631 resultados para Cinéma structurel
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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La création cinématographique de l’étudiante qui accompagne ce mémoire sous la forme d’un DVD est disponible à la Médiathèque de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines sous le titre : YT Remix (documentaire) ; Sonorisation d'un extrait de L'homme à la caméra (D. Vertov).(http://atrium.umontreal.ca/notice/UM-ALEPH002370775)
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Notre étude porte le western crépusculaire et cherche plus précisément à extraire le « crépusculaire » du genre. L'épithète « crépusculaire », héritée du vocabulaire critique des années 1960 et 1970, définit généralement un nombre relativement restreint d'œuvres dont le récit met en scène des cowboys vieillissants dans un style qui privilégie un réalisme esthétique et psychologique, fréquemment associé à un révisionnisme historique, voire au « western pro-indien », mais qui se démarque par sa propension à filmer des protagonistes fatigués et dépassés par la marche de l'Histoire. Par un détour sur les formes littéraires ayant comme contexte diégétique l’Ouest américain (dime-novel et romans de la frontière), nous effectuons des allers et retours entre les formes épique et romanesque, entre l’Histoire et son mythe, entre le littéraire et le filmique pour mieux saisir la relation dyadique qu’entretient le western avec l’écriture, d’une part monumentale et d’autre part critique, de l’Histoire. Moins intéressée à l’esthétique des images qu’aux aspects narratologiques du film pris comme texte, notre approche tire profit des analyses littéraires pour remettre en cause les classifications étanches qui ont marqué l’évolution du western cinématographique. Nous étudions, à partir des intuitions d’André Bazin au sujet du sur-western, les modulations narratives du western ainsi que l’émergence d’une conscience critique à partir de ses héros mythologiques (notamment le cow-boy). Notre approche est à la fois épistémologique et transhistorique en ce qu’elle cherche à dégager du western crépusculaire un genre au-delà des genres, fondé sur une incitation à la narrativisation crépusculaire de la part du spectateur. Cette dernière, concentrée par une approche deleuzienne de l’image-cristal, renvoie non plus seulement à une conception existentialiste du personnage dans l’Histoire, mais aussi à une mise en relief pointue du hors-cadre du cinéma, moment de clairvoyance à la fois pragmatique et historicisant que nous définissons comme une image-fin, une image chronogénétique relevant de la contemporanéité de ses figures et de leurs auteurs.
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Cette version du mémoire a été tronquée des éléments de composition originale, ces éléments donnant des informations d'ordre structurel qui permettraient d'identifier le stage qui fait l'objet de la présente recherche. Une version plus complète est disponible en ligne pour les membres de la communauté de l’Université de Montréal et peut aussi être consultée dans une des bibliothèques UdeM.
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Depuis les années 2000, l’apparition du terme Bromance marque la culture populaire américaine. Cette notion est apparue pour définir les amitiés entre hommes au cinéma, à la télévision et sur Internet. Les films de Bromance, caractérisés par une multitude de scènes de déclaration d’amour entre hommes, traduisent bien cette nouvelle façon d’aborder l’amitié au masculin. À travers les définitions de la masculinité dans ces films, l’enjeu de l’hétérosexualité demeure omniprésent. Malgré la fragilisation de certains stéréotypes traditionnels liés au masculin, il n’en demeure pas moins que la notion de «vraie» masculinité persiste et demeure systématiquement liée à l’hétérosexualité des hommes qui partagent cette amitié particulière qu’on appelle Bromance. Dans cette optique, plusieurs stratégies se manifestent pour prouver la masculinité et donc l’hétérosexualité des protagonistes, mais l’une d’entre elles semble être au cœur de ces films. Cette stratégie s’incarne sous la forme d’une compétition entre hommes qui mise sur la capacité à performer un acte conventionnellement associé à l’homosexualité. Sur Internet, des vidéos qui prennent le nom « Gay Chicken » présentent des hommes qui s’embrassent et qui se touchent sans être dérangés ou ébranlés. C’est la capacité à être calme et en contrôle en restant insensible au corps d’un autre homme qui démontrerait le côté inébranlable de son hétérosexualité et donc de sa masculinité. C’est cet esprit du « Gay Chicken » qui se retrouve un peu partout dans l’univers des films de Bromance. Paradoxalement, ces nouveaux «modèles» d’homme doivent pouvoir à la fois incarner une masculinité plus flexible, plus ouverte et sensible, mais doivent également prouver leur virilité. Cette « masculinité contemporaine » brouille les cartes entre ce qui est viril et ce qui ne l’est pas, entre ce qui est féminin et ce qui ne l’est pas et entre ce qui est homosexuel et ce qui ne l’est pas. Les relations homosociales dans le cadre de Bromances présentent alors des opportunités indispensables pour prouver à tous la force de son hétérosexualité. Ce travail de recherche se penchera donc plus précisément sur les paradoxes d’une « masculinité contemporaine » intimement liée à l’orientation hétérosexuelle, par l’entremise de certains films issus de la culture populaire américaine associée à la Bromance. L’objectif est de montrer comment ces films sont des manifestations significatives d’une nouvelle forme d’affirmation identitaire masculine qui passe par des relations homosociales où les tensions et sous-textes homosexuels se multiplient et doivent être réprimés ou invalidés continuellement.
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La question du développement en Afrique a été perçue, dès 1962, par l’agronome René Dumont, comme le fait d’une occasion perdue. Mais peu à peu, ce diagnostic lucide a fait l’objet d’une vulgate colportée jusque dans les salons diplomatiques et enceintes officielles du développement international, de Washington à Paris en passant par Londres et Ottawa. Sujette à toutes les complaisances, la critique du développement international est elle-même devenue une « occasion perdue ». Mais en remontant la piste historique, on constate que les séquelles postcoloniales, tant politiques qu’économiques, ont façonné le contexte dans lequel les Africains se sont vus durablement privés de l’occasion de prendre en main leur destin. C’est ainsi que la structure économique extravertie et le poids d’une dette insolvable ont projeté plus profondément encore les pays africains dans la dépendance et la tutelle au monde industrialisé, en particulier à travers les programmes néolibéraux de la Banque mondiale, quelle que soit la mouture sous laquelle ils s’affichent (ajustement structurel ou lutte à la pauvreté). Dans cette veine, le critère de sélectivité dans l’aide publique au développement, mis en avant par l’institution internationale, et qu’adopte notamment le Canada, ouvre la porte aux abus de toutes sortes que commande le réalisme politique.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Un document accompagne la thèse et est disponible pour consultation au Centre de conservation des bibliothèques de l'Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/conservation/).
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Este artículo pretende demostrar en qué medida Paseo por una guerra antigua (1948-1949), la práctica de segundo curso del Instituto de Investigaciones y Experiencias Cinematográficas (IIEC) en la que Juan Antonio Bardem rueda a un joven mutilado caminando por las ruinas de la Ciudad Universitaria de Madrid, constituye un intento pionero de desmontar los relatos oficiales de la Guerra Civil Española y rescatar la memoria de los vencidos. Filmar las ruinas del campus madrileño en aquellos años era un acto subversivo, puesto que el Régimen había emprendido su reconstrucción para borrar las huellas del Madrid republicano y de la Guerra Civil, resignificando por completo el recinto universitario. Por tanto, en Paseo por una guerra antigua, Bardem intenta reapropiarse de un espacio que en la época iba imponiéndose como uno de los “lugares de memoria” del franquismo. Esta película se vale de la función documental del cine para inmortalizar unas ruinas que simbolizan la República y la guerra, para preservarlas de la muerte simbólica que representa su reconstrucción. Mostrar esas ruinas en 1948-1949 equivale a “materializar” el pasado, a traerlo al presente de la posguerra, en un proceso que recuerda a los planteamientos sobre la Historia de Walter Benjamin, para proponer una visión alternativa de la contienda. Se trata de una visión teñida de una memoria íntima, ya que la película es un paseo no solo por las ruinas sino también por los recuerdos de este joven mutilado. En suma, Bardem propone una contramemoria de la Guerra Civil.
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El carácter innovador y feminista del mediometraje Margarita y el lobo (1969) supuso la censura total de la película y el ostracismo hacia su directora, la entonces estudiante de la EOC, Cecilia Bartolomé. En este artículo repasamos sus anteriores cortometrajes para desgranar los primeros matices de protesta así como la utilización de la expresión musical como vehículo del discurso feminista en Margarita y el lobo. A través de los planteamientos de la musicóloga Susan McClary que abordan sexualidad, género y feminismo concluimos con una visión del análisis de género en las obras musicales, al vincular sus estudios al film de Bartolomé. Del mismo modo, analizamos la función que cumple la música en el mediometraje. Para ello, examinamos el repertorio de canciones presente en Margarita y el lobo para terminar reconociendo la función discursiva y referencial como piezas claves en la película de la directora.
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El presente texto analiza la función del Instituto de Investigaciones y Experiencias Cinematográficas (IIEC) como punto de encuentro de la cultura cinematográfica nacional entre 1947 y 1955 —los años de Victoriano López— y dirige el foco analítico a los discursos, debates e intereses que marcaron la labor del instituto en estos primeros años. Para ello, este artículo fija su atención en uno de los pocos documentos originales conservados de esa época, un boletín publicado por los alumnos en 1951, material que será aquí completado con entrevistas y los escasos documentos referentes al instituto conservados en el Archivo General de la Administración. La piedra de toque del análisis la constituyen por un lado las actividades del cineclub, organizado por los alumnos de la clase de Historia del Cine en 1951, y, en el plano discursivo, los debates en torno a la Filmología, doctrina con la que desde 1947 se intenta dotar a las actividades del Instituto de una base teórica con desiguales resultados. Se consigue así un acercamiento a las prácticas y discursos esenciales para comprender la importancia del instituto como punto central dentro de una naciente cultura cinematográfica nacional.