956 resultados para Acute Myeloid-leukemia


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La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est le cancer pédiatrique le plus fréquent. Plusieurs réarrangements chromosomiques ont été associés à cette maladie, dont la translocation t(12;21), qui est observée dans 25% des cas de LAL de type pré-B. Cette translocation engendre l’expression de la protéine de fusion ETV6-AML1. Toutefois, celle-ci n’est pas suffisante pour initier seule une leucémie, ce qui suggère que des mutations additionnelles sont nécessaires à la transformation oncogénique. Or, on observe que l’allèle non-réarrangé d’ETV6 est perdu dans 75% des cas de t(12;21). Cette délétion entraîne l’inactivation complète du facteur de transcription ETV6 et l’abolition de sa fonction biologique. Puisqu’ETV6 semble jouer un rôle de suppresseur de tumeurs, nous croyons que son inactivation favoriserait le développement de la leucémie via la dérégulation de ses gènes cibles. Ce projet visait donc à identifier de nouvelles cibles transcriptionnelles d’ETV6, afin d’élucider son implication dans la leucémie. Une expérience de RNA-Seq a permis d’identifier plus de 200 gènes dont l’expression est corrélée avec celle d’ETV6 dans des cellules souches hématopoïétiques CD34+. Parmi ceux-ci, plusieurs gènes sont impliqués dans la réponse immunitaire et inflammatoire, la migration cellulaire, l’homéostasie ionique et la signalisation intracellulaire. Nous avons également mis en place une approche d’immunoprécipitation de la chromatine afin d’identifier les régions auxquelles le facteur de transcription ETV6 peut se lier. À l’aide de cette méthode, nous avons démontré une interaction entre ETV6 et SLCO2B1, un gène dont l’expression est également co-régulée avec ETV6. Finalement, notre étude suggère qu’ETV6 contribuerait à la leucémogenèse en dérégulant l’expression de certains gènes ayant des propriétés oncogéniques.

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La voie de signalisation Notch est conservée au cours de l'évolution. Elle joue un rôle clé dans le développement, et elle est impliquée dans de nombreuses décisions de destin cellulaire, dans le maintien des cellules souches, et dans le contrôle de la prolifération et de la différenciation cellulaires. Une dérégulation de la signalisation Notch est impliquée dans diverses maladies et cancers, y compris les tumeurs solides, comme les cancers du sein et du col de l'utérus, et les leucémies, comme la Leucémie Aiguë Lymphoblastique des cellules T (LAL-T). Notch est un récepteur transmembranaire activé par des ligands transmembranaires de la famille DSL (Delta/Serrate/Lag-2). Bien que plusieurs mutations oncogéniques ont été identifiées au niveau du récepteur Notch, de nombreux cancers modulés par Notch demeurent ligand-dépendants. Étonnamment, les mécanismes moléculaires régulant l'activation du ligand sont encore relativement peu caractérisés par rapport à ceux qui régissent le récepteur Notch lui-même. Utilisant un essai de co-culture avec un rapporteur luciférase de Notch, nous avons effectué le premier crible d'ARNi pan-génomique visant spécifiquement à identifier des régulateurs des ligands de Notch dans la cellule émettrice du signal. Nous avons ainsi pu découvrir de nouvelles classes de régulateurs communs pour les ligands Delta-like1 et 4. Ces régulateurs comprennent des inhibiteurs de protéases, des facteurs de transcription, et des gènes divers à fonction inconnue, tels que Tmem128 « Transmembrane protein 128 », ou à fonction préalablement caractérisée tels que la co-chaperonne moléculaire Cdc37 « Cell division cycle 37 homolog ». Par la suite, nous avons développé des cribles secondaires fonctionnels où nous avons démontré l'importance de ces régulateurs pour des événements Notch-dépendants, comme la différenciation des cellules T normales, et la survie des cellules souches pré-leucémiques isolées à partir d'un modèle murin de LAL-T. En outre, nous avons prouvé que les régulateurs les plus forts du crible de survie sont également nécessaires pour l'activité d'auto-renouvellement des cellules souches pré-leucémiques. Finalement, nous avons entamé une caractérisation moléculaire préliminaire de deux régulateurs nouvellement identifiés; Tmem128 et Cdc37 afin d'étudier leur mécanisme d'action sur les ligands. En conclusion, cette étude nous a permis d'identifier de nouveaux régulateurs de la voie Notch qui pourraient servir de cibles thérapeutiques potentielles dans les cancers; tel qu'illustré par le modèle LAL-T. La compréhension des détails moléculaires sous-jacents aux fonctions de ces régulateurs sera essentielle afin de développer des inhibiteurs pharmacologiques pour bloquer leur action et entraver la signalisation Notch dans le cancer.

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L’initiation de la leucémogénèse dans la leucémie aigue lymphoblastique (LAL)-T résulte de l’activation aberrante de facteurs de transcription de la lignée lymphocytaire T. Nous démontrons que les gènes de fusion NUP98-PHF23 (NP23) et NUP98-HOXD13 (NHD13) reprogramment les thymocytes normaux en cellules souches pré-leucémiques (CS-préL) possédant un potentiel aberrant d’auto-renouvellement. Basé sur des essais de clonalité performés sur des thymocytes transplantés en série, nous avons découvert que cette population est hiérarchisée similairement aux cellules souches hématopoïétiques normales. Ces CS-préL dévoilent un enrichissement du compartiment de précurseurs thymiques immatures KIT+ où les deux oncogènes, NP23 et NHD13, activent des gènes impliqués dans l’autorenouvellement, incluant Hoxa9, Hoxa10, Lyl1 et Hhex. De plus, l’activité d’autorenouvellement est abrogée par les ARN interférents contre Lyl1 et Hhex, indiquant leur implication fonctionnelle en aval de NP23 et NHD13. Puisque ces gènes sont aussi activés en aval de trois autres oncogènes dans la LAL-T, SCL/TAL1, LMO1 et LMO2, nous concluons que les niveaux d’activation de Lyl1 et Hhex fixent le seuil de reprogrammation des thymocytes normaux en CS-préL. Malgré l'efficacité des traitements de chimiothérapie actuels à diminuer la masse tumorale, les CS-préL sont épargnées, pouvant mener à des rechutes. Nos résultats répondent à ce besoin et proposent de nouvelles avenues permettant de cibler les CS-préL du compartiment de thymocytes immatures dans la LAL-T.

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Introducción: La neutropenia febril es una condición frecuente en los pacien¬tes pediátricos con cáncer y una de las mayores causas de morbimortalidad. Es necesario conocer la frecuencia su comportamiento. Objetivo: Caracterizar los eventos de neutropenia febril en niños con cáncer en la clínica Infantil Colsubsidio, Bogotá desde Enero de 2014 hasta Diciembre de 2014. Materiales y Métodos: Estudio transversal en niños de 1 mes a 18 años con cáncer y neutropenia febril atendidos de Enero 2014 a Diciembre 2014. Resultados: Se presentaron 74 eventos de un total de 41 pacientes con un máximo de 3 eventos por paciente, 20 mujeres y 21 hombres con una edad promedio de 8 años. 61% de los pacientes tenían diagnostico de Leucemia Linfoide Aguda .Se clasificaron como Fiebre sin causa clara con 43 eventos (58.11%), colitis neutropenica con 10 eventos (13.51%) y neumonía que registro 7 eventos (9%). El 70% de los pacientes presentaron al ingreso menos de 100 neutrofilos y una PCR con un promedio de 97.4. En un 6,76% de los pacientes se diagnostico bacteriemia. Los Hemocultivos fueron positivos en 5 pacientes (7 %), siendo el S epidermidis y el S mitis los gérmenes más frecuentes La mortalidad fue nula. Conclusiones: Esta estudio permitió conocer el comportamiento de la neutropenia febril en nuestra institución conociendo los organismos principalmente aislados, el perfil de resistencia y la respuesta al manejo antibiótico. Es importante determinar estudios prospectivos y analíticos con el fin de establecer factores de riesgo asociados a complicaciones y mortalidad.

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The mapping of genes which affect individual cancer risk is an important but complex challenge. A surrogate assay of susceptibility to radiation-induced acute myeloid leukaemia (AML) in the mouse based on chromosomal radiosensitivity has been developed and validated. This assay was applied to the mapping of radiation-induced AML risk modifier loci by association with microsatellite markers. A region on chromosome (chr) 18 with strong association is identified and confirmed by backcross analysis. Additional loci on chrs 8 and 13 show significant association. A key candidate gene Rbbp8 on chr18 is identified. Rbbp8 is shown to be upregulated in response to X-irradiation in the AML sensitive CBA strain but not AML resistant C57BL/6 strain. This study demonstrates the strength of utilizing surrogate endpoints of cancer susceptibility in the mapping of mouse loci and identifies additional loci that may affect radiation cancer risk.

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Tumor necrosis factor-related apoptosis-inducing ligand-TNFSF10 (TRAIL), a member of the TNF-alpha family and a death receptor ligand, was shown to selectively kill tumor cells. Not surprisingly, TRAIL is downregulated in a variety of tumor cells, including BCR-ABL-positive leukemia. Although we know much about the molecular basis of TRAIL-mediated cell killing, the mechanism responsible for TRAIL inhibition in tumors remains elusive because (a) TRAIL can be regulated by retinoic acid (RA); (b) the tumor antigen preferentially expressed antigen of melanoma (PRAME) was shown to inhibit transcription of RA receptor target genes through the polycomb protein, enhancer of zeste homolog 2 (EZH2); and (c) we have found that TRAIL is inversely correlated with BCR-ABL in chronic myeloid leukemia (CML) patients. Thus, we decided to investigate the association of PRAME, EZH2 and TRAIL in BCR-ABL-positive leukemia. Here, we demonstrate that PRAME, but not EZH2, is upregulated in BCR-ABL cells and is associated with the progression of disease in CML patients. There is a positive correlation between PRAME and BCR-ABL and an inverse correlation between PRAME and TRAIL in these patients. Importantly, knocking down PRAME or EZH2 by RNA interference in a BCR-ABL-positive cell line restores TRAIL expression. Moreover, there is an enrichment of EZH2 binding on the promoter region of TRAIL in a CML cell line. This binding is lost after PRAME knockdown. Finally, knocking down PRAME or EZH2, and consequently induction of TRAIL expression, enhances Imatinib sensibility. Taken together, our data reveal a novel regulatory mechanism responsible for lowering TRAIL expression and provide the basis of alternative targets for combined therapeutic strategies for CML. Oncogene (2011) 30, 223-233; doi:10.1038/onc.2010.409; published online 13 September 2010

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Balanoposthitis is defined as the inflammation of the glans penis and its foreskin. In the presence of other underlying medical conditions, this localized infection may spread systemically, serving as a source of fever and bacteremia in neutropenic males. Two rare cases of balanoposthitis caused by a clonally related Pseudomonas aeruginosa isolate co-producing the SPM-1 metallo-beta-lactamase and the novel 16S rRNA methylase RmtD are described. Four multidrug-resistant (MDR) P. aeruginosa isolates were successively recovered from glans/foreskin swabs and urine cultures from two uncircumcised pediatric patients, one with Burkitt`s non-Hodgkin`s lymphoma and one with acute lymphoblastic leukemia. Clinically, preputial colonization by MDR P. aeruginosa evolved to severe balanoposthitis with glans/foreskin lesions as a source of fever. Combination therapy of ciprofloxacin and/or aztreonam (systemic) plus polymyxin B (topical) was effective once reversion of the neutropenic condition was achieved. Although P. aeruginosa remains an unusual cause of balanoposthitis, these cases should alert the physician to the potential pathogenicity of this bacterium. Furthermore, co-production of metallo-beta-lactamase and 16S rRNA methylase has a potential impact on the empirical management of complicated infections caused by P. aeruginosa. Crown Copyright (C) 2009 Published by Elsevier Ltd on behalf of International Society for Infectious Diseases. All rights reserved.

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Introdução e Objetivos: O sistema nervoso central (SNC) é o um sítio freqüente de recaída na criança com leucemia linfocítica aguda (LLA). Existe evidência de que a punção lombar traumática (PLT) pode representar um risco adicional de recaída no SNC quando ocorre inoculação de blastos no liqüido céfalorraquidiano (LCR). Este estudo tem por objetivo determinar se a ocorrência da PLT ao diagnóstico afeta o prognóstico de pacientes com essa patologia. Material e Métodos: Setenta e sete pacientes com diagnóstico de LLA, tratados entre 1992 a 2002, foram incluídos na análise. Quimioterapia intratecal (QIT) foi instilada imediatamente após a PL inicial (precoce), ou na segunda PL (tardia), realizada no período de 24 a 48 horas após a realização da PL inicial. Foi feita análise da influência da PLT e do momento (precoce x tardia) de administração da QIT em relação a recaída no SNC. Resultados: Entre os 19 pacientes que apresentaram PLT ao diagnóstico e receberam QIT tardia, seis tiveram recaída isolada no SNC e dois recaída combinada em SNC e medula óssea (MO). Entre os nove pacientes que tiveram PLT e receberam QIT precoce, somente um apresentou recaída combinada em SNC e MO (P=0,20); não houve, portanto, influência estatisticamente significativa da PLT na sobrevida livre de eventos (SLE) (55% para QIT precoce x 49% para QIT tardia) (P=0,37). Entretanto, em análise estratificada, de acordo com grupos de risco, observamos que para pacientes de baixo ou médio risco o OR foi de 0,8 quando recebiam QIT tardia (P=0,99) e 0,17 quando recebiam QIT precoce (P=0,47). Por outro lado, entre pacientes de alto risco o OR para recaída foi de 21,0 para aqueles que recebiam QIT tardia (P=0,09) e 1,5 para o grupo que recebia Q IT precoce (P=0,99). Conclusão: Os resultados do presente estudo são sugestivos de que a ocorrência da PLT tem uma influência adversa no prognóstico de pacientes com LLA de alto risco de recaída. Como estes resultados são decorrentes de um estudo retrospectivo, recomenda-se que sejam confirmados em estudos prospectivos randomizados.

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Objetivo: o objetivo deste estudo foi avaliar as condições de saúde bucal e a ocorrência de anomalias dentárias em crianças tratadas para leucemia linfoblástica aguda (LLA) no Serviço de Oncologia Pediátrica (SOP) do Hospital de Clínicas de Porto Alegre (HCPA), comparadas com um grupo crianças saudáveis. Amostra: foram selecionadas 56 crianças com diagnóstico de LLA e analisadas as presenças de anomalias dentárias e os índices CPO-D (cariado, perdido, obturado-dente), IPV (índice de placa visível), ISG (índice de sangramento gengival) e fluxo salivar. As crianças tratadas apresentaram uma média de idade, na época do diagnóstico da LLA, de 5,3 ± 2,6, e 11,8 ± 4,2 na avaliação, sendo 32 masculinos e 24 femininos. Os pacientes tratados para LLA foram divididos em três grupos: crianças tratadas somente com quimioterapia, com quimio e radioterapia, e com quimio, radio e transplante de medula óssea. Resultados: os resultados revelaram 80,4% de anomalias dentárias nas crianças tratadas, ou seja, 45 destas apresentaram pelo menos uma alteração, e o grupo de pacientes tratados com quimio, radio e submetidos ao transplante de medula óssea foi o que revelou a maior média de anormalidades dentárias por indivíduo (15,37 ± 15,03), não ocorrendo diferença estatística entre os gêneros. As crianças tratadas para LLA obtiveram CPO-D de 1,9 ± 4,0, ISG de 26,5%, IPV de 72,0%, e índice de fluxo salivar médio de 0,19 mL/min criança. Já o grupo de crianças sadias apresentou CPO-D de 1,52 ± 3,5, ISG de 11,1%, IPV de 53,8% e índice de fluxo salivar médio de 0,27 mL/min. Conclusão: o tratamento para a cura da LLA provoca um aumento significativo no número de anomalias dentárias, sendo mais freqüente nos pacientes menores de cinco anos de idade, principalmente nos pacientes submetidos a quimio e radioterapia associadas ao transplante de medula óssea, o que requer, por parte do cirurgião-dentista, intervenções clínicas diferenciadas e cuidadosas nestes pacientes, tendo-se em vista também os índices aumentados de ISG e IPV. As alterações sofridas pelas glândulas salivares durante o tratamento não são permanentes sob o aspecto do fluxo salivar, que retorna à normalidade. A orientação e o acompanhamento adequados destes pacientes por parte da equipe de saúde bucal podem mantê-los com o índice de CPO-D dentro dos padrões preconizados pela Organização Mundial de Saúde.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior

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Leukemia is a heterogeneous group of hematologic malignancies that result from partial or total transformation of the blast cells. The Acute Lymphoblastic Leukemia (ALL) is the most common malignancy in childhood, especially in male, Caucasian children younger than 14 years. Several criteria are adopted to classify ALL, including the cell morphology, cytochemistry, immunophenotyping and cytogenetic analysis. Cytogenetic studies allow a more detailed analysis to detect chromosomal abnormalities of leukemic cells. These modifications will determine the diagnosis, classification, stage characterization, remission assessment and prognosis. In this study were evaluated 30 patients, aged from four months to seventeen years, of both sexes and various ethnicities. The age distribution showed that 67% of patients had between one and ten years (with mean age of XX years old), the most prevalent ethnic was Caucasian (50%) and 57% were males. According to immunophenotype, 93% of patients had B-cells progenitor ALL and 7% early lineage T. Considering the total studied population, the most frequent medical findings were lymphadenopathy (37%), hepatomegaly (77%) and splenomegaly (70%), where one patient could present more than one of these medical findings. Regarding the CBC, the majority of patients had hemoglobin below 10 g / dl (73%), leukocyte count less than 10.000/μL (60%) and platelet count below 150.000/μL (83%). Chromosomal abnormalities were observed in 64% of all patients, where hyperdiploidy was the most common numerical change (67%), followed by hypodiploid (33%). All these data are in agreement with the literature. Moreover, complexes structural and/or number changes not yet described in literature were observed, which indicated poor prognosis. Finally, we concluded that this study demonstrated the importance of cytogenetic study in the diagnosis and identification of prognostic factors in pediatric patients with ALL in Rio Grande do Norte. The results obtained in this study are extremely useful and emphasizes that surveys of this nature must be conducted more frequently in our state

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The determination of leukocyte alkaline phosphatasd (LAP) is used as an aid to diagnose many diseases in the laboratory. For example, it can be used to distinguish chronic myeloid leukemia (CML) from other myeloproliferative disorders (particularly myelofibrosis and polycythemia) and leukemoid reactions (LR). Traditionally, this test is performed with the use of subjective cytochemical assays that assign a score to the level of LAP. Here we present a nonsubjective, quantitative, sensitive, and inexpensive chemiluminescent technique that determines LAP based on the commercial reagent Immulite (R) (AMPPD). To validate this methodology, intact leukocytes obtained from 32 healthy subjects, nine CML patients, and nine LR patients were submitted to the optimized protocol. By measuring the light emission elicited by four concentrations of neutrophils, we were able to estimate the activity of LAP per cell (the slope of the curve obtained by linear regression). A high linear correlation was found between the chemiluminescent result (slope) and the cytochemical score. The slope for healthy individuals ranged between 0.61 and 8.49 (10(-5) mV.s/cell), with a median of 2.04 (10(-5) mV.s/cell). These results were statistically different from those of CML patients (range = 0.07-1.75, median = 0.79) and LR patients (range = 3.84-47.24, median 9.58; P < 0.05).

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The present study investigated the impact of the treatment modalities of Acute Lymphoblastic Leukemia on neurocognitive abilities of children and adolescents survivors, aged between 6 and 16 years of age, accompanied in pediatric oncology sectors of public health services in the cities of Campina Grande-PB and Natal-RN. The study included 52 children, 13 of these being children and adolescents diagnosed with leukemia and 39 healthy children matched in relation to the study group considering gender, age, school type and level of maternal education. Later the group of children with leukemia was subdivided into two subgroups depending on treatment modality which were submitted: Group 1A (only chemotherapy) and 1B (chemotherapy and radiotherapy). All participants were subjected to a battery of neuropsychological tests that investigated the following neurocognitive abilities: intellectual ability, memory system, attention, visuospatiality and visuoconstruction, processing speed and executive functions. Data were analyzed using descriptive and inferential measurements with the aid of the U test of Mann-Whitney and T test, considering the influence of the variables: sex, age at diagnosis, time since completion of treatment and level of schooling mothers, on the performance of children. Overall, it is concluded that the illness and the treatment of acute lymphoblastic leukemia significantly favors the emergence of cognitive deficits, particularly in terms of visuospatial skills, and executive skills visoconstrutivas. In turn, the treatment modality of radiotherapy is associated with the presence of more severe deficits, highlighting the significant impact on the speed of information processing. It is hoped that the results presented here will contribute to a better understanding of the nature and extent of neurocognitive effects arising ALL treatment

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Natural killer cells constitute a population of lymphocytes able to non-specifically destroy virus-infected and some kinds of tumor cells. Since this lytic activity was shown by non-immunized animals the phenomenon is denominated natural killer (NK) activity and contrasts with specific cytotoxicity performed by cytolytic T lymphocytes (CTLs) because it does not depends on MHC-restricted peptides recognition. In fact, the main feature of most functional receptors of NK cells (NKRs) is their ability to be inhibited by different kinds of class I MHC antigens. In the middle of the 1950's, Burnet & Thomas forged the concept of tumor immunosurveillance and NK cells can be considered one of the main figures in this phenomenon both for effector and regulatory functions. In the present review the early studies on the biology of NK cells were revisited and both their antitumor activity and dependence on the activation by cytokines are discussed.