806 resultados para Women college students--Michigan--Ann Arbor. Dancing--Michigan--Ann Arbor
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This study explored one university's response to the internationalization of higher education. Case study methodology was employed through a review of current and archival documents and interviews with key actors in the international spheres of the university. The historical, current, and future contexts were considered to situate the case study on a time line. Data analysis revealed that there were several points of division among the university community related to the response to internationalization, but also a major point of coherence in the centrality of inter-cultural understanding in efforts to internationalize. Other key findings included strengths, areas for improvement, and future directions of the university's response to internationalization. All of these findings were contextualized in findings related to the history of the university. In addition to these major findings, three themes in relation to the vision for internationalization at the institution were revealed: ( a) intercultural understanding, (b) the comprehensive status of the university, and (c) the financial benefits of internationalization. Recommendations are made for practice at the university in order to clarify this vision to develop a clear foundation from which to further build a response to internationalization that is solidly based on inter-cultural understanding, and recommendations for future research into the process of internationalization at the institutional level in Canada are suggested.
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Cette thse porte sur lvaluation de la cohrence du rseau conceptuel dmontr par des tudiants de niveau collgial inscrits en sciences de la nature. Lvaluation de cette cohrence sest base sur lanalyse des tableaux de Burt issus des rponses des questionnaires choix multiples, sur ltude dtaille des indices de discrimination spcifique qui seront dcrits plus en dtail dans le corps de louvrage et sur lanalyse de squences vidos dtudiants effectuant une exprimentation en contexte rel. Au terme de ce projet, quatre grands axes de recherche ont t explor. 1) Quelle est la cohrence conceptuelle dmontre en physique newtonienne ? 2) Est-ce que la matrise du calcul dincertitude est corrle au dveloppement de la pense logique ou la matrise des mathmatiques ? 3) Quelle est la cohrence conceptuelle dmontre dans la quantification de lincertitude exprimentale ? 4) Quelles sont les procdures concrtement mise en place par des tudiants pour quantifier lincertitude exprimentale dans un contexte de laboratoire semi-dirig ? Les principales conclusions qui ressortent pour chacun des axes peuvent se formuler ainsi. 1) Les conceptions errones les plus rpandues ne sont pas solidement ancres dans un rseau conceptuel rigide. Par exemple, un tudiant russissant une question sur la troisime loi de Newton (sujet le moins bien russi du Force Concept Inventory) montre une probabilit peine suprieure de russir une autre question sur ce mme sujet que les autres participants. De nombreux couples de questions rvlent un indice de discrimination spcifique ngatif indiquant une faible cohrence conceptuelle en prtest et une cohrence conceptuelle lgrement amliore en post-test. 2) Si une petite proportion des tudiants ont montr des carences marques pour les questions relies au contrle des variables et celles traitant de la relation entre la forme graphique de donnes exprimentales et un modle mathmatique, la majorit des tudiants peuvent tre considrs comme matrisant adquatement ces deux sujets. Toutefois, presque tous les tudiants dmontrent une absence de matrise des principes sous-jacent la quantification de lincertitude exprimentale et de la propagation des incertitudes (ci-aprs appel mtrologie). Aucune corrlation statistiquement significative na t observe entre ces trois domaines, laissant entendre quil sagit dhabilets cognitives largement indpendantes. Le tableau de Burt a pu mettre en lumire une plus grande cohrence conceptuelle entre les questions de contrle des variables que naurait pu le laisser supposer la matrice des coefficients de corrlation de Pearson. En mtrologie, des questions quivalentes nont pas fait ressortir une cohrence conceptuelle clairement dmontre. 3) Lanalyse dun questionnaire entirement ddi la mtrologie laisse entrevoir des conceptions errones issues des apprentissages effectus dans les cours antrieurs (obstacles didactiques), des conceptions errones bases sur des modles intuitifs et une absence de comprhension globale des concepts mtrologiques bien que certains concepts paraissent en voie dacquisition. 4) Lorsque les tudiants sont laisss eux-mmes, les mmes difficults identifies par lanalyse du questionnaire du point 3) reviennent ce qui corrobore les rsultats obtenus. Cependant, nous avons pu observer dautres comportements relis la mesure en laboratoire qui nauraient pas pu tre valus par le questionnaire choix multiples. Des entretiens dexplicitations tenus immdiatement aprs chaque sance ont permis aux participants de dtailler certains aspects de leur mthodologie mtrologique, notamment, lemploi de procdures de rptitions de mesures exprimentales, leurs stratgies pour quantifier lincertitude et les raisons sous-tendant lestimation numrique des incertitudes de lecture. Lemploi des algorithmes de propagation des incertitudes a t adquat dans lensemble. De nombreuses conceptions errones en mtrologie semblent rsister fortement lapprentissage. Notons, entre autres, lassignation de la rsolution dun appareil de mesure affichage numrique comme valeur de lincertitude et labsence de procdures dempilement pour diminuer lincertitude. La conception que la prcision dune valeur numrique ne peut tre infrieure la tolrance dun appareil semble fermement ancre.
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Cette thse prsente une exploration de limpact que des enseignants peuvent exercer sur le dveloppement de lintrt dtudiants envers leur discipline denseignement. Le problme vis par ltude tait le faible niveau de matrise de lorthographe des collgiens du cours de mise niveau en franais et le taux dchec important ce cours. Spcifiquement, lobjectif de ltude tait dvaluer un dispositif pdagogique dinterdisciplinarit ayant pour but de stimuler le dveloppement de lintrt de collgiens envers leur cours de mise niveau en franais (MNF). Le dispositif a consist en un pairage entre un cours moins apprci des collgiens (le cours de MNF) et un cours trs populaire (un cours de psychologie de la sexualit). Ces deux cours ont donc t planifis en construisant entre eux le plus possible de liens facilement perceptibles par les tudiants. Les crits thoriques permettaient de croire quun intrt envers le cours de MNF pourrait merger si lon menait, dans le cours de franais, des activits dapprentissage utilisant les notions tudies dans le cours de psychologie. De plus, la thorie du dveloppement de lintrt dHidi et Renninger (2006) laissait anticiper un approfondissement de cet intrt envers la matire en gnral (le franais) et non seulement envers le cours. Par ailleurs, la littrature du champ de la motivation scolaire permettait de sattendre ce que cet intrt soit li une plus grande perception de lutilit du cours de MNF de la part des tudiants, ainsi qu un meilleur engagement et un meilleur rendement. Pour vrifier ces hypothses, un devis quasi-exprimental avec condition tmoin et suivi longitudinal a t adopt. Le groupe exprimental (GE) tait compos de 27 collgiens inscrits aux deux cours : le cours de MNF et le cours de psychologie de la sexualit. Le groupe tmoin (GT) tait compos de 79 collgiens inscrits au cours de MNF sans tre exposs une condition dinterdisciplinarit. Lintrt, lutilit, lengagement cognitif et lengagement comportemental ont t mesures laide dchelles de type Likert. De plus, la prise des prsences en classe par les enseignants a t utilise comme mesure supplmentaire de lengagement comportemental. Le rendement, reprsent par la performance en orthographe, a t valu par ladministration dune dicte avant puis aprs lintervention. Les rsultats dune analyse de multivariance (MANOVA) ont rvl un intrt envers le cours de MNF significativement plus grand aprs lintervention pour le GE, comparativement au GT, tout comme une plus grande perception de lutilit du cours et un meilleur engagement comportemental. Concernant le rendement en orthographe, le nombre derreurs dorthographe grammaticale a diminu davantage entre les deux temps de mesure pour le GE comparativement au GT. Cette diffrence est significative. Ces rsultats suggrent de valoriser linterdisciplinarit dans lenseignement au collgial.
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La prsente tude vise tayer ltat des connaissances lies aux relations entre les comptences en comprhension crite, le vocabulaire et les capacits en traitement graphomorphologique dtudiants collgiaux du franais langue seconde de niveau intermdiaire et intermdiaire avanc. Bon nombre de ces tudiants prsentent des problmes de comprhension crite, problmes qui sont abords dans la prsente recherche sous langle des connaissances lexicales et du traitement graphomorphologique, soit la capacit de coordonner les informations de nature orthographique, phonologique et smantique au cours de la lecture. Les rsultats montrent que les tudiants possdent de faibles connaissances lexicales, ce qui pourrait expliquer en partie les problmes de comprhension crite quils prsentent. Par ailleurs, mme si les tudiants de niveau intermdiaire avanc affichent une meilleure comptence en comprhension crite et de meilleures connaissances en vocabulaire que les tudiants de niveau intermdiaire, leurs capacits en matire de traitement graphomorphologique sont de mme niveau. Enfin, les liens entre les trois variables semblent plus forts pour les tudiants de niveau intermdiaire que pour ceux de niveau intermdiaire avanc, ce qui pourrait laisser penser que le traitement graphomorphologique jouerait un rle plus important pour les apprenants moins avancs dune langue seconde.
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La chimie est un sujet difficile tant donn ses concepts nombreux et souvent peu intuitifs. Mais au-del de ces difficults dordre pistmologique, lapprentissage de la chimie peut tre en pril lorsquil sappuie sur des fondations instables, mles de conceptions alternatives. Les conceptions alternatives sont les reprsentations internes, tacites, des tudiants, qui sont en dsaccord avec la thorie scientifiquement accepte. Leur prsence dans leur esprit peut nuire la comprhension conceptuelle, et elle peut mener les tudiants expliquer le comportement de la matire incorrectement et faire des prdictions inexactes en chimie. Les conceptions alternatives sont rputes rpandues et difficiles reprer dans un cadre traditionnel denseignement. De nombreuses conceptions alternatives en chimie ont t mises en lumire par diffrents groupes de chercheurs internationaux, sans toutefois quune telle opration nait jamais t ralise avec des tudiants collgiaux qubcois. Le systme dducation postsecondaire qubcois reprsentant un contexte unique, une tude des difficults particulires de ces tudiants tait ncessaire pour tracer un portrait juste de la situation. De plus, des chercheurs proposent aujourdhui de ne pas faire uniquement linventaire des conceptions, mais de sattarder aussi tudier comment, par quel processus, elles mnent de mauvaises prdictions ou explications. En effet, ils soutiennent que les catalogues de conceptions ne peuvent pas tre facilement utiliss par les enseignants, ce qui devrait pourtant tre la raison pour les mettre en lumire : quelles soient prises en compte dans lenseignement. Toutefois, aucune typologie satisfaisante des raisonnements et des conceptions alternatives en chimie, qui serait appuye sur des rsultats exprimentaux, nexiste actuellement dans les crits de recherche. Plusieurs chercheurs en didactique de la chimie suggrent quune telle typologie est ncessaire et devrait rendre explicites les modes de raisonnement qui mettent en jeu ces conceptions alternatives. Lexplicitation du raisonnement employ par les tudiants serait ainsi la voie permettant de reprer la conception alternative sur laquelle ce raisonnement sappuie. Le raisonnement est le passage des ides tacites aux rponses manifestes. Ce ne sont pas toutes les mauvaises rponses en chimie qui proviennent de conceptions alternatives : certaines proviennent dun manque de connaissances, dautres dun agencement incorrect de concepts pourtant corrects. Comme toutes les sortes de mauvaises rponses dtudiants sont problmatiques lors de lenseignement, il est pertinent de toutes les considrer. Ainsi, ces proccupations ont inspir la question de recherche suivante : Quelles conceptions alternatives et quels processus de raisonnement mnent les tudiants faire de mauvaises prdictions en chimie ou donner de mauvaises explications du comportement de la matire? Cest pour fournir une rponse cette question que cette recherche doctorale a t mene. Au total, 2413 tudiants ont particip la recherche, qui tait divise en trois phases : la phase prliminaire, la phase pilote et la phase principale. Des entrevues cliniques ont t menes la phase prliminaire, pour explorer les conceptions alternatives des tudiants en chimie. Lors de la phase pilote, des questionnaires choix multiples avec justification ouverte des rponses ont t utiliss pour dlimiter le sujet, notamment propos des notions de chimie les plus pertinentes sur lesquelles concentrer la recherche et pour mettre en lumire les faons de raisonner des tudiants propos de ces notions. La phase principale, quant elle, a utilis le questionnaire deux paliers choix multiples Molcules, polarit et phnomnes (MPP) dvelopp spcifiquement pour cette recherche. Ce questionnaire a t distribu aux tudiants via une adaptation de la plateforme Web ConSOL, dveloppe durant la recherche par le groupe de recherche dont fait partie la chercheuse principale. Les rsultats montrent que les tudiants de sciences de la nature ont de nombreuses conceptions alternatives et autres difficults conceptuelles, certaines tant trs rpandues parmi leur population. En particulier, une forte proportion dtudiants croient que lvaporation dun compos entrane le bris des liaisons covalentes de ses molcules (61,1 %), que tout regroupement datomes est une molcule (78,9 %) et que les atomes ont des proprits macroscopiques pareilles celles de llment quils constituent (66,0 %). Dun autre ct, ce ne sont pas toutes les mauvaises rponses au MPP qui montrent des conceptions alternatives. Certaines dentre elles sexpliquent plutt par une carence dans les connaissances antrieures (par exemple, lorsque les tudiants montrent une mconnaissance dlments chimiques communs, 21,8 %) ou par un raisonnement logique incomplet (lorsquils croient que le seul fait de possder des liaisons polaires rend ncessairement une molcule polaire, ce quon observe chez 24,1 % dentre eux). Les conceptions alternatives et les raisonnements qui mnent des rponses incorrectes sobservent chez les tudiants de premire anne et chez ceux de deuxime anne du programme de sciences, dans certains cas avec une frquence diminuant entre les deux annes, et dans dautres, la mme frquence chez les deux sous-populations. Ces rsultats permettent de mitiger laffirmation, gnralement reconnue dans les crits de recherche, selon laquelle les conceptions alternatives sont rsistantes lenseignement traditionnel : selon les rsultats de la prsente recherche, certaines dentre elles semblent en effet se rsoudre travers un tel contexte denseignement. Il demeure que plusieurs conceptions alternatives, carences dans les connaissances antrieures de base et erreurs de raisonnement ont t mises en lumire par cette recherche. Ces problmes dans lapprentissage mnent les tudiants collgiaux faire des prdictions incorrectes du comportement de la matire, ou expliquer ce comportement de faon incorrecte. Au regard de ces rsultats, une rflexion sur lenseignement de la chimie au niveau collgial, qui pourrait faire une plus grande place la rflexion conceptuelle et lutilisation du raisonnement pour la prdiction et lexplication des phnomnes tudis, serait pertinente tenir.
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Cette thse, au croisement de lhistoire et de lanthropologie, prend pour objet les reprsentations dun massacre colonial, la rpression sanglante de tirailleurs sngalais survenue au camp de Thiaroye, proximit de Dakar, le 1er dcembre 1944. Il sagit dabord de mieux documenter lvnement historique lui-mme qui, soixante-dix ans aprs les faits, reste un sujet de controverse historiographique. Dautre part, inscrire les rappropriations passes et actuelles de ce drame dans diverses temporalits donne lire la trajectoire de la nation sngalaise postcoloniale travers le prisme de la mobilisation de rfrents historiques. Ce travail sur la mmoire de cet vnement sappuie sur plus de soixante entretiens, lanalyse des uvres dart traitant de cet vnement, un travail darchives des sources coloniales mais aussi diffrents journaux depuis 1945 jusqu aujourdhui , enfin une dimension ethnographique de recherche action, notamment auprs de lycens sngalais. Aujourdhui, au Sngal, les reprsentations attaches lvnement du 1er dcembre 1944 apparaissent comme un des paradigmes de la mmoire coloniale. Tenter de dcrire ces usages du pass sur plus de soixante-dix ans permet alors denvisager larticulation entre des mmoires dominantes officielles ou non , des formes particulires de rappel du pass et le rle de ce pass dans certaines dynamiques identitaires.
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Cette recherche avait pour but de dterminer quelle tait linfluence de ladministration dun atelier de prise de notes dans le cadre du premier cours de philosophie du collgial qui se donnait au dbut de la deuxime session des apprenants. Elle se situait dans le cadre dune recherche intervention et le point de vue des parties prenantes, savoir les apprenants et les enseignants, tait recueilli de faon qualitative. Les premiers, forts dune exprience dune session au niveau collgial, ont exprim le besoin de suivre une formation formelle lie la prise de notes, quand bien mme celle-ci leur demanderait un effort supplmentaire. Les deuximes nous ont fait part de leurs proccupations en ce qui a trait la qualit des notes de leurs tudiants. Nous avons demand aux rpondants de restituer les thmes principaux de deux textes quivalents distribus de faon simultane en fonction des ranges (premire range premier texte, deuxime range deuxime texte, etc.), puis nous avons interverti lordre de distribution des textes aprs latelier. Lors de lanalyse des rsultats, nous avons constat que les rpondants avaient restitu les thmes dans un ordre dimportance plus appropri aprs latelier quavant celui-ci, mais nous avons surtout remarqu une amlioration significative dans lemploi des stratgies de prise de notes et dans la constance de leur utilisation tout au long du second texte tudi.
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Alors que lenseignement de lhistoire au Qubec visait jadis promouvoir lacquisition par les lves de contenus spcifiques, nationalistes et religieux, depuis plusieurs dcennies des volonts scientifiques et politiques cherchent rorienter la discipline. Lhistoire enseigne doit dornavant orienter son approche sur celle de la science histoire. Dune focalisation sur la transmission de contenus, on vise maintenant lapprentissage dun mode spcifique dapprhension du rel : la pense historienne. Cette tude soulve la question de la correspondance entre lhistoire enseigne et lhistoriographie savante actuelle dans un contexte de changement de paradigme pistmologique et des rapports au savoir que cela implique. Lhypothse pose est que lhistoire enseigne telle quelle apparait dans les manuels dhistoire occidentale lusage des cgpiens et cgpiennes na pas suivi lvolution historiographique des dernires annes, prcisment quant leur posture pistmologique.
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Rapport de stage prsent la Facult des sciences infirmires en vue de lobtention du grade de Matre s en sciences (M.Sc.) en sciences infirmires option formation en sciences infirmires
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Lassoliment de lEspai Europeu dEducaci Superior implica nous rols per a professors i alumnes i la introducci de noves metodologies docents. En aquest article es presenta una experincia dinnovaci en la docncia de la Psicologia consistent en la incorporaci de minicasos a les classes expositives de lassignatura troncal i anual Avaluaci Psicolgica de segon curs de la llicenciatura de Psicologia. Sexposa el procediment i sanalitza lopini dels estudiants respecte a la utilitats dels minicasos per incrementar latenci, linters i la comprensi de lassignatura
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Lexperincia Erasmus sassocia sovint a sortir de festa, estudiar poc i passar-sho tan b com es pugui aprofitant que coneixes gent nova, que ets en un pas estranger, que tens la famlia lluny i no et pot passar comptes, etc. Per aquests sn noms aspectes parcials, potser els ms visibles, de tota lexperincia. Marxar de casa per estudiar en un pas estranger comporta una srie de canvis en la vida que lestudiant viu de manera ms o menys intensa, i que poden marcar el seu futur. A aquests sis estudiants, Girona els ha canviat la vida. De fet el que els ha canviat la vida ha estat lexperincia Erasmus, i els hauria passat en qualsevol pas on haguessin anat per motius destudi. Per ells van triar Girona. I Girona quedar en el seu record per sempre. Nadeia Balsalobre, tcnica de lOficina de Relacions Exteriors ens explica els detalls en aquest reportatge
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Se analiza el patrn de consumo de cannabis en una muestra de 580 jvenes universitarios (88.4% mujeres, edad media 21.4 aos). Si bien se observa que proporcionalmente ms hombres que mujeres consumen habitualmente cannabis, la magnitud de consumo de los que se reconocen usuarios es similar en ambos sexos. Se detecta que la dependencia percibida al cannabis se incrementa en funcin de la magnitud de consumo. Existe una relacin positiva entre consumo de tabaco y de cannabis: el 90% de los jvenes que no ha probado nunca el tabaco tampoco ha probado nunca el cannabis, mientras que menos del 15% de los fumadores habituales de tabaco se hallan en esa situacin. Estos resultados sugieren la necesidad de abordajes conjuntos para la prevencin del consumo de drogas, principalmente en lo que se refiere al tabaco y el cannabis
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El objetivo de esta investigacin es evaluar las creencias de los estudiantes universitarios respecto a la dureza de diez drogas: anfetaminas, caf, herona, barbitricos, marihuana, ansiolticos, tabaco, alcohol, cocana y t. Ciento cincuenta y cinco estudiantes de Psicologa deban indicar si crean que estas sustancias eran o no drogas duras. Los resultados indican que aunque existe consenso a la hora de clasificar como drogas duras a la herona y la cocana y como drogas blandas al tabaco, el caf y el t, no existe acuerdo respecto a la clasificacin de las otras sustancias. Asimismo se observa que aunque la OMS clasifica el alcohol como una droga altamente peligrosa, menos de la mitad de sujetos lo consideran una droga dura. En general los sujetos tienden a considerar las drogas legales como menos duras independientemente de si los efectos nocivos para la salud. Estos resultados adquieren relevancia cuando lo que se pone en juego es la fiabilidad y validez de los datos obtenidos en diferentes investigaciones que utilizan habitualmente esos conceptos
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El principal objectiu del treball s conixer la situaci general del consum de drogues en una mostra destudiants de la Universitat de Girona i analitzar algunes de les variables relacionades amb el seu s durant loci nocturn de cap de setmana
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En l'acte d'inauguraci del curs acadmic 2006-2007, la rectora de la Universitat de Girona, reflexiona sobre l'obligaci de tot professor de mantenir un contacte directe amb l'estudiant i en l'importncia de les "especialitzacions"