608 resultados para Silence
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This qualitative study was conducted to explore tenured faculty members’ understandings of their roles as professors. Tenure is an institutional means to enact academic freedom, which allows tenured faculty members to investigate topics of their choosing free from external influence. Academic freedom also enables faculty members to be public intellectuals who shape and critique social policies and make knowledge assertions. In effect, the faculty members are institutionally protected to speak truth to power. Purposeful sampling of 9 participants from 2 universities yielded 3 major themes: professorial identity (shaped by such factors as career stage, university culture, and faculty affiliation), professorial power (powers that participants experienced as well as the ways in which they exercised power), and professorial silencing (as a response to fiscal realities coupled with numerous governance issues). While participants were cognizant of the powers that affected their freedoms, they were less aware of the ways in which their position afforded them powers. Subtle but more potent forms of power were at play for tenured professors, but the participants saw themselves as having to work within institutional and financial constraints that limited their freedom to speak out on controversial issues. Faculty members were, thus, silenced and at times chose to self-silence. The context of the present-day university, governance models, and the financial issues affecting universities and departments worked in concert to silence this critical voice in society.
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This is the full audio recording of the "Breaking the silence : International conference on the Indian residential schools commission of Canada" that took place at the University of Montreal on September 26-27, 2008. Enregistrement audio complets du colloque "Briser le silence" sur la Commission de vérité et de réconciliation sur les pensionnats indiens, ayant eu lieu à Montréal les 26 et 27 septembre 2008.
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En 2003, la Commission de vérité et de réconciliation du Pérou (CVR) publie un rapport sur la période de guerre interne et de violence qui a déchiré le pays entre 1980 et 2000. Ce rapport étudie ces deux décennies pour faire la lumière sur les événements et évaluer la position de divers secteurs de la société afin que les Péruviens puissent se réconcilier avec un pan de leur histoire. Dans son rapport, la CVR consacre une section aux médias, notamment la presse écrite, et salue le rôle « important » qu’ils ont joué, tout en notant au passage que leur couverture du conflit n’a pas favorisé la pacification du pays et a même pu la compromettre par moments. Ce mémoire vise à étudier la couverture de la guerre interne par les trois quotidiens péruviens les plus importants pour le tirage, Expreso, El Comercio, et La República. Il porte surtout sur la période comprise entre le début des hostilités, le 17 mai 1980, et le massacre de huit journalistes dans le village andin d’Uchuraccay, le 26 janvier 1983. Un regard est également jeté sur l’évolution du journalisme au Pérou depuis les années 1960, marquées par l’élection d’un gouvernement démocratique et aussi par l’instauration d’un régime militaire qui se maintiendra au pouvoir pendant 12 ans. Les bouleversements au cours de cette période difficile expliquent, au moins en partie, le désintérêt initialement manifesté par ces quotidiens, au-delà des différences idéologiques manifestes, à l’endroit des premiers pas du Sentier Lumineux et de sa « guerre populaire ».
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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Roman mémoriel, roman familial, roman d’apprentissage, autofiction… Voilà quelques concepts génériques qui m'ont guidé lors de l'élaboration de ce projet en recherche et création. Le point de départ a consisté en une quête identitaire, qui s’est résorbée en une recherche des origines, symbolisée par la figure de mon grand-père inconnu que j’ai tenté de démystifier. Car on m’a toujours dit qu’il avait écrit un roman, intitulé Orage sur mon corps, ce qui a provoqué chez moi diverses impressions et déformations imaginaires. Je croyais par exemple que mon grand-père, Émile, avait partagé les idées et l'état d'esprit qui circulaient durant les années 1940, alors que le Canada français connaissait une première vague de modernisation culturelle. Ces informations, malheureusement, ne se sont pas avérées tout à fait exactes. Et comme cette quête plus personnelle s'est achevée, non sans une certaine insatisfaction, mes recherches se sont poursuivies dans un essai portant essentiellement sur l'œuvre d'André Béland, auteur qui correspond, plus ou moins, à la figure mythique de mon grand-père. Cet essai ne vise pas à juger ni à réhabiliter l’auteur, mais simplement à jeter un peu de lumière sur son œuvre méconnue, parce que la « réappropriation identitaire se centre toujours aussi sur la transmission » (Régine Robin).
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RÉSUMÉ La ruse féminine, étudiée en regard de la littérature narrative médiévale, constitue une topique spontanément associée à une idéologie misogyne. Les itérations des motifs liés à cette topique foisonnent dans le Roman de Silence et dans les fabliaux également copiés dans le manuscrit de Nottingham. Étant donné la place prépondérante du travestissement dans le Roman de Silence, ce texte a été abondamment étudié sous l’angle des Gender Studies. Toutefois, le travestissement endossé ou orchestré par des figures féminines est compris dans un ensemble de motifs liés à la ruse féminine. Cette dernière fait l’objet de nombreux commentaires de la part des narrateurs et des personnages du corpus. Or il arrive parfois que ces commentaires, sous des dehors désapprobateurs, mettent en lumière la puissance de la ruse féminine. Qui plus est, d’un point de vue narratologique, la réussite ou l’échec de ces ruses ont été étudiés, dans un corpus où le ton se fait souvent didactique, pour établir si celles-ci tenaient lieu d’exemples ou de contre-exemples. Avant d’analyser l’énonciation, les motifs de la ruse féminine ont été étudiés en regard des hypotextes qu’ils évoquaient, et ce, tout en postulant l’interlisibilité des textes d’un même manuscrit. Il a donc été possible de déterminer dans quelle mesure le corpus désamorçait ces motifs, créant des situations souvent ironiques signalant au lecteur de ne pas s’aventurer trop crédulement dans les textes, et d’être attentif autant à l’ironie de situation qu’à celle qui s’ancre dans la situation d’énonciation.
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The paper studies the concept of limit in literary discourse. Two aspects are discussed: 1) the limit as a necessary structuring element in the process of verbal nomination; 2) the limit as a verbal constraint which appeals to be defeated in case of extreme experience, as death, love, desire, Shoah. We analyse two examples dealing with the language restriction in the literary practice: Montaignes’ essays and Duras’ novels. Montaigne adopts a specific style of unlimited judgements and topics accumulation in a spontaneous order and logic with the purpose of revealing the deepest profile of human nature. Duras practices a minimalist writing that ruins the linear syntactic structure and the narrative model, achieving an effect of silence thus providing the possibility of unlimited meaning.
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The dynamics of silence and remembrance in Australian writer Lily Brett’s autobiographic fiction Things Could Be Worse reflects the crisis of memory and understanding experienced by both first and second-generation Holocaust survivors within the diasporic space of contemporary Australia. It leads to issues of handling traumatic and transgenerational memory, the latter also known as postmemory (M. Hirsch), in the long aftermath of atrocities, and problematises the role of forgetting in shielding displaced identities against total dissolution of the self. This paper explores the mechanisms of remembrance and forgetting in L. Brett’s narrative by mainly focusing on two female characters, mother and daughter, whose coming to terms with (the necessary) silence, on the one hand, and articulated memories, on the other, reflects different modes of comprehending and eventually coping with individual trauma. By differentiating between several types of silence encountered in Brett’s prose (that of the voiceless victims, of survivors and their offspring, respectively), I argue that silence can equally voice and hush traumatic experience, that it is never empty, but invested with individual and collective meaning. Essentially, I contend that beside the (self-)damaging effects of silence, there are also beneficial consequences of it, in that it plays a crucial role in emplacing the displaced, rebuilding their shattered self, and contributing to their reintegration, survival and even partial healing.
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Le silence est une composante fondamentale de la création artistique, aussi bien dans le domaine musical qu’au cinéma. La notion de silence atteint toutefois un espace limite dans le domaine littéraire, comme le note Gilles Deleuze en évoquant le « silence dans les mots », la « limite asyntaxique » qui n’est pas « extérieure au langage » dans la poésie d’Antonin Artaud ; cette même notion devenant plus problématique encore dans le domaine de l’autobiographie, traditionnellement informative. Nous posons tout d’abord la question de savoir comment l’auteur, se racontant lui-même, sa vie, son parcours, peut choisir de ne donner à lire qu’un silence plus ou moins long, et sembler ainsi renoncer à sa tâche, pour ensuite étudier le poème « Agrippa—A Book of the Dead » (1992) de l’écrivain américain William Gibson (né en 1948). Inspiré par la découverte d’un album de photos appartenant à son père, l’auteur y évoque les souvenirs de son enfance en Virginie. La singularité d’« Agrippa » réside surtout dans les mécanismes mis en oeuvre lors de sa lecture : à l’origine seulement disponible sur disquette, un programme d’ « encryption » ou « bombe logique » efface le texte au fur et à mesure que l’ordinateur le déchiffre, afin de n’être lu qu’une fois seulement, laissant la place au vide, au silence. Nous proposons ici d’étudier le poème « Agrippa » en démontrant comment la disparition progressive du texte a, dans le travail d’écriture de Gibson, une portée originale. L’objectif de l’étude est de montrer que Gibson se sert du poème pour proposer une révolution littéraire où l’art « quitte le cadre », où « le mot écrit quitte la page » de façon concrète et effective pour soumettre au lecteur un questionnement, esthétique, philosophique, voire théologique fécond – Maurice Blanchot arguant que Dieu communique « seulement par son silence ».
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Os objetos têm sempre desempenhado um papel fundamental nas nossas vidas, pela forma como eles, passivamente, fazem-nos companhia e transmitem tacitamente a sua quietude inata. Contudo, o que acontece quando os objetos se tornam uma presença tão poderosa que, como resultado, dominam a vida das pessoas? Noutras palavras, o que é que acontece quando os objetos sobrecarregam as pessoas com as suas potentes (falando literalmente, sempre lá) presenças? No silêncio dos objetos há um lugar onde nos tornamos conscientes da nossa insignificância, da nossa crise de identidade,ansiedade de linguagem e entorpecimento. Mas nas peças Endgame e Act without Words I de Samuel Beckett, o dramaturgo gradualmente capta a inutilidade da vida das personagens principais e a transformação das suas mentes e corpos numa coleção de objetos arquivados. Sem interagir com outras pessoas e por se autoencarcerarem estas personagens de Beckett esquecem-se o que é ser humano e tornam-se «uma não-coisa, nada». Pode haver um facto perturbador nesta realização, e, sem dúvida, até mesmo uma infeliz aliteração; mesmo assim, o que é ainda mais chocante é que estas personagens são paradigmáticas em relação ao que significa ter pisado uma aniquilação prematura ontológica e existencial. Estas são agora objetos abandonados entre outros objetos, uma espécie de coleção ineficaz. Com base nestes argumentos, este ensaio mostra uma tremenda influência de Beckett no desenvolvimento da teoria da descarnalizaçao e da desmaterialização do corpo e mente do povo, culminando na revolução tecnológica onde queremos ser empilhados dentro de incontáveis arquivos de computador. O principal argumento propõe uma reflexão sobre como podemos pôr em perigo a nossa sofisticação emocional e social, jogando este complicado «jogo» digital.
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Samuel Beckett was arguably one of the most influential writers of the 20th century. Known for his stage plays, including the renowned En attendant Godot (1948), Beckett’s contribution to the field of radio drama is often overlooked. His corpus of radio dramas included some of the most innovativeradio works of the post-World War II period. For Beckett, radio drama was not exclusively verbocentric, for he always maintained that his work was “a matter of fundamental sounds (no joke intended) made as fully as possible” (Frost 362). His (radio) drama aesthetics defined a strict hierarchy of sound whereby the dramatist balances sound effects, music and the characters’ dialogue – and the use of silence. In this essay, I examine the juxtaposition of sound and silence in Samuel Beckett’s most influential radio dramas: All That Fall, Embers, Words and Music and Cascando. In the end, this essay will show that the sounds and silence employed in Beckett’s radio dramatic works were inextricably linked, which added to the overall meaning of his dramas.