925 resultados para effective reproductive number


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A honeybee queen normally mates with 10-20 drones, and reproductive conflicts may arise among a colony's different worker patrilines, especially after a colony has lost its single queen and the workers commence egg laying. In this study, we employed microsatellite markers to study aspects of worker reproductive competition in two queenless Africanized honeybee colonies. First, we determined whether there was a bias among worker patrilines in their maternity of drones and, second, we asked whether this bias could be attributed to differences in the degree of ovary activation of workers. Third, we relate these behavioral and physiological factors to ontogenetic differences between workers with respect to ovariole number. Workers from each of three (colony A) and one (colony B) patrilineal genotypes represented less than 6% of the worker population, yet each produced at least 13% of the drones in a colony, and collectively they produced 73% of the drones. Workers representing these genotypes also had more developed follicles and a greater number of ovarioles per ovary. Across all workers, ovariole development and number were closely correlated. This suggests a strong effect of worker genotype on the development of the ovary already in the postembryonic stages and sets a precedent to adult fertility, so that

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Problématique : Depuis bientôt deux décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) est le territoire d’un conflit armé qui, selon l’International Rescue Commite, aurait occasionné plus de 3 millions de décès et autant de déplacés internes. Plusieurs rapports font également cas des nombreux actes de violence sexuelle (les viols, les mutilations, l’esclavage, l’exploitation sexuelle, etc.) commis envers les filles, les femmes et dans une moindre ampleur les hommes. S’il existe un consensus sur le côté barbare des actes de violence sexuelle liés aux conflits armés, rares sont les études qui ont évalué leurs conséquences sur la santé reproductive des survivantes surtout en termes d’issues telles que les fistules, les douleurs pelviennes chroniques (DPC), le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue de tels actes. Par ailleurs, même si la santé mentale des populations en zones de conflit représente un sujet d’intérêt, l’impact spécifique de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale des survivantes a été peu étudié. De plus, ces travaux s’intéressent aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale et sur la santé reproductive séparément et ce, sans évaluer les relations qui peuvent exister entre ces deux dimensions qui, pourtant, s’influencent mutuellement. Aussi, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit, ainsi que la contribution des normes socioculturelles aux difficultés que rencontrent les survivantes, a été peu étudié. Pourtant, l’impact social de la violence sexuelle liée au conflit peut permettre de mieux comprendre comment l’expérience d’un tel acte peut affecter la santé mentale. Enfin, aucune étude n’a évalué les effets de la violence sexuelle liée au conflit en la comparant à la violence sexuelle non liée au conflit (VSNLC). Pourtant, il est reconnu qu’à de nombreux égards, la violence sexuelle liée au conflit est bien différente de la VSNLC puisqu’elle est perpétrée avec l’intention de créer le maximum d’effets adverses pour la victime et sa communauté. Objectifs : Les objectifs poursuivis dans cette thèse visent à : 1) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé reproductive; 2) évaluer les effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale en termes de sévérité des symptômes de stress posttraumatique (PTSD), de sévérité des symptômes de détresse psychologique et de probabilité de souffrir de troubles mentaux communs (TMC); 3) évaluer la contribution des troubles physiques de santé reproductive, en particulier les fistules et les douleurs pelviennes chroniques (DPC), aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur la santé mentale; 4) évaluer la contribution de l’état de santé mentale aux effets de la violence sexuelle liée au conflit sur le désir de rapports sexuels et le désir d’enfant; et 5) étudier l’impact de la violence sexuelle liée au conflit sur le plan social ainsi que la contribution des normes socioculturelles à ses effets adverses et la façon dont ces effets pourraient à leur tour influencer la santé des femmes et leur relation avec l’enfant issu de l’acte de violence sexuelle subi. Méthodologie : Un devis mixte de nature convergente a permis de collecter des données quantitatives auprès de l’ensemble des participantes (étude transversale) et des données qualitatives sur un nombre plus restreint de femmes (étude phénoménologique). Une étude transversale populationnelle a été conduite entre juillet et août 2012 auprès de 320 femmes âgées de 15 à 45 ans habitant quatre (4) quartiers de la ville de Goma située dans la province du Nord-Kivu en RDC. Les femmes ont été recrutées à travers des annonces faites par les responsables des programmes d’alphabétisation et de résolution de conflits implantés dans les différents quartiers par le Collectif Alpha Ujuvi, une ONG locale. Les issues de santé reproductive évaluées sont : les fistules, les DPC, le désir de rapports sexuels, le désir d’enfant et le désir d’interruption de la grossesse issue d’un acte de violence sexuelle. Les variables de santé mentale d’intérêt sont : la sévérité des symptômes de détresse psychologique, la sévérité des symptômes de PTSD et la probabilité de souffrir de TMC. Pour les analyses, l’exposition a été définie en trois (3) catégories selon l’expérience passée de violence sexuelle : les femmes qui ont vécu des actes de violence sexuelle liée au conflit, celles qui ont vécu des actes de VSNLC et celles qui ont déclaré n’avoir jamais subi d’acte de violence sexuelle au cours de leur vie. Les variables de confusion potentielles mesurées sont : l’âge, le statut matrimonial, le nombre d’enfants, le niveau d’éducation le plus élevé atteint et l’occupation professionnelle. Les mesures d’associations ont été évaluées à l’aide de modèles de régressions logistiques et linéaires simples et multiples. Des tests d’interaction multiplicative et des analyses stratifiées ont été également conduits pour évaluer l’effet potentiellement modificateur de quelques variables (âge, statut matrimonial, nombre d’enfants) sur la relation entre la violence sexuelle et les variables de santé reproductive ou de santé mentale. Ces tests ont également été utilisés pour évaluer la contribution d’une variable de santé reproductive ou de santé mentale aux effets de la violence sexuelle sur l’autre dimension de la santé d’intérêt dans cette étude. Une étude phénoménologique a été conduite dans le même intervalle de temps auprès de 12 femmes ayant participé à la partie quantitative de l’étude qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit et ont eu un enfant issu d’une agression sexuelle. Les sujets explorés incluent : la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit vécu et de la vie quotidienne par les victimes; la perception de l’acte de violence sexuelle liée au conflit par la famille et l’entourage et leurs réactions après l’agression; la perception de la grossesse issue de l’acte de violence sexuelle par la victime; la perception de l’enfant issu de la violence sexuelle liée au conflit par la victime ainsi que son entourage; les conséquences sociales de l’expérience de violence sexuelle liée au conflit et les besoins des victimes pour leur réhabilitation. Une analyse thématique avec un codage ouvert a permis de ressortir les thèmes clés des récits des participantes. Par la suite, l’approche de théorisation ancrée a été utilisée pour induire un cadre décrivant l’impact social de l’expérience de la violence sexuelle liée au conflit et les facteurs y contribuant. Résultats : Le premier article de cette thèse montre que, comparées aux femmes qui n’ont jamais vécu un acte de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=11.1, IC 95% [3.1-39.3]), des DPC (OR=5.1, IC 95% [2.4-10.9]), de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=3.5, IC 95% [1.7-6.9]) et une absence de désir d’enfant (OR=3.5, IC 95% [1.6-7.8]). Comparées aux mêmes femmes, celles qui ont vécu la VSNLC ont plus de probabilité de souffrir de DPC (OR=2.3, IC 95% [0.95-5.8]) et de rapporter une absence de désir d’enfant (OR=2.7, IC 95% [1.1-6.5]). Comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit ont également une probabilité plus élevée d’avoir une fistule (OR=9.5, IC 95% [1.6-56.4]), des DPC (OR=2.2, IC 95% [0.8-5.7]) et de rapporter une absence de désir de rapports sexuels (OR=2.5, IC 95% [1.1-6.1]). En ce qui concerne les grossesses issues des viols, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit sont plus nombreuses à souhaiter avorter (55% vs 25% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Elles sont également plus nombreuses à déclarer qu’elles auraient avorté si les soins appropriés étaient accessibles (39% vs 21% pour celles qui ont vécu la VSNLC). Le second article montre qu’en comparaison aux femmes qui n’ont jamais subi de violence sexuelle, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 8.6 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (30% vs 76%, p<0.0001). De plus, comparées aux femmes qui ont vécu la VSNLC, celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au conflit présentent des symptômes de détresse psychologique (moyennes de score respectives 10.1 et 12.6, p<0.0001) et des symptômes de PTSD (moyennes de score respectives 2.2 et 2.6, p<0.0001) plus sévères et ont plus de probabilité d’être dépistées comme un cas de TMC (48% vs 76%, p<0.001). Les valeurs minimales et maximales de score de sévérité de symptômes de détresse psychologique sont de 0/12 pour les femmes qui n’ont jamais vécu de violence sexuelle, 4/19 pour celles qui ont vécu la VSNLC et de 5/18 pour celles qui ont vécu la violence sexuelle liée au confit. En ce qui concerne la sévérité des symptômes de PTSD, les scores minimal et maximal sont respectivement de 0.36/3.22, 0.41/3.41 et 0.95/3.45. Le fait d’avoir développé une fistule ou de souffrir de DPC après l’agression sexuelle augmente la force des associations entre la violence sexuelle et la santé mentale. Les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui ont souffert de fistules présentent des symptômes de détresse psychologique et de PTSD plus sévères comparées aux femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit mais n’ont pas de fistules. Les résultats sont similaires pour les femmes qui ont subi la violence sexuelle liée au conflit et qui souffrent de DPC. Des résultats complémentaires suggèrent que le statut matrimonial modifie l’effet de la violence sexuelle sur la sévérité des symptômes de détresse psychologique, les femmes divorcées/séparées et les veuves étant celles qui ont les moyennes de score les plus élevées (respectivement 11.3 et 12.1 vs 9.26 et 9.49 pour les célibataires et les mariées). Par ailleurs, la sévérité des symptômes de détresse psychologique modifie l’association entre la violence sexuelle liée au conflit et le désir d’enfant. Le troisième article montre que, sur le plan social, l’expérience de violence sexuelle liée au conflit entraine également de lourdes conséquences. Toutes celles qui ont vécu ce type d’acte décrivent leur vie de survivante et de mère d’un enfant issu d’une agression sexuelle comme difficile, oppressive, faite de peines et de soucis et sans valeur. Plusieurs facteurs influencent la description que les victimes de violence sexuelle liée au conflit font de leur vie quotidienne, et ils sont tous reliés aux normes socioculturelles qui font de la femme une citoyenne de seconde zone, ne font aucune différence entre un viol et un adultère, condamnent les victimes de violence sexuelle plutôt que leurs agresseurs, rejettent et stigmatisent les victimes de tels actes ainsi que l’enfant qui en est issu. En réponse au rejet et au manque de considération, les femmes victimes de violence sexuelle liée au conflit ont tendance à s’isoler pour éviter les insultes et à garder le silence sur leur agression. En plus, les réactions de leur entourage/communauté ont tendance à leur faire revivre l’agression sexuelle subie, autant d’éléments qui nuisent davantage à leur réhabilitation. D’autres résultats démontrent que les enfants issus d’actes de violence sexuelle liée au conflit sont également rejetés par leur communauté, leur famille adoptive ainsi que le conjoint de leur mère, ce qui affecte davantage les survivantes. Avec leurs mères, les relations développées varient entre le rejet, la résignation et l’affection. Néanmoins, ces relations sont plus souvent tendues probablement à cause de la stigmatisation de la communauté. Conclusion: La violence sexuelle liée au conflit a des effets adverses sur la santé reproductive, la santé mentale mais également sur le plan social. Ces trois dimensions sont loin d’être isolées puisque cette étude a permis de démontrer qu’elles s’influencent mutuellement. Ceci suggère que la prise en charge des victimes de violence sexuelle liée au conflit ne doit pas se concentrer sur un aspect ou un autre de la santé mais prendre en compte l’ensemble des dimensions de la femme pour offrir une aide holistique, plus adaptée et qui sera plus efficace à long terme.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Because anuran species are highly dependent on environmental variables, we hypothesized that anuran species richness and the number of reproductive modes from different Brazilian localities vary according to climatic and altitudinal variables. Published data were compiled from 36 Brazilian localities and climatic and altitudinal data were extracted from an available database. A partial redundancy analysis (pRDA) showed that 23.5% of the data set's variation was explained by climatic and altitudinal data, while the remaining 76.5% remained unexplained. This analysis suggests that other factors not analysed herein may also be important for predicting anuran species richness and the number of reproductive modes in Brazil. Altitude and total annual rainfall were positively correlated with anuran species richness and the number of reproductive modes, and total annual rainfall was strongly associated with these two biotic variables in the triplot of pRDA. The positive association of total annual rainfall and the negative association of the concentration of annual rainfall were already expected based on physiological and reproductive requirements of anurans. On the other hand, temperature was not associated with richness or the number of reproductive modes. Copyright © 2010 Cambridge University Press.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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In Southern Brazil, Aegla parana Schmitt, 1942 is characterized by a broad distribution throughout the Iguacu River basin, particularly between the southern state of Parana and the northern state of Santa Catarina, preferentially inhabiting streams with rocky substrates. Although there has been an increase in the number of studies about the population biology of Aeglidae, many aspects about the reproductive biology of A. parana are still unknown. Therefore, the present study aimed to investigate the size at sexual maturity, reproductive seasonality and recruitment of A. parana from November, 2008 to December, 2009, in a tributary of the Iguacu River located in Uniao da Vitoria, Parana, Brazil. Basic environmental factors were investigated to determine their influence on the reproductive cycle of this species. Gonadal stages were characterized macroscopically, and the presence or absence of embryos in females (ovigerous females) from monthly samples was recorded. The entire sample was composed of 436 males and 211 females. Although the smallest ovigerous female was 16.2 mm, the average size (carapace length, CL) at sexual maturity (CL50%) was calculated at 17.4 mm. The greatest percentage of females with developed (mature, near spawning) gonads stage was observed from January to June, 2009, while ovigerous females were recorded from April to July, 2009, after which the reproductive period ended. Recruitment occurred from October to December, 2009. The presence of ovigerous females was negatively correlated with temperature (Spearman, p < 0.05). Females carrying embryos were generally collected during periods of lower temperatures, whereas recruits entered the population during periods of higher temperatures, when food for them is more abundant in the region studied.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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The Brazilian federal government Agency for Health Surveillance detected pesticide residues in fresh food available for consumers all over the country. The current study investigated the effects of a mixture of some of those pesticides (dichlorvos, dicofol, dieldrin, endosulfan, and permethrin) on the reproductive system of Sprague-Dawley (SD), Wistar (WT), and Lewis (LEW) rats. Female rats from each strain were randomized into three experimental groups and were fed a control diet or diets added with pesticides mixture at their respective no-observed-effect level (NOEL)/no-observed-adverse-effect level (NOAEL) (low dose) (mg/kg/d): dichlorvos (0.23), dicofol (0.5), dieldrin (0.025), endosulfan (0.7), permethrin (5), or lowest-observed-effect level (LOEL)/lowest-effect level (LEL)/ lowest-observed-adverse-effect level (LOAEL) (toxically effective dose) (mg/kg/d): dichlorvos (2.3), dicofol (2.1), dieldrin (0.05), endosulfan (3.8), and permethrin (25) as reported in the literature. Euthanasia was performed between wk 10 and 12, during the estrous stage. Decreased body weights gain (SD and WT) and increased liver weights (SD, WT, and LEW) were observed in each strain fed the pesticides mixture at the higher levels. At that dose level, rat strains also varied in their responses regarding the estrous cycle, hormonal levels, and number of developing ovarian follicles. The studied mixture of pesticides was found to interfere with the female reproductive system when individual pesticides were mixed above a certain level, indicating a threshold exists for each of the strains studied.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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Femtosecond lasers have been widely used in laser surgery as an instrument for contact-free tissue removal of hard dental, restorative materials, and osseous tissues, complementing conventional drilling or cutting tools. In order to obtain a laser system that provides an ablation efficiency comparable to mechanical instruments, the laser pulse rate must be maximal without causing thermal damage. The aim of this study was to compare the different morphological characteristics of the hard tissue after exposure to lasers operating in the femtosecond pulse regime. Two different kinds of samples were irradiated: dentin from human extracted teeth and bovine femur samples. Different procedures were applied, while paying special care to preserving the structures. The incubation factor S was calculated to be 0.788 +/- 0.004 for the bovine femur bone. These results indicate that the incubation effect is still substantial during the femtosecond laser ablation of hard tissues. The plasma-induced ablation has reduced side effects, i.e., we observe less thermal and mechanical damage when using a superficial femtosecond laser irradiation close to the threshold conditions. In the femtosecond regime, the morphology characteristics of the cavity were strongly influenced by the change of the effective number of pulses. (C) 2012 Society of Photo-Optical Instrumentation Engineers (SPIE). [DOI: 10.1117/1.JBO.17.4.048001]

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The measurement called accessibility has been proposed as a means to quantify the efficiency of the communication between nodes in complex networks. This article reports results regarding the properties of accessibility, including its relationship with the average minimal time to visit all nodes reachable after h steps along a random walk starting from a source, as well as the number of nodes that are visited after a finite period of time. We characterize the relationship between accessibility and the average number of walks required in order to visit all reachable nodes (the exploration time), conjecture that the maximum accessibility implies the minimal exploration time, and confirm the relationship between the accessibility values and the number of nodes visited after a basic time unit. The latter relationship is investigated with respect to three types of dynamics: traditional random walks, self-avoiding random walks, and preferential random walks.

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The concept of effective population size (N(e)) is an important measure of representativeness in many areas. In this research, we consider the statistical properties of the number of contributed gametes under practical situations by adapting Crow and Denninston's (1988) N(e) formulas for dioecious species. Three sampling procedures were considered. In all circumstances, results show that as the offspring sex ratio (r) deviates from 0.5, N(e) values become smaller, and the efficiency of gametic control for increasing N(e) is reduced. For finite populations, where all individuals are potentially functional parents, the reduction in N(e) due to an unequal sex ratio can be compensated for through female gametic control when 0.28 <= r <= 0.72. This outcome is important when r is unknown. When only a fraction of the individuals in a population is taken for reproduction, N(e) is meaningful only if the size of the reference population is clearly defined. Gametic control is a compensating factor in accession regeneration when the viability of the accession is around 70 or 75%. For germ-plasm collection, when parents are a very small fraction of the population, maximum N(e) will be approximately 47 and 57% of the total number of offspring sampled, with female gametic control, r varying between 0.3 and 0.5, and being constant over generations.