999 resultados para Maxillary sinuses
Resumo:
Introduction: L’expansion palatine du maxillaire a beaucoup d’effets positifs sur la respiration et la qualité du sommeil, mais peu d'études ont examiné ces données sur des adultes ayant dépassé l’âge permettant de bénéficier d'une expansion palatine conventionnelle. Le but de cette recherche est d’évaluer la stabilité de l’EPRAC (expansion palatine rapide assistée chirurgicalement) et son effet sur les troubles respiratoires après l’ablation des appareils orthodontiques. Méthodes: Neuf patients (Âge moyen 21, entre 16-39 ans) nécessitant une EPRAC ont passé des nuits dans un laboratoire de sommeil, et ce avant l’EPRAC, après l’EPRAC, et après l’ablation des appareils fixes. Les radiographies céphalométriques postéroantérieures ainsi que les modèles d’étude ont été pris pendant ces trois périodes de temps. Résultats: L’analyse des modèles d’étude a démontré une récidive significative au niveau des distances inter-molaires et inter-canines au niveau du maxillaire seulement. Les analyses céphalométriques ont démontré une récidive au niveau de la largeur maxillaire. Aucun changement important n'a été observé dans les stades de sommeil, mais une réduction importante dans l’index de ronflement a été notée. De plus, il y avait moins de changements entre les stades de sommeil. Conclusions: La récidive squelettique est minime et cliniquement non significative. Par contre, les changements dans les distances intermolaires et intercanines sont cliniquement importants. Il semble également qu'une EPRAC ait un effet positif sur la qualité de sommeil par la réduction de l’indice de ronflement ainsi que sur la diminution des changements entre les stades de sommeil.
Resumo:
Introduction : Cette étude vise à évaluer la stabilité de la chirurgie LeFort I multisegmentaire à moyen (fin du traitement orthodontique) et à long termes dans les trois plans de l'espace (transversal, antéro-postérieur et vertical). Matériel et méthodes : L'échantillon étudié est composé de 31 patients traités en clinique privée, ayant eu une chirurgie LeFort I multisegmentaire en deux, trois ou quatre morceaux, et ayant terminé leur traitement orthodontique. Parmi eux, 17 patients ayant terminé leur traitement orthodontique depuis plus de deux ans (moyenne de trois ans post-traitement) ont permis d'évaluer la stabilité de la procédure chirurgicale à long terme. La collecte des données a été réalisée sur des modèles et des radiographies céphalométriques latérales pris à des temps précis tout au long du traitement orthodontique, ainsi que pendant la période de contention. Concernant l'analyse statistique, des T-tests et des corrélations de Pearson ont été utilisés. Le test de Bland-Altman et le coefficient de corrélation intra-classe ont permis d'analyser les fiabilités intra-examinateur et inter-examinateurs. Résultats : Une récidive transverse significative, mais très faible cliniquement, est constatée aux niveaux prémolaires et molaires entre la chirurgie et la fin du traitement orthodontique. Elle est corrélée avec l’expansion totale réalisée. Cette récidive transverse est non significative suite au traitement orthodontique. Aucune corrélation statistiquement significative n'est mise en évidence entre le nombre de segments et la récidive transverse postchirurgicale. Une variation de certaines mesures antéro-postérieures et verticales statistiquement significative, mais faible cliniquement, est notée entre la chirurgie et la fin du traitement orthodontique (avancement et impaction postérieure). Pour les mesures antéro-postérieures et verticales, aucun changement n'est statistiquement significatif suite au traitement orthodontique. Conclusion : Pour l'échantillon étudié, la stabilité de l'ostéotomie de type LeFort I multisegmentaire est très bonne, dans les trois plans de l'espace étudiés.
Resumo:
Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure.
Resumo:
Introduction. Ce projet de recherche consiste en une étude cohorte prospective randomisée visant à évaluer les douleurs ressenties au niveau de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) lors d’une thérapie d’avancement mandibulaire grâce à un appareil fixe, le correcteur de classe II (CC) et d’un appareil amovible, le Twin-Block (TB). Matériels et méthodes. Cette étude comptait 26 patients (11 hommes et 15 femmes), âge moyen de 12ans 10mois (10ans 4mois à 15ans 10mois). Les sujets devaient avoir une malocclusion de classe II et être en croissance, CVM 2 ou 3 (Cervical Vertebral Maturation). Les patients étaient divisés en deux groupes : TB et CC. La douleur était évaluée selon l’axe I de l’examen du RDC/TMD (Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders) à 7 reprises (T0 à T6). De plus, le patient devait remplir un questionnaire, à la maison, sur la douleur ressentie et la médication prise lors des 30 premiers jours. La douleur était évaluée avant l’insertion des appareils (T0), à 1 semaine (T1) post-insertion, 4 semaines plus tard (T2), 8 semaines (T3) où une expansion de 20 tours (environs 5 mm) était débutée, ensuite (T4) (T5) et (T6) chacun à 8 semaines d’intervalles. Les tests statistiques utilisés dans cette étude : le test «Wilcoxon à un échantillon» ainsi que le test «Mann-Whitney à échantillons indépendants ». Résultats et Discussion. La douleur à l’examen clinique est variable mais tend à diminuer avec le temps. Aucune différence, statistiquement significative, ne fut observée entre les 2 groupes en ce qui à trait aux diverses palpations effectuées. Parmi les patients ayant rapporté de la douleur, 40% l’ont ressentie surtout le matin et 63,3% ont dit qu’elle durait de moins d’une heure jusqu’à quelques heures. Conclusion. D’après nos résultats, lors d’une thérapie myofonctionnnelle, il n’y a pas de différence statistiquement significative entre la douleur occasionnée par un Twin-Block et celle produite par un correcteur de classe II fixe au niveau de l’ATM et des muscles du complexe facial.
Resumo:
Thesis written in co-mentorship with director: Nelly Huynh; co-directors: Frank Rauch and Jean-Marc Retrouvey; collaborators: Clarice Nishio, Duy-Dat Vu and Nathalie Alos
Resumo:
Objectif: L'objectif primaire de cette étude était d'évaluer la validité, la fiabilité et la reproductibilité des mesures dentaires obtenues sur les modèles digitaux iTero (Align Technology, San Jose, Californie) et Unitek TMP Digital (3M, Monrovia, Californie) en comparaison avec celles obtenues sur les modèles de plâtre (gold standard). L'objectif secondaire était de comparer les deux différents matériaux à empreinte (l'alginate et le polyvinylsiloxane-PVS) afin de déterminer si le choix du matériau affectait la précision des mesures. Méthodes: Le premier volet de l'étude impliquait les modèles digitaux Unitek et iTero, obtenus à partir de 25 paires de modèles de plâtre choisis de façon randomisée et provenant de la pratique privée d'un des co-auteurs. Des empreintes d'alginate et de PVS ont été prises sur les modèles de plâtre et numérisées par le scanner Unitek. Les modèles ont ensuite été numérisés avec le scanner iTero. Le deuxième volet de l'étude cherchait à comparer les modèles digitaux iTero (numérisation intra-orale) avec les modèles de plâtre (empreintes d'alginate et de PVS) obtenus à partir de 25 patients de la clinique d'orthodontie de l'Université de Montréal ayant besoin d'un traitement orthodontique. Dans les deux volets de l'étude, deux auteurs ont pris les mesures suivantes sur les différents modèles: largeur mésio-distale de chaque dent de la première molaire à l'autre première molaire, le périmètre d'arcade, les distances intermolaire et intercanine, le surplomb vertical et le surplomb horizontal. Les ratios et excès Bolton 6 et 12, l'espace requis et les différentiels d'espace au maxillaire et à la mandibule, ont été calculés. Résultats: La fiabilité (ICC) entre les modèles digitaux (Unitek et iTero) et les modèles de plâtre était bonne à excellente pour toutes les mesures [ICC=0,762–0,998], et la fiabilité entre les deux matériaux à empreinte était excellente [ICC=0,947–0,996]. Dans les deux volets de l'étude, les mesures faites sur les modèles iTero étaient généralement plus grandes que celles faites sur les modèles de plâtre. Les plus grandes différences moyennes pour la comparaison iTero-plâtre étaient trouvées au niveau de l'espace disponible au maxillaire et à la mandibule (systématiquement plus grande pour cette variable), soit 2,24 mm et 2,02 mm respectivement dans le premier volet, et 1,17 mm et 1,39 mm respectivement dans le deuxième volet. Les différences étaient considérées cliniquement non significatives pour toutes les variables. La reproductibilité intra-examinateur était bonne à excellente pour les modèles de plâtre et les modèles digitaux, à l'exception du différentiel d'espace à la mandibule pour les modèles Unitek [ICC=0,690-0,692]. La reproductibilité inter-examinateur était bonne à excellente pour les modèles de plâtre et les modèles digitaux dans les deux volets de l'étude, mais acceptable à modérée pour les modèles Unitek au niveau des analyses Bolton 6 et 12, et des différentiels d'espace au maxillaire et à la mandibule [ICC=0,362-0,548]. Conclusions: La précision et la fiabilité des mesures dentaires faites sur les modèles digitaux Unitek et iTero étaient cliniquement acceptables et reproductibles en comparaison avec les celles faites sur les modèles de plâtre. Le choix de matériel à empreinte entre l'alginate et le PVS n'affectait pas la précision des mesures. Cette étude semble démontrer que les modèles digitaux Unitek et iTero, utilisés avec leur logiciel respectif, sont une alternative fiable et reproductible aux modèles de plâtre pour le diagnostic et l’analyse des modèles orthodontiques.
Resumo:
Introduction : La croissance maxillo-mandibulaire des enfants avec une séquence de Pierre Robin (SPR) est controversée dans la littérature. Certains auteurs croient que la croissance mandibulaire est accélérée après la naissance, mais peu se sont penchés sur la croissance du maxillaire supérieur. Cette étude rétrospective sur dossier vise à analyser la croissance maxillo-mandibulaire des enfants atteints de la SPR. Dans un deuxième temps, nous aurions aimé évaluer la sévérité et l’évolution de l’apnée du sommeil en lien avec la croissance des maxillaires, mais un manque de données a empêché l’atteinte de cet objectif. Matériel et méthode : Les dossiers médicaux et orthodontiques de 93 patients (82 volet apnée et 40 volet croissance) du CHU Ste-Justine avec une SPR isolée ont été révisés puis comparés au groupe contrôle composé d’enfants normaux de l’Université du Michigan. L’analyse statistique de modèle mixte pour mesures répétées de même que celle de Brunner-Langer furent effectuées. Résultats : L’évaluation orthodontique a montré un changement statistiquement significatif pour la relation molaire droite, la présence de chevauchement et de diastème au maxillaire et le surplomb vertical. L’analyse des données céphalométriques nous montre que le maxillaire supérieur, la branche montante et le corps de la mandibule sont tous réduits par rapport à la normale. Ce dernier montre une diminution significative avec l’âge (p = 0,03). L’angle gonial, le SNA, SNB, ANB, l’angle de convexité faciale et l’inclinaison de l’incisive supérieure par rapport à FH sont tous normaux. Par contre, on remarque une augmentation statistiquement significative de cette dernière avec l’âge (p = 0,04). L’angle Y est augmenté tandis que les hauteurs faciales supérieure (HFS) et inférieure (HFI) sont diminuées bien que cette dernière montre une tendance à s’approcher de la normale avec l’âge (p ≤ 0,001). Discussion : Les dimensions des maxillaires sont similaires à plusieurs études. En ce qui concerne la mandibule, la croissance est soit plus lente, soit diminuée. Cette observation est plus marquée lorsque l’on s’approche du pic de croissance puisque l’écart par rapport à la normale s’agrandit. On voit une tendance à la croissance hyperdivergente qui pourrait expliquer l’augmentation de la HFI avec l’âge. Le fait que SNA et SNB soient dans la normale pourrait s’expliquer par une diminution de la longueur de la base crânienne. Conclusion : Il n’y a pas de rattrapage de croissance maxillaire et mandibulaire. Les maxillaires restent micrognathes quoique proportionnels l’un envers l’autre et le profil est convexe tout au long de la croissance. La comparaison des données céphalométriques et des traitements orthodontiques avec ceux des patients présentant une fente palatine isolée devrait se faire sous peu. Nous n’avons pas été en mesure d’atteindre nos objectifs concernant l’apnée du sommeil. Une étude prospective serait à prévoir pour y arriver.
Resumo:
Background: The method of porosity analysis by water absorption has been carried out by the storage of the specimens in pure water, but it does not exclude the potential plasticising effect of the water generating unreal values of porosity. Objective: The present study evaluated the reliability of this method of porosity analysis in polymethylmethacrylate denture base resins by the determination of the most satisfactory solution for storage (S), where the plasticising effect was excluded. Materials and methods: Two specimen shapes (rectangular and maxillary denture base) and two denture base resins, water bath-polymerised (Classico) and microwave-polymerised (Acron MC) were used. Saturated anhydrous calcium chloride solutions (25%, 50%, 75%) and distilled water were used for specimen storage. Sorption isotherms were used to determine S. Porosity factor (PF) and diffusion coefficient (D) were calculated within S and for the groups stored in distilled water. anova and Tukey tests were performed to identify significant differences in PF results and Kruskal-Wallis test and Dunn multiple comparison post hoc test, for D results (alpha = 0.05). Results: For Acron MC denture base shape, FP results were 0.24% (S 50%) and 1.37% (distilled water); for rectangular shape FP was 0.35% (S 75%) and 0.19% (distilled water). For Classico denture base shape, FP results were 0.54% (S 75%) and 1.21% (distilled water); for rectangular shape FP was 0.7% (S 50%) and 1.32% (distilled water). FP results were similar in S and distilled water only for Acron MC rectangular shape (p > 0.05). D results in distilled water were statistically higher than S for all groups. Conclusions: The results of the study suggest that an adequate solution for storing specimens must be used to measure porosity by water absorption, based on excluding the plasticising effect.
Resumo:
Introduction: New reconstructive and less invasive methods have been searched to optimize bone formation and osseointegration of dental implants in maxillary sinus augmentation. Purpose: The aim of the presented ovine split-mouth study was to compare bovine bone mineral (BBM) alone and in combination with mesenchymal stem cells (MSCs) regarding their potential in sinus augmentation. Material and Methods: Bilateral sinus floor augmentations were performed in six adult sheep. BBM and MSCs were placed into the test side and only BBM in the contra-lateral control side of each sheep. Animals were sacrificed after 8 and 16 weeks. Augmentation sites were analyzed by computed tomography, histology, and histomorphometry. Results: The initial volumes of both sides were similar and did not change significantly with time. A tight connection between the particles of BBM and the new bone was observed histologically. Bone formation was significantly (p = 0.027) faster by 49% in the test sides. Conclusion: The combination of BBM and MSCs accelerated new bone formation in this model of maxillary sinus augmentation. This could allow early placement of implants.
Resumo:
Our aim was to compare the osteogenic potential of mononuclear cells harvested from the iliac crest combined with bovine bone mineral (BBM) (experimental group) with that of autogenous cancellous bone alone (control group). We studied bilateral augmentations of the sinus floor in 6 adult sheep. BBM and mononuclear cells (MNC) were mixed and placed into one side and autogenous bone in the other side. Animals were killed after 8 and 16 weeks. Sites of augmentation were analysed radiographically and histologically. The mean (SD) augmentation volume was 3.0 (1.0) cm(3) and 2.7 (0.3) cm(3) after 8 and 16 weeks in the test group, and 2.8 (0.3) cm(3) (8 weeks) and 2.8 (1.2) cm(3) (16 weeks) in the control group, respectively. After 8 weeks, histomorphometric analysis showed 24 (3)% BBM, and 19 (11)% of newly formed bone in the test group. The control group had 20 (13%) of newly formed bone. Specimens after 16 weeks showed 29 (12%) of newly formed bone and 19 (3%) BBM in the test group. The amount of newly formed bone in the control group was 16 (6%). The results show that mononuclear cells, including mesenchymal stem cells, in combination with BBM as the biomaterial, have the potential to form bone. (C) 2009 The British Association of Oral and Maxillofacial Surgeons. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
Resumo:
Objective: To compare new bone formation in maxillary sinus augmentation procedures using biomaterial associated with mesenchymal stem cells (MSCs) separated by two different isolation methods. Background: In regenerative medicine open cell concentration systems are only allowed for clinical application under good manufacturing practice conditions. Methods: Mononuclear cells, including MSCs, were concentrated with either the synthetic poylsaccharid (FICOLL) method (classic open system-control group, n = 6 sinus) or the bone marrow aspirate concentrate (BMAC) method (closed system-test group, n = 12 sinus) and transplanted in combination with biomaterial. A sample of the cells was characterized by their ability to differentiate. After 4.1 months (SD +/- 1.0) bone biopsies were obtained and analyzed. Results: The new bone formation in the BMAC group was 19.9% (90% confidence interval [CI], 10.9-29), and in the FICOLL group was 15.5% (90% CI, 8.6-22.4). The 4.4% difference was not significant (90% CI, -4.6-13.5; p = 0.39). MSCs could be differentiated into osteogenic, chondrogenic, and adipogenic lineages. Conclusion: MSCs harvested from bone marrow aspirate in combination with bovine bone matrix particles can form lamellar bone and provide a reliable base for dental implants. The closed BMAC system is suited to substitute the open FICOLL system in bone regeneration procedures.
Resumo:
Background: Preventing ridge collapse with the extraction of maxillary anterior teeth is vital to an esthetic restorative result. Several regenerative techniques are available and are used for socket preservation. The aim of this study is to analyze by clinical parameters the use of acellular dermal matrix (ADM) and anorganic bovine bone matrix (ABM) with synthetic cell-binding peptide P-15 to preserve alveolar bone after tooth extraction. Methods: Eighteen patients in need of extraction of maxillary anterior teeth were selected and randomly assigned to the test group (ADM plus ABM/P-15) or the control group (ADM only). Clinical measurements were recorded initially and at 6 months after ridge-preservation procedures. Results: In the clinical measurements (external vertical palatal measurement [EVPM], external vertical buccal measurement [EVBM], and alveolar horizontal measurement [AHM]) the statistical analysis showed no difference between test and control groups initially and at 6 months. The intragroup analysis, after 6 months, showed a statistically significant reduction in the measurements for both groups. In the comparison between the two groups, the differences in the test group were as follows: EVPM = 0.83 +/- 1.53 mm; EVBM = 1.20 +/- 2.02 mm; and AHM = 2.53 +/- 1.81 mm. The differences in the control group were as follows: EVPM = 0.87 +/- 1.13 mm; EVBM = 1.50 +/- 1.15 mm; and AHM = 3.40 +/- 1.39 mm. The differences in EVPM and EVBM were not statistically significant; however, in horizontal measurement (AHM), there was a statistically significant difference (P<0.05). Conclusion: The results of this study show that ADM used as membrane associated with ABM/P-15 can be used to reduce buccal-palatal dimensions compared to ADM alone for preservation of the alveolar ridge after extraction of anterior maxillary teeth. J Periodontol 2011;82:72-79.
Resumo:
Sodium hypochlorite solution is toxic to vital tissues, causing severe effects if extruded during endodontic treatment. This paper presents a report on the tissue damage related to inadvertent extrusion of concentrated sodium hypochlorite solution during root canal treatment. A 65-year-old woman was referred with moderate pain, ecchymosis, and severe swelling of the right side of the face. These symptoms appeared immediately after a root canal treatment of the maxillary right canine, which had been started 21 hours earlier. It was diagnosed as air emphysema related to sodium hypochlorite solution extravasation during the endodontic treatment. To avoid this, an initial radiograph should be taken to determine the correct canal working length and confirm root canal integrity. (Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radiol Endod 2009; 108: e46-e49)
Resumo:
Distalization of maxillary molars is indicated for correction of Class II dental malocclusion and for space gain in cases of space deficiency. The ideal treatment with an intraoral fixed appliance for molar distalization should fulfill the following requirements: patient compliance; acceptable esthetics; comfort; minimum anterior anchor loss (as evidenced by inclination of incisors); bodily movement of the molars to avoid undesirable effects and unstable outcomes; and minimum time required during sessions for placement and activations. The purpose of this paper was to present an alternative treatment for space recovery in the area of the maxillary right second premolar when there has been significant mesial movement of the permanent maxillary right first molar. We used a modified appliance that allows unilateral molar distalization in cases of unilateral tooth/arch size discrepancy using the opposite side as anchor, thus reducing the mesialization of the anterior teeth. (Pediatr Dent 2008;30:334-41) Received August 17, 2006 / Last Revision October 17, 2007 / Revision Accepted October 17, 2007
Resumo:
The aim of the study was to evaluate the bond strength of fibre glass and carbon fibre posts in the root canal walls cemented with self-adhesive (RelyX-Unicem) and chemical (Cement-Post) resin cements. Forty maxillary canines were divided into four groups according to the cement and post used and submitted to the push-out test (0.5 mm min(-1)). The data were submitted to statistical analysis (2-way ANOVA, Bonferroni - P < 0.05) and fracture analysis by Scanning Electronic Microscopy. Fibre glass presented the best results when cemented with RelyX-Unicem and Cement-Post (P < 0.05). RelyX-Unicem presented the highest bond strength values for both posts (P < 0.05). Fracture analysis showed predominance of cohesive fracture of post for RelyX-Unicem and adhesive fracture between dentin/cement and mixed for Cement-Post. The bond strength values were significantly affected by the type of post and cement used and the highest values were found for fibre glass posts and RelyX-Unicem.