988 resultados para Jean-Baptiste du Tertre
Resumo:
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.
Resumo:
La publication de nombreuses œuvres, à la fois littéraires et picturales, entre 1870 et 1914, inspirées par l’épisode biblique du meurtre de Jean Baptiste par Salomé, s’inscrit dans une crise qui touche à cette époque, en Europe, aussi bien le sujet que la notion de représentation. Le mythe de Salomé permet de poursuivre une réflexion de nature littéraire, historique et esthétique concernant le processus d’autonomisation de l’art. À partir des sources bibliques et antiques, dans lesquelles Salomé et Jean Baptiste incarnent respectivement le monde païen en conflit avec le monde chrétien, ces deux personnages font graduellement leur entrée dans l’univers de la fiction. Ils sont au cœur de la transition d’une lecture transcendante — reliée particulièrement à la tradition catholique — de l’épisode tragique qui les unit, à une lecture immanente qui en fait deux instances purement esthétiques. La danseuse et le dernier des prophètes émergent dans la littérature et dans l’art occidentaux comme deux pôles symboliques, liés l’un à l’autre par différents types de relation, susceptibles d’être librement réinvestis par de nouvelles significations et à l’écart des conventions. Si, dans la première partie du XIXe siècle, Salomé et Jean Baptiste sont encore liés à leur sens orthodoxe, au tournant du siècle ils finissent par s’autonomiser de l’Écriture et donnent lieu à de multiples récritures et à des adaptations inattendues. Celles-ci ressortissent alors moins du blasphème à proprement parler que d’un témoignage emblématique d’une transformation du rapport que l’artiste entretient avec son œuvre. Celui-ci, en s’identifiant avec le prophète décollé, se mesure à l’œuvre d’art, qui est incarnée par Salomé. La relation entre Salomé et Jean Baptiste, dans ces diverses représentations, exprime et reflète le moment où art et littérature se reconnaissent comme fictions.
Resumo:
t. 1. Vie de Molière par Voltaire. L'étourdi. Le dépit amoureux. Les précieuses ridicules. Sganarelle. Don Garcie de Navarre.--t. 2 L'école des maris. Les fâcheux. L'ecole des femmes. La critique de L'école des femmes. L'impromptu de Versailles.--t. 3. La princesse d'Élide. Le mariage forcé. Don Juan, ou Le festin de pierre. L'amour médecin. Le misanthrope.--t. 4. Le médecin malgré lui. Mélicerte. Pastorale comique. Le Sicilien, ou L'amour peintre. Le tartuíe Amphitryon.--t. 5. George Dandin. L'avare. Monsieur de Pourceaugnac. Les amants magnifiques.--t. 6. Le bourgeois gentilhomme. Les fourberies de Scapin. Psyché.--t. 7. Les femmes sávantes. La comtesse d'Escarbagnas. Le malade imaginaire. La gloire du Val-de-Grace.
Resumo:
Depuis un certain nombre d'années, l'histoire régionale et l'histoire locale ont connu un essor considérable. La région des Cantons de l'Est et la ville de Sherbrooke, plus spécifiquement, n'échappent pas à cette orientation historiographique. Plusieurs thèses, mémoires ou études sont venus compléter notre connaissance de la réalité historique de Sherbrooke et de la région. Tous les aspects de l'histoire y trouvent leur compte, comme dans l'histoire nationale. Les historiens sortent de l'ombre les personnages et les événements qui ont marqué la vie politique, économique, religieuse, sociale et culturelle de la communauté qu'ils étudient. Ils ont ainsi raison du temps qui travaille contre la mémoire, collective comme individuelle. L'étude que je présente aujourd'hui s'inscrit dans la vague qui a poussé les historiens à éclairer le milieu où ils vivent et à concourir ainsi, de plus ou moins loin, à l'évaluation de l'histoire nationale déjà reçue. Môn mémoire consiste à présenter et à interpréter l'histoire de la Société St-Jean-Baptiste de Sherbrooke, une Société qui s'est très tôt inscrite dans le développement de la ville de Sherbrooke, puis du diocèse. On pourrait penser qu'il appartient à l'histoire sociale et culturelle uniquement. Mais l'orientation que la SSJB de Sherbrooke a prise au cours du 20e siècle et le climat politique dans lequel elle évolue depuis une vingtaine d'années, notamment, font que mon mémoire déborde largement l'aspect socio-culturel de l'histoire de Sherbrooke et du diocèse Saint-Michel. Il a donc une extension que je n'avais pas prévue au moment du choix de mon sujet.
Resumo:
Histories of Catholic education have received little attention by Church historians and are usually written by members of the Catholic clergy, with a strong emphasis placed on the spiritual and building accomplishments of the bishops. This thesis examines the provision of Catholic Education in Australasia, with a focus on the contribution of three men, Jean Baptiste Francois Pompallier, Thomas Arnold and Julian Edmund Tenison Woods. These men received support from the female religious orders in the regions where they worked, frequently with little recognition or praise by Catholic Church authorities. The tenets of their faith gave Pompallier and Woods strength and reinforced their determination to succeed. Arnold, however, possessed a strong desire to change society. All three believed in the desirability of providing Catholic schooling for the poor, with the curriculum facilitating the acquisition of socially desirable values and traits, including obedience, honesty, moral respectability and a strong adherence to Catholic religious values. The beneficiaries included society, future employers, the Church, the children and their parents. With the exception of promoting distinctly Catholic religious values, Roman Catholic schools and National schools in Australasia shared identical objectives. Historians have neglected the contributions of these men.
Resumo:
Contient : 8 « Finalis et ultima conclusio super controversia indultorum facta paulo ante adventum cardinalis Ferrariensis » ; 9 Lettre de Paris, novembre 1550, à « Monseigneur » ; 15 Lettre de « 1549 » à « Monseigneur » ; 23 « Mémoyre envoyé à monseigneur de Gyé, le XIXe de nobre 1548 » ; 24 « Memoire à monseigneur de Gyé de demander advis à monseigneur le caral de Guyse de ce qu'il aura à dire au roy de la part du caral Du Bellay » ; 25 « Ce qui a esté remonstré à nostre S. Père pour les decimes d'Escosse » ; 26 « Sommaire de ce que les deputez de nostre S. Père dirent à monseigr le caral Du Bellay, le VIe de juing ; envoyé au roy le XIIIIe de juing 1549 », par « l'ordinaire » ; 29 « Memoyre envoyé à monseigneur le connestable, le XIIIIe de may 1550, par l'ordinaire » ; 30 Autre, faisant suite audit mémoire ; 31 « Memoyre pour adjouster à celluy que j'envoiay le XIIe du present ; envoiay à monseigneur le connestable le XXVIIe de may ». Ce mémoire est relatif aux affaires de « Terracine » ; 32 Partie, semble-t-il, du mémoire qui précède ; 33 Autre mémoire au sujet desdites affaires ; 34 Autre pièce sur les mêmes affaires ; 35 « Memoyre baillé à Quenet le IIIIe de juillet 1549 » ; 48 Lettre « à monseigneur le chancellier. Du Xe de novembre » ; 50 « Nombre des personnes ordinaires de la maison de monseigneur Jean, cardinal Du Bellay »
Resumo:
Contient : 1 Minute d'une lettre à Henri d'Albret, roi de Navarre, du 3 juin 1549 ; 2 Minute d'une lettre à la reine Catherine de Médicis, de Rome, le 11 juin 1550
Resumo:
Contient : 35 Minute d'une lettre « à monseigr de Guyse, le XIIIIe de juing 1550 », envoyée par « l'ordinaire » ; 36 « Memoyre à monseigneur le cardinal de Guyse, le 1er jour de febvrier », et addition audit mémoire
Resumo:
Contient : 1 Deux lettres au pape ; 2 Une lettre « à monseigr le caral de Vendosme, le XXIXe de nobre 1548 » ; 3 Une lettre à « Monseigneur » ; 4 Une lettre à « monseigneur le cardinal de Ferrare, le XVIIIe de septembre 1548 » ; 5 Notes, en latin, relatives à des négociations avec la cour de Rome ; 6 Deux lettres, en latin, « à mons. le cardinal Maphée », Bernardin Maffei. 14 et 15 août 1551 ; 7 Lettre au sujet de négociations avec « monseigneur de Crescentiis », Marcel Crescentio ; 8 Lettre « à Mr le card. de Lorraine » ; 9 Note, en latin, pour le cardinal de Crescentiis, Marcel Crescentio ; 10 Trois lettres « à monseigneur le chancellier », François Olivier. 10 octobre 1545, 29 juillet 1548 et 11 juin 1550 ; 11 Lettre « à monseigneur » le maréchal « de Saint André. Le Xe de juing 1549 », par « l'ordinaire » ; 12 Deux lettres « à monseigneur d'Urfey ». 17 février 1548 n. st. et 14 août 1551 ; 13 Deux lettres « à monseigneur le prince de Melphe ». 9 et 26 janvier ; 14 Lettre « à monseigneur de Mascon », Pierre Du Chastel. « Le VIIe de janvier 1549 »-1550 n. st ; 15 Deux lettres « à monseigneur » Guillaume Du Bellay, sieur « de Langey », des 9 janvier 1548 n. st. et 9 janvier ; 16 Lettre « à monseigneur de Montluc ». Saint-Maur, 11 août 1551 ; 17 Lettre « à monseigneur de Morvillier ». Rome, 2 juin 1549 ; 18 Lettre adressée « à monseigneur le conte Ugassion de Rangon, le XIIIIe jour de janvier » ; 19 Lettre « au comte Ottobon Flisque ». Rome, le 24 juin ; 20 Lettre « à monseigneur l'abbé de Flavigny », Philibert Dugny. Rome, « le Xe de nobre 1548 », par « monseigneur de Gyé » ; 21 Lettre « à monseigneur » l'abbé « de S. Victor », Antoine Caraccioli. Rome, « le XXVe de juing ... 1550 », par « l'ordinaire » ; 22 Lettre, en latin, « reverendo domino abbati Sancti Maglorii, Parisiis... E Sancto Mauro, 8 cal. maii » ; 23 Lettre « à monseigneur l'abbé d'Ivry » ; 24 Lettre « au doyen de Paris », Jean Jouvenel Des Ursins. Glatigny, 16 juillet 1545. Copie ; 25 Lettre « à monss. de Neuilly ». St-Maur, 2 décembre ; 26 Deux lettres « à monseigneur de Manne ». 15 et 18 août 1551 ; 27 Lettre « au seigneur Marcel Paloue ». St-Maur, 14 août 1551. En latin ; 28 Lettre « à monseigneur de Fresse. Le XXIIIe de juin 1550 » ; 29 Lettre « à mons. le procureur du roy en Piedmont, le IIIe de juing 1549 » ; 30 Lettre « à monseigneur Bouchier, le XIIIIe d'aoust 1551 » ; 31 Deux lettres datées de St-Maur, le 23 mars 1545 n. st. ; la seconde est adressée à « monseigneur Du Buysson ». Copies ; 32 Lettre « à made » la duchesse « d'Estampes », en faveur du chancelier Poyet ; 33 Lettre « à madame » la duchesse « de Valentinoys ». Rome, 3 juin 1550 ; 34 Lettre à « madame » la duchesse de Valentinois (?) pour demander l'archevêché de Bordeaux
Resumo:
UANL
Resumo:
UANL