49 resultados para subtitling


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For those who are not new to the world of Japanese animation, known mainly as anime, the debate of "dub vs. sub" is by no means anything out of the ordinary, but rather a very heated argument amongst fans. The study will focus on the differences in the US English version between the two approaches of translating audio-visual media, namely subtitling (official subtitles and fanmade subtitles) and dubbing, in a qualitative context. More precisely, which of the two approaches can store the most information from the same audiovisual segment, in order to satisfy the needs of the anime audience. In order to draw substantial conclusions, the analysis will be conducted on a corpus of 1 episode from the first season of the popular mid-nineties TV animated series, Sailor Moon. The main objective of this research is to analyze the three versions and compare the findings to what anime fans expect each of them to provide, in terms of how culture specific terms are handled, how accurate the translation is, localization, censorship, and omission. As for the fans’ opinions, the study will include a survey regarding the personal preference of fans when it comes to choosing between the official subtitled version, the fanmade subtitles and the dubbed version.

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De nos jours, les séries télévisées américaines représentent une part incontournable de la culture populaire, à tel point que plusieurs traductions audiovisuelles coexistent au sein de la francophonie. Outre le doublage qui permet leur diffusion à la télévision, elles peuvent être sous titrées jusqu’à trois fois soit, en ordre chronologique : par des fans sur Internet; au Québec, pour la vente sur DVD en Amérique du Nord; et en France, pour la vente sur DVD en Europe. Pourtant, bien que ces trois sous titrages répondent aux mêmes contraintes linguistiques (celles de la langue française) et techniques (diffusion au petit écran), ils diffèrent dans leur traitement des dialogues originaux. Nous établissons dans un premier temps les pratiques à l’œuvre auprès des professionnels et des amateurs. Par la suite, l’analyse des traductions ainsi que le recours à un corpus comparable de séries télévisées françaises et québécoises permettent d’établir les normes linguistiques (notamment eu égard à la variété) et culturelles appliquées par les différents traducteurs et, subsidiairement, de définir ce que cache l’appellation « Canadian French ». Cette thèse s’inscrit dans le cadre des études descriptives et sociologiques. Nous y décrivons la réalité professionnelle des traducteurs de l’audiovisuel et l’influence que les fansubbers exercent non seulement sur la pratique professionnelle, mais aussi sur de nouvelles méthodes de formation de la prochaine génération de traducteurs. Par ailleurs, en étudiant plusieurs traductions d’une même œuvre, nous démontrons que les variétés de français ne sauraient justifier, à elles seules, la multiplication de l’offre en sous titrage, vu le faible taux de différences purement linguistiques.

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The use of dialects in audiovisual texts is increasing, but the use of standard language in Finnish subtitles is still the prevalent norm and seldom flouted. This may not be in the best interest of the audience as the way the characters speak – their idiolects – is very important for the atmosphere of the audiovisual text and widely used to give the characters personalities and background. This thesis studies whether the viewing experience could be enhanced by taking the characters’ idiolects into account in subtitling. The study was executed as a survey, and the respondents were recruited from social media and an university of applied sciences. A total of 113 respondents were divided into two groups: the experimental group (n=59) and the control group (n=54). Both groups were shown an excerpt of the British situation comedy Peep Show, but with different subtitles. In the experimental subtitles, three characters were given a written idiolect with a level of colloquial language corresponding to the spoken idiolect of the character, while the control subtitles followed the norm of using standard language. The questionnaire contained background questions, a Likert-scale question and open questions. The quantitative responses were analysed statistically through cross tabulation and Mann–Whitney U test or Kruskal-Wallis test (CI=95%, α=0,05). The results showed a statistically significant difference in keeping track on which of the characters was speaking for the benefit of the experimental subtitles. In the other items no statistically significant difference was found between the groups. In the open questions the use of colloquial language was mostly commented favourably.

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De nos jours, les séries télévisées américaines représentent une part incontournable de la culture populaire, à tel point que plusieurs traductions audiovisuelles coexistent au sein de la francophonie. Outre le doublage qui permet leur diffusion à la télévision, elles peuvent être sous titrées jusqu’à trois fois soit, en ordre chronologique : par des fans sur Internet; au Québec, pour la vente sur DVD en Amérique du Nord; et en France, pour la vente sur DVD en Europe. Pourtant, bien que ces trois sous titrages répondent aux mêmes contraintes linguistiques (celles de la langue française) et techniques (diffusion au petit écran), ils diffèrent dans leur traitement des dialogues originaux. Nous établissons dans un premier temps les pratiques à l’œuvre auprès des professionnels et des amateurs. Par la suite, l’analyse des traductions ainsi que le recours à un corpus comparable de séries télévisées françaises et québécoises permettent d’établir les normes linguistiques (notamment eu égard à la variété) et culturelles appliquées par les différents traducteurs et, subsidiairement, de définir ce que cache l’appellation « Canadian French ». Cette thèse s’inscrit dans le cadre des études descriptives et sociologiques. Nous y décrivons la réalité professionnelle des traducteurs de l’audiovisuel et l’influence que les fansubbers exercent non seulement sur la pratique professionnelle, mais aussi sur de nouvelles méthodes de formation de la prochaine génération de traducteurs. Par ailleurs, en étudiant plusieurs traductions d’une même œuvre, nous démontrons que les variétés de français ne sauraient justifier, à elles seules, la multiplication de l’offre en sous titrage, vu le faible taux de différences purement linguistiques.