follow-up and phone call. Detailed history included cause, symptoms, and single-question self-report of erectile and voiding functions. Results. Among the 44 suspicious cases, 42 (95.4%) were confirmed, mean age was 34.5 years (range: 18-60), mean follow-up 59.3 months (range 9-155). Half presented the classical triad of audible crack, detumescence, and pain. Heterosexual intercourse was the most common cause (28 patients, 66.7%), followed by penile manipulation (6 patients, 14.3%), and homosexual intercourse (4 patients, 9.5%). Woman on top was the most common heterosexual position (n = 14, 50%), followed by doggy style (n = 8, 28.6%). Four patients (9.5%) maintained the cause unclear. Six (14.3%) patients had urethral injury and two (4.8%) had erectile dysfunction, treated by penile prosthesis and PDE-5i. No patient showed urethral fistula, voiding deterioration, penile nodule/curve or pain. Conclusions. Woman on top was the potentially riskiest sexual position (50%). Immediate surgical treatment warrants long-term very low morbidity.
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This study aimed at evaluating the functional activation and activating receptors expression on resting, short- and long-term NK and NK-like T cells from blood of ovarian neoplasia patients. Blood from patients with adnexal benign alterations (n = 10) and ovarian cancer (grade I-IV n = 14) were collected after signed consent. Effector cells activation was evaluated by the expression of the CD107a molecule. Short-term culture was conducted overnight with IL-2 and long-term culture for 21 days, by a method designed to expand CD56(+) lymphocytes. Short-term culture significantly increased NK cells activation compared to resting NK cells (p<0.05), however, the long-term procedure supported an even higher increase (p<0.001). Resting NK-like T cells showed poor activation, which was not altered by the culture procedures. The long-term culture effectively increased the expression of the activating receptors on NK and NK-like T cells, either by increasing the number of cells expressing a given receptor and/or by up-regulating their expression intensity. As a conclusion, the long-term culture system employed, resulted in a high number of functional NK cells. The culture system was particularly efficient on the up-regulation of NKp30 and DNAM-1 receptors on NK cells.
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There is great interindividual variability in the response to GH therapy. Ascertaining genetic factors can improve the accuracy of growth response predictions. Suppressor of cytokine signaling (SOCS)-2 is an intracellular negative regulator of GH receptor (GHR) signaling. The objective of the study was to assess the influence of a SOCS2 polymorphism (rs3782415) and its interactive effect with GHR exon 3 and -202 A/C IGFBP3 (rs2854744) polymorphisms on adult height of patients treated with recombinant human GH (rhGH). Genotypes were correlated with adult height data of 65 Turner syndrome (TS) and 47 GH deficiency (GHD) patients treated with rhGH, by multiple linear regressions. Generalized multifactor dimensionality reduction was used to evaluate gene-gene interactions. Baseline clinical data were indistinguishable among patients with different genotypes. Adult height SD scores of patients with at least one SOCS2 single-nucleotide polymorphism rs3782415-C were 0.7 higher than those homozygous for the T allele (P < .001). SOCS2 (P = .003), GHR-exon 3 (P= .016) and -202 A/C IGFBP3 (P = .013) polymorphisms, together with clinical factors accounted for 58% of the variability in adult height and 82% of the total height SD score gain. Patients harboring any two negative genotypes in these three different loci (homozygosity for SOCS2 T allele; the GHR exon 3 full-length allele and/or the -202C-IGFBP3 allele) were more likely to achieve an adult height at the lower quartile (odds ratio of 13.3; 95% confidence interval of 3.2-54.2, P = .0001). The SOCS2 polymorphism (rs3782415) has an influence on the adult height of children with TS and GHD after long-term rhGH therapy. Polymorphisms located in GHR, IGFBP3, and SOCS2 loci have an influence on the growth outcomes of TS and GHD patients treated with rhGH. The use of these genetic markers could identify among rhGH-treated patients those who are genetically predisposed to have less favorable outcomes.
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This study aimed to evaluate long-term atrophy in contralateral hippocampal volume after surgery for unilateral MTLE, as well as the cognitive outcome for patients submitted to either selective transsylvian amygdalohippocampectomy (SelAH) or anterior temporal lobe resection (ATL). We performed a longitudinal study of 47 patients with MRI signs of unilateral hippocampal sclerosis (23 patients with right-sided hippocampal sclerosis) who underwent surgical treatment for MTLE. They underwent preoperative/postoperative high-resolution MRI as well as neuropsychological assessment for memory and estimated IQ. To investigate possible changes in the contralateral hippocampus of patients, we included 28 controls who underwent two MRIs at long-term intervals. The volumetry using preoperative MRI showed significant hippocampal atrophy ipsilateral to the side of surgery when compared with controls (p<0.0001) but no differences in contralateral hippocampal volumes. The mean postoperative follow-up was 8.7 years (± 2.5 SD; median=8.0). Our patients were classified as Engel I (80%), Engel II (18.2%), and Engel III (1.8%). We observed a small but significant reduction in the contralateral hippocampus of patients but no volume changes in controls. Most of the patients presented small declines in both estimated IQ and memory, which were more pronounced in patients with left TLE and in those with persistent seizures. Different surgical approaches did not impose differences in seizure control or in cognitive outcome. We observed small declines in cognitive scores with most of these patients, which were worse in patients with left-sided resection and in those who continued to suffer from postoperative seizures. We also demonstrated that manual volumetry can reveal a reduction in volume in the contralateral hippocampus, although this change was mild and could not be detected by visual analysis. These new findings suggest that dynamic processes continue to act after the removal of the hippocampus, and further studies with larger groups may help in understanding the underlying mechanisms.
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Long-acting reversible contraceptives (LARCs) include the copper-releasing intrauterine device (IUD), the levonorgestrel-releasing intrauterine system (LNG-IUS) and implants. Despite the high contraceptive efficacy of LARCs, their prevalence of use remains low in many countries. The objective of this study was to assess the main reasons for switching from contraceptive methods requiring daily or monthly compliance to LARC methods within a Brazilian cohort. Women of 18-50 years of age using different contraceptives and wishing to switch to a LARC method answered a questionnaire regarding their motivations for switching from their current contraceptive. Continuation rates were evaluated 1 year after method initiation. Sample size was calculated at 1040 women. Clinical performance was evaluated by life table analysis. The cutoff date for analysis was May 23, 2013. Overall, 1167 women were interviewed; however, after 1 year of use, the medical records of only 1154 women were available for review. The main personal reason for switching, as reported by the women, was fear of becoming pregnant while the main medical reasons were nausea and vomiting and unscheduled bleeding. No pregnancies occurred during LARC use, and the main reasons for discontinuation were expulsion (in the case of the IUD and LNG-IUS) and a decision to undergo surgical sterilization (in the case of the etonogestrel-releasing implant). Continuation rate was ~95.0/100 women/year for the three methods. Most women chose a LARC method for its safety and for practical reasons, and after 1 year of use, most women continued with the method.
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What is the contribution of the provision, at no cost for users, of long acting reversible contraceptive methods (LARC; copper intrauterine device [IUD], the levonorgestrel-releasing intrauterine system [LNG-IUS], contraceptive implants and depot-medroxyprogesterone [DMPA] injection) towards the disability-adjusted life years (DALY) averted through a Brazilian university-based clinic established over 30 years ago. Over the last 10 years of evaluation, provision of LARC methods and DMPA by the clinic are estimated to have contributed to DALY averted by between 37 and 60 maternal deaths, 315-424 child mortalities, 634-853 combined maternal morbidity and mortality and child mortality, and 1056-1412 unsafe abortions averted. LARC methods are associated with a high contraceptive effectiveness when compared with contraceptive methods which need frequent attention; perhaps because LARC methods are independent of individual or couple compliance. However, in general previous studies have evaluated contraceptive methods during clinical studies over a short period of time, or not more than 10 years. Furthermore, information regarding the estimation of the DALY averted is scarce. We reviewed 50 004 medical charts from women who consulted for the first time looking for a contraceptive method over the period from 2 January 1980 through 31 December 2012. Women who consulted at the Department of Obstetrics and Gynaecology, University of Campinas, Brazil were new users and users switching contraceptive, including the copper IUD (n = 13 826), the LNG-IUS (n = 1525), implants (n = 277) and DMPA (n = 9387). Estimation of the DALY averted included maternal morbidity and mortality, child mortality and unsafe abortions averted. We obtained 29 416 contraceptive segments of use including 25 009 contraceptive segments of use from 20 821 new users or switchers to any LARC method or DMPA with at least 1 year of follow-up. The mean (± SD) age of the women at first consultation ranged from 25.3 ± 5.7 (range 12-47) years in the 1980s, to 31.9 ± 7.4 (range 16-50) years in 2010-2011. The most common contraceptive chosen at the first consultation was copper IUD (48.3, 74.5 and 64.7% in the 1980s, 1990s and 2000s, respectively). For an evaluation over 20 years, the cumulative pregnancy rates (SEM) were 0.4 (0.2), 2.8 (2.1), 4.0 (0.4) and 1.3 (0.4) for the LNG-IUS, the implants, copper IUD and DMPA, respectively and cumulative continuation rates (SEM) were 15.1 (3.7), 3.9 (1.4), 14.1 (0.6) and 7.3 (1.7) for the LNG-IUS, implants, copper IUD and DMPA, respectively (P < 0.001). Over the last 10 years of evaluation, the estimation of the contribution of the clinic through the provision of LARC methods and DMPA to DALY averted was 37-60 maternal deaths; between 315 and 424 child mortalities; combined maternal morbidity and mortality and child mortality of between 634 and 853, and 1056-1412 unsafe abortions averted. The main limitations are the number of women who never returned to the clinic (overall 14% among the four methods under evaluation); consequently the pregnancy rate could be different. Other limitations include the analysis of two kinds of copper IUD and two kinds of contraceptive implants as the same IUD or implant, and the low number of users of implants. In addition, the DALY calculation relies on a number of estimates, which may vary in different parts of the world. LARC methods and DMPA are highly effective and women who were well-counselled used these methods for a long time. The benefit of averting maternal morbidity and mortality, child mortality, and unsafe abortions is an example to health policy makers to implement more family planning programmes and to offer contraceptive methods, mainly LARC and DMPA, at no cost or at affordable cost for the underprivileged population. This study received partial financial support from the Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP), grant # 2012/12810-4 and from the National Research Council (CNPq), grant #573747/2008-3. B.F.B., M.P.G., and V.M.C. were fellows from the scientific initiation programme from FAPESP. Since the year 2001, all the TCu380A IUD were donated by Injeflex, São Paulo, Brazil, and from the year 2006 all the LNG-IUS were donated by the International Contraceptive Access Foundation (ICA), Turku, Finland. Both donations are as unrestricted grants. The authors declare that there are no conflicts of interest associated with this study.
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This work assessed the environmental impacts of the production and use of 1 MJ of hydrous ethanol (E100) in Brazil in prospective scenarios (2020-2030), considering the deployment of technologies currently under development and better agricultural practices. The life cycle assessment technique was employed using the CML method for the life cycle impact assessment and the Monte Carlo method for the uncertainty analysis. Abiotic depletion, global warming, human toxicity, ecotoxicity, photochemical oxidation, acidification, and eutrophication were the environmental impacts categories analyzed. Results indicate that the proposed improvements (especially no-til farming-scenarios s2 and s4) would lead to environmental benefits in prospective scenarios compared to the current ethanol production (scenario s0). Combined first and second generation ethanol production (scenarios s3 and s4) would require less agricultural land but would not perform better than the projected first generation ethanol, although the uncertainties are relatively high. The best use of 1 ha of sugar cane was also assessed, considering the displacement of the conventional products by ethanol and electricity. No-til practices combined with the production of first generation ethanol and electricity (scenario s2) would lead to the largest mitigation effects for global warming and abiotic depletion. For the remaining categories, emissions would not be mitigated with the utilization of the sugar cane products. However, this conclusion is sensitive to the displaced electricity sources.
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Purpose After a successful pyeloplasty at 3 to 6 months, the question remains whether children need a long follow-up. Methods The medical charts of patients with long-term follow-up (> 5 years), who underwent dismembered pyeloplasty for uretero-pelvic junction obstruction (UPJO) from May 1998 to May 2007, excluding those with bilateral UPJO, solitary kidney, associated vesicoureteral reflux or other abnormalities, and inconclusive renogram due to poor renal function, were retrospectively reviewed. Ultrasonography, differential renal function (DRF, DMSA), and renal drainage on diuretic renography (diethylene-triamine-pentaacetate technetium-99 or DTPA-Tc99) were performed at 3 and 6 months every year. Results Complete data were available for 28 consecutive patients (28 renal unities) with 2 months to 12 years (mean age, 2.4 years) at surgery, of whom 21 (75%) were boys, 17 diagnosed prenatally (61%) and 18 unities (64.3%) were left, with median follow-up of 10.7 years. Images were graded according to the Society for Fetal Urology grading system: Grade III in 11 (49%) and grade IV in 17 (61%). All cases presented > 10% DRF (DMSA) and obstructed DTPA-Tc99. The T1/2 (the half-time of drainage) less than 20 minutes at 3 months was found in 21 cases (75%) and less than 25 minutes in 7 cases (25%). Renal function and patency were maintained during follow-up for all units with 8% maximum fluctuation of DRF. One index case (3.6%) of renal function deterioration presented DRF fluctuation > 8% at 3 months (from 23 to 32%) and progressive hydronephrosis and indeterminate DTPA at 6 months. Conclusions Satisfactory diuretic renogram at 3 to 6 months after pyeloplasty with maintained renal function and stable hydronephrosis suggests no need for further follow-up and indicates no functional loss with time. More than 8% DRF fluctuation might be a significant cutoff for further intervention aiming nephron preservation.
Resumo:
We recently proposed a new surgical approach to treat ventral root avulsion, resulting in motoneuron protection. The present work combined such a surgical approach with bone marrow mononuclear cells (MC) therapy. Therefore, MC were added to the site of reimplantation. Female Lewis rats (seven weeks old) were subjected to unilateral ventral root avulsion (VRA) at L4, L5 and L6 levels and divided into the following groups (n = 5 for each group): Avulsion, sealant reimplanted roots and sealant reimplanted roots plus MC. After four weeks and 12 weeks post-surgery, the lumbar intumescences were processed by transmission electron microscopy, to analyze synaptic inputs to the repaired α motoneurons. Also, the ipsi and contralateral sciatic nerves were processed for axon counting and morphometry. The ultrastructural results indicated a significant preservation of inhibitory pre-synaptic boutons in the groups repaired with sealant alone and associated with MC therapy. Moreover, the average number of axons was higher in treated groups when compared to avulsion only. Complementary to the fiber counting, the morphometric analysis of axonal diameter and g ratio demonstrated that root reimplantation improved the motor component recovery. In conclusion, the data herein demonstrate that root reimplantation at the lesion site may be considered a therapeutic approach, following proximal lesions in the interface of central nervous system (CNS) and peripheral nervous system (PNS), and that MC therapy does not further improve the regenerative recovery, up to 12 weeks post lesion.