863 resultados para Intermittent acute porphyria, Hereditary tyrosinemia type 1


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Purpose: To describe the prevalence and natural history of retinopathy in a cohort of children and young people with type 1 diabetes attending a tertiary hospital diabetes clinic. Methods: We analysed retinopathy screening data from 2008 to 2010 on all eligible children using the 'Twinkle' diabetes database and the regional retinal screening database. Results: A total of 88% (149/169) of eligible children were screened in 2008, median age 14 years, 52% male. The prevalence of retinopathy was 19.5% (30/149). All children had background retinopathy grade R1. There was significant difference in median (range) duration of diabetes, 7.7 years (0.6–13.7) vs 5 years (0.2–12.5) (P<0.001) and median (range) HbA1C, 9.1% (7.2–14) vs 8.6% (5.6–13.1) (P=0.02), between the groups with and without retinopathy. At 2- years follow-up, 12/30 (40%) had unchanged retinopathy grade R1, 10/30 (33.3%) showed resolution of changes (R0), 1/30 progressed to maculopathy, and 7/30 had no follow-up data. Median (range) HbA1C in 2008 and 2010 for the groups with stable vs resolved changes was similar, 9.1% (7.2–14.0) and 9.2% (7–14.0) vs 9.5% (7.8–14.0) and 9.2% (8.7–14.0). Of the 119 without retinopathy in 2008, 27 (22.5%) had developed retinopathy within 2 years, including 1 with pre-proliferative retinopathy and 1 with maculopathy. There was no significant difference in HbA1c between those who progressed to retinopathy (8.7% (7.113.1)) (8.7% (7.113.1)), and those who did not (8.6% (6.3–12.2)). Conclusions: Prevalence of background retinopathy in our cohort was comparable to the previously published reports, with higher HbA1c and longer duration of diabetes being significant risk factors. On short-term follow-up, Grade 1 retinopathy is likely to resolve in a third of patients and remain unchanged in just over a third.

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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.

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