743 resultados para Nutrition Surveys
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Les oxydants infusés avec la nutrition parentéral (NP) néonatale induisent une modification du métabolisme des lipides et du glucose, donnant lieu à l’âge adulte à un phénotype de carence énergétique (faible poids, baisse de l’activité physique). L’hypothèse qu’une diète précoce riche en glucose prévient ces symptômes plus tard dans la vie, fut évalué chez le cobaye par un ANOVA en plan factoriel complet à deux facteurs (p < 0:05) : NP du jour 3 à 7, suivit d’une nourriture régulière (chow) (NP+) vs. chow à partir du 3ième jour (NP-), combiné avec une eau de consommation enrichie en glucose (G+) ou non (G-) à partir de la 3ième semaine. Les paramètres suivant ont été mesurés à l’âge de 9 semaine: taux de croissance, activité physique, activité de phosphofructokinase-1 et glucokinase (GK), niveau hépatique de glucose-6-phosphate (G6P), glycogène, pyruvate et potentiel redox du glutathion, poids du foie, glycémie, tolérance au glucose, concentrations hépatiques et plasmatiques en triacylglycérides (TG) et cholestérol. Le groupe G+ (vs. G-) avait un taux de croissance plus bas, une activité de GK et une concentration en G6P plus élevée, et un potentiel redox plus bas (moins oxydé). Le niveau plasmatique de TG était moins élevé dans le groupe NP+ (vs. NP-). Les traitements n’eurent aucun effet sur les autres paramètres. Ces résultats suggèrent qu’indépendamment de la NP, une alimentation riche en glucose stimule la glycolyse et déplace l’état redox vers un statut plus réduit, mais ne surmonte pas les effets de la NP sur le phénotype physique de carence énergétique.
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Au cours de leur croissance, les jeunes sont exposés à des facteurs de risques de maladies associés aux habitudes de vie, notamment celles alimentaires. Les interventions scolaires mises en place en vue de modifier leurs comportements nutritionnels sont plus efficaces lorsque les parents prennent part aux activités. Toutefois, les travaux réalisés dans ce domaine font état d’un faible taux de participation des parents dans les activités proposées. Les recherches effectuées sur la participation parentale dans les interventions d’éducation nutritionnelle à l’école, révèlent des lacunes importantes quant à la définition du concept. L’investissement parental y est défini par la fréquence d’apparition des parents à l’école et le rôle de ceux-ci dans les interventions; ce qui constitue, à notre avis, une vision réductionniste des dimensions du concept. De plus, ces études répertoriées dans la littérature mettent l’emphase sur la proportion de parents participants et l’influence de celle-ci quant aux effets sur les enfants, sans se préoccuper de ce qui pourrait expliquer leur implication aux activités proposées. L’objectif de cette thèse est de documenter les mécanismes qui sous-tendent la participation des parents dans les programmes de promotion de la santé dispensés en milieu scolaire. Plus spécifiquement, notre étude vise à identifier la relation entre les différentes dimensions de l’implication parentale et les comportements alimentaires des enfants suite à l’exposition de ces derniers à un projet d’éducation à la nutrition mis en place dans huit écoles primaires de milieux défavorisés de Montréal, le Projet PC-PR, tout en appréciant l’influence de certaines caractéristiques familiales sur ce lien. Puis, explorer la relation entre des facteurs qui motivent les parents à participer et l’investissement de ces derniers dans le projet. La présente recherche est conduite grâce à une analyse secondaire de données d’un échantillon de parents d’enfants fréquentant les écoles qui participent au projet PC-PR (N=502). La participation parentale est conceptualisée en quatre dimensions faisant référence à la notion du mésosystème proposée par Bronfenbrenner (1979), alors que les motifs d’implication sont définis en s’inspirant des travaux de Hoover-Dempsey et Sandler (1995, 1997). Des analyses descriptives, bivariées et multivariées sont effectuées. L’analyse du discours des parents montre une association positive entre la participation parentale aux activités (soit l’investissement à la maison, la communication et la connaissance intermilieu) et le développement de comportements alimentaires des enfants. Des effets modérateurs de certaines variables familiales (la langue, le nombre d’enfants à la maison, l’âge et l’opinion du parent sur la nécessité que l’enfant sache faire à manger) sur cette relation sont aussi identifiés. Les raisons qui poussent un parent à participer (la compréhension du rôle, le sentiment de compétence et les occasions offertes par les ateliers) sont liées à la participation de ce dernier aux activités de cuisine-nutrition. Les résultats de cette recherche contribuent non seulement à l’avancement des connaissances dans le domaine, mais servent de prémisses à une réflexion visant à mieux orienter les interventions en promotion de la santé.
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Introduction: Le supplément d’oxygène et la nutrition parentérale (NP) sont les deux sources majeures de stress oxydant chez le nouveau-né. Lors de la détoxification des oxydants, le potentiel redox du glutathion s’oxyde. Notre hypothèse est que le supplément d’oxygène et la durée de la NP sont associés à un potentiel redox plus oxydé et à une augmentation de la sévérité de la dysplasie bronchopulmonaire (DBP). Patients et Méthodes: Une étude observationnelle prospective incluant des enfants de moins de 29 semaines d’âge gestationnel. Les concentrations sanguines de GSH et GSSG à jour 6-7 et à 36 semaines d’âge corrigé étaient mesurées par électrophorèse capillaire et le potentiel redox était calculé selon l’équation de Nernst. La sévérité de la DBP correspondait à la définition du NICHD. Résultats: Une FiO2≥ 25% au 7ième jour de vie ainsi que plus de 14 jours de NP sont significativement associés à un potentiel redox plus oxydé et à une DBP plus sévère. Ces relations sont indépendantes de l’âge de gestation et de la gravité de la maladie initiale. La corrélation entre le potentiel redox et la sévérité de la DBP n’est pas significative. La durée de la NP était responsable de 15% de la variation du potentiel redox ainsi que de 42% de la variation de la sévérité de la DPB. Conclusion: Ces résultats suggèrent que l’oxygène et la NP induisent un stress oxydant et que les stratégies visant une utilisation plus judicieuse de l’oxygène et de la NP devraient diminuer la sévérité de la DBP.
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Objectifs. L’objectif principal est de documenter, auprès de finissants universitaires en nutrition au Québec, leurs motivations professionnelles ainsi que leur perception de la profession et de ses enjeux et comparer certaines données avec celles obtenues chez des diététistes. Méthode. Un sondage électronique a été effectué auprès des étudiants finissants en nutrition des trois universités du Québec offrant le programme. Le questionnaire comprenait 35 questions, dont trois qualitatives. Deux questions référaient à la méthode des incidents critiques. Pour les diététistes, les données colligées par l’OPDQ en 2009 furent utilisées. Résultats. Au total, 72 étudiants ont répondu au questionnaire et 597 diététistes avaient complété le sondage de l’OPDQ. Un intérêt pour la nutrition, la santé, les aliments et le désir d’aider les autres sont les principales motivations pour entreprendre des études en nutrition et plus de la moitié souhaitent poursuivre des études supérieures dans ce domaine. Une majorité d’entre eux privilégient travailler avec une clientèle de moins de 65 ans, ce qui est préoccupant compte-tenu du contexte démographique. Les étudiants ont une vision plutôt positive de la profession et une perception similaire aux diététistes quant aux enjeux pouvant affecter la profession. Conclusion. Cette étude a permis de dresser un portrait des étudiants, de leurs motivations et de leur perception de la profession. Elle souligne l’importance d’exposer les étudiants aux milieux de travail le plus tôt possible dans leur cheminement scolaire.
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Les programmes éducatifs de jardinage alimentaire avec les jeunes offrent l’opportunité d’agir sur leurs connaissances nutritionnelles, préférences pour des légumes, sentiment d'efficacité personnelle à consommer des fruits et légumes, envie d'y goûter et leur consommation. Dans ces activités, certains obstacles peuvent freiner l'éducation alimentaire et nutritionnelle faite par des animateurs qui ne sont pas professionnels de la nutrition ou de la santé. Le présent projet consistait à développer un volet alimentaire et nutritionnel éducatif pour les "Jardins-jeunes" (JJ), un camp d'été en jardinage du Jardin botanique de Montréal, à offrir une courte formation en nutrition à ses animatrices, puis à évaluer leurs niveaux d'intérêt et de confiance personnelle à intégrer ce volet à l'édition 2013. Les méthodes d'évaluation auprès des animatrices comprenaient des entrevues de groupe, des questionnaires et une observation-terrain. La taille d'échantillon permettait uniquement une analyse qualitative des résultats. La formation semble avoir maintenu ou élevé les niveaux de confiance et de connaissances des animatrices sur plusieurs sujets alimentaires et nutritionnels. Les animatrices évoquent que les trois activités de trente minutes en alimentation et nutrition, intégrées aux JJ 2013, auraient favorisé l'éducation nutritionnelle, qui par ailleurs, fut limitée par manque de temps. Elles rapportent avoir perçu des effets positifs du programme sur les connaissances, attitudes et comportements alimentaires des jeunes. Nos résultats suggèrent qu'un volet d’éducation alimentaire et nutritionnelle peut être intégré à un programme de jardinage par des animateurs non spécialisés dans ces domaines, outillés et encadrés pour se sentir motivés et confiants dans leur rôle.
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Les prairies indigènes présentent une source importante d'alimentation pour le pâturage du bétail dans les prairies Canadiennes semi-arides. L'addition de légumineuses fixatrices d'azote et de phosphore dans les prairies indigènes peut améliorer la productivité et la valeur nutritive de fourrage. Ces pratiques peuvent induire des modifications de la structure et de la diversité des communautés fongiques du sol, ce qui peut en retour avoir un impact sur la production et le contenu nutritionnel du fourrage. L’objectif de cette étude était de développer un système de pâturage à bas niveau d’intrants, productif, autonome et durable. À court terme, nous voulions 1) déterminer l'effet des légumineuses (Medicago sativa, une légumineuse cultivée ou Dalea purpurea, une légumineuse indigène) et la fertilité en phosphore du sol sur la productivité et la valeur nutritive des graminées indigènes, comparées avec celles de la graminée introduite Bromus biebersteinii en mélange avec le M. sativa, 2) identifier l'effet de ces pratiques sur la diversité et la structure des communautés des champignons mycorhiziens à arbuscules (CMA) et des champignons totaux, 3) identifier l'effet des légumineuses et des CMA sur les interactions compétitives entre les graminées de saison fraîche et les graminées de saison chaude. Les expériences menées au champ ont montré que M. sativa améliorait les teneurs en azote et en phosphore des graminées indigènes au début de l'été, ainsi que la teneur en azote de la graminée de saison chaude Bouteloua gracilis à la fin de l'été de l'année sèche 2009. Par contre, la fertilité en phosphore du sol n'ait pas affecté la productivité des plantes. D'autre part, l'inclusion des légumineuses augmentait la diversité des CMA dans le mélange de graminées indigènes. Cette modification présentait des corrélations positives avec la productivité et la quantité totale d'azote chez le M. sativa et avec la teneur en phosphore des graminées indigènes, au début de l'été. La structure des communautés de champignons totaux était influencée par l'interaction entre le mélange des espèces et la fertilité en phosphore du sol seulement en 2008 (année humide). Cet effet pourrait être lié en partie avec la productivité des plantes et l'humidité du sol. Les expériences menées en chambre de culture ont montré que les CMA peuvent favoriser la productivité des graminées de saison chaude au détriment des graminées de saison fraîche. En effet, Glomus cubense augmentait la productivité de la graminée de saison chaude B. gracilis, en présence de M. sativa. Cet effet pourrait être associé à l’effet négatif du G. cubense sur la fixation de l’azote par le M. sativa et à la diminution de l’efficacité d’utilisation de l'azote de certaines graminées de saison fraîche résultant en une augmentation de la disponibilité de l'azote pour B. gracilis. Par contre, le Glomus sp. augmentait la biomasse de Schizachyrium scoparium, autre graminée de saison chaude, en absence de légumineuse. Ce phénomène pourrait être attribuable à une amélioration de l’efficacité d’utilisation du P de cette graminée. En conclusion, mes travaux de recherche ont montré que la légumineuse cultivée M. sativa peut améliorer la valeur nutritive des graminées indigènes au début de l'été ainsi que celle de la graminée de saison chaude B. gracilis, dans des conditions de sécheresse sévère de la fin de l'été. De plus, l'addition de M. sativa dans le mélange de graminées indigènes peut contribuer à augmenter le nombre des espèces bénéfiques des CMA pour la production et la nutrition du fourrage au début de l'été.
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Recent studies with prawns indicate that their growth, metamorphosis, maturation and moulting are affected by the typo and level of lipids supplied in the diets. Despite the recognition of the importance of lipids in the diets of prawns there is no information on the essentiality and quantitative lipid requirements of Indian penaeid prawns. Therefore during the present study about 24 laboratory experiments were conducted to determine the essentiality and dietary requirements of total lipids, phoapholipida, fatty acids cholestrol, and to ascertain the nutritional value of natural lipid sources for the larvae, post-larvae tad juveniles of one of the most suitable cultivable species of panaeid prans. All the experiments were conducted in the laboratory following standard procedures, using isonitrogen and approaximately isocaloric purified diets. Changes were made in tha ingridients as required for specific requirements. For the larvae diets of particle size < 37) were fed, For the postlarvae and juveniles pellet feed was given. while data on survival and growth of larvae and pout-larvae 1-10 were recorded, data were collected on the survival, growth, food conversion ratio, protein efficiency ratio and biochemical composition at the body for post-larva 11-25 and juveniles. The influence ot fatty acid pattern of dietary lipid sources on the fatty acids profile of prawns were also studied in the case of juvenile prawns. Analysis of variance andleast significant differences test were employed to determine the significant differences between treatments in the observed parameters with the help of a newlett Packard master computer.
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The present study has yielded a great deal of information on nutrition of pearl oyster larvae. T he formulae presented may be used effectively and with advantage in improving the larval rearing system with specific reference to nutritional aspects. It is also hoped that this is the first comprehensive study on pearl oyster larval nutrition would stimulate further detailed investigations on many of the other finer aspects of tropical bivalve larval nutrition.
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Das Ernährungsverhalten einer Bevölkerung hat einen wesentlichen Einfluss auf das Wohlbefinden, die Gesundheit und Leistungsfähigkeit der Menschen. Ernährungsbedingte, chronische Erkrankungen weisen in den westlichen Industrienationen eine hohe Inzidenz und Prävalenz auf. Präventionsmaßnahmen im Setting Schule sollen das Ernährungsverhalten der Kinder- und Jugendlichen positiv beeinflussen. Gerade in diesem Setting können Personen mit unterschiedlichem sozioökonomischem Status, sowie Personen aus diversen Lebensbereichen angesprochen werden. Der Ernährungsführerschein (EFS) ist eine schulbasierte Primärpräventions-maßnahme, der in der 3. Jahrgangsstufe/Grundschule durchgeführt wird. In 6 – 7 Unterrichtseinheiten erfolgt eine praxisnahe Vermittlung von Grundkenntnissen über Ernährung, Lebensmittel und deren Zubereitung. Der EFS möchte eine Verhaltensänderung der Schulkinder bewirken. Sie erlernen Kompetenzen, damit sie in der Lage sind, sich selbst eine gesunde Mahlzeit zubereiten zu können. Aber kann dieses Projekt eine nachhaltige Verhaltensänderung bewirken? Die folgende Studie mit Mixed-Methods-Ansatz im Explanatory-Sequential-Design versucht genau dieser Frage nachzugehen. Auf eine quantitative Prä- und Postbefragung in 16 Klassen an 12 Grundschulen im Landkreis Marburg Biedenkopf und insgesamt 992 Befragungen folgte eine qualitative Studie mit neun problemzentrierten, leitfadengestützten Interviews. Der EFS zeigt keinen signifikanten Einfluss auf die Veränderung des Ernährungsverhaltens. Positiv zu bewerten ist, dass durch den EFS Alltagskompetenzen bei der Nahrungszubereitung gefördert wurden. Dieser positive Einfluss muss jedoch differenziert betrachtet werden, denn die qualitativen Studie zeigt, dass der EFS sehr gut in Familien aufgenommen wird, die sich bereits mit Ernährungsfragen auseinandersetzen und darauf achten, einen ernährungsphysiologisch günstigen Ernährungsstil zu leben oder anzustreben. In Familien der Billig- und Fleischesser konnte der EFS die Türen nicht öffnen. Aber gerade in diesem Segment wäre eine Veränderung des Essverhaltens induziert. Die Untersuchung ergab, dass der EFS für sich alleine nicht den Anspruch erheben kann, die Ernährungssituation der Kinder und Familien zu verbessern. Aber er bietet ein methodisch-didaktisch gut ausgearbeitetes Konzept und könnte als Baustein in die Entwicklung eines praxisnahen, erlebnisorientierten und ganzheitlichen Ernährungsbildungskonzepts unter Berücksichtigung diverser Settings und Lebenswelten der Kinder und Familien einfließen.
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Einer physiologisch angemessenen Ernährung in der Kindheit wird eine wichtige Rolle in der physischen, mentalen und emotionalen Entwicklung vom Kindes- bis zum späteren Erwachsenenalter zugeschrieben. Obwohl es bisher nur wenige Daten zum Gesundheits- und Ernährungsstatus im Kosovo gibt, zeigen diese Studien aus der Zeit vor und nach dem Kosovokrieg, dass Unterernährung und der Mangel einiger wichtiger Mikronährstoffe bei Kindern im Vorschulalter vorherrschen. Deshalb ist es erforderlich, die Daten von Kindern im Vorschulalter zu erfassen und zu untersuchen, was zum einen durch anthropometrische Parameter als auch durch die Analyse des Nährstoffgehaltes der Mahlzeiten in Kindergärten (Häufigkeit der Mahlzeiten, adäquate Mengen an z.B. Obst und Gemüse, etc.) in dieser Arbeit erfolgt. Diese wissenschaftliche Untersuchung stellt fest, dass das Wachstum der Vorschulkinder und die angebotene Lebensmittelvielfalt ebenso wie die Nähr- und Energiewerte der dargebotenen Mahlzeiten in Kindergärten im Kosovo nur teilweise den internationalen Ernährungsempfehlungen für diese Altersstufe genügen. Der Anteil an untergewichtigen Kindern wird mit 0,7% ermittelt, während 0,5% stark untergewichtig sind. 1,9% der Kinder leiden unter moderater und 0,8% der Kinder leiden unter schwerer akuter Unterernährung. Der Gewicht/Größe Indikator (12-24 Monate alter Kinder) zeigt, dass keine Kinder als adipös einzustufen sind, während 6,8% übergewichtig sind und 34,1% ein mögliches Risiko für Übergewicht zeigen. Die Verteilung der Geschlechter spielt bei Adipositas keine Rolle, da weder Jungen noch Mädchen adipös sind. Jedoch sind 7,4% der Jungen und 5,9% der Mädchen übergewichtig und 29,6% der Jungen und 41,2% der Mädchen zeigen ein mögliches Risiko für Übergewicht. Der BMI Indikator (24-83 Monate alte Kinder) zeigt, dass der Anteil der adipösen Kinder bei 2,3% liegt, während 8,94% übergewichtig sind und 27,3% ein Risiko für mögliches Übergewicht aufweisen. Was das Geschlecht anbelangt, sind 2,68% der Jungen und 1,44% der Mädchen adipös, 10,88% der Jungen und 5,86% der Mädchen sind übergewichtig und 29,12% der Jungen sowie 25,16% der Mädchen zeigen die Tendenz zu einem möglichen Übergewicht. Die durchschnittliche Energieaufnahme (ganztags – 8 Stunden) reicht von 455 kcal im Kindergarten 4 bis hin zu 992 kcal im Kindergarten 1, was 36% und 79% der empfohlenen Tageszufuhr ausmacht. Der durchschnittliche Verzehr von Proteinen/Aminosäuren der Kinder aus allen untersuchten Kindergärten erweist sich als höher als erforderlich für diese Altersstufe. Trotz der durchschnittlichen Aufnahme von 27% der absoluten Fettmenge beträgt der durchschnittliche Anteil der Energie von SFA, MUFA und PUFA nicht mehr als 35% der empfohlenen Menge. Der Gesamtballaststoffaufnahme (ganztags – 8 Stunden) liegt zwischen 2,3 Gramm und 8,1 Gramm, was 30% und 46% der empfohlenen Tageszufuhr ausmacht. Die Aufnahme von Kalzium, Eisen und besonders Jod liegt unter den Empfehlungen, während die Aufnahme von Chlorid und Natrium wesentlich höher ist als die empfohlene tägliche Menge. Die Aufnahme von Folsäure ist in öffentlichen Kindergärten (ganztags – 8 Stunden) relativ gering und deckt lediglich 23% der empfohlenen Tageszufuhr. Die tägliche Vitamin C Aufnahme der Kinder aus öffentlichen Kindergärten ist ziemlich gering und deckt 23% und 28% der empfohlenen Tageszufuhr. Die Ernährung im Kindergarten zeigt Defizite in der Aufnahme von Mikronährstoffen, besonders von Kalzium, Eisen, Jod, Folsäure, Vitamin A, Vitamin C in öffentlichen Kindergärten und Vitamin D. Die überschrittene Aufnahme von Chlorid und Natrium konnte in allen Kindern beobachtet werden, unabhängig von Geschlecht, Alter und dem Kindergarten. Im Kindergarten konsumieren Kinder mehr Lebensmittel mit einer höheren Energiedichte und werden nicht dazu ermutigt, abwechslungsreichere und gesündere Lebensmittel zu wählen. Verarbeitete und raffinierte Lebensmittel werden von Vorschulkindern bereits ab dem ersten Lebensjahr konsumiert. Der Anteil der Kinder, welche ihre Mahlzeiten auslassen beträgt 12,9%, während 30,2% manchmal ihre Mahlzeiten auslassen. Das Ernährungsmuster zeigt geringe Werte für Vollkornprodukte, Früchte und Gemüse, jedoch hohe Werte für Softdrinks, süße und salzige Lebensmittel. Die Aufnahme von Obst und Gemüse der Vorschulkinder ist viel geringer als die täglich empfohlene Portionsmenge. Die Eltern werden nicht angeleitet, Vorschulkindern bei der Schaffung gesunder Ernährungsgewohnheiten zu helfen, demzufolge ist das kindliche Essverhalten und die Ernährungspraxis von den Eltern und ihrem eigenen Ernährungsstil beeinflusst. Nach dieser Studie muss festgestellt werden, dass gesunde Ernährungsmuster bei Vorschulkindern im Kosovo nicht etabliert sind. Im Vergleich zu den bereits durchgeführten Untersuchungen zeigt diese Studie, dass sich im Kosovo eine Ernährungswende andeutet: das Untergewicht im Vorschulalter nimmt leicht ab, jedoch steigt die Prävalenz von Übergewicht und Adipositas. Der beobachtete Anstieg von Übergewicht und Adipositas ist wahrscheinlich eine Konsequenz des rapiden Wandels des Ernährungsverhaltens nach dem Kosovokrieg. Das Land hat bis jetzt noch keine nationalen und lokalen Strategien oder Programme entwickelt, welche die Routineuntersuchungen von Kindern regulieren, um eventuelle negative Trends zu verfolgen und umzukehren. Zur Zeit gibt es keine Ernährungsrichtlinien und nur sehr wenig Beratung für die Menügestaltung in Kindergärten im Kosovo. Als erster Schritt wird empfohlen, dass die Gesellschaft und die Institutionen im Kosovo die Probleme der Unterernährung, des Übergewichts und der Adipositas sowie deren negativen Auswirkungen auf den gesamten Gesundheitsstatus verschiedener Bevölkerungsgruppen, insbesondere der Kinder, anerkennen. Gesundes Wachstum und die Kontrolle der Unterernährung und des Übergewichts im Kindesalter sollte alle Stufen der Gesellschaft einbeziehen. Gesundheits- und Bildungsbehörden im Kosovo sollten nationale Programme zur empfohlenen täglichen Aufnahme und zu Ernährungsrichtlinien für Kinder im Vorschulalter entwickeln. Die Richtlinien sollten Empfehlungen bezüglich Energie, Makro- und Mikronährstoffe in der täglichen Ernährung Auskunft erteilen aber auch über Ernährungsstile und – verhalten sowie das Strukturieren von Mahlzeiten für Vorschulkinder und andere Bevölkerungsgruppen informieren. Die beobachteten Defizite im Bereich der Mikronährstoffaufnahme wie zum Beispiel von Kalzium, Eisen, Jod, Folsäure, Vitamin A, Vitamin C, Vitamin D ebenso wie die zu hohe Aufnahme und Chlorid und Natrium in öffentlichen Kindergärten sollten sofort angesprochen werden. Erzieher in Kindergärten sollten eine Weiterbildung im Bereich der Entwicklung des Ernährungsverhalten bei Vorschulkindern erhalten und die Definitionen von Unterernährung und Übergewicht und deren Prävention kennen. Partnerschaften zwischen Kindergärten und Eltern sind erforderlich, um den Kindern eine gesündere Lebensmittelwahl zu ermöglichen. Kinder im Vorschulalter und auch Kinder anderer Altersgruppen sollten ermutigt werden, ihren Verzehr an Früchten, Gemüse, Vollkornbrot und –getreide sowie ungesättigten Fettsäuren zu steigern und somit mehr pflanzliche Produkte wie Gemüse und Obst zu ihren Gerichten hinzuzufügen. Dies würde auch den Gehalt an Ballaststoffen erhöhen, der in der Kindheit sehr wichtig ist. Es wird empfohlen, verarbeitete Lebensmittel so häufig wie möglich zu vermeiden und unverarbeitete oder minimal verarbeitete Lebensmittel zu bevorzugen. Es ist erforderlich, ein Ernährungssystem zu entwickeln und außerdem die internationalen Wachstumsstandards (WHO oder andere) anzuwenden, welche das Beobachten des Ernährungsstatus‘ bei Kindern durch Routineuntersuchungen regeln, damit eventuelle Negativtrends verfolgt und umgekehrt werden können. Die Entwicklung universitärer Bildungsprogramme mit Bezug auf Ernährung und die Einführung eines Faches zur gesunden Ernährung und zu gesunden Lebensstilen in die Curricula der Bildungsinstitutionen im Kosovo werden empfohlen. Weitere Untersuchungen zum Gesundheitsstatus und zur Ernährungsqualität bei Vorschulkindern würden zusätzliche Einblicke in die der Auswirkung der frühen Lebensjahre auf Beziehung von Kindheitsernährung und Krankheiten gewähren. Die Untersuchung von Gesundheitsrisiken gekoppelt mit ungesunden Ernährungsgewohnheiten bei Vorschulkindern wird empfohlen. Weitere Studien sind nötig, um die Nahrungszufuhr im Kindergarten zu untersuchen, jedoch sollten Vorschulkinder, welche keinen Kindergarten besuchen, ebenfalls mit eingeschlossen werden. Außerdem sind Studien erforderlich, welche die Auswirkungen des steigenden Konsums gesüßter Getränke und anderer Lebensmittel auf Übergewicht und Adipositas untersuchen. Ferner werden Studien empfohlen, um den Gesundheitseffekt der Ernährungsmuster in der Kindheit zu identifizieren. Außerdem sind periodische Studien erforderlich, um die Veränderung der Prävalenz von Übergewicht und Adipositas bei Kindern zukünftig zu vergleichen. Risikofaktoren für Adipositas bei Kindern durch periodische Studien zu identifizieren ist ebenfalls erforderlich, um die Prävalenz der Adipositas bei Kindern in den künftigen Jahren zu vergleichen.
Resumo:
An introduction for students intending to design and conduct a survey. This is the prelude to a practical group activity.
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Overview of Surveys and Survey Systems. Class exercise sheet, to use to think about survey design example question types from survey monkey, plus set of example survey questions