1000 resultados para «Les Maîtres Fous»
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[Factum. Chirurgiens de Paris. 1748]
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[Acte. 1741-08-18. Paris]
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Collection : Encyclopédie théorique et pratique des connaissances civiles et militaires ; partie 1, livre 6
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Collection : Encyclopédie théorique et pratique des connaissances civiles et militaires ; partie 1, livre 6
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[Acte. 1747-06-07. Paris]
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Comprend : Choeur chanté par les élèves
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Le début du XIXe siècle est une période marquée par de nombreux bouleversements politiques, dont les rébellions des Patriotes et l'Acte d'Union qui s'ensuit, impliquant une forte présence de la censure dans la presse canadienne de l’époque. Afin de contourner ce couperet de la censure, plusieurs journaux politiques effectuent un glissement du factuel au fictionnel. L'exemple le plus remarquable de ce choix de la littérarité est le journal Le Fantasque, édité par Napoléon Aubin et publié de 1837 à 1845 dans la ville de Québec. L'actualité y est rapportée à travers le prisme de la fiction, qui se déploie principalement par le biais des personnages. Le flâneur fantasque constitue la figure centrale et créatrice du journal. Par le récit de ses promenades et rencontres et par l'insertion de lettres presque toujours fictives de protagonistes de l'actualité, le flâneur donne accès à une multitude de voix disparates qui se font les porte-paroles de l'actualité. Ce passage systématique par les personnages fait du journal une œuvre et de l'actualité un récit. Nous étudions le système de personnages qui anime Le Fantasque de 1837 à 1842 et l’effet de son utilisation sur le récit de l’actualité et la lecture. Notre analyse s'inscrit dans le champ prolifique des études sur la presse et s’appuie principalement sur l’analyse de textes. Elle vise à ajouter aux connaissances sur les débuts de la littérature canadienne, à montrer sa vitalité et son ouverture au monde. Nous désirons aussi apporter des outils pour l'analyse de la forme journalistique et la reconnaissance des qualités littéraires de plusieurs textes publiés dans Le Fantasque.
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Depuis le début des années 2000, les croyances font l’objet d’un intérêt particulier dans le domaine de l’éducation. Cet intérêt pour les croyances provient notamment de certains chercheurs qui se préoccupent du fait que les croyances peuvent être un obstacle à l’adoption de pratiques pédagogiques fondées sur des faits scientifiques. L’intérêt pour les croyances en éducation se situe également dans la manière d’intervenir sur celles-ci afin de faire en sorte qu’elles se rapprochent le plus possible des connaissances scientifiques sur l’enseignement et l’apprentissage. Cette étude vise à faire le portrait des croyances d’étudiants en formation des maîtres. Elle vise aussi à proposer des pistes d’intervention pour les étudiants du programme de baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire (BEPEP) à l’égard d’une croyance qui s’éloigne des connaissances scientifiques et des attentes ministérielles en éducation. Sur la base de la littérature disponible, une présentation des diverses définitions du concept de croyance que l’on retrouve dans les sciences humaines ainsi qu’une typologie des croyances et des connaissances enseignantes ont été produite. Puis, une analyse secondaire d’un questionnaire abordant les croyances des étudiants en enseignement a été réalisé afin d’isoler une croyance des étudiants du programme de BEPEP sur laquelle intervenir tout au long de la formation des étudiants. Enfin, un entretien de groupe avec le comité de programme du BEPEP a été réalisé. Les résultats révèlent que la croyance qui s'éloigne le plus des connaissances scientifiques favorables à la réussite des élèves est relative à l’intégration des élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (EHDAA) en classe régulière. La littérature (Raths, 2001; Paquay, 2004; Beckers, 2007) révèle que pour favoriser le développement professionnel des futurs enseignants, il faut concevoir la formation des enseignants de manière à développer et renforcer leurs capacités et leurs aptitudes à l’autoréflexion par la pratique réflexive tout au long de la formation initiale.