999 resultados para Culibs-l list


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Dissertação de Mestrado, Engenharia Agronómica, 16 de Junho de 2014, Universidade dos Açores.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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The Desertas Islands (Madeira, Portugal) are the sole home of one of the largest and rarest wolf spiderspecies, Hogna ingens (Blackwall 1857) (Araneae, Lycosidae). Despite its size, it inhabits a single valleyin the North of the Deserta Grande Island, Vale da Castanheira, currently invaded by the herb Phalarisaquatica. This invasive species competes with the native flora and was subject to several eradicationexperiments, namely through fire and chemicals. The objectives of this work were to: (1) estimate thecurrent distribution and abundance of H. ingens and respective trends; (2) evaluate the impact of theinvasive plant and eradication methods on the spider population; (3) suggest future measures for therecovery of the species; and (4) evaluate its conservation status according to the IUCN criteria. The current distribution of H. ingens covers 23 ha, a recent reduction from its original 83 ha, correspond-ing to the entire Vale da Castanheira. A total of 4447 and 4086 adults and 71,832 and 24,635 juvenileswere estimated to live in the valley during 2011 and 2012, respectively. We found a significant negativeimpact of P. aquatica cover on the presence and abundance of H. ingens and that chemical treatmentspecifically directed towards the invasive plant species may be the only way to effectively recover thespider's habitat. We suggest (1) regular monitoring; (2) extend chemical treatments; (3) ex-situ conserva-tion with future reintroduction of adults. Based on the current area of occupancy (AOO) of H. ingens and itsrecent decline in both AOO and number of individuals, it was recently classified as Critically Endangeredby IUCN and we suggest its urgent inclusion in the Habitats Directive species lists.

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Todos os anos, o dia mundial do teatro celebra-se a 27 de março. Homenageando esta arte quero com o artigo de hoje exemplificar o contributo da matemática nas artes teatrais, nomeadamente a comédia. [...].

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O presente texto corresponde ao capítulo XIII do livro em apreço, redigido em co-autoria com colegas da Universidade dos Açores, no qual se apresentam alguns dos resultados do estudo realizado em torno da cultura do brincar nos Açores.

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Artigo também disponível no PROA-UA: plataforma de revistas em open access da universidade de aveiro com o URI http://revistas.ua.pt/index.php/Carnets/article/view/436/397.

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Artigo também disponível no PROA-UA: plataforma de revistas em open access da universidade de aveiro com o URI http://revistas.ua.pt/index.php/Carnets/article/view/768/695.

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L'articulation savante entre éléments autobiographiques, fiction et détournement de conventions sont caractéristiques du travail de Camille Laurens. Dans ces bras-là (2000) peut être décrit comme une quête d'identité par le détour de l'autre. En effet, le roman s'organise autour des trois rapports dichotomiques autobiographie-fiction, femme-homme et écriture-langage oral. Le résultat en est un regard complexe et profond sur l'identité de Camille Laurens qui est ici une femme, un auteur, mais aussi la narratrice d'un récit.

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Initialement présentée au Colloque international APEF / APFUE / SHF: L'Étranger. Université de l'Algarve.

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Dans Fin de partie, Beckett se révèle de nouveau un maître du théâtre de l’âme, mais d’une façon pas du tout conventionnelle. On doit classer cette pièce dans l’antithéâtre parce qu’elle manque d’intrigue, il n’y a que de situations cycliques toujours répétées, le temps ne veut pas passer, c’est plutôt un moment éternel, les personnages manquent de consistance et d’individualité : ils sont davantage des incarnations d’attitudes humaines, et ils parlent un langage décousu, un bourdonnement dépourvu de sens. Bien que tous ces aspects contribuent à l’ambiguïté de la pièce, rien n’y est laissé au hasard : tout sert à communiquer l’incommunicable. La scène se passe dans un lieu clos, avec une lumière crépusculaire qui suggère la fin du jour. Les personnages et les objets se trouvent dans des poubelles (Nagg et Nell) ou couverts par des draps : peu à peu, les objets et les personnages se dévoilent d’une façon fragmentée. C’est Clov qui nous dit qu’il s’agit de la fin de quelque chose, mais déjà le décor, la lumière, la déchéance physique des personnages et les dialogues à peine esquissés suggèrent un stage final qui n’en finit plus, qui devient un moment éternel, car la mort, elle non plus, ne se présente pas comme une solution pour le problème de notre existence absurde. Et nous voilà de nouveau face à face avec l’absurdité de la condition humaine, où l’homme se sent privé de toute certitude et incapable de découvrir un sens à son existence. Le tragique de la condition humaine, et le désir de lui mettre fin est le fil conducteur de Fin de partie. Les personnages montrent tout au long de la pièce que la condition humaine est intolérable et qu’ils sont écrasés par la routine et l’ennui. Ils se sentent perdus et abandonnés par un dieu quiconque, un monstre qui a créé la nature humaine. La vie est une pile de moments infernaux ; tout le monde est dans l’attente de quelqu’un ou d’un événement qui puisse changer son cours. Mais rien ne change, les personnages sont trop passifs – Clov se prépare pour son voyage, cependant, au lieu de partir, il reste là, immobile, jusqu’à la fin. Mais c’est juste pour ce danger que Beckett veut nous alerter : si nous ne faisons pas usage de notre liberté en nous recréant par une succession de choix, nous serons damnés, c’est-à-dire, condamnés à vivre dans le désespoir, le néant, l’absurde – la vie sera toujours un infini recommencement de rien.