898 resultados para art history
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Ce mémoire porte sur les transformations du concept de prudence, de l’Antiquité grecque au XVIIe siècle. Il souligne notamment le lien qui unit les manières d’être et l’art, tant chez les Grecs qu’au début de la modernité. La phronèsis se définissait tout d’abord en relation aux autres manières de faire, dont la technè fait partie. Si Platon et Aristote les distinguent, les auteurs de la modernité assimileront ces deux manières de faire. De plus, on peut voir dans la forme du langage employé pour écrire sur la prudence un reflet de la vertu antique. Il s’agit de donner, tant par le style que par le propos, un exemple de prudence. Cette vertu, qui est d’ailleurs la première des vertus cardinales, est donc fondamentale pour comprendre le rapport entre l’éthique et l’art, de l’Antiquité au début de la modernité. Elle annonce aussi les débuts de l’esthétique moderne, en ce qu’elle donne des règles à suivre pour arriver à ses fins, qu’il s’agisse de n’importe quelle manière de faire.
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À la fin du 19e siècle, l’Iran commence à se transformer radicalement. Ce changement est le résultat d’un processus de métamorphose socioculturelle, avec le désir d’effacer les méthodes du passé et de recommencer ; une ambition de faire un renouvellement fondamental dans la société, en bénéficiant des grandes idées progressistes de l'Occident moderne. Cette volonté s’est renforcée à la suite des premières visites en Europe d’étudiants et de Nassereddin Shah, le roi de l'Iran, dans les années 1870. Dans ce contexte, les Iraniens et leurs gouvernants, considérant leurs infériorités politico-économiques, ont décidé de remplacer les frustrations internationales par des idées nationalistes et une propagande de suprématie raciale ou religieuse, notamment concertant « l'identité culturelle ». Suivant ces tentatives pour réformer les infrastructures sociopolitiques de l'Iran, tous les domaines culturels du pays, incluant l’architecture, ont été modifiés, selon les idéologies des dirigeants de l’Iran pendant trois périodes historiques du pays : l'époque Qadjar (dès le règne de Nassereddin Shah en 1848), l'époque Pahlavi (1925-1979) et l'époque Post-révolution islamique (1979- jusqu'à présent). L'idée générale de notre mémoire est d'étudier le processus de modernisation de l'architecture de l'Iran, de même que les influences majeures de tous ces changements, concrétisés par des fusions éclectiques et des idées pluralistes – souvent basées sur la politique. De là, en usant des approches de l’histoire sociale et culturelle de l’art, nous analysons des exemples de monuments de l'architecture publique de l'Iran depuis l'entrée de l'Iran dans la modernité, pour chacune des trois périodes mentionnées. Cela, afin de comprendre si les architectes iraniens ont trouvé de nouvelles conceptions pour opérer un déploiement créatif des principes traditionnels et pour trouver de nouvelles orientations dans le processus général de leur évolution architecturale. Autrement dit, nous cherchons à savoir si l'architecture iranienne, avec tous les changements stylistiques dans le processus de conceptualisation, a pu trouver - depuis l'intervention de la modernité occidentale et de l'architecture moderne - son propre langage de la modernité en architecture.
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The purpose of this thesis was to explore how alchemy has influenced Carlos Estevez’s work through a study of the symbolic repertoire and the philosophical concepts associated with it in his art, particularly how these are expressed in his artworks and how alchemy has evolved thematically in his oeuvre. The study of alchemy influenced this artist so deeply that even pieces that were not primarily inspired by this philosophical system show traces of it, essentially by representing the concept of transformation, crucial to understanding the alchemical process. This thesis is based on Carl Gustav Jung’s idea of metaphysical transformation as one of the main aspects of alchemy, and on his theory of active imagination as a tool to represent thoughts through artworks. Alchemy transformed Estevez’s art, and by extension the way he approaches life, making him conscious of the importance of transmutation and alchemical concepts.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. To respect the reproduction rights and copyrights, the electronic version of this thesis was stripped of images and audiovisuals. The integral version has been left with Documents Management and Archives Service at the University of Montreal.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée d'un document visuel. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Ce mémoire porte sur les transformations du concept de prudence, de l’Antiquité grecque au XVIIe siècle. Il souligne notamment le lien qui unit les manières d’être et l’art, tant chez les Grecs qu’au début de la modernité. La phronèsis se définissait tout d’abord en relation aux autres manières de faire, dont la technè fait partie. Si Platon et Aristote les distinguent, les auteurs de la modernité assimileront ces deux manières de faire. De plus, on peut voir dans la forme du langage employé pour écrire sur la prudence un reflet de la vertu antique. Il s’agit de donner, tant par le style que par le propos, un exemple de prudence. Cette vertu, qui est d’ailleurs la première des vertus cardinales, est donc fondamentale pour comprendre le rapport entre l’éthique et l’art, de l’Antiquité au début de la modernité. Elle annonce aussi les débuts de l’esthétique moderne, en ce qu’elle donne des règles à suivre pour arriver à ses fins, qu’il s’agisse de n’importe quelle manière de faire.
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À la fin du 19e siècle, l’Iran commence à se transformer radicalement. Ce changement est le résultat d’un processus de métamorphose socioculturelle, avec le désir d’effacer les méthodes du passé et de recommencer ; une ambition de faire un renouvellement fondamental dans la société, en bénéficiant des grandes idées progressistes de l'Occident moderne. Cette volonté s’est renforcée à la suite des premières visites en Europe d’étudiants et de Nassereddin Shah, le roi de l'Iran, dans les années 1870. Dans ce contexte, les Iraniens et leurs gouvernants, considérant leurs infériorités politico-économiques, ont décidé de remplacer les frustrations internationales par des idées nationalistes et une propagande de suprématie raciale ou religieuse, notamment concertant « l'identité culturelle ». Suivant ces tentatives pour réformer les infrastructures sociopolitiques de l'Iran, tous les domaines culturels du pays, incluant l’architecture, ont été modifiés, selon les idéologies des dirigeants de l’Iran pendant trois périodes historiques du pays : l'époque Qadjar (dès le règne de Nassereddin Shah en 1848), l'époque Pahlavi (1925-1979) et l'époque Post-révolution islamique (1979- jusqu'à présent). L'idée générale de notre mémoire est d'étudier le processus de modernisation de l'architecture de l'Iran, de même que les influences majeures de tous ces changements, concrétisés par des fusions éclectiques et des idées pluralistes – souvent basées sur la politique. De là, en usant des approches de l’histoire sociale et culturelle de l’art, nous analysons des exemples de monuments de l'architecture publique de l'Iran depuis l'entrée de l'Iran dans la modernité, pour chacune des trois périodes mentionnées. Cela, afin de comprendre si les architectes iraniens ont trouvé de nouvelles conceptions pour opérer un déploiement créatif des principes traditionnels et pour trouver de nouvelles orientations dans le processus général de leur évolution architecturale. Autrement dit, nous cherchons à savoir si l'architecture iranienne, avec tous les changements stylistiques dans le processus de conceptualisation, a pu trouver - depuis l'intervention de la modernité occidentale et de l'architecture moderne - son propre langage de la modernité en architecture.
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This investigation compares the work of Irena Blühová and Tina Modotti between 1924 and 1936 based on ideas of cultural hybridity, photographic theory and social and Marxist art history. Centred on the premise that they worked in similar socio- political environments, shared common biographical points and were some of the first modernist women photographers in their region, a number of aspects relating to their work are examined in relation to their socio-political background. Selected works by Blühová and Modotti are analysed and compared, making apparent that, whilst they start photographing with different ulterior motives, thematically their work is moving into a similar direction from around 1926. Partly, this is due to their involvement with the communist party and the links between politics and photography on an international scale; partly to the fact that they share a concern for the culture of the countries they worked in. These concerns are expanded upon by the fact that both Blühová and Modotti intermediate between the national and the international, the aesthetic, social and the political within their local contexts, which forms distinct similarities in their work.
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The paper is concerned with the role of art and design in the history and philosophy of computing. It offers insights arising from research into a period in the 1960s and 70s, particularly in the UK, when computing became more available to artists and designers, focusing on John Lansdown (1929-1999) and Bruce Archer (1922-2005) in London. Models of computing interacted with conceptualisations of art, design and related creative activities in important ways.
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Ziel der vorliegenden Arbeit ist, einen allgemeinen Überblick über die Wirkung von Computern auf die Kunstgeschichte zu geben. Zu Beginn der Arbeit wird der Charakter der informationstechnologischen Revolution untersucht, einschließlich seiner schon oft festgestellten Parallelen mit der "Gutenberg"- Revolution, deren Ausgangspunkt in der Entwicklung der Druckerpresse liegt. Wie auch bei Gutenberg, ist die Entwicklung der Informationstechnologie technologisch bedingt. Jedoch führt sie durch ihren Schwerpunkt auf Flexibilität und Verbreitung an ein anderes Ziel. Diese Flexibilität ist zweischneidig: während sie viele neue Möglichkeiten eröffnet, scheint sie auch einen bruchstückhafteren, iterativen Ansatz zur Untersuchung des Vorzugs von Information vor Wissen anzuregen. Es bleibt jedoch offen, ob dieser Ansatz als notwendige Konsequenz der Struktur dieser vorhandenen neuen Technologie betrachtet werden kann, oder ob er eher als Produkt eines allgemeinen intellektuellen Wandels, angeregt durch das Aufkommen des postmodernen Diskurses, beschrieben werden soll. Ich werde in dem vorliegenden Artikel für den zweitgenannten Grund argumentieren. Ich bin außerdem der Meinung, dass der in der neuen Technologie enthaltenen Tendenz zur Fragmentierung entgegengewirkt werden kann - vorausgesetzt der Wunsch besteht. Die Entwicklung des Computers hängt eng mit der Nachfrage des Konsumenten zusammen. Aus diesem Grund kann ein neuer Trend in der Nachfrage die Art der Ausweitung und Modifizierung technologischer Vorgänge mitbestimmen.Des weiteren werden in der vorliegenden Arbeit Problemstellungen diskutiert, die speziell Auswirkungen auf die Untersuchung von Bildern haben. Hierbei wird sowohl das Potential digitaler Bilder für neue Formen der Erforschung und Analyse diskutiert, als auch die vielen neuen Möglichkeiten im Zeitalter des Internets.