996 resultados para police, sociologie, profession, sécurité, pratiques, plaidoyer


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Résumé de la thèseCette thèse de doctorat propose une analyse sociologique de la profession de journaliste desport dans le contexte de la presse quotidienne généraliste suisse romande. A travers desentretiens, des observations ethnographiques et l'analyse d'un corpus d'articles de presse,elle appréhende la fabrication des informations sportives et met en exergue les effets desprocessus de production sur le contenu des textes journalistiques. Elle montre que les stylesprofessionnels des journalistes résultent d'une combinaison complexe de mécanismesimbriqués à un niveau structurel (les modalités de recrutement des journalistes, la divisiondu travail, les contraintes organisationnelles des rédactions, etc.) et à un niveauinteractionnel (au sein des rédactions et sur le terrain) où entrent en jeu des effets du goûtet des expériences biographiques propres à chacun. Néanmoins, les rubriques sportives serévèlent être des organisations genrées et cela conduit la majorité des hommes et desfemmes non seulement à avoir des profils de carrière différents, mais également à adopterdes pratiques journalistiques sexuées et à produire des textes distincts. C'est ce quiexplique que la récente féminisation du journalisme sportif, bastion masculin de la presseromande, semble avoir encouragé l'émergence d'un style journalistique nouveau.

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C'est à travers l'analyse d'une politique publique d'aide à l'emploi (le contrat emploi solidarité) que nous avons exploré les mécanismes d'insertion professionnelle d'hommes et de femmes privés d'emploi. La sur-représentation des femmes dans ce dispositif, comme dans ceux les plus éloignés de l'emploi, nous a amené à inscrire notre raisonnement dans une problématique de rapports sociaux de sexe. C'est-à-dire que nous faisons l'hypothèse que les pratiques des opérateurs de terrain s'appuyant sur les assignations de sexe, produisent un traitement différencié des politiques d'insertion entre les hommes et les femmes. Celui-ci se caractérise notamment par la non prise en compte des difficultés et des besoins spécifiques des femmes et par une absence de novation dans les formations qui leur sont proposées. Les logiques institutionnelles ainsi à l'oeuvre contribuent implicitement à un renforcement des inégalités entre les sexes et à une reproduction de la division sexuelle du travail déjà observée sur le marché de l'emploi

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Si dans certains domaines (ex. les services de l'emploi) la co-production est bien implantée, elle paraît plus ardue dans d'autres types de services publics, comme la police. La co-production de la sécurité est-elle faisable ? Quelles sont les volontés de part et d'autre pour développer ce partenariat ? À l'aune de la police de proximité en Suisse et sur la base de données quantitatives et qualitatives, cet article apporte des résultats innovants. If in some administrations (eg. employment services) it is clearly well established, the co-production seems to be more difficult in other services, like the police. Thus, is the co-production of security services feasible ? Are both parties (police forces and citizens) ready for such a process ? In the light of community policing in Switzerland and on the basis of quantitative and qualitative data, this article will provide innovative results and research avenues in the field.

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Ce travail a pour objectif d'étudier l'évolution du métier de médecin de premier recours à la lumière du réel de son activité. Afin de pallier les lacunes de la littérature, nous proposons d'investiguer les perceptions et les pratiques rapportées de médecins de premier recours, considérant leur activité comme située dans un contexte spécifique. Un cadre théorique multiréférencé, intégrant les apports de Bischoff (2012), de la théorie de l'activité (Engeström et al., 1999), de l'ergonomie (Daniellou, 1996 ; Falzon, 2004a; Leplat, 1997) et de certains courants de la psychologie du travail (Curie et al., 1990 ; Curie, 2000b ; Malrieu, 1989) permet de tenir compte de la complexité du travail des médecins de premier recours. Une méthodologie mixte, alliant une approche qualitative par entretiens semi-structurés (n=20) à une approche quantitative par questionnaire (n=553), a été développée. Les résultats de l'analyse thématique des entretiens mettent en évidence trois thèmes majeurs : l'Evolution du métier (Thème 1), caractérisé par les changements perçus, les demandes des populations qui consultent et les paradoxes et vécus des médecins ; les Ajustements et supports (Thème 2) mis en place par les médecins pour faire face aux changements et aux difficultés de leur métier ; les Perceptions et les attentes par rapport au métier (Thème 3), mettant en avant des écarts perçus entre la formation et la réalité du métier. La partie quantitative permet de répondre aux questionnements générés à partir des résultats qualitatifs et de généraliser certains d'entre eux. Suite à l'intégration des deux volets de l'étude, nous présentons une nouvelle modélisation du métier de médecin de premier recours, soulignant son aspect dynamique et évolutif. Cette modélisation rend possible l'analyse de l'activité réelle des médecins, en tenant compte des contraintes organisationnelles, des paradoxes inhérents au métier et du vécu des médecins de premier recours. L'analyse des limites de cette étude ouvre à de nouvelles perspectives de recherche. A l'issue de ce travail, nous proposons quelques usages pragmatiques, qui pourront être utiles aux médecins de premier recours et aux médecins en formation, non seulement dans la réalisation de leur activité, mais également pour le maintien de leur équilibre et leur épanouissement au sein du métier. - This study aims to investigate the evolution of primary care physicians' work, in the light of the reality of their activity. In order to overcome the limitations of the literature, we propose to focus on primary care physicians' reported perceptions and practices, considering their activity as situated in a specific context. The theoretical framework refers to Bischoff (2012), Activity theory (Engeström et al., 1999), ergonomy (Daniellou, 1996; Falzon, 2004a; Leplat, 1997) and work psychology (Curie et al., 1990 ; Curie, 2000b ; Malrieu, 1989) and enables to take into account the complexity of primary care physicians' work. This mixed methods study proposes semi-structured interviews (n=20) and a questionnaire (n=553). Thematic analysis of interviews points out three major themes : Evolution of work (Theme 1) is characterised by perceived changes, patients' expectations and paradoxes ; Adjustments and supports (Theme 2), that help to face changes and difficulties of work ; Perceptions related to work, including differences between work reality as represented during medical education/training and actual work reality. Quantitative part of the study enables to answer questions generated from qualitative results and to generalise some of them. Integration of qualitative and quantitative results leads to a new modelling of primary care physicians ' work, that is dynamic and evolutionary. This modelling is useful to analyse the primary care physicians' activity, including organisational constraints, paradoxes of work and how primary care physicians are experiencing them. Despite its limitations, this study offers new research perspectives. To conclude, we state pragmatic recommendations that could be helpful to primary care physicians in private practice and junior doctors, in order to realise their activity, to maintain their balance and to sustain their professional fulfilment.

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Les cambriolages constituent une délinquence de masse et représentent à cet égard un problème de sécurité prégnant. Les organismes policiers y répondent notamment en faisant intervenir leurs services de police scientifique sur les lieux de cambriolages, dont les missions principales sont de constater l'infraction, de récolter les traces afin d'identifier les auteurs et de les dénoncer à la justice, ainsi que de contribuer au renseignement criminel. Ces objectifs traditionnels occultent toutefois une dimension pouvant s'avérer importante de ce type d'interventions de haut volume, à savoir la relation et la communication entre l'inspecteur de police scientifique et les lésés chez lesquels il intervient. On constate à ce sujet un manque de connaissances quant à la perception que les lésés ont des interventions de la police scientifique. En sont-ils satisfaits ? Les jugent-ils utiles ? S'inquiètent-ils des résultats obtenus et de la résolution de leur cambriolage ? S'estiment-ils suffisamment informés ou conseillés en matière de prévention ? Cette étude aborde ces questions au travers d'un sondage inédit entrepris auprès de 77 lésés de cambriolages chez lesquels le Service forensique de la Police neuchâteloise est intervenu. Les réponses des lésés indiquent qu'ils ont, dans l'ensemble, une très bonne opinion de l'intervention de la police scientifique et de ses différentes composantes. Parallèlement, il ressort que les 14 inspecteurs du Service forensique, également questionnés, projettent sur les lésés une opinion en partie plus pessimiste qu'elle ne l'est en réalité. L'étude permet ainsi d'identifier des points pour lesquels la communication doit être améliorée, par exemple en ce qui concerne les conseils en matière de prévention. L'article est ponctué par une proposition de modèle conceptuel qui étend les rôles et les missions traditionnellement attribués aux services de police scientifique et qui vise à intégrer la participation aux efforts de prévention, de proximité, de réassurance et de prise en charge des lésés.

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Ce rapport de recherche a été commandé par la Commission externe d'évaluation des politiques publiques du Canton de Genève (Suisse) dans le cadre d'une évaluation de la politique de formation de la police dans ce canton. L'étude montre que, d'une manière générale, les policiers/ères récemment assermenté-e-s jugent positivement leur formation, en particulier certains éléments du dispositif pédagogique (durée de la formation, charge de travail, formateurs/trices) et se sentent bien préparé-e-s à gérer les contacts avec leurs différents publics (en particulier les personnes agressives et les victimes de violences domestiques). Néanmoins, la plupart des policiers/ères interrogé-e-s perçoivent le travail effectué au sein des services comme étant éloigné des prescriptions scolaires. Ils estiment que ces dernières ne sont pas celles qui sont appliquées par leurs collègues expérimenté-e-s. Les matières physico-techniques sont, d'une manière générale, considérées comme plus utiles et plus importantes que les matières relationnelles. Dans cet ordre d'idée, un certain nombre de policiers/ères réclament moins de psychologie. Il s'agit cependant de la matière relationnelle à propos de laquelle les jugements sont les plus nuancés, en particulier à propos des savoirs permettant de gérer les personnes présentant des troubles mentaux, d'améliorer la communication et de gérer les conflits (au détriment de ceux visant à l'introspection). Les enseignements de police de proximité ont quant à eux tendance à être associés à une spécialisation propre à la gendarmerie et inutile pour les nouveaux/elles entrant-e-s, en particulier les inspecteurs/trices. L'éthique et les droits de l'Homme concentrent par contre les jugements négatifs : ces cours sont perçus comme diffusant des « bonnes paroles » prêchées par des formateurs/trices extérieurs à la profession (si ce n'est réellement, du moins symboliquement), éloignées de la réalité du métier et échouant à combattre les préjugés, en particulier ceux basés sur l'origine ethnico-nationale. L'étude montre en outre que les compétences relationnelles et les rapports aux différents publics sont centrales dans les appréciations portées sur l'adéquation entre formation et pratique. À ce sujet, ont été repérés néanmoins des points qui posent problèmes (aux yeux des policiers/ères interrogé-e-s ou à nos yeux) : peu de réflexivité en ce qui concerne les risques associés au «délit de faciès», problèmes avec les « maghrébins » et les jeunes en groupe (liés en particulier à la remise en cause de l'autorité policière), imprévisibilité des consommateurs/trices de drogue et vision pessimiste (parfois très peu empathique) de la toxicomanie, sentiment de difficulté et d'inconfort associé aux tâches visant à prendre en charge la souffrance d'autrui, relégation de la plupart des situations de violence domestique au rang de tâches indues, difficultés associées aux contacts avec les personnes atteintes de maladies psychiques graves, et la mention en priorité des cours de TTI pour la gestion des personnes agressives (au détriment des matières relationnelles).

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Cet article montre, en premier lieu, que le degré d'investissement politico-moral des policières et des policiers dans leur métier est fortement variable. Si une partie des individus nouvellement entrés dans la police expriment un sentiment de distance sociale doublé d'une distinction morale par rapport à la population, d'autres ne s'investissement pas dans leur métier comme dans une « croisade morale » (Becker, 1985 [1963]), et estiment au contraire que les justiciables appartiennent à la même « communauté morale » (Fassin, 2011, p. 313) qu'eux-mêmes. La perspective adoptée prolonge ainsi les critiques des approches classiques de la « culture policière », qui ont démontré leur caractère trop uniformisant et leurs biais mécaniste. Parmi les études de sociologie de la police n'ayant pas adopté une telle approche, celle de W. Ker Muir (1977), pourtant ancienne, a montré que tous les policiers ne vivaient pas leur appartenance au groupe professionnel sur le mode d'une distinction morale d'avec les justiciables. Aucune autre étude n'a pourtant traité des variations dans l'investissement politico moral des policières et des policiers, et n'a donc tenté d'en fournir des explications. Le second axe d'analyse vise ainsi à combler ce déficit explicatif, en montrant que l'investissement politico-moral dans le métier dépend largement de la trajectoire antérieure des individus recrutés dans la police, en particulier des expériences de pertes de statut qu'ils ont pu subir, ainsi que du type de stratégies d'ascension sociale ou de récupération de ce statut qu'ils mettent en place.

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La criminologie et la police scientifique ont des origines communes mais se sont distanciées pour être finalement considérées comme séparées. Pourtant, les traces, résultat de l'action criminelle par les échanges de matière, indiquent ce qui s'est passé dans le cas particulier. Regroupées et comparées, elles émettent des signes sur l'existence de problèmes de sécurité. Une méthode fondée sur la résolution de problèmes peut ainsi intégrer naturellement la trace et constituer un socle pour un rapprochement des disciplines. Elle illustre d'une part l'importance pour la criminologie de ne pas ignorer le substrat matériel et informatique indispensable à l'explication de l'action criminelle, et pour la police scientifique de contextualiser ses informations en s'appuyant sur des théories en criminologie pour leur donner du sens. C'est l'enjeu de ce numéro spécial.

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The focus of this study is to examine the role of police and immigrants’ relations, as less is known about this process in the country. The studies were approached in two different ways. Firstly, an attempt was made to examine how immigrants view their encounters with the police. Secondly, the studies explored how aware the police are of immigrants’ experiences in their various encounters and interactions on the street level. An ancillary aim of the studies is to clarify, analyse and discuss how prejudice and stereotypes can be tackled, thereby contributing to the general debate about racism and discrimination for better ethnic relations in the country. The data in which this analysis was based is on a group of adults (n=88) from the total of 120 Africans questioned for the entire study (n=45) police cadets and (n=6) serving police officers from Turku. The present thesis is a compilation of five articles. A summary of each article findings follows, as the same data was used in all five studies. In the first study, a theoretical model was developed to examine the perceived knowledge of bias by immigrants resulting from race, culture and belief. This was also an attempt to explore whether this knowledge was predetermined in my attempt to classify and discuss as well as analyse the factors that may be influencing immigrants’ allegations of unfair treatment by the police in Turku. The main finding shows that in the first paper there was ignorance and naivety on the part of the police in their attitudes towards the African immigrant’s prior experiences with the police, and this may probably have resulted from stereotypes or their lack of experience as well as prior training with immigrants where these kinds of experience are rampant in the country (Egharevba, 2003 and 2004a). In exploring what leads to stereotypes, a working definition is the assumption that is prevalent among some segments of the population, including the police, that Finland is a homogenous country by employing certain conducts and behaviour towards ethnic and immigrant groups in the country. This to my understanding is stereotype. Historically this was true, but today the social topography of the country is changing and becoming even more complex. It is true that, on linguistic grounds, the country is multilingual, as there are a few recognised national minority languages (Swedish, Sami and Russian) as well as a number of immigrant languages including English. Apparently it is vital for the police to have a line of communication open when addressing the problem associated with immigrants in the country. The second paper moved a step further by examining African immigrants’ understanding of human rights as well as what human rights violation means or entails in their views as a result of their experiences with the police, both in Finland and in their country of origin. This approach became essential during the course of the study, especially when the participants were completing the questionnaire (N=88), where volunteers were solicited for a later date for an in-depth interview with the author. Many of the respondents came from countries where human rights are not well protected and seldom discussed publicly, therefore understanding their views on the subject can help to explain why some of the immigrants are sceptical about coming forward to report cases of batteries and assaults to the police, or even their experiences of being monitored in shopping malls in their new home and the reason behind their low level of trust in public authorities in Finland. The study showed that knowledge of human rights is notably low among some of the participants. The study also found that female respondents were less aware of human rights when compared with their male counterparts. This has resulted in some of the male participants focussing more on their traditional ways of thinking by not realising that they are in a new country where there is equality in sexes and lack of respect on gender terms is not condoned. The third paper focussed on the respondents’ experiences with the police in Turku and tried to explore police attitudes towards African immigrant clients, in addition to the role stereotype plays in police views of different cultures and how these views have impacted on immigrants’ views of discriminatory policing in Turku. The data is the same throughout the entire studies (n=88), except that some few participants were interviewed for the third paper thirty-five persons. The results showed that there is some bias in mass-media reports on the immigrants’ issues, due to selective portrayal of biases without much investigation being carried out before jumping to conclusions, especially when the issues at stake involve an immigrant (Egharevba, 2005a; Egharevba, 2004a and 2004b). In this vein, there was an allegation that the police are even biased while investigating cases of theft, especially if the stolen property is owned by an immigrant (Egharevba, 2006a, Egharevba, 2006b). One vital observation from the respondents’ various comments was that race has meaning in their encounters and interaction with the police in the country. This result led the author to conclude that the relation between the police and immigrants is still a challenge, as there is rampant fear and distrust towards the police by some segments of the participating respondents in the study. In the fourth paper the focus was on examining the respondents’ view of the police, with special emphasis on race and culture as well as the respondents’ perspective on police behaviour in Turku. This is because race, as it was relayed to me in the study, is a significant predictor of police perception (Egharevba, 2005a; Egharevba and Hannikianen, 2005). It is a known scientific fact that inter-group racial attitudes are the representation of group competition and perceived threat to power and status (Group-position theory). According to Blumer (1958) a sense of group threat is an essential element for the emergence of racial prejudice. Consequently, it was essential that we explored the existing relationship between the respondents and the police in order to have an understanding of this concept. The result indicates some local and international contextual issues and assumptions that were of importance tackling prejudice and discrimination as it exists within the police in the country. Moreover, we have to also remember that, for years, many of these African immigrants have been on the receiving end of unjust law enforcement in their various countries of origin, which has resulted in many of them feeling inferior and distrustful of the police even in their own country of origin. While discussing the issues of cultural difference and how it affects policing, we must also keep in mind the socio-cultural background of the participants, their level of language proficiency and educational background. The research data analysed in this study also confirmed the difficulties associated with cultural misunderstandings in interpreting issues and how these misunderstandings have affected police and immigrant relations in Finland. Finally, the fifth paper focussed on cadets’ attitudes towards African immigrants as well as serving police officers’ interaction with African clients. Secondly, the police level of awareness of African immigrants’ distrustfulness of their profession was unclear. For this reason, my questions in this fifth study examined the experiences and attitudes of police cadets and serving police officers as well as those of African immigrants in understanding how to improve this relationship in the country. The data was based on (n=88) immigrant participants, (n=45) police cadets and 6 serving police officers from the Turku police department. The result suggests that there is distrust of the police in the respondents’ interaction; this tends to have galvanised a heightened tension resulting from the lack of language proficiency (Egharevba and White, 2007; Egharevba and Hannikainen, 2005, and Egharevba, 2006b) The result also shows that the allegation of immigrants as being belittled by the police stems from the misconceptions of both parties as well as the notion of stop and search by the police in Turku. All these factors were observed to have contributed to the alleged police evasiveness and the lack of regular contact between the respondents and the police in their dealings. In other words, the police have only had job-related contact with many of the participants in the present study. The results also demonstrated the complexities caused by the low level of education among some of the African immigrants in their understanding about the Finnish culture, norms and values in the country. Thus, the framework constructed in these studies embodies diversity in national culture as well as the need for a further research study with a greater number of respondents (both from the police and immigrant/majority groups), in order to explore the different role cultures play in immigrant and majority citizens’ understanding of police work.

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La « critique sociale » doit être comprise comme étant la capacité d’exprimer, d’afficher et d’exercer sa différence. Par ailleurs, la capacité d’exprimer sa différence est étroitement liée à l’état d’égalité. En revanche, ce sont les inégalités sociales qui poussent à l’homogénéisation. Alors, comment les personnes qui subissent les inégalités sociales peuvent-elle échapper à l’homogénéisation et devenir agents de critique sociale et moteurs de changement ? Autrement dit, faut-il donner raison à Marcuse sur le fait qu’une véritable remise en question du modèle dominant ne peut qu’émerger à la marge ? On peut penser que c’est là le rôle des organismes communautaires, même s’il arrive que le modèle dominant les récupère pour en faire un organe d’intégration des forces en opposition. Notre premier objectif de recherche est donc de voir s’il existe une critique concernent le travail chez les personnes interviewées. En outre, notre second objectif est de voir si le fait d’être à la marge permet de développer un rapport contestataire au modèle dominant de travail.

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Fernando Lopez-Mora, Professeur titulaire d'histoire contemporaine de l'Université de Cordoue (Espagne). Présentation dans le cadre du cycle de conférences organisé par le CRDP intitulé « Le droit à la sécurité ... la sécurité par le droit ».

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Cette recherche a pour objet l'étude de la dynamique de transformation du métier d'ingénieur dans le contexte algérien saisi à travers le rapport au travail. Elle repose sur une approche théorique s'inspirant d'une sociologie des groupes professionnels avec une démarche alliant méthodes quantitatives et qualitatives. Prenant appui sur des données recueillies à l'aide d'un questionnaire et d'entretiens approfondis menés dans Sonatrach, la plus grande entreprise d'Algérie, notre étude s'est attachée à faire ressortir les facteurs qui agissent au niveau individuel, organisationnel et sociétal sur les pratiques professionnelles pour deux générations d'ingénieurs. La première a eu pour mission de bâtir le pays à travers les grands projets de développement qui ont caractérisé la période après l'indépendance. La deuxième est arrivée sur le marché de l'emploi, à la fin des années 80, dans un contexte de crise et a payé un lourd tribut à la détérioration de la conjoncture économique. Les pratiques professionnelles se construisent tout d'abord dans le travail, mais aussi dans l'exercice des activités quotidiennes, les relations avec les autres et enfin la satisfaction à l'égard du travail. Tels ont été les points focaux de notre démarche d'explicitation du rapport au travail chez nos ingénieurs. Nous avons mis en lumière l'effet de la position hiérarchique au sein de l'organisation et des types de fonction. La satisfaction tient de la fierté d'appartenir à une entreprise prestigieuse. Chez les jeunes, elle s'exprime aussi dans les avantages matériels et une vision du métier fondée sur la maîtrise technique. Les plus âgés, encore marqués par l'idéologie nationaliste, mettent l'accent sur la participation à l'édification du pays, mais aussi sur la réalisation de soi et la fidélité à l'entreprise. Le rapport au travail s'élabore également au fil du temps dans son cheminement professionnel. Nous l'avons abordé, dans une deuxième étape, en documentant les processus d'intégration et de mobilité au sein de l'entreprise. Les trajectoires professionnelles sont régies par des politiques et des procédures de gestion qui en définissent les modalités, mais elles obéissent également à des opportunités et à des pratiques informelles qui jouent un rôle tout aussi important dans la détermination des profils de carrière. Enfin, le rapport au travail est tributaire de facteurs qui dépassent le cadre de l'entreprise. Dans une troisième étape, nous avons analysé les transformations du système éducatif et leur impact sur la certification des ingénieurs, la crise économique et ses effets en termes de chômage et de précarité et enfin la montée du discours religieux et ses manifestations chez les ingénieurs. Ces facteurs liés au contexte sociétal modifient les représentations et modèlent les attitudes et comportements au travail et à l'égard de celui-ci. Comme le montre notre recherche, le rapport au travail articule, dans une composition complexe, parcours individuels et histoires collectives vécus dans des environnements en évolution. La pratique d'un métier se trouve liée aux différents contextes de socialisation qui traversent les individus. Elle se situe, dans le cas algérien, au croisement d'une formation scientifique et technique qui montre peu de réactivité aux besoins mouvants de l'opérateur économique qu'elle est censée satisfaire, d'une entreprise bureaucratique dans son organisation et dans son fonctionnement où le contournement des règles peut s'ériger en principes de gestion et enfin d'un contexte sociétal qui oscille entre modernité et tradition. Cette dernière est réinterprétée de manière orthodoxe par les mouvements religieux en action dans la société. Ainsi, les ingénieurs investis initialement d'une mission de développement et considérés alors comme "vecteur de modernité" connaissent une détérioration de leur statut et la crise touche la profession vécue cependant différemment selon les générations.