973 resultados para B lymphocytes


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Background In angioimmunoblastic T-cell lymphoma, symptoms linked to B-lymphocyte activation are common, and variable numbers of CD20(+) large B-blasts, often infected by Epstein-Barr virus, are found in tumor tissues. We postulated that the disruption of putative B-T interactions and/or depletion of the Epstein-Barr virus reservoir by an anti-CD20 monoclonal antibody (rituximab) could improve the clinical outcome produced by conventional chemotherapy. DESIGN AND METHODS: Twenty-five newly diagnosed patients were treated, in a phase II study, with eight cycles of rituximab + chemotherapy (R-CHOP21). Tumor infiltration, B-blasts and Epstein-Barr virus status in tumor tissue and peripheral blood were fully characterized at diagnosis and were correlated with clinical outcome. RESULTS: A complete response rate of 44% (95% CI, 24% to 65%) was observed. With a median follow-up of 24 months, the 2-year progression-free survival rate was 42% (95% CI, 22% to 61%) and overall survival rate was 62% (95% CI, 40% to 78%). The presence of Epstein-Barr virus DNA in peripheral blood mononuclear cells (14/21 patients) correlated with Epstein-Barr virus score in lymph nodes (P<0.004) and the detection of circulating tumor cells (P=0.0019). Despite peripheral Epstein-Barr virus clearance after treatment, the viral load at diagnosis (>100 copy/μg DNA) was associated with shorter progression-free survival (P=0.06). Conclusions We report here the results of the first clinical trial targeting both the neoplastic T cells and the microenvironment-associated CD20(+) B lymphocytes in angioimmunoblastic T-cell lymphoma, showing no clear benefit of adding rituximab to conventional chemotherapy. A strong relationship, not previously described, between circulating Epstein-Barr virus and circulating tumor cells is highlighted.

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The tumor necrosis factor (TNF) family member B cell activating factor (BAFF) binds B cells and enhances B cell receptor-triggered proliferation. We find that B cell maturation antigen (BCMA), a predicted member of the TNF receptor family expressed primarily in mature B cells, is a receptor for BAFF. Although BCMA was previously localized to the Golgi apparatus, BCMA was found to be expressed on the surface of transfected cells and tonsillar B cells. A soluble form of BCMA, which inhibited the binding of BAFF to a B cell line, induced a dramatic decrease in the number of peripheral B cells when administered in vivo. Moreover, culturing splenic cells in the presence of BAFF increased survival of a percentage of the B cells. These results are consistent with a role for BAFF in maintaining homeostasis of the B cell population.

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Le virus Epstein-Barr (VEB) est fortement associé au développement de syndromes lymphoprolifératifs (SLP) en greffe pédiatrique. Ce virus a la capacité d’immortaliser les lymphocytes B et de provoquer leur prolifération incontrôlée chez l’hôte immunodéprimé. Plusieurs études démontrent que le cycle lytique du virus jouerait un rôle primordial dans la genèse des SLP en produisant des particules virales pouvant infecter les cellules B adjacentes. Chez un individu immunodéprimé, ces cellules B nouvellement infectées peuvent donner naissance à une expansion lymphocytaire. Le projet présenté dans ce mémoire fait partie d’un programme de recherche visant à élucider le rôle de l’infection productive par le VEB dans le développement des SLP. L’objectif précis de ce projet est de développer un anticorps monoclonal chimère contre la glycoprotéine gp350 du VEB dans le but de neutraliser le virus et d’ainsi prévenir son entrée dans les cellules B. Notre laboratoire a construit une version chimère de l’anticorps monoclonal murin 72A1, lequel se lie à la gp350 et bloque l’infection. Les premiers essais ont révélé la présence de chaînes non fonctionnelles (aberrantes) dans l’hybridome produisant l’anticorps 72A1. La construction de la chaîne légère authentique est maintenant complète alors que celle de la chaîne lourde est toujours en cours. Le processus de caractérisation de l’anticorps chimère inclura des essais de cytotoxicité à médiation cellulaire dépendante des anticorps (ADCC). Dans cette optique, une lignée cellulaire exprimant de façon stable la gp350 a été établie. Notre anticorps chimère anti-gp350 pourrait éventuellement être utilisé comme thérapie préventive chez les greffés présentant un risque élevé de SLP en empêchant l’infection des cellules B adjacentes.

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Les maladies autoimmunes sont des affections chroniques, le plus souvent invalidantes, qui touchent plus de 5% de la population dans les pays développés. L’autoimmunité résulte de la rupture des mécanismes de tolérance du système immunitaire vis-à-vis des autoantigènes exprimés par les tissus de l’organisme, entraînant la destruction d’un ou de plusieurs organes-cibles par les lymphocytes T et/ou B. L’hépatite autoimmune et le diabète autoimmun se caractérisent par la destruction sélective des hépatocytes et des cellules beta pancréatiques, respectivement. De plus en plus d’arguments suggèrent une implication des lymphocytes T CD8+ dans le déclenchement, la progression et la régulation des réponses associées à plusieurs maladies autoimmunes. Dans ce projet, nous avons suivi l’évolution de clones de lymphocytes T CD8+ spécifiques à un antigène particulier dont le site d’expression différait. Pour ce faire, nous avons développé deux nouveaux modèles murins double transgéniques par croisement entre une lignée de souris exprimant un TCR transgénique spécifique à la nucléoprotéine (NP) du virus de la chorioméningite lymphocytaire (LCMV), et une souris exprimant cette NP-LCMV : 1) uniquement dans les hépatocytes (modèle d’hépatite autoimmune), ou 2) simultanément dans le thymus et le pancréas (modèle de diabète autoimmun). L’avidité fonctionnelle des lymphocytes T CD8+ spécifiques à la NP chez les souris TCR transgéniques était inversement proportionnelle au niveau d’expression du TCR. Le répertoire lymphocytaire dans le thymus, la rate, les ganglions et le sang périphérique a été caractérisé pour chacune des lignées de souris double transgéniques, de même que la capacité fonctionnelle et le phénotype (marqueurs d’activation/mémoire) des lymphocytes T CD8+ autoréactifs. Chacun des deux nouveaux modèles présentés dans cette étude ont montré que les lymphocytes T CD8+ spécifiques à la NP sont aptes à briser la tolérance centrale et périphérique et à provoquer une réaction d’autoimmunité spontanée. Dans le modèle d’hépatite autoimmune, où l’expression de l’autoantigène était restreinte au foie, la surexpression du TCR transgénique a entraîné une délétion thymique quasi-totale des lymphocytes T CD8+ spécifiques à la NP prévenant le développement d’une hépatite spontanée. alors qu’un niveau de TCR comparable à celui d’une souris de type sauvage a permis une sélection positive des lymphocytes autoréactifs qui se sont accumulés dans le foie où ils se sont activés pour provoquer une hépatite autoimmune spontanée. Dans le modèle de diabète autoimmun, où l’autoantigène était exprimé dans le pancréas et le thymus, les souris des deux lignées double transgéniques ont montré une délétion thymique partielle, peu importe le niveau d’expression du TCR. Seuls les mâles adultes développaient un diabète spontané et une partie de leurs lymphocytes T CD8+ exprimaient une combinaison particulière de marqueurs d’activation/mémoire (CD44, CD122, PD-1). Cette population lymphocytaire était absente chez les souris femelles et les mâles sains. L’étude de la tolérance des lymphocytes T CD8+ autoréactifs dans nos deux nouveaux modèles murins double transgéniques a permis d’identifier des mécanismes alternatifs possiblement impliqués dans la tolérance et l’activation, et de mieux comprendre le rôle des lymphocytes T CD8+ autoréactifs dans le processus autoimmun menant à l’hépatite autoimmune et au diabète autoimmun. Ces découvertes seront utiles pour développer de nouvelles approches thérapeutiques ciblant les lymphocytes T CD8+ autoréactifs.

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Lors d’une infection par un pathogène, des lymphocytes T CD8+ naïfs (LTn) spécifiques de l’antigène sont activés, prolifèrent et se différencient en LT effecteurs (LTe). Les LTe produisent différentes cytokines et acquièrent une activité cytotoxique menant à l’élimination du pathogène. Seulement 5 à 10 % des LTe survivront et se différencieront en LT mémoires (LTm), qui sont capables de répondre plus rapidement lors d’une seconde infection par le même pathogène, contribuant au succès de la vaccination. Toutefois, la compréhension de l’ensemble des mécanismes régulant le développement des LTe et des LTm demeure incomplète. Afin de mieux comprendre les signaux requis pour la différenciation des LT CD8+ lors de la réponse immune, nous avons posé deux hypothèses. Nous avons d’abord proposé que différentes cellules présentatrices d’antigène (CPA) fournissent différents signaux au moment de la reconnaissance antigénique influençant ainsi le devenir des LT CD8+. Vu leur potentiel d’utilisation en immunothérapie, nous avons comparé la capacité d’activation des LT CD8+ par les lymphocytes B activés via le CD40 (CD40-B) et les cellules dendritiques (CD). Nous avons montré que l’immunisation avec des CD40-B induit une réponse effectrice mais, contrairement à l’immunisation avec des CD, pratiquement aucun LTm n’est généré. Les LTe générés sont fonctionnels puisqu’ils sécrètent des cytokines, ont une activité cytotoxique et contrôlent une infection avec Listeria monocytogenes (Lm). Nous proposons qu’une sécrétion plus faible de cytokines par les CD40 B ainsi qu’une interaction plus courte et moins intime avec les LT CD8+ comparativement aux CD contribuent au défaut de différenciation des LTm observé lors de la vaccination avec les CD40-B. Ensuite, nous posé l’hypothèse que, parmi les signaux fournis par les CPA au moment de la reconnaissance antigénique, la voie de signalisation Notch influence le développement des LTe, mais aussi des LTm CD8+ en instaurant un programme génétique particulier. D’abord, grâce à un système in vitro, le rôle de la signalisation Notch dans les moments précoces suivant l’activation du LT CD8+ a été étudié. Ce système nous a permis de démontrer que la voie de signalisation Notch régule directement l’expression de la molécule PD-1. Ensuite, grâce à des souris où il y a délétion des récepteurs Notch1 et Notch2 seulement chez les LT CD8+ matures, un rôle de la voie de signalisation Notch dans la réponse immune des LT CD8+ a été démontré. Nos résultats démontrent que suite à une infection avec Lm ou à une immunisation avec des CD, la signalisation Notch favorise le développement de LTe, exprimant fortement KLRG1 et faiblement CD127, destinés à mourir par apoptose. Toutefois, la signalisation Notch n’a pas influencé la génération de LTm. De façon très intéressante, l’expression des récepteurs Notch influence la production d’IFN- en fonction du contexte d’activation. En effet, suite à une infection avec Lm, l’absence des récepteurs Notch n’affecte pas la production d’IFN- par les LTe, alors qu’elle est diminuée suite à une immunisation avec des CD suggérant un rôle dépendant du contexte pour la voie de signalisation Notch. Nos résultats permettent une meilleure compréhension des signaux fournis par les différentes CPA et de la voie de signalisation Notch, donc des mécanismes moléculaires régulant la différenciation des LT CD8+ lors de la réponse immunitaire, ce qui pourrait ultimement permettre d’améliorer les stratégies de vaccination.

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Streptococcus suis et Streptococcus du groupe B (GBS) sont deux bactéries encapsulées qui induisent des pathologies similaires chez l’homme et/ou l’animal, incluant septicémies et méningites. La capsule polysaccharidique (CPS) est un facteur de virulence clé de ces deux pathogènes et les anticorps (Ac) anti-CPS présentent un bon potentiel protecteur. Néanmoins, ces molécules sont faiblement immunogéniques et les mécanismes de la génération de la réponse humorale anti-CPS demeurent méconnus. L’objectif principal de cette thèse était d’évaluer les caractéristiques et les mécanismes du développement de la réponse Ac dirigée spécifiquement contre les CPS de S. suis et GBS, ainsi que l’effet de la biochimie de la CPS dans cette réponse. Nous avons étudié S. suis types 2 et 14 et GBS types III et V, dont les CPS présentent plusieurs similarités dans leurs compositions et leurs structures, incluant la présence d’acide sialique, un sucre potentiellement immunosuppresseur, tout en possédant une antigénicité propre. Nous avons tout d’abord analysé la nature de la réponse Ac anti-CPS sérique face à la bactérie entière. Les souris infectées par S. suis développent une réponse très faible (S. suis type 2) voire insignifiante (S. suis type 14) de profil isotypique restreint à l’IgM et sont incapables de monter une réponse mémoire efficace face à une seconde infection. Un profil similaire est obtenu chez le porc infecté par S. suis type 2. On détecte des titres d’IgM anti-CPS significatifs chez les souris infectées par GBS (type III ou V). Toutefois, la magnitude de la réponse reste globalement faible et aucune commutation de classe n’est observée. Nous avons ensuite examiné l’influence de la biochimie de la CPS sur ces profils de réponse en conduisant des expériences avec la CPS hautement purifiée de ces pathogènes. Tandis que la CPS de GBS type III administrée aux souris conserve des propriétés immunogéniques similaires à celles observées durant l’infection par la bactérie intacte, les CPS de S. suis type 2 et GBS type V perdent toute capacité à induire une réponse Ac spécifique. L’analyse de l’interaction in vitro des CPS avec les cellules dendritiques (DC) murines, des acteurs clés dans la détection des pathogènes et l’orchestration des réponses immunitaires subséquentes, révèle que ces molécules stimulent la production de niveaux conséquents de chémokines via différents récepteurs. Néanmoins, les CPS sont inaptes à induire la sécrétion de cytokines et elles interfèrent avec la capacité des DC à exprimer BAFF, une cytokine clé dans la différenciation des lymphocytes B en plasmocytes. L’utilisation de CPS chimiquement désialylées démontre que l’acide sialique ne joue aucun rôle immunosuppresseur majeur dans le développement de la réponse Ac dirigée contre les CPS purifiées de S. suis ou GBS, ni sur l’interaction des CPS avec les DC in vitro, ni sur profil de la réponse in vivo. D’autres propriétés biochimiques intrinsèques à ces CPS seraient responsables de l’inaptitude de l’hôte infecté à monter une réponse Ac adéquate et les identifier constituera un outil précieux pour une meilleure compréhension de l’immunopathogénèse de S. suis et GBS ainsi que pour développer des moyens de lutte efficaces contre ces bactéries.

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The mechanisms by which arthritis-provoking pathogens such as Yersinia enterocolitica interact with the human immune system to produce inflammatory synovitis are not well known. One of the immunomodulating mechanisms used against these pathogens is the polyclonal activation of lymphocytes. In this study, we investigated the extent of the B-lymphocyte activation induced in mice by a strain of Y. enterocolitica O:3 (FCF 526) isolated from a patient with arthritis, and compared it with two other strains, a virulent one (FCF 397[+]) isolated from a patient without arthritis and its plasmidless isogenic pair (FCF397[-]). Also we investigated the production of autoantibodies in mice infected with these different strains. SPF Swiss mice were infected intravenously with a suspension of Y. enterocolitica . Spleen cells were taken on days 7, 14, 21 and 28 after infection and the number of cells secreting nonspecific and specific antibodies of IgG 1 , IgG 2a , IgG 2b , IgG 3 , IgM and IgA isotypes were determined by the ELISPOT technique. The presence of autoantibodies in mouse serum was investigated by the dot-blot assay. The pattern of infection of the three bacterial strains were almost the same. We observed a general increase in the number of nonspecific Ig-secreting cells with all three strains, and the greatest increases observed were in the IgG 2a and IgG 3 isotypes. Only a small fraction of the immunoglobulins detected were antibacterial, suggesting that the rest resulted from polyclonal B cell activation. The strain isolated from the patient with arthritis (FCF526) induced the greatest production of autoantibodies, coinciding with the period in which the greatest activation of nonspecific B lymphocytes was seen. There were no signs of arthritis or inflammation in the joints of the infected animals. Based on our results, we were unable to determine whether there is an association between the arthritogenic capability of Y. enterocolitica and polyclonal activation of B cells.

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Objectives. To evaluate the effects of intracanal medicaments on endotoxins in root canals.Methods. Seventy-five freshly extracted maxillary incisors were used in this study. The crowns of teeth were sectioned near the CEJ in order to standardize the root length to 14 mm. The root canals were instrumented to an apical size #50 file and irrigated with 1% sodium hypochlorite solution and sterilized with 60 Co gamma irradiation. Standardized suspension containing Escherichia coli endotoxin was inoculated into the 60 root canals. The specimens were randomly assigned to 5 groups (n=15), according to the intracanal medicament used: (G1) calcium hydroxide; (G2) polymyxin B; (0) combination neomycin-potymyxin B-hydrocortisone; (G4) positive control (no intracanal medicament); (G5) negative control (no endotoxin and no intracanal medicament). After 7 days, the detoxification of endotoxin was evaluated by Limulus lysate assay and antibody production in B-tymphocytes culture.Results. Groups 1, 2 and 5 presented the best results by Limulus lysate and were significantly different to groups 3 and 4 (p<0.05). Stimulation of antibodies production in cell culture by groups 1 and 6 was smaller and statistically different than groups 2, 3, 4 and 5 (p<0.05). Groups 2 and 5 induced a small increase in the antibodies production in relation to the groups 1 and 6. Groups 3 and 4 induced a significant increase of antibodies production (p<0.05).Conclusions. The calcium hydroxide and polymyxin B intracanal medicaments detoxified endotoxin in root canals and altered the properties of LPS to stimulate the antibody production by B-Lymphocytes. The combination neomycin-polymyxin B-hydrocortisone did not detoxified endotoxin. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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In this study we analyze the B-cell response in murine yersiniosis. To this end, we determined whether polyclonal activation of B-lymphocytes occurs during infection of susceptible (BALB/c) and resistant (C57BL/6) mice with Y. enterocolitica 0:8 and compared the immunoglobulin (Ig) isotypes produced in response to the infection by the two strains. The number of splenic cells secreting nonspecific and specific immunoglobulins was determined by ELISPOT. The presence of anti-Yersinia antibodies in serum was detected by ELISA. In both strains, the number of specific Ig-secreting cells was relatively low. Polyclonal B-cell activation was observed in both strains of mice, and the greatest activation was observed in the BALB/c mice, mainly for lgG(1)- and IgG(3)- secreting cells. The C57BL/6 mice showed a predominance of IgG(2a)-secreting cells. The peak production of anti-Yersinia IgG antibodies in the sera of BALB/c mice was seen on the 28th day after infection. The greatest increase in IgM occurred on the 14th day. A progressive increase of specific IgG antibodies was observed in C57BL/6 mice up to the 28th day after infection while IgM increased on the 21st day after infection. The production of specific IgA antibodies was not detected in either BALB/c or C57BL/6 mice. We conclude that polyclonal. activation of B lymphocytes occurs in both the Yersinia resistant and Yersinia-susceptible mice and that the more intense activation of B lymphocytes observed in the susceptible BALB/c mice does not enhance their resistance to Y. enterocolitica infection.

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Eight-week old conventional female Swiss mice were inoculated intravenously with Yersinia enterocolitica O:3. A second group of normal mice was used as control. Five mice from each group were bled by heart puncture and their spleens were removed for spleen cell collection on the 3rd, 5th, 7th, 10th, 14th and 21st day after infection. Immunoglobulin-secreting spleen cells were detected by the isotype-specific protein A plaque assay. Total immunoglobulin levels were determined in mouse serum by single radial immunodiffusion and the presence of autoantibodies was determined by ELISA. We observed a marked increase in the total number of cells secreting immunoglobulins of all isotypes as early as on the 3rd day post-infection and the peak of secretion occurred on the 7th day. At the peak of the immunoglobulin response, the total number of secreting cells was 19 times higher than that of control mice and most immunoglobulin-secreting cells were of the IgG2a isotype. On the 10th day post-infection, total serum immunoglobul in values were 2 times higher in infected animals when compared to the control group, and continued at this level up to the 21st day post-infection. Serum absorption with viable Y. enterocolitica cells had little effect on antibody levels detected by single radial immunodiffusion. Analysis of serum autoantibody levels revealed that Y. enterocolitica infection induced an increase of anti-myosin and anti-myelin immunoglobulins. The sera did not react with collagen. The present study demonstrates that Y. enterocolitica O:3 infection induces polyclonal activation of murine B cells which is correlated with the activation of some autoreactive lymphocyte clones.

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Baccharis coridifolia is one of the most important poisonous plants to cattle in the South of Brazil. The plant provokes necrotic lesions in the lymphoid tissues and in the gastrointestinal tract of cattle. Experimental administration to mice produces most of the lesions seen in the lymphoid tissues of cattle. This study was conducted to search possible differences in the susceptibility of T and B lymphocyte subpopulations. Lymph nodes, spleen, thymus and gut-associated lymphoid tissue (GALT) of cattle and mice experimentally poisoned were evaluated. The results were evaluated based on cell populations affected or remaining in the organs. Immunostaining for B lymphocytes (anti-BLA-36) identified the germinal center of follicles of the lymph node, spleen and GALT in both species. Immunostaining for T lymphocyte (anti-CD3) identified the paracortical area of the germinal centers of the lymph nodes and GALT, the periarteriolar area of the spleen, and the whole thymus both in cattle and mice. Experimentally poisoned cattle and mice shows necrosis of the germinal center of secondary follicles of the lymph nodes, spleen and GALT, where necrotic cells were immunostained for B and less often for T lymphocyte. Necrotic cells in the paracortical region of the lymph node were less often and were immunostained. Necrotic lesions of the thymus were seen only in mice, with positively stained for T lymphocyte. The distribution of the lesions in the lymphoid tissues and the immunostaining in necrotic cells suggested that the active principles of the plant are cytotoxic to B and T cells.

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Pós-graduação em Pesquisa e Desenvolvimento (Biotecnologia Médica) - FMB