988 resultados para «Je» créateur


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"Savez-vous que je vous tiens parole et que je ne fais presque plus de sottises pécuniaires"

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"Je n'ai pas le sol". - Demande de rendez-vous pour affaires

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Commençant par : « Le tres grant et tres saige philosophe Pittagoras, mirouer de sapience... » et finissant par : «... je te prie que en tes oraisons tu soye de moy memorable. Amen » .

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Contient : 1° « Les Lamentacions monseigneur sainct BERNARD » ; 2° « Le Livre des Meditacions monseigneur saint BERnard » ; 3° « Les Contemplacions monseigneur saint AUGUSTIN » ; 4° « Une belle Oroison de saint AUGUSTIN » (fol. 55) : ; 5° « Les Meditacions saint AUGUSTIN pensant à Dieu » ; 6° « Ung Traitié comment on doit Dieu amer de tout son cueir » ; 7° « L'Ordonnance du char Heliez le prophete » (fol. 67) : ; 8° « Un Preschement de Nostre Seigneur Jhesu Crist » (fol. 69), parabole de la semence ; 9° « Ce sont les sept choses que cuer en qui Dieu habite doit avoir » (fol. 71) : ; 10° « Comment.IIII. pechiés mortelz sont signifiés par.IIII. bestes sauvaiges » (fol. 72) : ; 11° « De la Demande que fist la mere de saint Jehan et de saint Jaques à Nostre Seigneur Jhesu Crist » ; 12° « Le Livre de la misere de l'omme », par « LOTHIER » ; 13° « Le Livre des biens que tribulacion fait à l'ame » ; 14° « Aucuns bons Enseignements pour eschiver les pechies de luxure, d'avarice et d'accide » ; 15° « De l'Aage Adam, et comment il envoya Seth son filz en paradis terrestre » (fol. 130) : ; 16° « La Devise de la messe » (fol. 132) : ; 17° « L'Ordonnance comment on se doit confesser » (fol. 135) : ; 18° « Les Enseignements que le bon roy saint Loys fist et escript de sa main, et les envoya de Cartaige où il estoit au roy Phelippes son filz » ; 19° « Les Enseignements que... saint Loys... envoya... à la royne de Navarre sa fille » (fol. 140) : ; 20° « La Fin que le bon roy saint Loys ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thibaut, roy de Navarre » (fol. 141) : ; 21° « Le Livre maistre HUGUES DE SAINT VICTOR » ; 22° « Les Proverbes de SENEQUE, en prose » ; 23° « Les Dictz et Proverbes des Saiges », cinquantecinq quatrains ; 24° « Le Dit des philosophes du grant roy Alixandre, quant il fut mort », en seize vers (fol. 172) ; 25° « Ung beau Dictié c'on appelle : Je vois mourir », quarante-cinq sixains ; 26° « Le Pater noster en françois » ; 27° « La Meditacion de la mort »

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Commençant par : « Je porte couronne royalle, Cler ruby et fin dyamant... » et finissant par : « Royne des cieulx, jamaiz bien je ne feiz, Dame, pardon, prie pour moy ton filz. Amen » .

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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Contient : 1 Histoire de la mort de Richard II, roi d'Angleterre ; 2 « C'est la manière comment la royne d'Angleterre », Isabelle de France, « fille du noble roy de France », Charles VI, « retourna en France après ce que le roy Richart avoit esté mis à mort par le consentement [de Henry de Lenclastre], de plusieurs grans seigneurs et de tout le commun d'Angleterre » ; 3 « C'est la manière comment la duchesse de Bretaigne », Jeanne, « ala et fut receue royne d'Angleterre, laquelle fut femme et espouse au roy Henry » IV ; 4 Réponse de HENRY IV, roi d'Angleterre, à un défi de Louis, duc d'Orléans, datée de Londres, 5 décembre 1402 ; 5 Réponse de LOUIS, duc d'ORLEANS, à la précédente lettre du roi Henri IV, datée du 26 mars 1403 n. s ; 6 Série de pièces relatives au combat de Montendre, entre sept Français et sept Anglais ; 7 Histoire de Tamerian par JEAN II, archevêque de Sulthanyeh

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Donateur : Weckerlin, Jean-Baptiste (1821-1910)

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... "Je viens vous supplier d'être le médiateur entre mon père et moi"

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... "Je suis désorienté comme l'aiguille d'une boussole "pendant un typhon"

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Contient : Table du contenu du manuscrit ; Histoire ancienne jusqu'à César, incomplète du premier feuillet : «... Tu as mangié dou fruit que je deffendu t'avoie. Adans, qui moût fu dolans... — ... duques à la cité de Tongres, qui seur la mer estoit adomques asise » ; Moralités des philosophes, par ALART DE CAMBRAI ; Dit des quatre martyres, par PIERRE DE MAUBEUGE (?) ; Dit des quatre vices, par le même (?) ; Dit des quatre complexions de l'homme, par PIERRE DE MAUBEUGE ; Imitation de l'Anticlaudianus d'Alain de Lille, en vers français par ELLEBAUT ; Annales françaises, de 1162 à 1254. Début : « Anno Domini M° C° LXXXI, ci fu roys Phelippes de France... » — Fin : « ... prist Valenciennes et grant partie de Hainnaut. » Le même texte, copié de la même main, se retrouve dans le ms. français 24431, f. 25 et suiv ; Annales latines, de 1249 à 1270. Début : « Romanum imperium sive post mortem, sive post depositionem Fedrici... » — Fin : «... Traponam in domum Fratrum ordinis Carmeli est defunctus. » (Ms. français 24431, f. 26) ; Généalogie et chronique des rois de France. Début : « Si comme nous trovons escrit ès anciens livres, Troie... » — Fin : «... par le commandement au roi Jehan meismes qui secourre ne les pooit. » (Ms. français 24431, f. 29 et suiv) ; Theoderici libellus de locis sanctis, traduction française. Début : « Ci sont li saint lieu de Jherusalem. En Jherusalem est uns liex de pié et demi de grant ou Salemons escrist le livre de Sapience... » (Ms. français 24431, f. 38 v) ; Chronique de Turpin, en français. Début : « Cy commence l'estoyre de Turpin, arcevesque de la cité de Rains... » — Fin : « ... qui disoient que ce estoit Torpins, arcevesques de Rains. » (Ms. français 24431, f. 39 et suiv) ; Histoire de Tancrède de Hauteville. Début: « Tangrés d'Otevillier, qui est en la contrée de Coustentin... — Incomplète de la fin : «... puis le rendi a l'apostole, si comme il ot en covenant et la cité de Bo... » (Ms. français 24431, f. 53 et suiv) ; Les Quatre temps d'âge d'homme, par PHILIPPE DE NOVARE. — Même texte que dans le ms. français 24431 (D de l'édition de M. de Fréville) ; Les Proverbes au vilain ; Les Quinze signes du Jugement dernier ; Fragment de poème sur le mérite des femmes

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Contient : Notes de la même main que le corps du volume ; Signatures de possesseurs du volume : « Gérad Gilbert » ? « Roussell. Estienne Roussell »