978 resultados para Plant Protection
Resumo:
Resumo: O gênero mealybug Paracoccus Ezzat & McConnell (Hemiptera: Coccomorpha : ococcidae Pseud ) em todo o mundo tem oito espécies neotropicais descritas, incluindo duas espécies conhecidas do Brasil. Neste artigo, descrevemos uma terceira espécie do Brasil: Paracoccus galzerae Pacheco da Silva & Kaydan sp. n . , com base na morfologia de fêmeas adultas coletadas sobre as raízes da Conyza bonariensis (Asteraceae ) em vinhedos na cidade de Bento Gonçalves, Rio Grande do Sul. Uma chave de identificação revista incluindo a nova espécie é fornecida para a região Neotropical. Abstract: The worldwide mealybug genus Paracoccus Ezzat & McConnell (Hemiptera: Coccomorpha: Pseud ococcidae) has eight described Neotropical species, including two species known from Brazil. In this article, we describe a third species from Brazil: Paracoccus galzerae Pacheco da Silva & Kaydan sp. n., based on the morphology of adult females collected on the roots of Conyza bonariensis (Asteraceae) in vineyards in Bento Gonçalves City, Rio Grande do Sul. A revised identification key including the new species is provided for the Neotropical region.
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The objective of this work was to address the classical biological control of pests in Brazil, regarding procedures to import and export native biological material. A brief introduction will be given on the current legal issues on the use of biocontrol agents, as well as some considerations on the existing quarantine pests and actions already carried out in the country. The safety in the introduction of exotic organisms is important for Brazilian phytosanitary defense and for a higher adoption of classical biocontrol, making it available for integrated pest management (IPM). Legal and normative aspects establish the procedures that must to be adopted, not only to protect bioprospecting and native organisms, but also to minimize risks to the national genetic patrimony associated with the introduction of exotic organisms. Furthermore, the import/export procedures adopted for vegetal and useful organisms for pest biological control and for other genetic material must be subjected to phytosanitary measures performed in government?certified quarantine facilities and diagnostic laboratories. Finally, the quarantine activities listed here are strategic for safeguarding the country from potential problems arising from border transit of living organisms.
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In this work we compare Grapholita molesta Busck (Lepidoptera: Tortricidae) populations originated from Brazil, Chile, Spain, Italy and Greece using power spectral density and phylogenetic analysis to detect any similarities between the population macro- and the molecular micro-level. Log-transformed population data were normalized and AR(p) models were developed to generate for each case population time series of equal lengths. The time-frequency/scale properties of the population data were further analyzed using wavelet analysis to detect any population dynamics frequency changes and cluster the populations. Based on the power spectral of each population time series and the hierarchical clustering schemes, populations originated from Southern America (Brazil and Chile) exhibit similar rhythmic properties and are both closer related with populations originated from Greece. Populations from Spain and especially Italy, have higher distance by terms of periodic changes on their population dynamics. Moreover, the members within the same cluster share similar spectral information, therefore they are supposed to participate in the same temporally regulated population process. On the contrary, the phylogenetic approach revealed a less structured pattern that bears indications of panmixia, as the two clusters contain individuals from both Europe and South America. This preliminary outcome will be further assessed by incorporating more individuals and likely employed a second molecular marker.
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Une préoccupation essentielle traverse cette thèse: l'indifférence systémique de la Loi internationale sur la propriété intellectuelle a l'égard des savoirs traditionnels autochtones. De manière générale, un écart semble d'ailleurs croissant entre l'importance des accords internationaux sur les questions d'intérêt commercial et ceux de nature sociale. Les savoirs traditionnels autochtones sur les plantes médicinales sont particulièrement désavantagés dans ce système dichotomique puisqu'ils sont non seulement à l'origine d'énormes profits commerciaux mais se trouvent aussi au cœur de multiples croyances propres à ces sociétés. L'Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a cristallisé le souci de la législation internationale à l'égard d'une protection efficace des intérêts commerciaux. Deux années auparavant, la Convention sur la diversité biologique (CDB) était signée, traduisant une préoccupation à l'égard du développement durable, et elle devenait le premier accord international à tenir compte des savoirs traditionnels autochtones. On considère souvent que ces deux accords permettent l'équilibre du développement commercial et durable, requis par l'économie internationale. Après plus ample examen, on a plutôt l'impression que l'idée d'une CDB défendant, avec succès et efficacité, la nécessité du développement durable et des savoirs traditionnels autochtones contre les pressions opposées de l'ADPIC et de l'OMC est, au mieux, simpliste. La thèse explore également la fonction de la Loi sur les brevets dans la création d’industries, notamment pharmaceutique, et la manière dont ces industries influencent la législation nationale et en particulier internationale. De même, elle traite du rôle que jouent les brevets dans l'affaiblissement et la dépossession des peuples autochtones dotés de savoirs traditionnels sur les plantes médicinales, conduisant à une situation ou ces savoirs sont marginalisés ainsi que leurs détenteurs. La thèse aborde les failles institutionnelles du système juridique international qui permet une telle situation et indique l'urgente nécessité d'examiner attentivement les inégalités économiques et sociales au Nord comme au Sud, et non seulement entre eux. Finalement, la thèse suggère que la législation internationale gagnerait à s'inspirer des diverses traditions juridiques présentes à travers le monde et, dans ce cas particulier, peut être les détenteurs des connaissances traditionnelles concernant les plantes médicinales seront mieux servi par le droit des obligations.
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Il existe une nouvelle catégorie de technologie, les vaccins dérivés de plantes («VDPs»), qui englobe des produits qui ont un grand potentiel pour l’amélioration de la santé à l’échelle globale. Bien qu’ils ne soient pas encore disponibles pour le public, le développement des VDPs a progressé de façon telle qu’ils devraient être prêts à être mis en marché et distribués sous peu. Ainsi, c’est le moment idéal pour lancer un débat sur la meilleure façon de protéger cette nouvelle catégorie de technologie. Vu leur nature, les VDPs ne se qualifient pas parfaitement pour aucune forme de protection de propriété intellectuelle. En effet, un VDP est à la fois une variété de plante, une biotechnologie, un médicament et un produit qui vise spécifiquement les besoins de pays en voie de développement. Chacune de ces caractéristiques soulève ses propres problématiques en ce qui a trait à la propriété intellectuelle. C’est pourquoi il appert difficile d’identifier la forme de protection la plus adéquate et appropriée pour les VDPs. Cet article traite de la nature d’un VDP, des différentes catégories dans lesquelles il pourrait être classé, des différents types de systèmes de protection de propriété intellectuelle auxquels il pourrait être éligible ainsi que des problèmes qui pourraient être soulevés par tous ces éléments. Ces discussions visent à mettre l’accent sur le fait que nous avons affaire à une toute nouvelle catégorie d’innovation technologique. L’auteure est donc d’avis qu’une approche proactive est nécessaire pour discuter d’un système de protection de propriété intellectuelle en relation avec les VDPs. En ce moment, c’est l’inventeur qui choisi comment il protègera son invention. Les moyens employés par ce dernier pourraient être subséquemment modifiés ou annulés par une décision judiciaire mais comme plusieurs autres inventeurs d’une même catégorie de technologie auront probablement déjà adopté une stratégie de protection similaire, ce type de mesures judiciaire, très tard dans le processus, pourra avoir des résultats néfastes sur les détenteurs de droits. Le développement de lignes directrices d’entrée de jeu, avec l’aide d’un panel d’experts de préférence, peut contribuer à éviter les situations de confusion qui ont déjà été vécues avec l’application d’autres nouvelles technologies et qui devraient servir de leçon pour l’encadrement des VDPs.
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School of Legal Studies, Cochin University of Science and Technology
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Many developing countries are currently engaged in designing and implementing plant variety protection systems. Encouraging private investment in plant breeding is the key rationale for extending intellectual property rights to plant varieties. However, the design of plant variety protection systems in developing countries has been dominated by concerns regarding the inequities of a plant variety protection system, especially the imbalance in the reward structure between plant breeders and farmers. The private seed industry, a key stakeholder in plant variety protection, appears to be playing only a peripheral role in the design of the intellectual property rights regime. This paper explores the potential response of the private seed industry in India to plant variety protection legislation based on a survey of major plant breeding companies. The survey finds that the private seed industry in India is generally unenthusiastic about the legislation and plant variety protection is likely to have only a very limited impact on their research profile and expenditures on plant breeding. Measures designed to curb the 'excessive' profits of breeders, farmers' rights provisions and poor prospects for enforcement of rights are seen to be seriously diluting breeders' rights, leaving few incentives for innovation. If the fundamental objective of plant variety protection is to stimulate private investment in plant breeding, then developing countries need to seriously address the question of improving appropriability of returns from investment.
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Under the Agreement on Trade-Related Aspects of Intellectual Property Rights, all member-countries of the World Trade Organization are required to provide an "effective" system of plant variety protection within a specific time frame. In many developing countries, this has led to a divisive debate about the fundamental desirability of extending intellectual property rights to agriculture. Empirical studies on the economic impacts of plant variety protection, especially its ability to generate large private sector investments in plant breeding and to facilitate the transfer of technology, have been very limited. This paper examines two aspects of the international experience of plant variety protection: (a) the relationship between legislation, research, and development expenditures and plant variety protection grants, i.e., the innovation effect and (b) the role of plant variety protection in facilitating the flow of varieties across countries, i.e., the transferability effect.
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This paper attempts an empirical assessment of the incentive effects of plant variety protection regimes in the generation of crop variety innovations. A duration model of plant variety protection certificates is used to infer the private appropriability of returns from agricultural crop variety innovations in the UK over the period 1965-2000. The results suggest that plant variety protection provides only modest appropriability of returns to innovators of agricultural crop varieties. The value distribution of plant variety protection certificates is highly skewed with a large proportion of innovations providing virtually no returns to innovators. Increasing competition from newer varieties appears to have accelerated the turnover of varieties reducing appropriability further. Plant variety protection emerges as a relatively weak instrument of protection.