947 resultados para Tour guidé
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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.
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Relatório da Prática de Ensino Supervisionada, Mestrado em Ensino da Economia e Contabilidade, Universidade de Lisboa, 2014
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O patrocínio, enquanto meio de comunicação, tem assumido uma importância cada vez maior nas estratégias de marketing das organizações. O mercado empresarial atual obriga a que as marcas encontrem formas diferentes das convencionais de comunicar com os seus clientes e passar-lhes a sua mensagem. Assim, as empresas procuram, por via do patrocínio, interagir com os consumidores e criar laços afetivos que os liguem às marcas que representam. A presente investigação procura perceber de que forma uma ação de patrocínio pode ter impacto na intenção de compra dos consumidores relativamente aos produtos/serviços da marca patrocinadora. Pretende-se igualmente explorar os efeitos da congruência entre o evento patrocinado e a marca patrocinadora, da atitude relativamente ao evento patrocinado e da atitude relativamente à marca patrocinadora na intenção de compra dos consumidores. Os resultados obtidos confirmam que o patrocínio tem influência na intenção de compra dos consumidores em relação aos produtos/serviços da marca patrocinadora do evento. Confirmam também que a congruência entre o evento e a marca, a atitude relativamente à marca e a atitude relativamente ao evento são variáveis que se encontram interligadas e que exercem um efeito de influência entre si, bem como em relação à intenção de compra dos consumidores.
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Partindo de uma hipótese que se veio a demonstrar válida, de que os Operadores Turísticos em Portugal têm muito pouca informação sobre a consulta do viajante e o seu papel em responsabilidade na promoção da saúde dos seus clientes, apresenta-se neste trabalho não só uma análise da situação anteriormente referida como uma estratégia de comunicação visando consciencializar os Operadores Turísticos para a necessidade de fomentarem a adesão dos seus clientes à consulta do viajante. Dois temas emergem como centrais, nomeadamente a questão do turismo na nossa contemporaneidade e a saúde dos que viajem essencialmente para fora da Europa em turismo. Transversal a todo o trabalho encontra-se a noção de comunicação e saúde, especialmente na sua vertente de comunicação para a saúde. Defende-se que a comunicação para a saúde pode ser pensada como um fator competitivo para os Operadores Turísticos e apresenta-se uma estratégia de comunicação subordinada ao título: “Projeto de Consciencialização dos Operadores para a Consulta do Viajante”. Na primeira parte apresenta-se uma revisão da literatura e de outras fontes sobre os temas: Turismo, Consulta do Viajante e Comunicação para a Saúde, e na segunda parte o projeto que já referi. Partindo da hipótese inicialmente formulada, para uma análise completa da situação utilizaram-se metodologias de análise qualitativa e quantitativa junto dos principais públicos envolvidos a saber os Operadores Turísticos.
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Relatório de Estágio submetido à Escola Superior de Teatro e Cinema para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Mestre em Teatro – especialização em Encenação.
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The concept of soft power offers the opportunity for the States, under the current power shifts, to thrive, in a competitive and globalised scene, shaping o t hers' preference in accordance with their goals. Portugal, though it i s a small country, has soft power skills, according with specialized rankings, due to i t s geography and climate, main economic activities, historical role, legal framework, culture and language. Therefore, we can and we should develop public policies to optimize our resources, converting them in planned outcomes. On the other hand, public entities engaged with foreign trade, investment and tour ism, aid f or development, promotion of culture and language should be structured in or-der to strengthen the performance of Portugal in this area. Being a member of the European Union or of the Community of Portuguese Speaking Countries is, at last, essential to expand our global presence. In this Master's work project, I decided to make a critical analysis of legislation related with public diplomacy i n Portugal, together wi th research about the approach of two other countries (United Kingdom and Finland) to the same topic, for the sake of improvement.
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Sur la base d'une enquête de terrain, les auteures abordent la nécessité de repenser la division du travail tant sur le plan du travail professionnel, que domestique. Elles s'appuient sur l'expérience des TL (transports lausannois) qui ont mis en place une nouvelle gestion des horaires permettant aux conducteurs d'avoir une assez grande latitude sur leurs itinéraires des bus. Le taux d'absentéisme alarmant avait inquiété les dirigeants qui s'attachaient à faire le tour de solutions à même de réduire la fatigue des collaborateurs. Les effets indirects de cette innovation managériale a été de permettre une véritable conciliation vie privée-vie professionnelle avec, cependant, comme effet non voulu un clivage entre anciens et nouveaux - les anciens ayant priorité quant au choix d'itinéraire. Les femmes, minoritaires dans le métier, ont du mal à faire entendre leur voix pour un système qui va clairement dans le sens d'une double activité facilitée. [Auteurs]
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Summary The best described physiological function of low-density lipoproteins (LDL) is to transport cholesterol to target tissues. LDL deliver their cholesterol cargo to cells following their interaction with the LDL receptor. LDL, when their vascular concentrations increase, have also been implicated in pathologies such as atherosclerosis. Among the cell types that are found in blood vessels, endothelial and smooth muscle cells have dominated cellular research on atherosclerotic mechanisms and LDL activation of signaling pathways, while very little is known about adventitial fibroblast activation caused by elevated lipoprotein levels. Since fibroblasts participate in wound repair and since it has recently been recognized that fibroblasts may play pivotal roles in vascular remodeling and repair of injury, we assessed whether lipoproteins affect fibroblast function. We have found that LDL specifically mediate the activation of a class of mitogen-activated protein kinases (MAPKs): the p38 MAPKs. The activation of this pathway in turn modulates cell shape by promoting lamellipodia formation and extensive cell spreading. This is of particular interest because it provides a mechanism by which LDL can promote wound healing or vessel wall remodeling as observed during the development of atherosclerosis. In order to understand the molecular mechanisms by which LDL induce p38 activation we searched for the component in the LDL particle responsible for the induction of this pathway. We found that cholesterol is the major component of lipoprotein particles that mediates their ability to stimulate the p38 MAPK pathway. Furthermore, we investigated the cellular mechanisms underlying the ability of LDL to induce cell shape changes and whether this could participate in wound repair. Our recent data demonstrates that the capacity of LDL to induce fibroblast spreading relies on their ability to stimulate IL-8 secretion, which in turn leads to accelerated wound healing. LDL-induced IL-8 production and subsequent wound closure are impaired upon inhibition of the p38 MAPK pathway indicating that the LDL-induced spreading and accelerated wound sealing rely on the ability of LDL to stimulate IL-8 secretion in a p38 MAPK-dependent manner. Therefore, regulation of fibroblast shape and migration by lipoproteins may be relevant to atherosclerosis that is characterized by increased LDL-cholesterol levels, IL-8 production and extensive remodeling of the vessel wall. Résumé: La fonction physiologique des lipoprotéines à faible densité (LDL) la mieux décrite est celle du transport du cholestérol aux tissus cibles. Les LDL livrent leur cargaison de cholestérol aux cellules après leur interaction avec le récepteur au LDL. Une concentration vasculaire des LDL augmenté est également impliquée dans le développement de l'athérosclérose. Parmi les types de cellule présents dans les vaisseaux sanguins, les cellules endothéliales et les cellules du muscle lisse ont dominé la recherche cellulaire sur les mécanismes athérosclérotiques et sur l'activation par les LDL des voies de signalisation intracellulaire. A l'inverse peu de choses sont connues sur l'activation des fibroblastes de l'adventice par les lipoprotéines. Puisqu'il a été récemment reconnu que les fibroblastes peuvent jouer un rôle central dans la remodélisation vasculaire et la réparation tissulaire, nous avons étudié si les lipoprotéines affectent la fonction des fibroblastes. Nous avons constaté que les LDL activent spécifiquement une classe de protéines kinases: les p38 MAPK (mitogen-activated protein kinases). L'activation de cette voie module à son tour la forme de la cellule en favorisant la formation de lamellipodes et l'agrandissement des cellules. Cela a un intérêt particulier car il fournit un mécanisme par lequel les LDL peuvent promouvoir la cicatrisation ou la remodélisation des parois vasculaires comme observés lors du développement de l'athérosclérose. Pour comprendre les mécanismes moléculaires par lesquels les LDL provoquent l'activation des p38 MAPK, nous avons cherché à identifier les composants dans la particule de LDL responsables de l'induction de cette voie. Nous avons constaté que le cholestérol est l'élément principal des particules de lipoprotéine qui contrôle leur capacité à stimuler la voie des p38 MAPK. En outre, nous avons examiné les mécanismes cellulaires responsables de la capacité des LDL à induire des changements dans la forme des cellules. Nos données récentes démontrent que la capacité des LDL à induire l'agrandissement des cellules, ainsi que leur aptitude à favoriser la cicatrisation, reposant sur leur capacité à stimuler la sécrétiond'IL-8. La production d'IL-8 induite par les LDL est bloquée par l'inhibition de la voie p38 MAPK, ce qui indique que l'étalement des cellules induit par les LDL ainsi que l'accélération de la cicatrisation sont liés à la capacité des LDL à stimuler la sécrétion d'IL8 via l'activation des p38 MAPK. La régulation de la forme et de la migration des fibroblastes par les lipoprotéines peuvent donc participer au développement de l'athérosclérose qui est caractérisée par l'augmentation des niveaux de production de LDL-cholestérol et d'IL-8 ainsi que par une remodélisation augmentée de la paroi du vaisseau.
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La neige, dans ses dimensions optiques, chromatiques et plastiques, dans ses états instables et variables, constitue l'un des enjeux centraux de l'esthétique contemporaine,. Neige blanc papier fait l'historiographie des esthétiques de la neige, de la quête d'un art pur, affranchi de toute contrainte illustrative, littéraire, voire représentative, à la construction de formes expressives où se réinvente un langage-espace. Au coeur du volume, le calepin d'artiste réalisé par la plasticienne Catherine Bolle, Inhumaine neige lunel, concrétise à son tour l'imaginaire poétique de la neige dans la matérialité esthétique du livre.
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Acquis le 30 octobre 1830 de M. Techener, libraire à Paris, parmi 23 volumes, pour le prix global de 400 francs; cf. B.n.F., département des Manuscrits, registre des acquisitions 1828-1833, n° 76/4 "terrier d'Agnet de La Tour et Annette de Beaufort, comtes de Beaufort, en 1459, folio"
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Contient : Gravure du sceau des cordeliers de Blois ; Signature de « Scipion Begon » ; Signature du curé de S. Sauveur de Blois en 1680 ; Pièce imprimée contenant un arrêt du conseil d'État, daté de Paris le 5 juillet 1657, sur une requête de Philippe de France, duc d'Orléans et comte de Blois, contre Me Claude Baudouin, traitant, au bas duquel on lit, après la formule imprimée : « Collationné à l'original par moy, conseiller secretaire du roy et de ses finances », la signature manuscrite « BEGON » avec paraphe ; Lettre autographe signée : « MOREAU, presbtre, curé de S. Laurent de Montoire », et adressée le 11 fevrier 1680 à l'abbé Bégon ; Lettre autogr. signée : « AUDEBERT », concernant l'hôpital général de Blois. Postérieure au mois de mai 1659 ; Dessin à l'encre représentant un château. Ce dessin est signé : « F. Anseaume » et est daté « 1680 » ; Lettre autogr. signée : « THORIN ». Elle est adressée à l'abbé Bégon, sousdoyen de S. Sauveur de Blois, et est datée de Chartres le 28 mars 1678 ; « Arrest de la cour de parlement contre les religieuses... de Saincte Veronique de Blois. 29 mars 1649. Pièce imprimée ; Armoiries gravées ; Lettre autogr. signée : « CLAIRE TERESE DE JESUS, religieuse carmelite indigne », à M. l'abbé Bégon ; Deux sceaux, plaqués en cire rouge, du couvent des Ursulines de Blois. Ces sceaux portent au centre un lis et autour de ce lis la légende : « De saincte Ursule de Blois » ; Lettre autogr. signée du R. P. « PATRICE GASTINEAU », datée de Blois, 21 mars 1678, et adressée à l'abbé Bégon ; Armoiries dessinées à l'encre de « Thibault, comte de Blois » ; Processions de Blois ; « Liste des paroisses du bailliage de Blois » ; « Nombre des feus de l'eslection » de Blois en l' « année 1639 » ; Armoiries dessinées à l'encre. Au-dessous on lit : « Raoul » ; Liste des paroisses de l'élection de Blois ; Esquisse à l'encre des armes de « Gaston, duc d'Orléans, comte de Blois » ; Lettre autographe signée : « C. HUGUES METURAS, curé de Monteaux », à l'abbé Bégon ; Lettre autographe signée : « GIRARDEAU, presbtre, curé de Tour », à l'abbé Bégon. Tour, 27 novembre 1680 ; Paroisses qui dépendent de l'archidiaconé de Vendôme ; Gravure représentant la couronne d'épines et au milieu de cette couronne les mots : Jésus Maria. Six têtes d'anges la contemplent ; Liste des 93 paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « MORIN, chanoine ». Vendôme, 11 décembre 1682. A l'abbé Bégon ; Archidiaconé de Vendôme. Liste des prieurés et chapelles ; Paroisses de l'élection de Vendôme ; Lettre autographe signée : « FRANÇOIS DEGYNES », à l'abbé Bégon. Vendôme, 29 août 1680 ; Lettre autographe sans signature. A l'abbé Bégon. « A Faix, ce 17 novembre 1676 » ; « Armes de Vierzon », dessinées à l'encre ; Lettre autographe signée : « Fr. Antoine d'Orléans, capucin, gardien indigne » du couvent de Vendôme. A l'abbé Bégon. Orléans, 9 mai 1618 ; « Marquisat de Vatan »
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Recueil de lettres, presque toutes autographes, écrites de 1564 à 1610 environ. Les lettres contenues dans ce volume sont adressées aux personnages suivants : A Catherine de Médicis, par A[ntonio Carracciolo], prince de Melfi, Châteauneuf-sur-Loire, 20 fév. 1564, orig. (3) ; — par Blaise de Monluc, Montauban, 15 mars 1565, orig. (5) ; Aux rois Charles IX, Henri III et Henri IV, par Châtillon [l'amiral Gaspard de Coligny], Châtillon, 12 fév. 1572, orig. (7), et 29 mai 1572 (9) ; — par Farvaques [Guillaume de Hautemer, sieur de Fervaques], La Flèche, 21 fév. s. a. (23), et Fervaques, 31 déc. s. a. (25) ; — par [Jacques de L'Hospital, marquis de] Choisi, Combreux, 14 mai 1572, orig. (27) ; — par Jacqueline de La Trémoïlle, [veuve de Louis de Bueil, comte de Sancerre, grand échanson de France], « au boys », 28 sept. 1573, orig. (29) ; — par Mlle Philippe d'Avrion (?), s. d. (31) ; — par P[ierre] de Gondy, évêque de Paris, 27 oct. 1576 (33) ; — par Roger de [Saint-Lary, sieur de] Bellegarde, [maréchal de France], Carmagnole, 16 sept. s. a. (35) ; — par [René de] Villequier, [baron de Clairvaux], Evry, 9 fév. 1589 (37) ; — par [Albert] de Gondy, [duc de Retz, maréchal de France], Cracovie, 10 mars s. a. (39) ; — par Jacqueline Dantremons [Jacqueline de Montbel, comtesse d'Entremonts, veuve de l'amiral Coligny], Châtillon, 22 oct. s. a. (41) ; — par Saint-Maigrin [Paul de Stuer de Caussade, comte de Saint-Mégrin], Angoulême, 23 fév. s. a. (43), et Saint-Mégrin, 28 déc. s. a. (45) ; — par Renée de Rieux [de Châteauneuf], Marseille, 20 déc. s. a. (46) ; — par Pienne [Louise de Halluin, femme de Philibert de Marcilly, sieur de Cipierre], s. d. (48) ; — par Anne de Pisseleu, s. d. (51) ; — par [François] Miron, Cormery, 17 janv. 1589 (52) ; — par M. de Belleville [Marie Touchet], s. d. (54, douteux ; 55 et 60) ; — par [Louis de] Maugiron, s. d. (57) ; — par Henry de La Tour, [vicomte de Turenne], Sedan, 15 juillet s. a. (61) ; — par [Charles de Gontaut, duc de] Biron, [maréchal de France], Dijon, 17 mars s. a. (82) ; — par [Philippe Hurault, sieur de] Cheverny, Paris, 5 mars 1599 (83) ; — par P[omponne de] Bellièvre, Paris, 23 oct. s. d., (84) ; 28 oct. 1599 (90) ; 28 juin 1601 (93) ; 22 juin 1601 (94) ; 25 juin 1601 (97) ; 11 juillet 1602 (101) ; — par P[omponne de] Bellièvre et Rosny [Maximilien de Béthune, duc de Sully], Paris, 26 mai 1600, de la main de Bellièvre (89) ; — par G[uillaume] Du Vair, Aix, 2 juin 1608 (116) ; — par le président Jeannin, Paris, 23 août 1605 (120) ; 13 mai s. a., orig. (122) ; — par un anonyme, s. d. (124) ; — par Gaspard de Schomberg, Paris, 8 nov. 1595 (126) ; — par les protestants de la Chambre de l'Édit, Castres, 24 nov. 1599 (130) ; — par [Philippe] Canaye, [sieur] de Fresne, Castres, 4 janv. 1600 (132) ; — par [Pierre] Forget, [sieur de] Fresnes, Fresnes, 7 et 10 mai 1599 (142 et 144) ; — par Rosny [Maximilien de Béthune, duc de Sully], Paris, 29 avril 1605 (147) ; 10 mars 1605 (149) ; 26 mars 1605 (150) ; sous le nom de « M. de Béthune » : Paris, 3 juin 1608 (156) ; 1er juin 1608 (157) ; 3 juin s. a. (158) ; — par Sigogne, s. d., copie de P. Dupuy (204) ; — par « R. », sur les affaires de Flandre, s. d. (228) ; — par [Guillaume] Reboul, Rome, 29 oct. 1607 (238) ; A [Catherine de Médicis] et à un correspondant inconnu, par le chancelier M[ichel] de L'Hospital, minutes autogr. (11 et 12) ; — à sa fille Madeleine [mariée à Robert Hurault, sieur] de Belesbat, Vignay, 8 avril 1571 (13) ; sous forme de memorandum, s. d. (14) ; 17 avril 1571 (16) ; 8 mars 1571 (18) ; 25 août 1572 (19 bis) ; — à une inconnue, s. d., minute (17) ; A Charles et à ses frères [Michel, Robert et Paul Hurault de Belesbat], par [Madeleine] de L'Hospital, leur mère, Paris, 5 mai s. a. (20) ; Au chancelier [Michel de L'Hospital], par le lieutenant-criminel Jean Morin, Paris, 20 juin s. a. (21) ; A la princesse d'Orange [Éléonore de Bourbon-Condé, femme de Philippe-Guillaume de Nassau], par Henri de La Tour, [vicomte de Turenne], Sedan, s. a. (59) ; 27 fév. 1606 (63) ; 15 août s. a. (64) ; 25 déc. s. a. (68) ; s. d. (71) ; A Mme de La Trémoïlle, duchesse de Thouars [Marie de La Tour, femme de Henri de La Trémoïlle], par Henri de La Tour, Sedan, 27 fév. [1606], autogr. (72) ; A [Antoine] de Loménie, [sieur de La Ville-aux-Clercs], par A[rnaud], cardinal d'Ossat, Rome, 6 fév. 1601, orig. (73) ; 29 oct. 1588, orig. (75) ; 24 sept. 1588 (76) ; — par P[omponne] de Bellièvre, Paris, 10 juillet 1602 (99) ; — par N[icolas] Brûlart, Paris, 10 juillet 1602, orig. (110) ; 22 et 24 mars 1608 (112 et 113) ; — par G[uillaume] Du Vair, Aix, 9 juin s. a. (114) ; — par [Philippe] Canaye, [sieur] de Fresne, Castres, 25 nov. 1599 (129) ; — par [Jacques-Nompar de] Caumont, [marquis de La Force, maréchal de France], Pau, 31 mai s. a., orig. (178) ; — par [Denys-Simon de] Marquemont, Rome, 6 mars 1606, cachet (206) ; — par J. Lafin (?), Aubusson, 29 juillet 1610 (224) ; — par « de Laval », sur la monnaie royale, Paris, 10 avril 1603 (226) ; Au duc de Bouillon, maréchal de France, par Morlas, s. d., copie (77) ; A [Florent] Chrestien, par [Gui Du Faur, sieur de] Pibrac, Paris, 23 mai 1581, orig. (79) ; A [Pierre] Pithou, par de Neufville [Villeroy], Paris, 27 fév. 1582, orig. (80) ; — par G. Du Vair, Paris, 27 août s. a. (118) ; — par [Gilles de] Noailles, évêque de Dax, Acqs, 20 juillet 1585, orig., avec un post-scriptum autogr. (202), et Bordeaux, 27 juillet 1584, orig. (203) ; Aux gens de la Chambre de justice établie en Guyenne, par de Neufville [Villeroy], Paris, 20 déc. 1582, orig., avec un post-scriptum autogr. (81) ; A un inconnu, par P[omponne de] Bellièvre, Blois, sept. 1599, (87) ; Au procureur [Jacques] de La Guesle, par P[omponne de] Bellièvre, Fontainebleau, 9 et 13 mai 1604 (103 et 104) ; 8 mai 1604 (109) ; Au cardinal [Jacques Davy] Du Perron, évêque d'Évreux, par P[omponne de] Bellièvre, Paris, 2 nov. 1604 (105) ; 1er janv. 1605 (106) ; — par [Philippe] Canaye, [sieur] de Fresne, Paris, 26 nov. 1602 (134) ; Lyon, 17 sept. 1601 (135) ; Venise, 13 et 6 août 1601 (138 et 140) ; — par [Pierre] Forget, [sieur de] Fresnes, Fontainebleau, 10 sept. 1605 (145) ; — par Rosny [Sully], Paris, 12 mars 1605 (153), et 17 nov. 1605, orig. avec un post-scriptum autogr. (155) ; Saumur, 29 juin s. a., signée : « le duc de Sully » (160) ; s. d., orig. (161) ; — par [Philippe de] Béthune, Paris, 1er sept. 1606, orig. (162) ; Montargis, 28 oct. 1606, orig. (164) ; Fontainebleau, 18 sept. 1606, orig. (166) ; Rome, 24 août 1604 (169) ; Paris, 30 et 3 janv. 1607, orig. (170 et 172) ; Paris, 19 fév. 1607, orig. (174) ; — par [Charles de Neufville, marquis] d'Alincourt, Rome, 17 avril 1608, cachet (176) ; — par [François Savary, comte de] Brèves, Alexandrie d'Égypte, 10 déc. 1605, orig. (180) ; Rome, 25 juillet 1608, orig., cachet (182) ; 12 déc. 1608, orig. (184) ; 7 août 1608, orig. (186) ; 15 oct. 1609, orig. (188) ; 2 sept. 1609, orig. (190) ; 20 mars 1609, orig. (192) ; — par l'archevêque d'Urbino [Giuseppe Ferrero], Avignon, 6 juin 1608, orig., cachet (196) ; 23 janv. 1608 (198) ; 16 fév. 1608, orig., avec un post-scriptum autogr. (200) ; en italien ; — par [Denys-Simon de] Marquemont, Rome, 29 juin 1608, cachet (208) ; — par [Henri de Gondy], évêque de Paris, 26 juin s. a., cachet (210) ; — par Armand [Du Plessis de Richelieu], évêque de Luçon, s. d., orig. (212) ; — par [Jean] Bertaut, Paris, 19 août 1606, cachet (214) ; — par le frère Bruno, général des Chartreux, Grande-Chartreuse, 20 déc. 1604, orig., cachet (216) ; — par Jacques Soarez de Sainte-Marie, Paris, 4 juillet 1605, cachet (218) ; — par [Louis de Chasteigner de La Rochepozay, sieur d']Abain, Rome, 6 janv. 1609 (220) ; — par [l'abbé] de Sève, Rome, 22 mars 1608, cachet (222) ; — par G[uillaume] Reboul, Rome, 11 déc. et 26 nov. 1607 (234 et 236) ; 8 janv. 1608 (240) ; 16 nov. 1607, orig. (242) ; A [François] de Ségur [-Pardaillan], par [Philippe Canaye, sieur] de Fresne, s. d. (128) ; A « Mr de La Brosse », par [François Savary, comte de] Brèves, Rome, 18 fév. 1610, orig. (194) ; A Villeroy, par un anonyme, Rome, 21 juin 1613, copie (230) ; Au duc de Sully, par G. Reboul, Rome, 29 oct. 1607, autogr. (232).