500 resultados para attributions parentales
Resumo:
Existe una multiplicidad de factores que pueden afectar el riego del consumo de tabaco en la adolescencia. Mediante el análisis de estos factores de manera conjunta podemos desentrañar la relevancia específica que cada uno de ellos tiene en la conformación de la conducta individual de los adolescentes. El objetivo de esta investigación es profundizar en el conocimiento sobre la relación entre el consumo de tabaco en la adolescencia y variables socio-demográficas y socio-emocionales. Contamos con una muestra representativa de 2.289 adolescentes catalanes (15-18 años) que participaron en el Panel de Familias e Infancia. Se han realizado modelos de regresión para determinar la asociación estadística de los diferentes estados de ánimo (tristeza, nerviosismo y soledad), características del grupo de iguales y estilos parentales, con el consumo de tabaco. Los resultados indican que el comportamiento adictivo es más probable cuando los adolescentes muestran estados de ánimo negativos, controlando por variables socio-demográficas y otros factores de riesgo. Entre estos factores adicionales, los estilos parentales autoritativos reducen el riesgo del consumo de tabaco en comparación con la parentalidad autoritaria, permisiva y negligente. El consumo generalizado de tabaco en el grupo de iguales es el factor de riesgo que tiene una asociación más alta con el comportamiento individual del adolescente.
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Research suggests that self-blame attributions are important in the process of adjustment to negative life events. Much of the research originates from JanofTBulman's (1979) theory regarding behavioural and characterological self-blame. She argued that attributing negative events to one's behaviour is adaptive because behavioural self-blame involves attributions to a modifiable source, which implies that a similar event can be avoided in the future. In contrast, attributing negative events to one's character is believed to be maladaptive because character is seen as relatively stable and unmodifiable. Unfortunately, the empirical literature does not show consistent relations between these two types of self-blame attributions and well-being as predicted by Janoff-Bulman. For this thesis, I proposed that one reason for this inconsistency is that Janoff-Bulman's assumption about the perceived modifiability of behavioural versus characterological causes is incorrect — people often dlo perceive character (as well as behaviour) to be modifiable. Sixty-two participants completed a questionnaire regarding a recent negative life event and its impact on their well-being. Consistent with my argument, I found that both behavioural and characterological self-blame attributions following a negative life event were seen as modifiable. As hypothesized, perceived modifiability of causes v^as related to well-being. For example, overall modifiability was related to greater coping efficacy, less social dysfunction, less severe depression, and greater positive affect; however. contrary to predictions, the relation between perceived modifiability of causes and wellbeing was not mediated by the perception that similar events could be avoided in the future. Individual differences in attributional style were also assessed in this study. An attributional style that tended to be more internal, stable, and specific was related to wellbeing as expected; however, neither the perceived modifiability of blame attributions nor the perceived avoidability of similar future events mediated this relation. Implications for professionals dealing with trauma victims and potential directions for future research are discussed.
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La présente thèse avait pour but d’étudier les liens qui existaient entre la psychopathie du parent et les pratiques parentales utilisées. L’échantillon était composé de 65 parents francophones, hommes ou femmes, ayant au moins un enfant âgé entre 6 et 10 ans. Les parents ont été rencontrés à leur domicile, à l’école de leur enfant ou dans un organisme communautaire. Le Self Report Psychopathy Scale R12-III (Paulhus, Hemphill & Hare, sous presse) a été traduit en français pour la présente étude afin de mesurer la psychopathie du parent. La version francophone de l’Alabama Parenting Questionnaire (Pauzé & al., 2004) a été utilisée pour mesurer cinq pratiques parentales : les pratiques éducatives positives, le manque de supervision, l’engagement, la discipline incohérente et les punitions corporelles. La version francophone de l’échelle de désirabilité sociale abrégée de Marlowe-Crowe (Crowe-Marlowe, 1960) a été jointe aux deux autres questionnaires (Bergeron, Valla & Breton, 1992). Des régressions simples ont été effectuées entre le score global de psychopathie et chacune des cinq pratiques parentales énumérées ci-dessus. Ensuite, des régressions multiples ont été exécutées afin de vérifier quel était le meilleur facteur de la psychopathie pouvant prédire chaque pratique parentale. Les résultats ont montré que la psychopathie était associée négativement de façon significative aux pratiques éducatives positives et à l’engagement. Un lien significatif positif a été soulevé entre la psychopathie et l’utilisation des punitions corporelles. Les analyses secondaires ont démontré que le facteur interpersonnel de la psychopathie expliquait une proportion significative des pratiques éducatives positives. Le facteur antisocial a prédit, quant à lui, une petite partie significative de l’engagement au-delà de l’explication fournie par la désirabilité sociale. Le style de vie du psychopathe a contribué à une proportion significative de l’explication de la variance des punitions corporelles. Il semblerait pertinent d’intervenir le plus tôt possible auprès du parent et de l’enfant afin d’éviter que les mauvaises pratiques et les traits psychopathes ne se répètent dans les générations futures. Des méthodes d’intervention ont été suggérées. Les forces et les faiblesses de l’étude ont été discutées.