891 resultados para species-level trends
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Some Ecological Factors Affecting the Input and Population Levels of Total and Faecal Coliforms and Salmonella in Twelve Mile Creek, Lake Ontario and Sewage Waters Near St. Catharines, Ontario. Supervisor: Dr. M. Helder. The present study was undertaken to investigate the role of some ecological factors on sewage-Dorne bacteria in waters near St. Catharines, Ontario. Total and faecal coliform levels and the presence of Salmonella were monitored for a period of a year along with determination of temperature, pH, dissolved oxygen, total dissolved solids, nitrate N, total phosphate P and ammonium N. Bacteriological tests for coliform analysis were done according to APHA Standard Methods by the membrane filtration technique. The grab sampling technique was employed for all sampling. Four sample sites were chosen in the Port Dalhousie beach area to determine what bacteriological or physical relationship the sites had to each other. The sample sites chosen were the sewage inflow to and the effluent from the St. Catharines (Port Dalhousie) Pollution Control Plant, Twelve Mile Creek below the sewage outfall and Lake Ontario at the Lakeside Park beach. The sewage outfall was located in Twelve Mile Creek, approximately 80 meters from the creek junction with the beach and piers on Lake Ontario. Twelve Mile Creek normally carried a large volume of water from the WeIland Canal which was diverted through the DeCew Generating Station located on the Niagara Escarpment. An additional sample site, which was thought to be free of industrial wastes, was chosen at Twenty Mile Creek, also in the Niagara Region of Ontarioo 3 There were marked variations in bacterial numbers at each site and between each site, but trends to lower_numbers were noted from the sewage inflow to Lake Ontario. Better correlations were noted between total and faecal coliform population levels and total phosphate P and ammonium N in Twenty Mile Creek. Other correlations were observed for other sample stations, however, these results also appeared to be random in nature. Salmonella isolations occurred more frequently during the winter and spring months when water temperatures were minimal at all sample stations except the sewage inflow. The frequency of Salmonella isolations appeared to be related to increased levels of total and faecal coli forms in the sewage effluent. However, no clear relationships were established in the other sample stations. Due to the presence of Salmonella and high levels of total and faecal coliform indicator organisms, the sanitary quality of Lake Ontario and Twelve Mile Creek at the sample sites seemed to be impaired over the major portion of the study period.
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Les marais filtrants artificiels sont des écosystèmes recréés par l’homme dans le but d’optimiser l’épuration des eaux usées. Lors de la sélection d’espèces végétales pour la mise en place de ces marais filtrants, l’utilisation d’une polyculture ainsi que d’espèces indigènes non invasives est de plus en plus recommandée. Néanmoins, la plupart des marais filtrants existants sont des monocultures utilisant des plantes envahissantes, probablement à cause du manque d’évidences scientifiques sur les avantages de la diversité végétale et de la performance des espèces locales. Ainsi, les questions de recherche autour desquelles s’oriente ma thèse sont: Les polycultures présentent-elles un potentiel épuratoire aussi ou plus grand que les monocultures, et une espèce indigène est-elle aussi efficace et performante qu’une espèce exotique envahissante dans des marais filtrants ? Trois expériences ont été conduites afin de répondre à ces questions. J’ai d’abord testé l’influence de la richesse végétale sur l’élimination des polluants en deux dispositifs expérimentaux: 1) comparant deux espèces de plantes émergentes en monoculture ou combinées séquentiellement, et 2) évaluant la performance de quatre espèces flottantes plantées en monoculture par rapport à des associations de deux (avec toutes les combinaisons possibles) et de quatre espèces. Une troisième expérience a été réalisée afin de comparer l’efficacité épuratoire de l’haplotype européen envahissant du roseau commun (Phragmites australis) et de la sous-espèce locale non-invasive (P. australis subsp. americanus). La composition en espèces végétales a produit un effet notable sur la performance des marais filtrants. La comparaison des performances en mono- et en polyculture n’a pas permis de démontrer clairement les avantages de la diversité végétale pour l’élimination des polluants dans les marais filtrants. Toutefois, les marais filtrants plantés avec une combinaison d’espèces étaient aussi efficaces que les monocultures des espèces les plus performantes. La comparaison entre les deux sous-espèces de P. australis indiquent que la sous-espèce indigène pourrait remplacer le roseau exotique envahissant, évitant ainsi les potentiels risques environnementaux sans toutefois compromettre l’efficacité du traitement. Les résultats prometteurs de la sous-espèce indigène de P. australis doivent encore être testés dans des expériences à grande échelle avant d’utiliser largement cette espèce dans les marais filtrants. Nos résultats suggèrent que, dans des conditions où la performance des macrophytes disponibles est inconnue ou ne peut être déterminée, l’utilisation d’une combinaison d’espèces présente les meilleures chances d’accomplir le plus haut niveau possible d’élimination de polluants. De plus, même si la diversité végétale ne présente pas un avantage mesurable en termes d’efficacité épuratoire, celle-ci améliore la résilience des marais filtrants et leur résistance aux stress et aux maladies.
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La phytoremédiation constitue une technologie alternative pour le traitement de sols contaminés en métaux. Toutefois, la biodisponibilité des métaux dans le sol peut limiter l’efficacité de cette approche. Nous émettons l’hypothèse que diverses espèces de plante, caractérisées par systèmes racinaires différents, peuvent affecter différemment la biodisponibilité des éléments traces (ET) dans le sol. Une étude utilisant un dispositif expérimental en bloc aléatoire complet avec cinq réplicats a été conduite entre le 6 juin et le 3 septembre 2014, sur le site du Jardin botanique de Montréal. Dans ce contexte, l’impact de la présence de huit espèces de plantes, herbacées ou ligneuses, sur le pool labile de six métaux (Ag, Cu, Pd, Zn, Ni et Se) dans la rhizosphère de celles-ci a été étudié. Après trois mois de culture, la biomasse aérienne et souterraine de chaque espèce a été mesurée et la concentration en ET dans les tissus des plantes a été analysée. La fraction labile de ces ET dans la rhizosphère (potentiellement celle qui serait biodisponible) de même que d’autres paramètres édaphiques (le pH, la conductivité, le pourcentage de matière organique et le carbone organique dissous (COD)) ont aussi été mesurés et comparés en fonction de la présence d’une ou l’autre des espèces utilisées. Les résultats montrent que pour la plupart des plantes testées, les plus fortes concentrations en ET ont été trouvées dans les racines alors que les plus faibles niveaux s’observaient dans les parties aériennes, sauf pour le Ni dans le Salix nigra. Ceci suggère que le Ni peut être extrait du sol par des récoltes régulières des tiges et des feuilles de cette espèce de saule. Les pools labiles de l’Ag, Ni et du Cu dans la rhizosphère étaient significativement et différemment affectés par la présence des plantes. Toutefois, la présence des plantes testées n’a pas affecté certains paramètres clés de la rhizosphère (ex. le pH, conductivité, et le pourcentage de matière organique). À l’opposé, les niveaux de COD dans la rhizosphère de toutes les plantes testées se sont révélés supérieurs en comparaison des témoins (sols non plantés). De plus, une corrélation positive a pu être établie entre la concentration disponible du Ni et la concentration en COD. Une relation similaire a été déterminée pour le Cu. Ceci suggère que certains systèmes racinaires pourraient modifier les niveaux de COD et avoir un impact indirect sur les pools labiles des ET dans le sol.
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Mammalian reoviruses exhibit a large host range and infected cells are generally killed; however, most studies examined only a few cell types and host species, and are probably not representative of all possible interactions between virus and host cell. Many questions thus remain concerning the nature of cellular factors that affect viral replication and cell death. In the present work, it was observed that replication of the classical mammalian reovirus serotype 3 Dearing in a bat epithelial cell line, Tb1.Lu, does not result in cell lysis and is rapidly reduced to very low levels. Prior uncoating of virions by chymotrypsin treatment, to generate infectious subviral particles, increased the initial level of infection but without any significant effect on further viral replication or cell survival. Infected cells remain resistant to virus reinfection and secrete an antiviral factor, most likely interferon, that is protective against the unrelated encephalomyocarditis virus. Although, the transformed status of a cell is believed to promote reovirus replication and viral “oncolysis”, resistant Tb1.Lu cells exhibit a classical phenotype of transformed cells by forming colonies in semisolid soft agar medium. Further transduction of Tb.Lu cells with a constitutively-active Ras oncogene does not seem cell growth or reovirus effect on these cells. Infected Tb1.Lu cells can produce low-level of infectious virus for a long time without any apparent effect, although these cells are resistant to reinfection. The results suggest that Tb1.Lu cells can mount an unusual antiviral response. Specific properties of bat cells may thus be in part responsible for the ability of the animals to act as reservoirs for viruses in general and for novel reoviruses in particular. Their peculiar resistance to cell lysis also makes Tb1.Lu cells an attractive model to study the cellular and viral factors that determine the ability of reovirus to replicate and destroy infected cells.
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Chez les plantes à fleurs, l’ovaire est l’organe reproducteur femelle et il interagit de façon importante avec les gamètes mâles durant la croissance, le guidage, la réception et la rupture du tube pollinique ainsi que la fusion des gamètes. Le processus débute lorsque de nombreux gènes de l’ovule sont activés à longue distance lors de la réception du pollen sur le stigmate. Afin d’explorer les signaux provenant de l’ovule ayant un impact important sur les interactions pollen–pistil, particulièrement les molécules sécrétées impliquées dans la signalisation espècespécifique, l’expression génique des ovules sous forme d’ARNm ainsi et la sécrétion protéique ont été étudiées chez Solanum chacoense, une espèce diploïde de pomme de terre sauvage. S. chacoense a subi beaucoup d’hybridation interspécifique avec d’autres espèces sympathiques de solanacées, facilitant ainsi grandement l’étude des interactions pollen–ovule de façon espècespécifique ainsi que leur évolution. Dans ce projet, des ovules provenant de trois conditions différentes ont été comparés: des ovules matures de type sauvage, des ovules légèrement immatures, récoltés deux jours avant l’anthèse et des ovules provenant du mutant frk1 pour lesquels le sac embryonnaire est absent. Un séquençage d’ARN à haut débit a d’abord été effectué sur les ovules de type sauvage de S. chacoense afin de générer un assemblage de référence comprenant 33852 séquences codantes. D’autres séquençages ont été effectués sur les trois conditions d’ovules et sur les feuilles afin de faire une analyse d’expression différentielle des gènes. En comparaison avec les ovules de type sauvage, 818 gènes sont réprimés dans les ovules du mutant frk1. Un sous-groupe de 284 gènes, étaient également sous-exprimés dans les ovules légèrement immatures, suggérant un rôle spécifique dans les stades tardifs de la maturation du sac embryonnaire (stade de développent FG6 à FG7) ainsi que du guidage du tube pollinique, puisque ni les ovules du mutant frk1 ni ceux légèrement immatures ne sont capables d’attirer les tubes polliniques lors d’essais de croissance semi in vivo. De plus, 21% de ces gènes sont des peptides riches en cystéines (CRPs). En utilisant un transcriptome assemblé de novo provenant de deux proches parents de S. chacoense, S. gandarillasii et S. tarijense, une analyse d’orthologie a été effectuée sur ces CRPs, révélant une grande variabilité et une évolution rapide chez les solanacées. De nouveaux motifs de cystéine uniques à cette famille ont également été découverts. En comparant avec des études similaires chez Arabidopsis, le sac embryonnaire de S. chacoense montre un transcriptome fortement divergent, particulièrement en en ce qui a trait à la catégorisation fonctionnelle des gènes et de la similarité entre les gènes orthologues. De plus,même si la glycosylation n’est pas requise lors du guidage mycropylaire du tube pollinique chez Arabidopsis, Torenia ou le maïs, des extraits d’ovules glycosylés de S. chacoense sont capables d’augmenter la capacité de guidage de 18%. Cette étude est donc la première à montrer une corrélation entre glycosylation et le guidage du tube pollinique par l’ovule. En complément à l’approche transcriptomique, une approche protéomique portant sur les protéine sécrétées par l’ovule (le secrétome) a été utilisée afin d’identifier des protéines impliquées dans l’interaction entre ovule et tube pollinique. Des exsudats d’ovules matures (capables d’attirer le tube pollinique) et d’ovules immatures (incapables d’attirer le tube pollinique) ont été récoltés en utilisant une nouvelle méthode d’extraction par gravité permettant de réduire efficacement les contaminants cytosoliques à moins de 1% de l’échantillon. Un total de 305 protéines sécrétées par les ovules (OSPs) ont été identifiées par spectrométrie de masse, parmi lesquelles 58% étaient spécifiques aux ovules lorsque comparées avec des données de protéines sécrétées par des tissus végétatifs. De plus, la sécrétion de 128 OSPs est augmentée dans les ovules matures par rapport aux ovules immatures. Ces 128 protéines sont donc considérées en tant que candidates potentiellement impliquées dans la maturation tardive de l’ovule et dans le guidage du tube pollinique. Cette étude a également montré que la maturation du sac embryonnaire du stade FG6 au stade FG7 influence le niveau de sécrétion de 44% du sécrétome total de l’ovule. De façon surprenante, la grande majorité (83%) de ces protéines n’est pas régulée au niveau de l’ARN, soulignant ainsi l’importance de cette approche dans l’étude du guidage du tube pollinique comme complément essentiel aux études transcriptomiques. Parmi tous les signaux sécrétés par l’ovule et reliés au guidage, obtenus à partir des approches transcriptomiques et protéomiques décrites ci-haut, nous avons spécifiquement évalué l’implication des CRPs dans le guidage du tube pollinique par l’ovule chez S. chacoense, vu l’implication de ce type de protéine dans les interactions pollen-pistil et le guidage du tube pollinique chez d’autres espèces. Au total, 28 CRPs étaient présentes dans les ovules capables d’attirer le tube pollinique tout en étant absentes dans les ovules incapables de l’attirer, et ce, soit au niveau de l’ARNm et/ou au niveau du sécrétome. De celles-ci, 17 CRPs ont été exprimées dans un système bactérien et purifiées en quantité suffisante pour tester le guidage. Alors que des exsudats d’ovules ont été utilisés avec succès pour attirer par chimiotactisme le tube pollinique, les candidats exprimés dans les bactéries n’ont quant à eux pas été capables d’attirer les tubes polliniques. Comme l’utilisation de systèmes d’expression hétérologue eucaryote peut permettre un meilleur repliement et une plus grande activité des protéines, les candidats restants seront de nouveau exprimés, cette fois dans un système de levure ainsi que dans un système végétal pour produire les peptides sécrétés. Ceux-ci seront ensuite utilisés lors d’essais fonctionnels pour évaluer leur capacité à guider les tubes polliniques et ainsi isoler les attractants chimiques responsable du guidage du tube pollinique chez les solanacées comme S. chacoense.
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In India scientific commercial farming of Macrobrachium is yet to get a start, the major constraint being the lack of seed. Seed collection from the natural sources alone may not be sufficient, and in such cases seed production in hatcheries is inevitable. This necessitates knowledge of the reproductive biology of the species technology development for brood stock and larval rearing, and the optimum conditions required for larval development to undertake large scale seed production.The present study was taken up with the major objectives of developing a proper, simple and feasible technology for the larval rearing of Macrobrachium, with special emphasis on. mass larval rearing suitable for commercial level operations.
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In general Indian summer monsoon rainfall did not show any significant trend in all Indian summer monsoon rainfall series, however, it was reported that the ISMR is subjected to spatial trends. This paper made an attempt to bring out long term trends of different intensity classes of summer monsoon rainfall in different regions of Indian subcontinent. The long term trend of seasonal and monthly rainfall were also made using the India Meteorological Department gridded daily rainfall data with a spatial resolution of 1° × 1° latitude-longitude grid for the period from 1st January, 1901 to 31st December, 2003. The summer monsoon rainfall shows an increasing trend in southeast, northwest and northeast regions, whereas decreasing trend in the central and west coastal regions. In monthly scale, July rainfall shows decreasing trend over west coastal and central Indian regions and significant increasing trend over northeast region at 0.1% significant level. During the month August, decreasing trend is observed in the west coastal stations at 10% significant level. In most of the stations, mean daily rainfall shows an increasing trend for low and very high intense rainfall. For the moderate rainfall, the trend is different for different regions. In the central and southern regions the trend of moderate and moderately high classes show increasing trend. And for the high and very high intensity classes, the trend is decreasing significantly. In the northeastern regions, above 10 mm/day rainfall shows significantly increasing trend with 0.1% significant level.
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Home gardens are considered as vital units for enhancing food security particularly in developing nations of South Asia, such as Sri Lanka. Although the yam crop Dioscorea spp. constitute a popular but still minor component in Sri Lankan home gardens, they have the potential of producing large quantities of edible material with minimal inputs. However, their real value in South Asian home gardens is not yet reported. Hence, this study was carried out to get insights into home garden characteristics, gardener demography as well as current management practices within 300 Sri Lankan home garden systems that are located along a climatic gradient. By using interviews and field observations, gardeners, who cultivated in particular Dioscorea species, were studied within 10 of the 25 administrative districts distributed in the wet, intermediate and dry climatic zone of Sri Lanka. Furthermore, current management practices of yams cultivation were analyzed on local scale and compared afterwards with management recommendations published in the year 2006 by the Department of Agriculture. Dioscorea species were found in a majority of home gardens, especially in wet and intermediate zones of Sri Lanka. D. alata was the most prominent species and was managed at a subsistence level and not as per recommendations developed by the Department of Agriculture. Our results revealed that Dioscorea alata is an essential component of Sri Lankan home gardens in rural areas and can yield substantial quantities of edible tubers with low input, especially during times of food scarcities, and has therefore the potential to enhance food security and rural development.
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We contribute a quantitative and systematic model to capture etch non-uniformity in deep reactive ion etch of microelectromechanical systems (MEMS) devices. Deep reactive ion etch is commonly used in MEMS fabrication where high-aspect ratio features are to be produced in silicon. It is typical for many supposedly identical devices, perhaps of diameter 10 mm, to be etched simultaneously into one silicon wafer of diameter 150 mm. Etch non-uniformity depends on uneven distributions of ion and neutral species at the wafer level, and on local consumption of those species at the device, or die, level. An ion–neutral synergism model is constructed from data obtained from etching several layouts of differing pattern opening densities. Such a model is used to predict wafer-level variation with an r.m.s. error below 3%. This model is combined with a die-level model, which we have reported previously, on a MEMS layout. The two-level model is shown to enable prediction of both within-die and wafer-scale etch rate variation for arbitrary wafer loadings.
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Se realizó un estudio genético – poblacional en dos grupos etarios de población colombiana con la finalidad de evaluar las diferencias genéticas relacionadas con el polimorfismo MTHFR 677CT en busca de eventos genéticos que soporten la persistencia de este polimorfismo en la especie humana debido que este ha sido asociado con múltiples enfermedades. De esta manera se genotipificaron los individuos, se analizaron los genotipos, frecuencias alélicas y se realizaron diferentes pruebas genéticas-poblacionales. Contrario a lo observado en poblaciones Colombianas revisadas se identificó la ausencia del Equilibrio Hardy-Weinberg en el grupo de los niños y estructuras poblacionales entre los adultos lo que sugiere diferentes historias demográficas y culturales entre estos dos grupos poblacionales al tiempo, lo que soporta la hipótesis de un evento de selección sobre el polimorfismo en nuestra población. De igual manera nuestros datos fueron analizados junto con estudios previos a nivel nacional y mundial lo cual sustenta que el posible evento selectivo es debido a que el aporte de ácido fólico se ha incrementado durante las últimas dos décadas como consecuencia de las campañas de fortificación de las harinas y suplementación a las embarazadas con ácido fólico, por lo tanto aquí se propone un modelo de selección que se ajusta a los datos encontrados en este trabajo se establece una relación entre los patrones nutricionales de la especie humana a través de la historia que explica las diferencias en frecuencias de este polimorfismo a nivel espacial y temporal.
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Aquesta tesi es basa en el programa de reintroducció de la llúdriga eurasiàtica (Lutra lutra) a les conques dels rius Muga i Fluvià (Catalunya) durant la segona meitat dels 1990s. Els objectius de la tesi foren demostrar la viabilitat de la reintroducció, demostrar l'èxit de la mateixa, estudiar aspectes ecològics i etològics de l'espècie, aprofitant l'oportunitat única de gaudir d'una població "de disseny" i determinar les probabilitats de supervivència de la població a llarg termini. La reintroducció de la llúdriga a les conques dels rius Muga i Fluvià va reeixir, doncs l'àrea geogràfica ocupada efectivament es va incrementar fins a un 64% d'estacions positives a l'hivern 2001-02. La troballa de tres exemplars adults nascuts a l'àrea de reintroducció és una altra prova que valida l'èxit del programa. La densitat d'exemplars calculada a través dels censos visuals ha resultat baixa (0.04-0.11 llúdrigues/km), però s'aproxima al que hom pot esperar en els primers estadis d'una població reintroduïda, encara poc nombrosa però distribuïda en una gran àrea. La mortalitat post-alliberament va ser del 22% un any després de l'alliberament, similar o inferior a la d'altres programes de reintroducció de llúdrigues reeixits. La mortalitat va ser deguda principalment a atropellaments (56%). El patró d'activitat de les llúdrigues reintroduïdes va esdevenir principalment nocturn i crepuscular, amb una escassa activitat diürna. Les seves àrees vitals van ser del mateix ordre (34,2 km) que les calculades en d'altres estudis realitzats a Europa. La longitud mitjana de riu recorreguda per una llúdriga durant 24 hores va ser de 4,2 km per les femelles i 7,6 km pels mascles. Durant el període de radioseguiment dues femelles van criar i els seus moviments van poder ser estudiats amb deteniment. La resposta de la nova població de llúdrigues a les fluctuacions estacionals en la disponibilitat d'aigua, habitual a les regions mediterrànies, va consistir en la concentració en una àrea menor durant el període de sequera estival, a causa de l'increment de trams secs, inhabitables per la llúdriga per la manca d'aliment, fet que va provocar expansions i contraccions periòdiques en l'àrea de distribució. La persistència a llarg termini de la població reintroduïda va ser estudiada mitjançant una Anàlisi de Viabilitat Poblacional (PVA). El resultat va ser un baix risc d'extinció de la població en els propers 100 anys i la majoria dels escenaris simulats (65%) van assolir el criteri d'un mínim de 90% de probabilitat de supervivència. Del model poblacional construït es dedueix que un punt clau per assegurar la viabilitat de la població reintroduïda és la reducció de la mortalitat accidental. A l'àrea d'estudi, els atropellaments causen més del 50% de la mortalitat i aquesta pot ser reduïda mitjançant la construcció de passos de fauna, el tancament lateral d'alguns trams de carretera perillosos i el control de la velocitat en algunes vies. El projecte de reintroducció ha posat a punt un protocol per a la captura, maneig i alliberament de llúdrigues salvatges, que pot contenir informació útil per a programes similars. També ha suposat una oportunitat única d'estudiar una població dissenyada artificialment i poder comparar diversos mètodes per estimar la distribució i la densitat de poblacions de llúdrigues. Per últim, la reintroducció portada a terme a les conques dels rius Muga i Fluvià ha aconseguit crear una nova població de llúdrigues, que persisteix en el temps, que es reprodueix regularment i que es dispersa progressivament, fins i tot a noves conques fluvials.
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I examined lists of endangered species from northeastern and midwestern United States to assess the extent to which they were dominated by species considered rare due to their vulnerability to anthropogenic stressors or, instead, by species whose rarity might be explained otherwise. Northeastern states had longer species lists than midwestern states, and more species associated with locally rare prairie habitats. More species at the edge of their geographic range appeared on lists from the Northeast than the Midwest. About 70% of listed species overall have shown either no significant population trend, or increases, at the continental scale, but wetland and prairie species were frequently listed, consistent with the generally acknowledged, widespread loss of these habitats. Curiously, midwestern states tended to list fewer forest species, despite evidence that forest fragmentation there has had strongly deleterious effects on regional bird populations. Overall, species appear to be listed locally for a variety of reasons not necessarily related to their risk of extinction generally, potentially contributing to inefficient distributions of limited resources to deal effectively with species that legitimately require conservation attention. I advocate a continental perspective when listing species locally, and propose enhanced criteria for characterizing species as endangered at the local level.
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A study to monitor boreal songbird trends was initiated in 1998 in a relatively undisturbed and remote part of the boreal forest in the Northwest Territories, Canada. Eight years of point count data were collected over the 14 years of the study, 1998-2011. Trends were estimated for 50 bird species using generalized linear mixed-effects models, with random effects to account for temporal (repeat sampling within years) and spatial (stations within stands) autocorrelation and variability associated with multiple observers. We tested whether regional and national Breeding Bird Survey (BBS) trends could, on average, predict trends in our study area. Significant increases in our study area outnumbered decreases by 12 species to 6, an opposite pattern compared to Alberta (6 versus 15, respectively) and Canada (9 versus 20). Twenty-two species with relatively precise trend estimates (precision to detect > 30% decline in 10 years; observed SE ≤ 3.7%/year) showed nonsignificant trends, similar to Alberta (24) and Canada (20). Precision-weighted trends for a sample of 19 species with both reliable trends at our site and small portions of their range covered by BBS in Canada were, on average, more negative for Alberta (1.34% per year lower) and for Canada (1.15% per year lower) relative to Fort Liard, though 95% credible intervals still contained zero. We suggest that part of the differences could be attributable to local resource pulses (insect outbreak). However, we also suggest that the tendency for BBS route coverage to disproportionately sample more southerly, developed areas in the boreal forest could result in BBS trends that are not representative of range-wide trends for species whose range is centred farther north.
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This study investigates variability in the intensity of the wintertime Siberian high (SH) by defining a robust SH index (SHI) and correlating it with selected meteorological fields and teleconnection indices. A dramatic trend of -2.5 hPa decade(-1) has been found in the SHI between 1978 and 2001 with unprecedented (since 1871) low values of the SHI. The weakening of the SH has been confirmed by analyzing different historical gridded analyses and individual station observations of sea level pressure (SLP) and excluding possible effects from the conversion of surface pressure to SLP. SHI correlation maps with various meteorological fields show that SH impacts on circulation and temperature patterns extend far outside the SH source area extending from the Arctic to the tropical Pacific. Advection of warm air from eastern Europe has been identified as the main mechanism causing milder than normal conditions over the Kara and Laptev Seas in association with a strong SH. Despite the strong impacts of the variability in the SH on climatic variability across the Northern Hemisphere, correlations between the SHI and the main teleconnection indices of the Northern Hemisphere are weak. Regression analysis has shown that teleconnection indices are not able to reproduce the interannual variability and trends in the SH. The inclusion of regional surface temperature in the regression model provides closer agreement between the original and reconstructed SHI.
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1 Plant species differ in their capacity to influence soil organic matter, soil nutrient availability and the composition of soil microbial communities. Their influences on soil properties result in net positive or negative feedback effects, which influence plant performance and plant community composition. 2 For two grassland systems, one on a sandy soil in the Netherlands and one on a chalk soil in the United Kingdom, we investigated how individual plant species grown in monocultures changed abiotic and biotic soil conditions. Then, we determined feedback effects of these soils to plants of the same or different species. Feedback effects were analysed at the level of plant species and plant taxonomic groups (grasses vs. forbs). 3 In the sandy soils, plant species differed in their effects on soil chemical properties, in particular potassium levels, but PLFA (phospholipid fatty acid) signatures of the soil microbial community did not differ between plant species. The effects of soil chemical properties were even greater when grasses and forbs were compared, especially because potassium levels were lower in grass monocultures. 4 In the chalk soil, there were no effects of plant species on soil chemical properties, but PLFA profiles differed significantly between soils from different monocultures. PLFA profiles differed between species, rather than between grasses and forbs. 5 In the feedback experiment, all plant species in sandy soils grew less vigorously in soils conditioned by grasses than in soils conditioned by forbs. These effects correlated significantly with soil chemical properties. None of the seven plant species showed significant differences between performance in soil conditioned by the same vs. other plant species. 6 In the chalk soil, Sanguisorba minor and in particular Briza media performed best in soil collected from conspecifics, while Bromus erectus performed best in soil from heterospecifics. There was no distinctive pattern between soils collected from forb and grass monocultures, and plant performance could not be related to soil chemical properties or PLFA signatures. 7 Our study shows that mechanisms of plant-soil feedback can depend on plant species, plant taxonomic (or functional) groups and site-specific differences in abiotic and biotic soil properties. Understanding how plant species can influence their rhizosphere, and how other plant species respond to these changes, will greatly enhance our understanding of the functioning and stability of ecosystems.