977 resultados para Du Bos, Charles, 1882-1939.
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Over a long period the philosopher, Maurice Blondel, was an outspoken critic of exaggerated nationalism. The series of articles that appeared in 1909-10 in the Annales de philosophie chrétienne under the title of « La Semaine sociale de Bordeaux », and later were published in book form, contained a philosophically and theologically motivated critique of the early support shown by French Catholics for the doctrinaire nationalism of Charles Maurras. In 1928 Blondel returned to a critique of this same nationalism in his detailed article « Patrie et Humanité ». But the further criticism of nationalism contained in parts of his book Lutte pour la civilisation et philosophie de la paix, which was published in 1939 (and anew in 1947 in a slightly revised edition), was of a different order, being focused on the nationalism associated with what Blondel termed totalitarisme in its then German or Nazi form. Despite this record, it would be a mistake to assume that Blondel was an internationalist fitting clearly into the Briand mould. After the First World War Blondel favoured the hard-line foreign policy advocated by Poincaré and Foch, in particular over the future of the Rhineland. And he remained a conservative Catholic. His book of 1939 denounced not only totalitarisme in both its Nazi and Soviet forms, but also, on an opposing front, liberalism in the social and economic sphere. As to the deleterious effect of nationalism on international relations, he was an advocate of strengthening international law, notably the corpus of law emanating from The Hague. Maurice Blondel was greatly admired by Robert Schuman, the prominent French foreign minister under the Fourth Republic and a key figure for post-war European integration.
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Un día de enero de 1404, Christine de Pizan, rodeada de sus servidores de confianza, acudía al palacio del Louvre para reunirse con Felipe II de Borgoña. Una vez concluido el protocolo de presentación, el duque comunicó a Christine sobre sus intenciones de escribir una obra en memoria de su hermano, el honorable rey Carlos V, a fin de impedir que el inevitable paso del tiempo disolviese su ejemplar comportamiento y sus nobles virtudes. En el siglo en que se iniciaban los grandes mecenazgos renacentistas, los encargos nobiliarios formaban parte de la vida política y cultural de la elite. No obstante, la oferta hecha por el duque a Christine de Pizan, lejos de ser habitual, se situaba por fuera de los cánones de la época. A su condición de mujer, creación viciada de la naturaleza, se le añadía el particular contexto de popularidad de la literatura misógina de Paris del siglo XV. Evidentemente, desde la perspectiva de género, la elección de Felipe de Borgoña, no era inviable; pero incluso por fuera de ella, la decisión seguía siendo polémica. Al momento de la encomienda, Christine no pasaba de ser una escritora de poesías, tratados alegóricos y didácticos, sin ningún peso entre los grandes escritores laicos y clericales. Jamás había escrito por completo una obra en prosa y su trayectoria como escritora política era nula. Sin embargo, Christine de Pizan, mujer viuda e inexperta en la materia, terminó por ser la elegida para honrar la memoria de los Valois. Sin lugar a dudas, una elección controvertida que invita a dilucidar los motivos que se esconden tras ella
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En este artículo se explora el impacto socio-económico de la crisis internacional de 1929 en Senegal y más concretamente en la ciudad-puerto de Dakar. Se analizan las consecuencias de la dependencia externa y la extroversión económica que caracterizaba a las estructuras productivas coloniales, destacando también la respuesta organizada de los movimientos sociales africanos. Por otra parte, se estudia la evolución de las infraestructuras y actividad portuaria, observando la metropolización regional de Dakar durante este periodo.
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Foyer du catholicisme en Amérique du Nord, le Québec des années 1930 connaît, principalement à cause de la crise économique, un tel fourmillement d'idées que le sociologue Fernand Dumont a pu qualifier cette période de "première résolution tranquille". Le catholicisme qui jouit alors d'une "domination tranquille" depuis près d'un siècle dans la société canadienne-française, se voit contesté et remis en cause principalement par des mouvements révolutionnaires d'inspiration marxiste: le socialisme et le communisme. Reposant sur un modèle de société où le spirituel n'a pas de place, le communisme est vivement combattu par l'Église catholique tant au Québec que sur le plan mondial. Il existe déjà d'excellentes études sur les mouvements de gauche au Québec dans les années 1930 comme le livre de Marcel Fournier: Communisme et anticommunisme au Québec (1920-1950) et celui d'Andrée Lévesque: Virage à gauche interdit (1929-1939). Il en est cependant autrement en ce qui concerne une autre forme politique qui connaît également beaucoup de succès dans les années 30: il s'agit du fascisme, face auquel subsistent encore bien des questions quant à l'appui qu'il avait reçu de la part des catholiques du Québec. Parler de fascisme au Québec fait tout de suite penser ou bien au Parti National Social Chrétien (P.N.S.C.) d'Adrien Arcand, ou bien à une Église catholique réactionnaire qui, pour lutter contre la menace communiste, va appuyer sans réserve l'extrême-droite au niveau international tout en encourageant le développement de mouvements de ce genre au Québec. Cette opinion se retrouve surtout au Canada anglais comme le démontre Eugene Forsey avec son article "Clérical Fascism in Quebec", publié en 1937 dans Canadian Forum. Mais qu'en est-il vraiment de l'attitude des catholiques du Québec face au fascisme? Disons d'abord que le terme "fasciste" est aujourd'hui lourdement hypothéqué. Il évoque l'État totalitaire, le racisme, le recours à la terreur, la suppression de toute liberté et des procédés inhumains tels que la torture et les camps de concentration. Largement associé et identifié aux horreurs nazies, le fascisme s'est chargé après la Seconde Guerre mondiale d'un contenu très négatif qu'il n'avait pas dans les années 30 où il ne désignait que le régime autoritaire mis en place par Mussolini en Italie. En tout cas un bref examen des publications d'époque suffit pour nous convaincre que l'expérience italienne est suivie très attentivement au Québec dès ses débuts en 1922 et qu'elle ne cesse d'attirer l'attention des Québécois tout le long des années 1930. Parmi ceux qui vont s'intéresser le plus au phénomène fasciste, nous retrouvons les catholiques pour qui le fascisme pourrait constituer une façon efficace de lutter contre le communisme. Mais nous ne disposons que de très peu de recherches sur la perception des régimes et des idéologies d'extrême-droite par les Québécois. Si les années 1930 au Québec sont une période qui a déjà commencé à être étudiée par les historiens, ceux-ci ne se sont intéressés au phénomène fasciste que d'une façon mineure et indirecte. Pour s'en rendre compte il suffit d'ouvrir les ouvrages d'André J. Bélanger : L'apolitisme des idéologies québécoises (1934-1936) ou de Femand Dumont et al. : Idéologies au Canada français, 1930-1939. La perception de l'étranger par les Québécois ne semble pas être l'une de leurs grandes préoccupations. C'est une partie de ce vide que notre étude se propose de combler en essayant de découvrir quelle fut réellement la vision que les catholiques francophones du Québec ont eu du régime fasciste en Italie durant les années 30. Par l'analyse du contenu de publications catholiques ou d'esprit catholique, nous verrons quelle opinion ceux-ci se font du régime mussolinien et surtout nous capterons l’évolution de cette opinion à mesure que le monde avance vers la Seconde Guerre mondiale. Nous tenterons également de voir dans quelle mesure les jugements portés sur le fascisme peuvent être révélateurs de la vision que les catholiques entre tiennent de la société québécoise et de son avenir. Bien qu'elle fasse souvent allusion à des événements qui se sont déroulés dans les années 1920, notre étude porte d'abord sur les années 30 et s'arrête au moment où débute la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il devient évident que tout le monde prend position contre le fascisme. [...]
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Un día de enero de 1404, Christine de Pizan, rodeada de sus servidores de confianza, acudía al palacio del Louvre para reunirse con Felipe II de Borgoña. Una vez concluido el protocolo de presentación, el duque comunicó a Christine sobre sus intenciones de escribir una obra en memoria de su hermano, el honorable rey Carlos V, a fin de impedir que el inevitable paso del tiempo disolviese su ejemplar comportamiento y sus nobles virtudes. En el siglo en que se iniciaban los grandes mecenazgos renacentistas, los encargos nobiliarios formaban parte de la vida política y cultural de la elite. No obstante, la oferta hecha por el duque a Christine de Pizan, lejos de ser habitual, se situaba por fuera de los cánones de la época. A su condición de mujer, creación viciada de la naturaleza, se le añadía el particular contexto de popularidad de la literatura misógina de Paris del siglo XV. Evidentemente, desde la perspectiva de género, la elección de Felipe de Borgoña, no era inviable; pero incluso por fuera de ella, la decisión seguía siendo polémica. Al momento de la encomienda, Christine no pasaba de ser una escritora de poesías, tratados alegóricos y didácticos, sin ningún peso entre los grandes escritores laicos y clericales. Jamás había escrito por completo una obra en prosa y su trayectoria como escritora política era nula. Sin embargo, Christine de Pizan, mujer viuda e inexperta en la materia, terminó por ser la elegida para honrar la memoria de los Valois. Sin lugar a dudas, una elección controvertida que invita a dilucidar los motivos que se esconden tras ella
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Un día de enero de 1404, Christine de Pizan, rodeada de sus servidores de confianza, acudía al palacio del Louvre para reunirse con Felipe II de Borgoña. Una vez concluido el protocolo de presentación, el duque comunicó a Christine sobre sus intenciones de escribir una obra en memoria de su hermano, el honorable rey Carlos V, a fin de impedir que el inevitable paso del tiempo disolviese su ejemplar comportamiento y sus nobles virtudes. En el siglo en que se iniciaban los grandes mecenazgos renacentistas, los encargos nobiliarios formaban parte de la vida política y cultural de la elite. No obstante, la oferta hecha por el duque a Christine de Pizan, lejos de ser habitual, se situaba por fuera de los cánones de la época. A su condición de mujer, creación viciada de la naturaleza, se le añadía el particular contexto de popularidad de la literatura misógina de Paris del siglo XV. Evidentemente, desde la perspectiva de género, la elección de Felipe de Borgoña, no era inviable; pero incluso por fuera de ella, la decisión seguía siendo polémica. Al momento de la encomienda, Christine no pasaba de ser una escritora de poesías, tratados alegóricos y didácticos, sin ningún peso entre los grandes escritores laicos y clericales. Jamás había escrito por completo una obra en prosa y su trayectoria como escritora política era nula. Sin embargo, Christine de Pizan, mujer viuda e inexperta en la materia, terminó por ser la elegida para honrar la memoria de los Valois. Sin lugar a dudas, una elección controvertida que invita a dilucidar los motivos que se esconden tras ella
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Observant le corpus des grammaires de portugais langue étrangère, depuis la deuxième moitié du XVIIe siècle, nous constatons que Londres a été une capitale éditoriale du monde grammatical portugais et les Britanniques (étudiants et commerçants) un public cible privilégié. L’œuvre A Portuguez Grammar : or, Rules shewing the True and Perfect way to learn the said language (1662) – la première publication grammaticale connue de portugais langue étrangère – a été publiée à Londres, lors du mariage royal de l’infante portugaise Catherine de Bragance et Charles II d’Angleterre, afin de servir, selon son auteur, le militaire français Monsieur de la Molière : “a deux sortes de personne en Angleterre, aux gens de commerce (…) & aux gens de Cour” (“to two sorts of Persons in England : to people of Traffique and Commerce (…) And to Persons of the Court”). La production et la circulation de grammaires de portugais comme langue étrangère écrites en anglais et publiées à Londres continuent pendant les XVIIIe et XIXe siècles ; ville où ont été commercialisées et exportées des œuvres grammaticales portugaises comme celles de J. Castro (1731), António Vieira (1786), Richard Woodhouse (1815), Luís Francisco Midosi (1832), Alfred Elwes (1876), Charles Henry Wall (1882). Notre propos dans cette étude est, d’abord, d’analyser ce mouvement grammatical luso-britannique, notamment un ensemble de grammaires de portugais produites dans l’espace anglophone. De plus, nous estimons contribuer à l’étude des anciennes grammaires de portugais comme langue étrangère dans le cadre de l’historiographie linguistique canonique, partant du fait que ces œuvres font partie de l’historie de la grammaire des vernaculaires européens.
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Information structure and Kabyle constructions Three sentence types in the Construction Grammar framework The study examines three Kabyle sentence types and their variants. These sentence types have been chosen because they code the same state of affairs but have different syntactic structures. The sentence types are Dislocated sentence, Cleft sentence, and Canonical sentence. I argue first that a proper description of these sentence types should include information structure and, second, that a description which takes into account information structure is possible in the Construction Grammar framework. The study thus constitutes a testing ground for Construction Grammar for its applicability to a less known language. It constitutes a testing ground notably because the differentiation between the three types of sentences cannot be done without information structure categories and, consequently, these categories must be integrated also in the grammatical description. The information structure analysis is based on the model outlined by Knud Lambrecht. In that model, information structure is considered as a component of sentence grammar that assures the pragmatically correct sentence forms. The work starts by an examination of the three sentence types and the analyses that have been done in André Martinet s functional grammar framework. This introduces the sentence types chosen as the object of study and discusses the difficulties related to their analysis. After a presentation of the state of the art, including earlier and more recent models, the principles and notions of Construction Grammar and of Lambrecht s model are introduced and explicated. The information structure analysis is presented in three chapters, each treating one of the three sentence types. The analyses are based on spoken language data and elicitation. Prosody is included in the study when a syntactic structure seems to code two different focus structures. In such cases, it is pertinent to investigate whether these are coded by prosody. The final chapter presents the constructions that have been established and the problems encountered in analysing them. It also discusses the impact of the study on the theories used and on the theory of syntax in general.
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The Davoser Hochschulkurse took place for the first time in 1928. Mainly university teachers from Germany, France, Switzerland (perhaps elsewhere) offered lectures to students recovering from tuberculosis at the health resort in the Swiss mountains. The lecturers were accommodated at the Grand Hotel Curhaus, where the lectures also took place.
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Childhood in Berlin; cultural life in fin-de-siecle Berlin; voyages and travels; marriage with physician Ernst Gustav Levin; contains newspaper clippings on author's mother, the social worker Hermine Lesser, copies of letter by the author from 1942, poems by Ernst Ludwig Levin
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The memoirs contain photocopies of documents and photos as well as extracts from letters and were written in October 1989 in the United States. Description of life in Baden, a famous health resort near Vienna. The family lived in Vienna in the second district (Leopoldstadt). Recollections of schoolteachers and childhood friends. Occasional Friday night services in the Leopoldstadt temple. Theater and opera visits and cultural life in Vienna. Private piano and music lessons. Description of the family apartment and Jewish life in the Leopoldstadt. The family celebrated Christmas and observed the high Jewish holidays. Recollections of the author's bar mitzvah celebration. His mother Charlotte, nee Schwadron, was an artistic woman, who studied painting at the Frauenakademie with Tina Blau. Walter's father Leo Schaffir was born in Byalistock, Russia and studied in Berlin. He was a travelling businessmen. His family lived in Lemberg, Galicia. Leo and Charlotte Schaffir got married in 1919 in Vienna by rabbi Dr. Grunwald. Recollections of a family trip to Poland and to the World Fair in Posen in 1930. Suicide of the author's father due to business failure in 1930. Schaffir and Schwadron family history. Both families originated in Galicia, Poland. Family and social life. Summer vacation at the Semmering. Austrian politics in the 1930's and rising National Socialism. Life in Vienna after the "Anschluss" in 1938. Walter had to leave school and took lessons in graphic arts with the artist Heinrich Koerner. Preparations to emigrate. Walter was picked up in the streets in the days after Kristallnacht and released due to his mother's intervention. He was sent with his brother Kurt on a "Kindertransport" to Holland. They were sent to a quarantine camp at Heyplaat. Reunition with their mother in the United States in December 1939. Reflections on life as an emigre.
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Trata da viagem de M. Durand ao Brasil, esboçada em dez capítulos que retratam aspectos culturais e geográficos do Brasil no século XIX.