900 resultados para silk nest
Resumo:
Avec l’évolution de la conception de l’État social de droit et avec la modification de la conception des relations entre l’administration publique et ses fonctionnaires, l’idée d’un État irresponsable a commencé a disparaître et à donner lieu à une responsabilité administrative toujours en croissance envers des actions ou des omissions qui portent préjudice aux particuliers. Après un comportement négligent, et avec un retard significatif par rapport au système français qui l’ a inspiré, l’ordre juridique portugais a accueilli, d’abord dans la jurisprudence, ensuite dans la doctrine et, finalement, dans la législation, avec la lo i, nº 67/2007 du 31 Décembre, la figure de la faute du service. Cet institut fonde le devoir de l’administration publique de dédommager l’individu lésé, même si ce n’est point possible d’avérer l’ auteur individuel et concret du préjudice. On considère que il y a eu un fonctionnement irrégulier et le service publique, en général, en est responsabilisé.
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Every spring, workers of the Argentine Ant Linepithema humile kill a large proportion of queens within their nests, Although this behaviour inflicts a high energetic cost oil the colonies, its biological significance has remained elusive so far. An earlier study showed that the probability of a queen being executed is not related to her weight, fecundity, or age. Here we test the hypothesis that workers collectively eliminate queens to which they are less related, thereby increasing their inclusive fitness. We found no evidence for this hypothesis. Workers of a nest were on average not significantly less related to executed queens than to surviving ones. Moreover, a population genetic analysis revealed that workers were not genetically differentiated between nests. This means that workers of a given nest are equally related to any queen in the population and that there can be no increase in average worker-queen relatedness by selective elimination of queens. Finally, our genetic analyses also showed that, in contrast to workers, queens were significantly genetically differentiated between nests and that there was significant isolation by distance for queens.
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Following the discovery of numerous pseudogynes (= secretergates) in a polycalic colony ofFormica lugubris Zett, the author describes the qualitative and quantitative aspects of the distribution of individuals inside the nest. Workers are distributed in three clusters, the first (21 %) could consist of foragers, living in the upper part of the nest, and is distinguished by a low percentage of secretergates (1 %). The two others contain mainly domestic workers. Queens inhabit two areas (intermediate and deep). The percentage of secretergates increases with depth in the nest. Measurements of normal workers and secretergates show that the latter are significantly smaller.
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Con el examen conjunto de datos de seguimiento satelital de la flota pesquera y de marcaje electrónico de aves marinas, se analizan las interacciones entre la actividad pesquera y el forrajeo de las aves en periodo de reproducción. Se evidencia que las aves pueden mitigar la competencia con la pesca hasta cierto punto, forrajeando más lejos o quedándose más tiempo en el mar. Sin embargo, las aves en reproducción enfrentan a la vez un alto requerimiento energético para alimentar los pichones, y viajes de forrajeo limitados en distancia y tiempo por la necesidad de atender el nido. Para optimizar el éxito reproductivo de las aves marinas se recomienda: (1) Estimar, con la ayuda de modelos ecotróficos, qué cantidad de anchoveta sería conveniente ‘reservar’ para la alimentación de las aves; (2) Establecer zonas temporalmente cerradas a la pesca, alrededor de las principales colonias en los meses de reproducción de las aves. Los rangos máximos de forrajeo observados en guanayes y piqueros sugieren un radio de 50 a 100 km alrededor de las colonias, lo cual permitiría asegurar el forrajeo de estas especies en periodo de reproducción y así favorecer la sostenibilidad de sus poblaciones.
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Contient : « Cel livre de clergie en romans, qui est appellez l'image du monde, contient LV chappittres et XXVIII figures... » ; « Prologue. Qui bien veult entendre ce livre Et savoir comment il doit vivre... » ; « ... Qui par cestui poez aprendre Qui du ciecle volez entendre, Quel chose et comment ce est, Et comment va et comment nest. » — Au bas de la première colonne du même feuillet, on lit : « En l'an de l'incarnacion Aus roys de la paricion MCC XLV anz, Fu premier parfait cilz rommanz. » La même date est rapportée aux feuillets 54 v°, col. 2-55 r°, col. 1 ; « Cy commence ly rommans qui est appelez l'Unicorne, qui parle de la mort et de la vie par semblence de l'arbre. » Cette copie est incomplète des 12 premiers vers ; le début est ici : « [J]e vous vuil commencer un conte De convoitise qui surmonte... » ; « ... Amen. Que Dieux nous doint pardon. Ce fenist le Unicorne »
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Contient : 1° Chansons ; « LI CHASTELAINS DE COUCI » ; « BLONDIAUS DE NEELE » ; « LI ROIS DE NAVARE » ; « Mesire GAUTIERS D'ARGIES » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « TIEBAUT DE BLAZON » ; « Mestre RICHART DE FURNIVAL » ; « Mesire GAUTIER D'ARGIES » ; « JAQUES D'OSTUN » ; « Le filz mestre BAUDOIN L'ORGUENEUR » ; « LI VISDAME DE CHARTRES » ; « ROBERT DE BLOIS » ; « ROBERT DE RAINS » ; « RAOUL DE FERRIERES » ; « GONTIERS DE SOIGNIES » ; « VIELARS DE CORBIE » ; « BURNIAUS DE TORS » ; « BAUDE DE LA QUARRIERE » ; « AUBIN DE SEZANE » ; « Mesire ROBERT DE MARBEROLES » ; « JEHAN ERARS » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire RAOUL DE SOISONS » ; « Mesire HUGUE DE BRESIL » ; « LI DUX DE BREBEN » ; « COLARS LI BOTEILLIERS » ; « ROGERT DE CANBRAI » ; « GOBIN DE RAINS » ; « JEHAN ERARS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « GILLE DE MESON » ; « Mestre GILLES LI VINIERS » ; « Mestre SIMON D'AUTIE » ; « ODART DE LACENI » ; « CHANOINES DE ST-QUENTIN » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « Mesire PIERRE DE CREON » ; « LI CHASTELAINS D'ARRAZ » ; « LI TRESORIERS DE LILLE » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « CHARDONS » [de Reims] ; « LA CHIEVRE DE RAINS » ; « SAUVAGE D'ARRAZ » ; « JEHANOT PAON DE PARIS » ; « GILLEBERT DE BERNEVILE » ; « GAUTIER D'ESPINAIS » ; « COLIN MUSET » ; « JAQUES DE HEDINC » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire JAQUES DE CHISON » ; « RAOUL DE BEAUVES » ; « LI CUENS D'ANJOU » ; « HUITACES DE FONTAINES » ; Chansons dont les noms des auteurs manquent ; « Desconfortez et de joie partiz ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Quant voi le douz tens bel et cler » ; « Quant voi le douz tens revenir » ; « Chançon vueil fere de moi ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Trop est mes maris jalos ». (PERRIN D'ANGECOURT.) ; « Avant hier en un vert pré » ; « Trop par est cist mondes cruaus » ; « Qui à chanter veut entendre » ; « Au conmencier de ma nouvele. amor ». [GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER] ; « Quant florist la prée ». (GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER.) ; « Souvent souspire » ; « Par mainte foiz m'ont mesdisanz grevé » ; « Flor ne verdor ne m'a pleü » ; « J'ai fait maint vers de chançon ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; La même qu'au Fol. 116 ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 ; « Tel nuist qui ne puet aidier » ; « Apris ai qu'en chantant plor » ; « Cil qui chantent de flor ne de verdure ». [EUSTACHE DE REIMS.] ; « Bele dame me prie de chanter ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Qui d'amors a remenbrance ». [ROBERT DE MEMBEROLLES, ou GILLES DE VIESMAISONS] ; « Chanter voil un novel son » ; « Amors qui souprent » ; « Quant li dous tens renouvele » ; « En pascor un jor erroie » ; « Au partir d'esté et de flors » ; « Amors est trop fiers chastelains » ; « Chanter me covient pla[ins] d'ire » ; « De mon desir ne sai mon melz eslire ». [BLONDEL] ; « Au tens d'esté que voi vergier florir ». [ROBERT MAUVOISIN] ; « A l'entrant du douz termine ». [GACE BRULE, ou MORISSE DE CRAON.] ; « A la douçor du tens qui raverdoie » ; « Au reperier que je fis de Prouvence » ; « Bien voi que ne puis morir ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Contre tens que voi frimer ». [GACE BRULE, ou GAUTIER D'ARGIES] ; La même qu'au Fol. 65 ; « Ce fu l'autrier en.I. autre païs ». [QUESNES DE BETHUNE, ou RICHART DE FOURNIVAL] ; « Chanter et renvoisier suel ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Conmencement de douce seson bele ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Amors qui m'a tolu à moi ». [CHRESTIEN DE TROYES] ; « Dame ensi est qu'il me couvient ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Contre la froidor ». [JACQUES DE CISOING, ou PERRIN D'ANGECOURT] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il feroit trop bon morir ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Amors me plaig plus que de tot » ; « Por moi renvoisier » ; « Ja de chanter en ma vie ». [GAGE BRULE] ; « Car me conseilliez, Jehan, se Dex vos voie » ; « Quant voi la prime florete » ; « Huimain par.I. ajornant » ; « Quant voi la fleur nouvele » ; « Las ! por qoi m'entremis d'amer » ; « Merveilles est que toz jors woil chanter ». « GUILLAUME » [LE VINIER ?] ; « Li chastelains de Couci ama tant » ; « Amors me tient en esperance » ; « Jolif, plain de bone amor » ; « Bien ait l'amor dont l'on cuide avoir joie ». [GACE BRULE.] ; « A ma dame ai pris congié ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Quant li boscage retentist ». [JEHAN DE NEUVILLE.] ; « En mai la rosée que nest la flor » ; « James chançon ne ferai » ; « Heneur et bone aventure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant iver trait à fin » ; « Un petit devant le jor » ; « E! serventois, arriere t'en revas ». [ALART DE CAUS] ; « Por verdure ne por prée ». [GACE BRULE.] ; « Rose ne lis ne ne donnent talent ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Mar vit reson qui couvoite trop haut ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Je chevauchoie l'autrier ». [MONIOT DE PARIS.] ; « L'autrier tot seul chevauchoie mon chemin ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant voi blanchoier la fleur » ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 et 139 ; « Trop ai longuement » ; « Tot soit mes cuers en grant desesperance ». [EUDES DE LA COURROIERIE.] ; « Je chant par droite reson » ; « Se j'ai du monde la flor » ; « L'autrier m'en aloie » ; « Lasse ! por quoi refusai » ; « Quant-la rosée el mois de mai » ; « Je ne mi woil de bone amor retraire » ; « Trop sui d'amors enganez » ; « Des or mes ne me puis tere » ; « Quant je voi esté venir » ; « De jolif cuer enamoré ». [LE COMTE DE ROUCI, ou MONIOT D'ARRAS.] ; « Le cuer se vait de l'oil pleignant » ; « Quant l'aube espine fleurist ». [JACQUES DE CISOING] ; « Quant mars conmence et fevrier faut » ; « De chanter m'est pris corage ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant je oi chanter l'aloete ». [MONIOT DE PARIS] ; « Li rosignol que j'oi chanter ». [PIERRE LE BORGNE de Lille] ; « L'autrier chevanchoie delez Paris ». [RICHART DE SEMILLI.] ; « En une praele » ; « Joliveté et bone amor m'ensaigne ». [JEHAN D'ESQUIRI] ; « Au renouvel, du tens que la florete » ; « Par le tens bel » ; « Force d'amor me fet dire » ; « Por mon cuer à joie atrere » ; « Chanterai par grant envie » ; « Au tens pascor ». [JEHAN ERART] ; « Contre le tens que je voi qui repere » ; « M'amors je fui norris » ; « Qui bien aime à tart oublie » ; « Mere au roi puissant » ; « Lonc tens ai usé » ; « Prion en chantant » ; « On doit la mere Dieu honorer » ; « Chanter vos woil de la virge Marie » ; « De la tres douce Marie voil chanter » ; « Mout sera cil bien norris » ; « Fox est qui en folie ». « Li QUENS DE BRETAIGNE » ; « Bernart à vous weil demander » ; « Chanter me fet ma dame que j'aim tant » ; « Nouviaument m'est pris envie » ; « Longuement ai esté pensis » ; « Haute chanson de haute estoire di » ; Chanson anonyme : ; « Je feré chançon novelle » ; 2° « Li Romans du vergier et de l'arbre d'amours » ; 3° « ADANS DE LE HALE »
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Contient : 1° Chansons ; « LI CHASTELAINS DE COUCI » ; « BLONDIAUS DE NEELE » ; « LI ROIS DE NAVARE » ; « Mesire GAUTIERS D'ARGIES » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « TIEBAUT DE BLAZON » ; « Mestre RICHART DE FURNIVAL » ; « Mesire GAUTIER D'ARGIES » ; « JAQUES D'OSTUN » ; « Le filz mestre BAUDOIN L'ORGUENEUR » ; « LI VISDAME DE CHARTRES » ; « ROBERT DE BLOIS » ; « ROBERT DE RAINS » ; « RAOUL DE FERRIERES » ; « GONTIERS DE SOIGNIES » ; « VIELARS DE CORBIE » ; « BURNIAUS DE TORS » ; « BAUDE DE LA QUARRIERE » ; « AUBIN DE SEZANE » ; « Mesire ROBERT DE MARBEROLES » ; « JEHAN ERARS » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire RAOUL DE SOISONS » ; « Mesire HUGUE DE BRESIL » ; « LI DUX DE BREBEN » ; « COLARS LI BOTEILLIERS » ; « ROGERT DE CANBRAI » ; « GOBIN DE RAINS » ; « JEHAN ERARS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « GILLE DE MESON » ; « Mestre GILLES LI VINIERS » ; « Mestre SIMON D'AUTIE » ; « ODART DE LACENI » ; « CHANOINES DE ST-QUENTIN » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « Mesire PIERRE DE CREON » ; « LI CHASTELAINS D'ARRAZ » ; « LI TRESORIERS DE LILLE » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « CHARDONS » [de Reims] ; « LA CHIEVRE DE RAINS » ; « SAUVAGE D'ARRAZ » ; « JEHANOT PAON DE PARIS » ; « GILLEBERT DE BERNEVILE » ; « GAUTIER D'ESPINAIS » ; « COLIN MUSET » ; « JAQUES DE HEDINC » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire JAQUES DE CHISON » ; « RAOUL DE BEAUVES » ; « LI CUENS D'ANJOU » ; « HUITACES DE FONTAINES » ; Chansons dont les noms des auteurs manquent ; « Desconfortez et de joie partiz ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Quant voi le douz tens bel et cler » ; « Quant voi le douz tens revenir » ; « Chançon vueil fere de moi ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Trop est mes maris jalos ». (PERRIN D'ANGECOURT.) ; « Avant hier en un vert pré » ; « Trop par est cist mondes cruaus » ; « Qui à chanter veut entendre » ; « Au conmencier de ma nouvele. amor ». [GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER] ; « Quant florist la prée ». (GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER.) ; « Souvent souspire » ; « Par mainte foiz m'ont mesdisanz grevé » ; « Flor ne verdor ne m'a pleü » ; « J'ai fait maint vers de chançon ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; La même qu'au Fol. 116 ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 ; « Tel nuist qui ne puet aidier » ; « Apris ai qu'en chantant plor » ; « Cil qui chantent de flor ne de verdure ». [EUSTACHE DE REIMS.] ; « Bele dame me prie de chanter ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Qui d'amors a remenbrance ». [ROBERT DE MEMBEROLLES, ou GILLES DE VIESMAISONS] ; « Chanter voil un novel son » ; « Amors qui souprent » ; « Quant li dous tens renouvele » ; « En pascor un jor erroie » ; « Au partir d'esté et de flors » ; « Amors est trop fiers chastelains » ; « Chanter me covient pla[ins] d'ire » ; « De mon desir ne sai mon melz eslire ». [BLONDEL] ; « Au tens d'esté que voi vergier florir ». [ROBERT MAUVOISIN] ; « A l'entrant du douz termine ». [GACE BRULE, ou MORISSE DE CRAON.] ; « A la douçor du tens qui raverdoie » ; « Au reperier que je fis de Prouvence » ; « Bien voi que ne puis morir ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Contre tens que voi frimer ». [GACE BRULE, ou GAUTIER D'ARGIES] ; La même qu'au Fol. 65 ; « Ce fu l'autrier en.I. autre païs ». [QUESNES DE BETHUNE, ou RICHART DE FOURNIVAL] ; « Chanter et renvoisier suel ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Conmencement de douce seson bele ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Amors qui m'a tolu à moi ». [CHRESTIEN DE TROYES] ; « Dame ensi est qu'il me couvient ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Contre la froidor ». [JACQUES DE CISOING, ou PERRIN D'ANGECOURT] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il feroit trop bon morir ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Amors me plaig plus que de tot » ; « Por moi renvoisier » ; « Ja de chanter en ma vie ». [GAGE BRULE] ; « Car me conseilliez, Jehan, se Dex vos voie » ; « Quant voi la prime florete » ; « Huimain par.I. ajornant » ; « Quant voi la fleur nouvele » ; « Las ! por qoi m'entremis d'amer » ; « Merveilles est que toz jors woil chanter ». « GUILLAUME » [LE VINIER ?] ; « Li chastelains de Couci ama tant » ; « Amors me tient en esperance » ; « Jolif, plain de bone amor » ; « Bien ait l'amor dont l'on cuide avoir joie ». [GACE BRULE.] ; « A ma dame ai pris congié ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Quant li boscage retentist ». [JEHAN DE NEUVILLE.] ; « En mai la rosée que nest la flor » ; « James chançon ne ferai » ; « Heneur et bone aventure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant iver trait à fin » ; « Un petit devant le jor » ; « E! serventois, arriere t'en revas ». [ALART DE CAUS] ; « Por verdure ne por prée ». [GACE BRULE.] ; « Rose ne lis ne ne donnent talent ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Mar vit reson qui couvoite trop haut ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Je chevauchoie l'autrier ». [MONIOT DE PARIS.] ; « L'autrier tot seul chevauchoie mon chemin ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant voi blanchoier la fleur » ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 et 139 ; « Trop ai longuement » ; « Tot soit mes cuers en grant desesperance ». [EUDES DE LA COURROIERIE.] ; « Je chant par droite reson » ; « Se j'ai du monde la flor » ; « L'autrier m'en aloie » ; « Lasse ! por quoi refusai » ; « Quant-la rosée el mois de mai » ; « Je ne mi woil de bone amor retraire » ; « Trop sui d'amors enganez » ; « Des or mes ne me puis tere » ; « Quant je voi esté venir » ; « De jolif cuer enamoré ». [LE COMTE DE ROUCI, ou MONIOT D'ARRAS.] ; « Le cuer se vait de l'oil pleignant » ; « Quant l'aube espine fleurist ». [JACQUES DE CISOING] ; « Quant mars conmence et fevrier faut » ; « De chanter m'est pris corage ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant je oi chanter l'aloete ». [MONIOT DE PARIS] ; « Li rosignol que j'oi chanter ». [PIERRE LE BORGNE de Lille] ; « L'autrier chevanchoie delez Paris ». [RICHART DE SEMILLI.] ; « En une praele » ; « Joliveté et bone amor m'ensaigne ». [JEHAN D'ESQUIRI] ; « Au renouvel, du tens que la florete » ; « Par le tens bel » ; « Force d'amor me fet dire » ; « Por mon cuer à joie atrere » ; « Chanterai par grant envie » ; « Au tens pascor ». [JEHAN ERART] ; « Contre le tens que je voi qui repere » ; « M'amors je fui norris » ; « Qui bien aime à tart oublie » ; « Mere au roi puissant » ; « Lonc tens ai usé » ; « Prion en chantant » ; « On doit la mere Dieu honorer » ; « Chanter vos woil de la virge Marie » ; « De la tres douce Marie voil chanter » ; « Mout sera cil bien norris » ; « Fox est qui en folie ». « Li QUENS DE BRETAIGNE » ; « Bernart à vous weil demander » ; « Chanter me fet ma dame que j'aim tant » ; « Nouviaument m'est pris envie » ; « Longuement ai esté pensis » ; « Haute chanson de haute estoire di » ; Chanson anonyme : ; « Je feré chançon novelle » ; 2° « Li Romans du vergier et de l'arbre d'amours » ; 3° « ADANS DE LE HALE »
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The Brock University tie was cut from a bolt of silk manufactured in Sussex, England. This was the first of 100 Brock ties specially ordered from Swords Custom Furnishings of Toronto. Dr. Gibson received this tie in May of 1967. The tie was eventually presented to Special Collections and Archives in 2002 from the Dr. James A. Gibson fonds.
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One component of successful parenting is related to efficiency in foraging behaviour. The relationships among chick feeding, the size and type of food package, and length of parental foraging trips has not been well studied in seabirds. In addition, relatively few data have been collected on the activities of seabirds when foraging away from the nest site. The objectives of this study were: (1) to contrast productivity, feeding rate, and attendance patterns of individuals carrying a novel transmitter with a control group of birds; (2) to use radio-telemetry to assess the variability in foraging locations within and between individual male Common Terns; (3) to determine the seasonal variation in chick diet; (4) to determine for each transmittered bird, the relationships among the foraging patterns, parental behaviour, and seasonal reproductive success. The study took place over two years (1990-91) on a concrete breakwater 1 km offshore on Lake Erie near Port Colbome, Ontario. Ten pairs of terns in 1990 and 12 pairs in 1991 were radio-tracked by boat or car during the chick rearing stage. Concurrent behavioural observations documented the time each sex spent foraging or at the nest. The frequency and prey species composition of feeds to chicks were also recorded. The transmitters had negligible effects on the feeding frequency and brood attendance patterns of transmitter carrying birds. Peak nesting transmittered birds in 1990 and 1991 exhibited some inter-individual variability in foraging locations, however intraindividual variability was low. Birds foraged primarily to the west and northwest of the colony. Late nesters exhibited greater inter-individual variability, however intra-individual variability remained low for most birds. Neither group demonstrated sufficient variability to support the regular use of this colony as an "information centre". Individual transmittered birds had unique and predictable foraging patterns, and corresponding differences in feeding frequencies and brood attendance patterns, yet productivity was essentially equal between nests due to the impact and importance of stochastic events. Individuals that were recaptured in 1991 exhibited very similar foraging patterns to 1990, suggesting littie variability between years. Conservation of foraging patterns between years may have potential implications for mate choice decisions in future breeding seasons. Prey species delivered to chicks differed between morning and evening for peak and late nesters in 1990, but not 1991. Peak nesters in 1990 fed significantiy more Rainbow Smelt fOsmerus mordM) than Emerald Shiner (Notropis atherinoidesV this trend was reversed for late nesters who also fed large numbers of unidentified larval fish. No significant differences were found in 1991. Seasonal changes in prey species delivered to chicks is believed to be attributable to the temperature tolerances of the smelt and shiners, and the presence of large schools of larval fish during the late nesting season.
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The Common Tern (Sterna hirundo) is a ground nesting colonial seabird. Terns rely primarily on small prey fishes which they obtain through plunge diving for their survival as well as the survival of their offspring during the breeding season. The zebra mussel (Dreissena polymorpha) is a small bivalve mollusk that invaded North American waters in the late 1980's. Through its suspension feeding, the zebra mussel has the ability to alter the entire aquatic ecosystem, ultimately leading to a reduction in pelagic organisms including small prey fish. The objective of the study was to determine what (if any) indirect effects the invasion of the zebra mussel has had on fish prey captured by terns. The study took place in two separate two-year periods, 1990-91 and 1995-96 on a concrete breakwall off the north shore of Lake Erie near Port Colborne, Ontario. Daily nest checks revealed clutch initiation dates, egg-laying chronology, hatching success and morphological egg characteristics (length and breadth). Behavioural observations included time each sex spent in attendance with its brood, the frequency of feeding chicks and the prey species composition and size fed to chicks as well as to females (courtship feeding). Egg sizes did not differ between study periods, nor did feeding rates to chicks, suggesting that food was not a limiting resource. Terns spent less time with their broods (more time foraging) in the 1995-96 period. However, they also had significantly larger broods and fledged more offspring. The time of each individual foraging trip decreased, suggesting that fish were easier to obtain in 1995 and 1996. Lastly, kleptoparasitism rates decreased, suggesting that the costs of foraging (time, energy) actually decreased as fewer birds adopted this strategy to compensate for what I assumed to be a lack of available food (fish). The only significant difference between the periods of 1990, 1991 and 1995, 1996 was a change in diet. Terns delivered significantly fewer rainbow smelt and more emerald shiner in 1995 and 1996. However, the average size of fish delivered did not change. Thus, there was little impact on prey captured by Common Terns in Lake Erie since the invasion of the zebra mussel.
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The first objective of this study was to identify appropriate sensory descriptors to assess the astringent sub-qualities of red wine. The influence of pH and ethanol on the sensation of astringency in red wine was evaluated, using a de-alcoholized red wine. A portion of the wine was adjusted to the pH values of 3.2, 3.4, 3.6 and 3.8, and another portion was adjusted to ethanol concentrations of 0%, 6%, 12%, and 15%. In addition, the pH 3.4 and 3.6 treatments were adjusted to an ethanol concentration of 12% and 15% all wines were then assessed sensorially and seventeen terms were identified, through panel discussion, to describe the mouth-feel and taste qualities: velvet, aggressive, silk/satin, dry, fleshy, unripe, pucker viscosity, abrasive, heat, chewy, acidity, grippy/adhesive, bitter, balance, overall astringency, and mouth-coat. Descriptive analysis profiling techniques were used to train the panel and measure the intensity of these attributes. It was found that decreasing pH values (averaged across all ethanol concentrations) showed an increase in the overall astringency of the wine. The combined treatments of ethanol and pH, real wine parameters (pH 3.4 and 3.6; 12% and 15% ethanol) did not have an effect on the perception of the astringent sub-qualities of the wine. A time intensity study was also included using the pH and ethanol adjusted wines, which showed that as the ethanol level of the wines increased so did the time to maximum intensity. The second objective was to identify appropriate sensory descriptors to evaluate the influence of grape maturity and maceration technique (grape skin contact) on the astringency sub-qualities of red vinifera wines from Niagara. The grapes were harvested across two dates, representing an early harvest and a late harvest. A portion of the Cabernet Sauvignon grapes wine was divided into three maceration treatments of oneweek maceration, standard two-week maceration, three-week maceration, and MCM. Another portion of both the early and late harvest Cabernet Sauvignon grapes were chaptalized to yield a final ethanol concentration of 14.5%. The wines were assessed sensorially and thirteen terms were identified, through panel discussion, to describe the mouth-feel and taste qualities: carbon dioxide, pucker, acidity, silk/chamois, dusty/chalky/powdery, sandpaper, numbing, grippy/adhesive, dry, mouthcoat, bitter, balance and, overall astringency. Descriptive analysis techniques were used to train the panel and measure the intensity of these attributes. The data revealed few significant differences in the mouth-feel of the wines with respect to maturity; which included differences in overall astringency and balance. There were varietal differences between Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc, and Pinot Noir and differences for Cabernet Sauvignon wines due to the length and manner of maceration and as a result of chaptalization. Statistical analysis revealed a more complex mouth-feel for the Pinot Noir wines; and an increase in the intensity of the astringent sub-qualities as a result of the addition of sugar to the wines. These findings have implications for how processing decisions, such as optimum grape maturity and vinification methods may affect red wine quality.
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Abstract Many species of social insects have the ability to recognize their nestmates. In bees, sociality is maintained by bees that recognize which individuals should be helped and which should be hanned in order to maximize fitness (either inclusive or individual) (Hamilton 1964; Lin and Michener 1972). Since female bees generally lay eggs in a single nest, it is highly likely that bees found cohabitating in the same nest are siblings. According to the kin selection hypothesis, individuals should cooperate and avoid aggression with same sex nestmates (Hamilton 1964). However, in opposite sex pairs that are likely kin, aggression should increase among nestmates as an expression of inbreeding avoidance (Lihoreau et al. 2007). Female bees often guard nest entrances, recognizing and excluding foreign conspecific females that threaten to steal nest resources (Breed and Page 1991). Conversely, males that aggressively guard territories should avoid aggression towards other males that are likely kin (Shellman-Reeve and Gamboa 1984). In order to test whether Xy/ocopa virginica can distinguish nestmates from non-nestmates, circle tube testing arenas were used. Measures of aggression, cooperation and tolerance were evaluated to detennine the presence of nestmate recognition in this species. The results of this study indicate that male and female X virginica have the ability to distinguish nestmates from non-nestmates. Individuals in same sex pairs demonstrated increased pushing, biting, and C-posturing when faced with non-nestmates. Males in same sex pairs also attempted to pass (unsuccessfully) nOIl-nestmates more often than ncstmates, suggesting that this behaviour may be an cxpression of dominancc in males. Increased cooperation exemplified by successful passes was not observed among nestmates. However, incrcased tolerance in the [onn of head-to-head touching was observed for nestmates in female same sex and opposite sex pairs. These results supported the kin selection hypothesis. Moreover, increased tolerance among opposite sex non-nestmates suggested that X virginica do not demonstrate inbreeding avoidance among nestmates. 3 The second part of this study was conducted to establish the presence and extent of drifting, or travelling to different nests, in a Xylocopa virgillica population. Drifting in flying Hymenoptera is reported to be the result of navigation error and guard bees erroneously admitting novel individuals into the nest (Michener 1966). Since bees in this study were individually marked and captured at nest entrances, the locations where individuals were caught allowed me to determine where and how often bees travelled from nest to nest. Ifbees were captured near their home nests, changing nests may have been deliberate or explained by navigational error. However, ifbees were found in nests further away from their homes, this provides stronger evidence that flying towards a novel nest may have been deliberate. Female bees are often faithful to their own nests (Kasuya 1981) and no drifting was expected in female X virginica because they raise brood and contribute to nest maintenance activities. Contrary to females, males were not expected to remain faithful to a single nest. Results showed that many more females drifted than expected and that they were most often recaptured in a single nest, either their home nest or a novel nest. There were some females that were never caught in the same nest twice. In addition, females drifted to further nests when population density was low (in 2007), suggesting they seek out and claim nesting spaces when they are available. Males, as expected, showed the opposite pattern and most males drifted from nest to nest, never recaptured in the same location. This pattern indicates that males may be nesting wherever space is available, or nesting in benches nearest to their territories. This study reveals that both female and male X virginica are capable of nestmate recognition and use this ability in a dynamic environment, where nest membership is not as stable as once thought.
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Breeding parameters of Great Cormorants (PkaZac/iOCOfiCLX CCUibo dCUtbo) and Double-crested Cormorants (P. CLU/uXuA CMJhLtllb) were examined at two mixed species colonies at Cape Tryon and Durell Point, Prince Edward Island from 1976 to 1978. Differential access to nests at the two colony sites resulted in more complete demographic data for P. CCUibo than for P. CLUJiituA. In 1911j P. CCtfibo was present at both colonies by 21 March, whereas P. auAAJtuA did not return until 1 April and 16 April at Cape Tryon and Durell Point, respectively. Differences in the arrival chronology by individuals of each species and differences in the time of nest site occupation according to age, are suggested as factors influencing the nest site distribution of P. CXUtbo and P. aiVtituA at Cape Tryon. Forty-eight P. dOJtbo chicks banded at the Durell Point colony between 19 74 and 19 76 returned there to nest as two- to four-year olds in 19 77 and 19 78. Unmarked individuals with clutch-starts in April were likely greater than four years old as all marked two to four-year olds (with one possible exception) in 19 77 and 1978 had clutch-starts in May and June. Seasonal variation in the breeding success of P. dOJibo individuals was examined at Durell Point in 1977. Mean clutch-size, hatching success and fledging success exhibited a seasonal decline. Four- and 5-egg clutches represented the majority (75%) of all P. CCUibo clutches at Durell Point in 1977 and had the highest reproductive success (0.48 and 0.43 chicks fledged per egg laid respectively). Smaller clutches produced small broods with significantly higher chick mortality while larger clutches suffered high egg loss prior to clutch completion.
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Fresh egg-weights and feeding rates to chicks were related to chick survival as one means of quantifying apportionment of parental investment wi thin broods of Caspian Terns (SterDI casRla) at a colony in Georgian Bay. Lake Huron, during 1978 and 1979. Ftrst-laid eggs from 2-egg clutches were Significantly heavier and usually hatched one to three days earlier than second-laid eggs in both years of the study. In both years, first-hatched chicks were larger and generally better fed than second-hatched siblings. The disparity between feedIng rates of first- and second-hatched ehicks was greater in 1979. Brood feeding I rates correlated positively with the percentage of food fed to the least-fed sibUng through the period of B-chick ages zero to 10 days in 1978. I suggest that after this age period, parental control over whlcb cbick was fed diminished. In 1978, 10 of 16 secondhatched chicks were fed more than their older siblings during their first 5 days. 'lb.is is interpreted as a parental response to reduce the competitive advantage of the larger first-hatched chicks. Most chick losses were apparently caused by starvation or preda. tion. In 1979, seeorvl-hatched chick disappearance (due to predation) was -related to low feeding rates, whereas first-hatched chick disappearance was related to low fresh egg-weights.. First-hatched chicks survived better than second-hatched chicks both years, and more pairs fledged two chicks in 1978. Maximum estimated feeding rates at the nest and fledging ages suggested that food was more avatlable in 1978 than in 1979. In 1979, second eggs apparently functioned as "insurance" eggs. When the first-laid egg falled to hatch, or the first-hatched chick died, the second-hatched chick was often successfully fledged. When first-hatched chicks survived, the second-hatched chick usually starved or was preyed upon, reducing the brood to one chick. Parental investment patterns favored first-hatched chicks. Brood reduction, when employed, discouraged total nest failure, however, under appropriate conditions, brood reduction was avoided and full broods (or two chicks) were fledged.
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The reproductive biology of the Ring-billed Gull (Larus delawarensis) was studied on Gull Island, Presqu'ile Provincial Park, Ontario, in 1976 and 1977. Early started clutches (comprising the majority of clutches on Gull Island) in 1977 produced more chicks per nest (2.20 ± 0.09) than late started clutches (0.86 ± 0.13) as a result of reductions in mean clutch size, hatching success and fledging success with date of clutch initiation. Seasonal changes in mean clutch size, hatching success and fledging success also resulted in early clutches, initiated at the peak of clutch starts, producing more chicks per nest (2.34 ± 0.11) than either pre-peak (2.13 ± 0.20) or post-peak (1.82 ± 0.29) clutches. Possible reasons for these trends, including the observed predominance of immature plumaged, breeding gulls in late started areas, are discussed. Clutches were deserted at night for varying lengths of time from at least 15 April until 10 May, 1977. It is suggested that this nocturnal desertion behaviour resulted in the enhancement of inter- and intra-clutch hatching synchrony in early started areas and further, that this may in part explain the existence of the behaviour in terms of its adaptive significance.