871 resultados para Expected gain
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The costs of the crisis in Southern European countries have not been only economic but political. Economic crises tend to lead to government instability and termination while political challengers are expected to exploit this contingent window of opportunity to gain an advantage over incumbents in national elections. The current crisis seems to make no exception, looking at the results of the general elections recently held in Southern Europe. However, this did not always lead to a clear victory of the main opposition parties. In most of the elections, in fact, the incumbent parties’ loss did not coincide with the official opposition’s gain. The extreme case is represented by Italy, where both the outgoing government coalition led by Silvio Berlusconi – setting aside for the moment the technocratic phase – and its main challenger, the centre left coalition, ended up losing millions of voters and a new political force, the Five Star Movement, obtained about 25 per cent of votes. On the opposite side there is Portugal. Only in Portugal did the vote increase for the centre right PSD, in fact, exceed the incumbent socialists’ loss. The present work aims at exploring the factors which might account for this significant divergence between the two cases.
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Recent evidence suggests that successors do not simply inherit their parents’ firm, but have to pay a certain price. Building on institutional logics literature, we explore successors’ family discount expectations, defined as the rebate expected from parents in comparison to nonfamily buyers when assuming control of the firm. We find that family cohesion increases discount expectations, while successors’ fear of failure and family equity stake in the firm decrease discount expectations. Higher education in business or economics weakens These effects. On average, in our study comprised of 16 countries, successors expect a 57% family discount.
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.
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The utilization of direct solar gains in buildings can be affected by operating profiles, such as schedules for internal gains, thermostat controls, and ventilation rates. Building energy analysis methods use various assumptions about these profiles. This paper describes the effects of typical internal gain assumptions in energy calculations. The results of this study indicate that calculations of annual heating and cooling loads are sensitive to internal gains, but in most cases are relatively insensitive to hourly variation in internal gains.
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National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.
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Texas Department of Transportation, Austin
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Reprint of the Port-au-Prince 1906 ed.
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Bibliography: p. 13.
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Goldsmiths'-Kress no. 17579.
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"Printed for the use of the Committee on Banking, Housing, and Urban Affairs."