989 resultados para Cree Indians


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Au Canada, nous remarquons une prédominance du diabète de type 2 au sein des communautés autochtones. Une approche ethnobotanique est utilisée en collaboration avec la Nation Crie de Eeyou Istchee afin de déterminer quels traitements à base de plantes peuvent être utilisés pour contrer les différentes conditions qui, collectivement, forment le diabète. Les pharmacopées de deux communautés cries, soit celles de Waskaganish et de Nemaska, ont été établies puis comparées à celles de étudiées antérieurement : communautés Whapmagoostui et Mistissini. Malgré les différences géographiques de ces groupes, leurs utilisations sont majoritairement semblables, avec pour seule exception le contraste entre les communautés de Nemaska et de Whapmagoostui. De plus, nous avons complété l’évaluation du taux cytoprotecteur des aiguilles, de l’écorce et des cônes de l’épinette noire (Picea mariana). Les extraits provenant de tous les organes des plantes démontrent une protection qui dépend de la concentration. La réponse spécifique d’organes peut varier selon l’habitat; ainsi, les plantes poussant dans les tourbières ou dans les forêts, sur le littoral ou à des terres l’intérieur démontrent des différences quant à leur efficacité. Bref, l’écorce démontre une relation dose-effet plus forte dans la forêt littorale, tandis que les aiguilles n’indiquent pas de changements significatifs selon leur environnement de croissance. La bioactivité observée démontre une corrélation avec le contenu phénolique et non avec l’activité de l’agent antioxydant. Ces résultats contribuent à péciser les activités antidiabétiques des plantes de la forêt boréale canadienne, telles qu’identifiées au niveau cellulaire par les guérisseurs Cries.

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L’incidence du diabète chez les premières nations du Canada est plus de trois fois celle du reste du pays, dû, en partie, aux traitements culturellement inappropriés. Notre projet vise à traiter le diabète chez ces populations à partir de leur pharmacopée de médicine traditionnelle afin d’améliorer l’acceptation des traitements. En utilisant une approche ethnobotanique, notre équipe a identifié 17 plantes médicinales utilisées pour traiter des symptômes du diabète par les Cris d'Eeyou Istchee (Baie James, Québec). Parmi eux, l'extrait éthanolique de baies de Vaccinium vitis-idaea a montré un effet stimulateur sur le transport du glucose dans les cellules musculaires squelettiques et les adipocytes en culture. Le but de cette thèse était d’élucider les mécanismes par lesquels cet extrait exerce ses effets anti-hyperglycémiants, d’identifier ses principes actifs et de confirmer in vivo, son efficacité. Les résultats démontrent que V.vitis a augmenté le transport du glucose dans les cellules musculaires en cultures, C2C12 et L6 et a stimulé la translocation des transporteurs GLUT4 dans les cellules L6. L'extrait a également inhibé la respiration dans les mitochondries isolées du foie du rat. Cet effet est semblable à celui de la metformine et en lien avec la production du stress métabolique et l'activation de l'AMPK. De plus, la voie de signalisation de l’insuline ne semble pas être impliquée dans le mécanisme d’action de V. vitis. Le fractionnement guidé par la stimulation du transport du glucose a mené à l'isolation des principes actifs; la quercétine, la quercétine-3-O-galactoside, et la quercétine-3-O-glucoside. Comparable à l'extrait brut, ses composés ont stimulé la voie AMPK. Cependant, la quércetine était la seule à inhiber la respiration mitochondriale. Pour valider l'effet de V.vitis in vivo, l'extrait (1% dans l'eau de boisson) a été administré aux souris KKAy pendant 10 jours. La glycémie et le poids corporel ont été significativement réduits par V.vitis. Ces effets ont été associés à une diminution de la prise alimentaire, ce qui suggère que V.vitis diminue l'appétit. L'étude pair-fed a confirmé que les effets de V.vitis sont, majoritairement, dû à la réduction de l’appétit. De plus, V.vitis a augmenté la teneur en GLUT4 dans le muscle squelettique, a stimulé la iv phosphorylation de l'ACC et a augmenté les niveaux de PPAR-α dans le foie des souris KKAy. Ces effets se voient être additifs à l’effet anorexigène de V. vitis. Au cours du fractionnement bioguidé de l’extrait, l’ester méthylique de l'acide caféique (CAME), un produit formé lors de la procédure du fractionnement, a démontré un effet stimulateur puissant sur le transport du glucose dans les celules C2C12 et donc un potentiel anti-diabétique. Pour identifier d'autres acides caféique active (AC) et pour élucider leurs relations structure-activité et structure-toxicité, vingt dérivés AC ont été testés. Outre CAME, quatre composés ont stimulé le transport du glucose et ont activé l'AMPK suite au stress métabolique résultant d'un découplage de la phosphorylation oxydative mitochondriale. L’activité nécessite une fonction d’AC intacte dépourvu de groupements fortement ionisés et ceci était bien corrélée avec la lipophilicite et la toxicité. Les résultats de cette thèse soutiennent le potentiel thérapeutique de V. vitis, ses composés actifs ainsi que de la famille de l’AC et pour la prévention et le traitement du diabète.

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La prévalence de l’obésité, du diabète de type 2, et du syndrome métabolique, sont à la hausse chez les Cris d’Eeyou Istchee (CEI-Nord du Québec). Ces problèmes sont aggravés par leur diète non traditionnelle, leur sédentarité, ainsi que par une résistance culturelle aux produits pharmaceutiques. Afin de développer des traitements antidiabétiques culturellement adaptés, notre équipe a effectué une enquête ethnobotanique qui a identifié 17 plantes provenant de la pharmacopée traditionnelle des CEI. À partir des études de criblage effectuées in vitro, deux plantes parmi les 17 ont attiré notre attention. Populus balsamifera L. (Salicaceae) pour ses propriétés anti-obésité et Larix laricina K. Koch (Pinaceae) pour ses propriétés antidiabétiques. P. balsamifera et son composé actif salicortin ont inhibé l’accumulation de triglycérides durant l’adipogénèse dans les adipocytes 3T3-L1. L. laricina a augmenté le transport de glucose et l’activation de l’AMPK dans les cellules musculaires C2C12, l’adipogénèse dans les 3T3-L1 et a démontré un fort potentiel découpleur (propriété anti-obésité). Les objectifs de cette thèse sont d'évaluer les potentiels anti-obésité et antidiabétique et d’élucider les mécanismes d'action de P. balsamifera, salicortin, et L. laricina chez la souris C57BL/6 rendue obèse par une diète riche en gras (HFD). Les souris ont été soumises pendant huit (étude préventive) ou seize semaines (étude traitement) à une HFD, ou à une HFD dans laquelle P. balsamifera, salicortin, ou L. laricina a été incorporé soit dès le départ (prévention), ou dans les 8 dernières des 16 semaines d'administration de HFD (traitement). iv Les résultats démontrent que P. balsamifera (dans les deux études) et salicortin (évalué dans l’étude traitement) diminuent: le poids corporel, le gras rétropéritonéal, la sévérité de la stéatose et l’accumulation de triglycérides hépatique (ERK impliqué), les niveaux de glycémie et d'insuline, et le ratio leptine/adiponectine. Dans les deux études, P. balsamifera a significativement réduit la consommation de nourriture mais cet effet coupe-faim nécessite d’être approfondi. Dans l'étude préventive, P. balsamifera a augmenté la dépense énergétique (hausse de la température à la surface de la peau et de l’activation de la protéine découplante-1; UCP-1). Les voies de signalisation activées par P. balsamifera et par salicortin (de façon plus modeste) sont impliquées dans: la production de glucose hépatique (Akt), l’expression de Glut4 dans le muscle squelettique, la captation du glucose et du métabolisme des lipides (Akt dans le tissu adipeux), la différenciation des adipocytes (ERK et PPARg), l’inflammation dans le foie (IKKαβ), et l'oxydation des acides gras dans le muscle, le foie, ou le tissu adipeux (PPARa et CPT-1). D’autre part, L. laricina a également diminué les niveaux de glycémie et d’insuline, le ratio leptine/adiponectine, le gras rétropéritonéal et le poids corporel. Ces effets ont été observés en conjonction avec une augmentation de la dépense énergétique: hausse de température à la surface de la peau (prévention) et amélioration de la fonction mitochondriale et de la synthèse d'ATP (traitement). En conclusion, l’utilisation de P. balsamifera, salicortin et L. laricina comme des traitements alternatifs et culturellement adaptés aux CEI représente une contribution importante dans la prévention et le traitement de l’obésité et du diabète.

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Nous avons utilisé une approche ethnobotanique pour identifier des espèces de plantes utilisées par les Cris afin de traiter les symptômes du diabète de type 2. Larix laricina du Roi (L. laricina) a récemment été identifiée comme une des meilleures plantes qui a stimulé le transport de glucose dans les cellules C2C12 et fortement potentialisé la différenciation des 3T3-L1 en indiquant une sensibilité potentiellement accrue à l’insuline. Ensuite, ces études de criblage ont été effectuées sur des extraits éthanolique (EE) en utilisant une série de bioessais in vitro. Cependant, les préparations traditionnelles des plantes sont souvent faites avec l’eau chaude. Le but de cette thèse de doctorat était d’isoler les principes actifs de L. laricina par un fractionnement guidé par l’adipogenèse; d’évaluer et de comparer l’activité et les mécanismes antidiabétiques des EE et des extraits aqueux (HWE) de ces 17 plantes. Pour le fractionnement de L. laricina, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau composé actif cycloartane triterpene, qui a amélioré fortement l’adipogenèse et a été responsable en partie de l’activité adipogénique (potentiellement similaire à l’effet sensibilisateur à l’insuline des glitazone) de l’extrait éthanolique issu de l’écorce de L. laricina. Pour le métabolisme lipidique, nos résultats ont confirmé que 10 parmi les 17 EE ont augmenté la différenciation des adipocytes alors que 2 extraits seulement l’ont inhibée. Les HWE ont montré une faible activité adipogénique ou antiadipogénique. Les EE de R. groenlandicum et K. angustifolia ont le PPAR γ (peroxisome proliferator-activated receptor γ), le SREBP-1 (sterol regulatory element binding protein-1) et le C/EBP (CCAAT-enhancer binding proteins) α, alors que ceux de P. balsamifera et A. incana les ont inhibés. L’effet inhibiteur de P. balsamifera a également été prouvé d’avoir impliqué l’activation de la protéine kinase activée par l’AMP (AMPK). Les EE et HWE de R. groenlandicum ont stimulé les mêmes facteurs de transcription alors que les extraits aqueux d’autres plantes sélectionnées ont perdu ces effets en comparaison avec leurs extraits éthanoliques respectifs. L’analyse phytochimique a également identifié le groupe des espèces actives et inactives, notamment lorsque les espèces ont été séparées par famille de plante. Finalement concernant l’homéostasie de glucose, nos résultats ont confirmé que plusieurs EE ont stimulé le transport de glucose musculaire et inhibé l’activité de la glucose-6-phosphatase (G6Pase) hépatique. Certains des HWE ont partiellement ou complètement perdu ces activités antidiabétiques par rapport aux EE, tandis qu’une seule plante (R.groenlandicum) a juste conservé un potentiel similaire entre les EE et HWE dans les deux essais. Dans les cellules musculaires, les EE de R.groenlandicum, A. incana et S. purpurea ont stimulé le transport de glucose en activant la voie de signalisation de l’AMPK et en augmentant le niveau d’expression des GLUT4. En comparaison avec les EE, les HWE de R.groenlandicum ont montré des activités similaires; les HWE de A. incana ont complètement perdu leur effet sur tous les paramètres étudiés; les HWE de S. purpurea ont activé la voie de l’insuline au lieu de celle de l’AMPK pour augmenter le transport de glucose. Dans les cellules H4IIE, les EE et HWE des 5 plantes ont activé la voie de l’AMPK, et en plus les EE et HWE de 2 plantes ont activé la voie de l’insuline. La quercétine-3-O-galactoside et la quercétine 3-O-α-L-arabinopyranoside ont été identifiées comme des composés ayant un fort potentiel antidiabétique et donc responsables de l'activité biologique des plantes HWE actifs avec le transport du glucose. En conclusion, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau triterpène actif à partir du fractionnement de L. laricina. Nous avons fourni également une preuve directe pour l'évaluation et la comparaison d'une action analogue à l'insuline ou insulino-sensibilisateur des EE et HWE de plantes médicinales Cris au niveau de muscle, de foie et de tissus adipeux. Une partie de leur action peut être liée à la stimulation des voies de signalisation intracellulaire insulino-dépendante et non-insulino-dépendante, ainsi que l’activation de PPARγ. Nos résultats indiquent que les espèces de plantes, les tissus ou les cellules cibles, ainsi que les méthodes d'extraction sont tous des déterminants significatifs de l'activité biologique de plantes médicinales Cris sur le métabolisme glucidique et lipidique.

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Considera que los medios de comunicación no deben convertirse en un peligro público. Por ello, considera que la Sociedad en general y el sistema educativo deben convertir a los medios de comunicación en instrumentos indispensables que sirvan de mediadores entre la sociedad y el ciudadano. Propone que al igual que se dedica bastante tiempo a la literatura escrita, habrá que dedicar tiempo al análisis de mensajes icónicos, que nos vienen dados por medio de la televisión, que es el medio que más ha penetrado en los hogares, en la calle y en los centros de enseñanza.

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Orden Ministerial por la que se aprobaba la creación de una residencia escolar aneja a la Casa Forestal del monte 'Pinar y Agregados de Cercedilla', que dependía de la Escuela Especial de Ingenieros de Montes, con el fin de que los alumnos ingenieros pudieran llevar a cabo los trabajos de conocimiento de las distintas especies arbóreas.

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BACKGROUND: this study examined the association of -866G/A, Ala55Val, 45bpI/D, and -55C/T polymorphisms at the uncoupling protein (UCP) 3-2 loci with type 2 diabetes in Asian Indians. METHODS: a case-control study was performed among 1,406 unrelated subjects (487 with type 2 diabetes and 919 normal glucose-tolerant [NGT]), chosen from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study, an ongoing population-based study in Southern India. The polymorphisms were genotyped using polymerase chain reaction-restriction fragment length polymorphism and direct sequencing. Haplotype frequencies were estimated using an expectation-maximization algorithm. Linkage disequilibrium was estimated from the estimates of haplotypic frequencies. RESULTS: the genotype (P = 0.00006) and the allele (P = 0.00007) frequencies of Ala55Val of the UCP2 gene showed a significant protective effect against the development of type 2 diabetes. The odds ratios (adjusted for age, sex, and body mass index) for diabetes for individuals carrying Ala/Val was 0.72, and that for individuals carrying Val/Val was 0.37. Homeostasis insulin resistance model assessment and 2-h plasma glucose were significantly lower among Val-allele carriers compared to the Ala/Ala genotype within the NGT group. The genotype (P = 0.02) and the allele (P = 0.002) frequencies of -55C/T of the UCP3 gene showed a significant protective effect against the development of diabetes. The odds ratio for diabetes for individuals carrying CT was 0.79, and that for individuals carrying TT was 0.61. The haplotype analyses further confirmed the association of Ala55Val with diabetes, where the haplotypes carrying the Ala allele were significantly higher in the cases compared to controls. CONCLUSIONS: Ala55Val and -55C/T polymorphisms at the UCP3-2 loci are associated with a significantly reduced risk of developing type 2 diabetes in Asian Indians.

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BACKGROUND: The gene encoding for uncoupling protein-1 (UCP1) is considered to be a candidate gene for type 2 diabetes because of its role in thermogenesis and energy expenditure. The objective of the study was to examine whether genetic variations in the UCP1 gene are associated with type 2 diabetes and its related traits in Asian Indians. METHODS: The study subjects, 810 type 2 diabetic subjects and 990 normal glucose tolerant (NGT) subjects, were chosen from the Chennai Urban Rural Epidemiological Study (CURES), an ongoing population-based study in southern India. The polymorphisms were genotyped using the polymerase chain reaction-restriction fragment length polymorphism (PCR-RFLP) method. Linkage disequilibrium (LD) was estimated from the estimates of haplotypic frequencies. RESULTS: The three polymorphisms, namely -3826A-->G, an A-->C transition in the 5'-untranslated region (UTR) and Met229Leu, were not associated with type 2 diabetes. However, the frequency of the A-C-Met (-3826A-->G-5'UTR A-->C-Met229Leu) haplotype was significantly higher among the type 2 diabetic subjects (2.67%) compared with the NGT subjects (1.45%, P < 0.01). The odds ratio for type 2 diabetes for the individuals carrying the haplotype A-C-Met was 1.82 (95% confidence interval, 1.29-2.78, P = 0.009). CONCLUSIONS: The haplotype, A-C-Met, in the UCP1 gene is significantly associated with the increased genetic risk for developing type 2 diabetes in Asian Indians.

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Adiponectin is an adipose tissue specific protein that is decreased in subjects with obesity and type 2 diabetes. The objective of the present study was to examine whether variants in the regulatory regions of the adiponectin gene contribute to type 2 diabetes in Asian Indians. The study comprised of 2,000 normal glucose tolerant (NGT) and 2,000 type 2 diabetic, unrelated subjects randomly selected from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study (CURES), in southern India. Fasting serum adiponectin levels were measured by radioimmunoassay. We identified two proximal promoter SNPs (-11377C-->G and -11282T-->C), one intronic SNP (+10211T-->G) and one exonic SNP (+45T-->G) by SSCP and direct sequencing in a pilot study (n = 500). The +10211T-->G SNP alone was genotyped using PCR-RFLP in 4,000 study subjects. Logistic regression analysis revealed that subjects with TG genotype of +10211T-->G had significantly higher risk for diabetes compared to TT genotype [Odds ratio 1.28; 95% Confidence Interval (CI) 1.07-1.54; P = 0.008]. However, no association with diabetes was observed with GG genotype (P = 0.22). Stratification of the study subjects based on BMI showed that the odds ratio for obesity for the TG genotype was 1.53 (95%CI 1.3-1.8; P < 10(-7)) and that for GG genotype, 2.10 (95% CI 1.3-3.3; P = 0.002). Among NGT subjects, the mean serum adiponectin levels were significantly lower among the GG (P = 0.007) and TG (P = 0.001) genotypes compared to TT genotype. Among Asian Indians there is an association of +10211T-->G polymorphism in the first intron of the adiponectin gene with type 2 diabetes, obesity and hypoadiponectinemia.

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The objective of this study was to evaluate the association of PPARG coactivator1 alpha (PPARGC1A), peroxisome proliferator activated receptor gamma (PPARG), and uncoupling protein1 (UCP1) gene polymorphisms with the metabolic syndrome (MS) in an Asian Indian population. Nine common polymorphisms were genotyped via polymerase chain reaction restriction fragment length polymorphism and direct sequencing in 950 normal glucose-tolerant subjects and 550 type 2 diabetic subjects, chosen randomly from the Chennai Urban Rural Epidemiological Study, an ongoing population based study in Southern India. Among the 9 polymorphisms examined, only the Thr394Thr variant of the PPARGC1A gene was significantly associated with diabetes and obesity. The genotype frequency of GA of Thr394Thr variant was 16% (138/887) in the nonMS group and 22% (136/613) in the MS group, and this genotype frequency was significantly higher with MS both in males (p = 0.01) and females (p = 0.05), compared to the without-MS group. Logistic regression analysis revealed that the odds ratio for MS for the susceptible genotype GA of Thr394Thr was 1.411 [95% CI: 1.03-1.84, p = 0.012]. In the multiple logistic regression analysis, however, there was no association of this polymorphism as an independent factor with MS. Hence, the study shows that the polymorphisms in the PPARGC1A, PPARG and UCP1 genes are not associated with MS in Asian Indians.

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AIMS: The aim of the study was to investigate the association of serum adiponectin levels with the Pro12Ala polymorphism of the peroxisome proliferator activated receptor-gamma (PPARG) gene in Asian Indians. METHODS: We selected 400 diabetic subjects, 200 with the Pro12Pro genotype (100 male and 100 female) and 200 with the Pro12Ala genotype (100 male and 100 female) and 400 age- and sex-matched normal glucose tolerance subjects with similar genotype profiles from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study. Fasting serum adiponection levels were measured using radioimmunoassay. The Pro12Ala polymorphism was genotyped by PCR-restriction fragment length polymorphism using BstUI. RESULTS: All clinical and biochemical parameters were similar in the subjects with the Pro12Pro and Pro12Ala genotypes. There was no significant difference in serum adiponectin values between subjects with the Pro12Pro and Pro12Ala genotypes (males 5.4 vs. 5.8 microg/ml, P = 0.546; females 6.9 vs. 7.2 microg/ml, P = 0.748). Adiponectin values did not differ among these two genotypes even when categorized based on their diabetes status (normal glucose tolerance Pro12Pro 7.9 vs. Pro12Ala 7.7 microg/ml, P = 0.994; diabetes Pro12Pro 4.7 vs. Pro12Ala 5.4 microg/ml, P = 0.622). CONCLUSION: The Pro12Ala polymorphism of the PPARG gene is not associated with serum adiponectin levels in Asian Indians.

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The intestinal fatty acid-binding protein gene is proposed as a candidate gene for diabetes because the protein it codes is involved in fatty acid absorption and metabolism. This study investigates the association of the Ala54Thr variant of the intestinal fatty acid-binding protein gene on type 2 diabetes mellitus and other related metabolic traits in Asian Indians. Ala54Thr polymorphism was genotyped by using polymerase chain reaction-restriction fragment length polymorphism in unrelated 773 type 2 diabetic and 899 normal glucose-tolerant (NGT) subjects, randomly chosen from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study, an ongoing population-based study in South India. The Ala54Thr polymorphism was not associated with type 2 diabetes mellitus or obesity. However, genotype-phenotype study revealed that the NGT subjects carrying the Thr54 allele had significantly higher 2-hour plasma glucose (P = .007), glycated hemoglobin (P = .004), 2-hour insulin (P = .027), and fasting low-density lipoprotein cholesterol (P = .032) levels compared with those with the Ala54 allele. Normal glucose-tolerant subjects with Ala54Thr and Thr54Thr genotypes had significantly higher fasting serum triglyceride levels (P = .003) compared with those with Ala54Ala. The subjects were stratified into those with hypertriglyceridemia (serum triglyceride levels >or=150 mg/dL) and those without. The odds ratio for hypertriglyceridemia for the individuals carrying the Ala54Thr genotype was 1.491 (95% confidence interval [CI], 1.22-1.83, P < .0001), and for those carrying the Thr54Thr genotype, it was 1.888 (95% CI, 1.34-2.67; P < .0001). Subjects were also stratified into those with metabolic syndrome (MS) and those without, according to modified Adult Treatment Panel III guidelines. The odds ratio (adjusted for age and sex) for MS for the individuals carrying the Ala54Thr genotype was 1.240 (95% CI, 1.02-1.51; P = .03), whereas for those carrying the Thr54Thr genotype, it was 1.812 (95% CI, 1.28-2.57; P = .001). Carriers of the Thr54 allele have associations with MS and hypertriglyceridemia in this urban South Indian population.

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OBJECTIVE: To evaluate whether polymorphisms in the peroxisome proliferator-activated receptor-gamma coactivator-1 alpha (PPARGC1A) gene were related to body fat in Asian Indians. METHODS: Three polymorphisms of PPARGC1A gene, the Thr394Thr, Gly482Ser and +A2962G, were genotyped on 82 type 2 diabetic and 82 normal glucose tolerant (NGT) subjects randomly chosen from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study using PCR-RFLP, and the nature of the variants were confirmed using direct sequencing. Linkage disequilibrium (LD) was estimated from the estimates of haplotypic frequencies using an expectation-maximization algorithm. Visceral, subcutaneous and total abdominal fat were measured using computed tomography, whereas dual X-ray absorptiometry was used to measure central abdominal and total body fat. RESULTS: None of the three polymorphisms studied were in LD. The genotype (0.59 vs 0.32, P=0.001) and allele (0.30 vs 0.17, P=0.007) frequencies of Thr394Thr polymorphism were significantly higher in type 2 diabetic subjects compared to those in NGT subjects. The odds ratio for diabetes (adjusted for age, sex and body mass index) for the susceptible genotype, XA (GA+AA) of Thr394Thr polymorphism, was 2.53 (95% confidence intervals: 1.30-5.04, P=0.009). Visceral and subcutaneous fat were significantly higher in NGT subjects with XA genotype of the Thr394Thr polymorphism compared to those with GG genotype (visceral fat: XA 148.2+/-46.9 vs GG 106.5+/-51.9 cm(2), P=0.001; subcutaneous fat: XA 271.8+/-167.1 vs GG 181.5+/-78.5 cm(2), P=0.001). Abdominal (XA 4521.9+/-1749.6 vs GG 3445.2+/-1443.4 g, P=0.004), central abdominal (XA 1689.0+/-524.0 vs GG 1228.5+/-438.7 g, P<0.0001) and non-abdominal fat (XA 18763.8+/-8789.4 vs GG 13160.4+/-4255.3 g, P<0.0001) were also significantly higher in the NGT subjects with XA genotype compared to those with GG genotype. The Gly482Ser and +A2962G polymorphisms were not associated with any of the body fat measures. CONCLUSION: Among Asian Indians, the Thr394Thr (G --> A) polymorphism is associated with increased total, visceral and subcutaneous body fat.