919 resultados para UV-VISIBLE
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Réalisé en cotutelle, sous la direction du Pr. Bernold Hasenknopf, à l'Institut Parisien de Chimie Moléculaire, Université Pierre et Marie Curie (Paris VI, France) et dans le cadre de l'Ecole Doctorale "Physique et Chimie des Matériaux" - Spécialité Chimie Inorganique (ED397).
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L’évolution rapide des technologies de détection et de caractérisation des exoplanètes depuis le début des années 1990 permet de croire que de nouveaux instruments du type Terrestrial Planet Finder (TPF) pourront prendre les premiers spectres d’exoplanètes semblables à la Terre d’ici une ou deux décennies. Dans ce contexte, l’étude du spectre de la seule planète habitée connue, la Terre, est essentielle pour concevoir ces instruments et analyser leurs résultats. Cette recherche présente les spectres de la Terre dans le visible (390-900 nm), acquis lors de 8 nuits d’observation étalées sur plus d’un an. Ces spectres ont été obtenus en observant la lumière cendrée de la Lune avec le télescope de 1.6 m de l’Observatoire du Mont-Mégantic (OMM). La surface de la Lune réfléchissant de manière diffuse la lumière provenant d’une portion de la Terre, ces spectres sont non résolus spatialement. L’évolution de ces spectres en fonction de la lumière réfléchie à différentes phases de Terre est analogue à celle du spectre d’une exoplanète, dont la phase change selon sa position autour de l’étoile. L'eau, l'oxygène et l'ozone de l’atmosphère, détectés dans tous nos spectres, sont des biomarqueurs dont la présence suggère l’habitabilité de la planète et/ou la présence d’une activité biologique. Le Vegetation Red Edge (VRE), une autre biosignature spectrale, dû aux organismes photosynthétiques à la surface, est caractérisé par l’augmentation de la réflectivité autour de 700 nm. Pour les spectres de 5 nuits, cette augmentation a été évaluée entre -5 et 15% ±~5%, après que les contributions de la diffusion de Rayleigh, des aérosols et d’une large bande moléculaire de l’ozone aient été enlevées. Les valeurs mesurées sont cohérentes avec la présence de végétation dans la phase de la Terre contribuant au spectre, mais s’étendent sur une plage de variations plus large que celles trouvées dans la littérature (0-10%). Cela pourrait s’expliquer par des choix faits lors de la réduction des données et du calcul du VRE, ou encore par la présence d’autres éléments de surface ou de l’atmosphère dont la contribution spectrale autour de 700 nm serait variable.
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Rapport de recherche présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en sciences économiques.
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La réponse cellulaire aux ultra-violets (UV), ou réponse UV, est une réponse complexe et spécialisée dans l’adaptation et la tolérance des dommages aux UV. Celle-ci est initiée par un grand nombre d’évènements moléculaires et de signalisation nucléaire mais aussi au niveau de la membrane plasmique ou du cytoplasme. L’importance et l’influence exactes de ces évènements sur la réparation par excision de nucléotides (NER) des dommages UV à l’ADN sont encore mal comprises et doivent encore être méthodiquement démontrées. Dans cette thèse, grâce à l’utilisation d’une méthode sensible d’analyse de la réparation NER basée sur la cytométrie en flux, il est montré, dans un premier temps, que l’activité des voies MAPK (Mitogen-Activated Protein Kinases), qui sont des voies de signalisation de stress UV d’origine cytoplsamique, ne participent pas à l’efficacité de réparation NER des dommages UV dans les cellules humaines. En effet, l’abrogation de la signalisation MAPK, par inhibition pharmacologique, par utilisation de mutants dominant-négatifs ou par inhibition de leur expression endogène, ne révèlent aucun changement de la cinétique de réparation des dommages UV par excision de nucléotides. Cependant, l’utilisation de cette même méthode de réparation, mais cette fois, appliquée pour l’étude de réparation NER en fonction du cycle cellulaire, a permis de mettre en évidence la nécessité fonctionnelle de l’ADN polymérase translésionnelle eta (Pol η) dans la réparation NER des dommages UV, uniquement en phase S. Cette observation fut initialement caractérisée dans les cellules de patients affectés du syndrome variant de xérodermie pigmentaire (XP-V) puis, confirmée ensuite par l’inhibition de l’expression de Pol η endogène ou par la complémentation avec des mutants non-fonctionnels dans les cellules XP-V. Ces résultats indiquent que, contrairement à la réponse UV MAPK cytoplasmique, les évènements nucléaires comme la synthèse translésionnelle, peuvent influencer l’efficacité de réparation NER en phase S. Plus particulièrement, ces données établissent un lien possible entre la réparation NER en phase S et les niveaux de stress réplicatifs, révélé ici par la déficience fonctionnelle Pol η ou ATR. Les observations, présentées dans cette thèse, renforcent un rôle du point de contrôle S aux UV sur l’efficacité de la réparation NER et suggèrent que l’inhibition NER, observée en phase S dans les cellules XP-V, est modulée par le stress réplicatif. Un tel moyen de contrôle pourrait avoir une action plutôt protectrice pendant cette phase critique du cycle cellulaire. Mots clés: UV, translésionnelle, eta, MAPK, NER, CPD, cytométrie, phase-S, tolérance.
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Avec la mise en place dans les dernières années d'une grappe d'ordinateurs (CALYS) dédiés aux calculs de modèles stellaires pour notre groupe de recherche, il nous est désormais possible d'exploiter à leur plein potentiel les modèles d'atmosphères hors équilibre thermodynamique local (HETL) en y incluant des éléments métalliques. Ce type de modèles, plutôt exigeant en temps de calcul, est toutefois essentiel pour analyser correctement les spectres d'étoiles chaudes comme les sous-naines de type O (sdO). Les travaux effectués dans le cadre de cette thèse ont comme point commun l'utilisation de tels modèles d'atmosphères pour faire l'analyse spectroscopique d'étoiles sous-naines chaudes dans des contextes variés. Le coeur de cette thèse porte sur Bd+28 4211, une étoile standard de type sdO très chaude, dans laquelle le problème des raies de Balmer, qui empêche de reproduire ces dernières avec une unique, et réaliste, combinaison de paramètres atmosphériques, est bien présent. Dans un premier temps nous présentons une analyse approfondie de son spectre ultraviolet (UV). Cela nous permet de déterminer les abondances de métaux dans l'atmosphère de l'étoile et de contraindre sa température effective et sa gravité de surface. Par la suite, ces résultats servent de point de départ à l'analyse du spectre optique de l'étoile, dans lequel le problème des raies de Balmer se fait sentir. Cette analyse nous permet de conclure que l'inclusion des abondances métalliques propres à l'étoile dans les modèles d'atmosphères HETL n'est pas suffisant pour surmonter le problème des raies de Balmer. Toutefois, en y incluant des abondances dix fois solaires, nous arrivons à reproduire correctement les raies de Balmer et d'hélium présentes dans les spectres visibles lors d'un ajustement de paramètres. De plus, les paramètres résultants concordent avec ceux indiqués par le spectre UV. Nous concluons que des sources d'opacité encore inconnues ou mal modélisées sont à la source de ce problème endémique aux étoiles chaudes. Par la suite nous faisons une étude spectroscopique de Feige 48, une étoile de type sdB pulsante particulièrement importante. Nous arrivons à reproduire très bien le spectre visible de cette étoile, incluant les nombreuses raies métalliques qui s'y trouvent. Les paramètres fondamentaux obtenus pour Feige 48 corroborent ceux déjà présents dans la littérature, qui ont été obtenus avec des types de modèles d'atmosphères moins sophistiqués, ce qui implique que les effets HETL couplés à la présence de métaux ne sont pas importants dans l'atmosphère de cette étoile particulière. Nous pouvons donc affirmer que les paramètres de cette étoile sont fiables et peuvent servir de base à une future étude astérosismologique quantitative. Finalement, 38 étoiles sous-naines chaudes appartenant à l'amas globulaire omega Centauri ont été analysées afin de déterminer, outre leur température et gravité de surface, leurs abondances d'hélium et de carbone. Nous montrons qu'il existe une corrélation entre les abondances photosphériques de ces deux éléments. Nous trouvons aussi des différences entre les étoiles riches en hélium de l'amas du celles du champ. Dans leur ensemble, nos résultats remettent en question notre compréhension du mécanisme de formation des sous-naines riches en hélium.
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Le présent mémoire décrit le développement d’une méthode de synthèse des hélicènes catalysée par la lumière visible. Les conditions pour la formation de [5]hélicène ont été établies par une optimisation du photocatalyseur, du solvant, du système d’oxydation et du temps réactionnel. Suite aux études mécanistiques préliminaires, un mécanisme oxydatif est proposé. Les conditions optimisées ont été appliquées à la synthèse de [6]hélicènes pour laquelle la régiosélectivité a été améliorée en ajoutant des substituants sur la colonne hélicale. La synthèse de thiohélicènes a aussi été testée en utilisant les mêmes conditions sous irradiation par la lumière visible. La méthode a été inefficace pour la formation de benzodithiophènes et de naphtothiophènes, par contre elle permet la formation du phenanthro[3,4-b]thiophène avec un rendement acceptable. En prolongeant la surface-π de la colonne hélicale, le pyrène a été fusionné aux motifs de [4]- et [5]hélicène. Trois dérivés de pyrène-hélicène ont été synthétisés en utilisant les conditions optimisées pour la photocyclisation et leurs caractéristiques physiques ont été étudiées. La méthode de cyclisation sous l’action de la lumière visible a aussi été étudiée en flux continu. Une optimisation du montage expérimental ainsi que de la source lumineuse a été effectuée et les meilleures conditions ont été appliquées à la formation de [5]hélicène et des trois dérivés du pyrène-hélicène. Une amélioration ou conservation des rendements a été observée pour la plupart des produits formés en flux continu comparativement à la synthèse en batch. La concentration de la réaction a aussi été conservée et le temps réactionnel a été réduit par un facteur de dix toujours en comparaison avec la synthèse en batch.
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The spectral and nonlinear optical properties of ZnO based nanocomposites prepared by colloidal chemical synthesis are investigated. Very strong UV emissions are observed from ZnO–Ag, ZnO– Cu and ZnO–SiO2 nanocomposites. The strongest visible emission of a typical ZnO–Cu nanocomposite is over ten times stronger than that of pure Cu due to transition from deep donor level to the copper induced level. The optical band gap of ZnO–CdS and ZnO–TiO2 nanocomposites is tunable and emission peaks changes almost in proportion to changes in band gap. Nonlinear optical response of these nanocomposites is studied using nanosecond laser pulses from a tunable laser in the wavelength range of 450–650 nm at resonance and off-resonance wavelengths. The nonlinear response is wavelength dependent and switching from RSA to SA has been observed at resonant wavelengths. Such a change-over is related to the interplay of plasmon/exciton band bleach and optical limiting mechanisms. The observed nonlinear absorption is explained through two photon absorption followed by weak free carrier absoption, interband absorption and nonlinear scattering mechanisms. The nonlinearity of the silica colloid is low and its nonlinear response can be improved by making composites with ZnO and ZnO–TiO2. The increase of the third-order nonlinearity in the composites can be attributed to the enhancement of exciton oscillator strength. This study is important in identifying the spectral range and the composition over which the nonlinear material acts as an RSA based optical limiter. These nanocomposites can be used as optical limiters and are potential materials for the light emission and for the development of nonlinear optical devices with a relatively small limiting threshold.
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The spectral and nonlinear optical properties of ZnO based nanocomposites prepared by colloidal chemical synthesis are investigated. Very strong UV emissions are observed from ZnO–Ag, ZnO– Cu and ZnO–SiO2 nanocomposites. The strongest visible emission of a typical ZnO–Cu nanocomposite is over ten times stronger than that of pure Cu due to transition from deep donor level to the copper induced level. The optical band gap of ZnO–CdS and ZnO–TiO2 nanocomposites is tunable and emission peaks changes almost in proportion to changes in band gap. Nonlinear optical response of these nanocomposites is studied using nanosecond laser pulses from a tunable laser in the wavelength range of 450–650 nm at resonance and off-resonance wavelengths. The nonlinear response is wavelength dependent and switching from RSA to SA has been observed at resonant wavelengths. Such a change-over is related to the interplay of plasmon/exciton band bleach and optical limiting mechanisms. The observed nonlinear absorption is explained through two photon absorption followed by weak free carrier absoption, interband absorption and nonlinear scattering mechanisms. The nonlinearity of the silica colloid is low and its nonlinear response can be improved by making composites with ZnO and ZnO–TiO2. The increase of the third-order nonlinearity in the composites can be attributed to the enhancement of exciton oscillator strength. This study is important in identifying the spectral range and the composition over which the nonlinear material acts as an RSA based optical limiter. These nanocomposites can be used as optical limiters and are potential materials for the light emission and for the development of nonlinear optical devices with a relatively small limiting threshold.
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Two simple and sensitive spectrophotometric methods(A and B) in the visible region have been developed for the determination of cefotaxime sodium (DFTS) in bulk and in dosage forms. Method A is based on the reaction of CFTS with nitrous acid under alkaline conditions to form a stable violet colored chromogen with absorption maximum of 560 nm and method B is based on the reaction of CFTS with1,10-phenanthroline and ferric chloride to form a red colored chromogen with the absorption maximum of 520 mm.The color obeyed Beer’s law in the concentration range of 100-500 µg/ml for method A and 1.6-16 µg/ml for method B, respectively.When pharmaceutical preparations containing CFTS were analysed, the results obtained by the proposed methods are in good agreement with the labeled amounts and are comparable with the results obtained using a UV spectrophotometric method.
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The annealing effect on the spectral and nonlinear optical NLO characteristics of ZnO thin films deposited on quartz substrates by sol-gel process is investigated. As the annealing temperature increases from 300–1050 °C, there is a decrease in the band gap, which indicates the changes of the interface of ZnO. ZnO is reported to show two emission bands, an ultraviolet UV emission band and another in the green region. The intensity of the UV peak remains the same while the intensity of the visible peak increases with increase in annealing temperature. The role of oxygen in ZnO thin films during the annealing process is important to the change in optical properties. The mechanism of the luminescence suggests that UV luminescence of ZnO thin films is related to the transition from conduction band edge to valence band, and green luminescence is caused by the transition from deep donor level to valence band due to oxygen vacancies. The NLO response of these samples is studied using nanosecond laser pulses at off-resonance wavelengths. The nonlinear absorption coefficient increases from 2.9 ×10−6 to 1.0 ×10−4 m/W when the annealing temperature is increased from 300 to 1050 °C, mainly due to the enhancement of interfacial state and exciton oscillator strength. The third order optical susceptibility x(3) increases with increase in annealing temperature (T) within the range of our investigations. In the weak confinement regime, T2.4 dependence of x(3) is obtained for ZnO thin films. The role of annealing temperature on the optical limiting response is also studied.
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We describe the structure of luminescence spectrum in the visible region in nano-ZnO in colloidal and thin film forms under weak confinement regime by modeling the transition from excited state energy levels of excitons to their ground state. Measurements on nanocrystallites indicate the presence of luminescence due to excitonic emissions when excited with 255 nm. The relevant energy levels showing the transitions corresponding to the observed peaks in the emission spectrum of ZnO of particle size 18 nm are identified.
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Optical absorption and emission spectral studies of free and metal naphthalocyanine doped borate glass matrix are reported for the first time. Absorption spectra recorded in the UV- VIS-NIR region show the characteristic absorption bands, namely, the B-band and Q-band of the naphthalocyanine (Nc) molecule. Some of the important spectral parameters, namely, the optical absorption coefficient (α), molar extinction coefficient (ε) and absorption cross section (σa) of the principal absorption transitions are determined. Optical band gap (Eg) of the materials evaluated from the functional dependence of absorption coefficient on photon energy lies in the range 1.6 eV≤Eg≤2.1 eV. All fluorescence spectra except that of EuNc consist of an intense band in the 765 nm region corresponding to the excitation of Q-band. In EuNc the maximum fluorescence intensity band is observed at 824 nm. The intensity of the principal fluorescence band is maximum in ZnNc, whereas it is minimum in H2Nc. Radiative parameters of the principal fluorescence transitions corresponding to the Q-band excitation are also reported for the naphthalocyanine and phthalocyanine based matrices.
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Optical absorption studies of free base and rare earth incorporated phthalocyanine doped borate glass matrix are reported for the first lime. The absorption spectra recorded in the UV- VIS region show two well defined absorption bands of phthalocyanine (Pc) molecule, namely the Soret band (B) and the Q band. The Q band always shows its characteristic splitting in all the doped glass matrices and the intensities of these components are found to vary from one Pc to another. Some of the important optical parameters, namely optical absorption coefficient (a), molar extinction coefficient (ε), absorption cross section (σa), oscillator strength (f), electric dipole strength (q2), absorption half bandwidth (Δλ) of the principal optical transitions have also been evaluated. Moreover, the spectral dependence of refractive index (n) and thereby the optical dielectric constant (ε) on wavelength yielded values of carrier concentration to effective mass ratio (N/m*) of the phthalocyanine molecule in the present glassy systems. Optical band gap (Eg) and width of the band tail (Et) are computed and their variations among the prepared samples are also discussed.
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Optical absorption and emission spectral studies of various phthalocyanine molecules, viz., LaPc, NdPc, SmPc, EuPc, CuPc and ZnPc in a polymer matrix of cyano acrylate are reported for the first time. All the absorption spectra show an intense B band (Soret) in the UV region followed by a weaker Q band in the visible region. The positions of the Q and B bands are found to have dependence on the metallic substitution. Values of the important spectral parameters, viz., molar extinction coefficient (ϵ), oscillator strength (f), radiative transition rate and decay time of the excited singlet state are also presented and compared with other solid matrices. The recorded fluorescence spectrum shows two broad emission bands in the case of NdPc, whereas for ZnPc only a very weak band is observed. The absence of emission bands for the other metallated phthalocyanines is attributed to increased spin orbit interaction and intersystem crossing.
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Optical absorption studies of phthalocyanines (Pc-s) in borate glass matrix have been reported for the first time. Measurements have been done corresponding to photon energies between 1.1 and 6.2 eV for free base, manganese, iron, nickel, molybdenum, cobalt and copper phthalocyanines. Several new discrete transitions are observed in the UV–vis region of the spectra in addition to a strong continuum component of absorption in the IR region. Values of some of the important optical constants viz. absorption coefficient (α), molar extinction coefficient (ε), absorption cross-section (σa), band width (Δλ), electric dipole strength (q2) and oscillator strength (f) for the relevant electronic transitions are also presented. All the data reported for Pc-s in the new matrix have been compared with those corresponding to solution, vapor and thin film media.