718 resultados para Breton, E.
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Contient : 1 Ordonnance du roi JEAN, contenant les résolutions des « estatz tenuz » en 1355. « Donné à Paris, le 28 decembre 1355 » ; 2 « Journal du premier siege de La Rochelle, en 1573 ». L'auteur de ce journal paraît être LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS ; 3 « Discours sur le siege de La Rochelle », adressé au roi Charles IX et mis dans la bouche du roi de Pologne, HENRI, duc D'ANJOU, mais écrit par LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS. Inachevé ; 4 « Cayer des articles concernans le faict de la paciffication, presentées au roy estant à Paris » en « mars 1576, de la part de Monseigneur le duc d'Allençon, par les deputtez des provinces associez » ; 5 « S'ensuict la responce faicte par le roy, le 19 mars 1576, sur les articles contenues au preceddent cayer, presentées à S. M. par les deputtez de Monseigneur le duc d'Allençon et des provinces associées » ; « Aultre responce plus ample faicte par le roy, le 10e apvril 1576, sur aucuns articles concernans le faict de la religion » ; 6 « Aultres responces plus amples faictes par le roy, tant sur le faict de la religion, justice, que autres. Du 13 apvril 1576 » ; 7 « Cahier de l'assemblée des notables, tenue à Rouen, en 1617 » ; 8 Mémoire pour le parlement contre les évêques qui s'étaient « trouvez aux obseques de la reyne mere, à St Denis », en 1666, et avaient « affecté d'y prendre deux nouveaux advantages qui ne sont pas propres à leur caractere », l'un desquels avait été de « s'esloigner de l'autel et de se faire eslever un eschafaut dans un lieu plus proche de la chapelle ardente que celuy qu'ils avoient tousjours ocupé; l'autre... d'interompre l'ordre des reverences et de ne se contenter pas d'estre salués immediatement apres le celebrant, selon les coustumes de l'eglize » ; 9 Mémoire pour les évêques contre le parlement, au sujet de ladite contestation ; 10 Mémoire adressé au roi par le parlement sur le même sujet ; 11 « Recueil des exemples de l'ordre observé aux reverences qui se font à l'ofrande dans les seremonies funebres ». Après 1669 ; 12 « Extraict d'une relation faicte par LE BRETON, roy d'armes, de touttes les ceremonies des obseques de Marie de Bourbon, duchesse d'Orleans, en 1627 » ; 13 « Extraict d'un grand proces verbal de tout ce qui s'est passé pour les obseques de la reine d'Espagne, 5 decembre 1644 » ; 14 « Extraict de la relation dressée par le Sr SAINTOT du service faict, en 1637, pour Mr le duc de Savoye »
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Contient : 1 « Cronicques abbregées, lesquelles commencent à la creation du monde et durent jusques à Philippes de Valois, qui fut couronné roy de France en l'an 1328 ». Premiers mots : « Au commencement, ainsy comme la saincte Escripture tesmoigne, Dieu crea le ciel et la terre, selon les docteurs et les sains, en une masse confuse... » ; derniers mots : «... dont il nous fut bien figuré par Aynâm (sic), qui fit faire ung gibet pour pandre Mardoichée et les autres juifz, mais par l'ordonnance de Dieu il fut celluy qui premierement fut pandu à celluy gibet qu'il avoit fait faire, et cetera » ; 2 « Ordonnances... sur les gaiges de bataille... faictes... par PHILIPPE » LE BEL. Ces ordonnances, qui sont précédées des lettres dudit roi données à Paris, le mercredi après la Trinité 1306, les concernant, commencent par : « La premiere que il soit chose notoire, certaine et evidante que la chose soit advenue, et ce signiffie la clause, où il apperra evidanment homicide...» et finissent par : «... Quant aux liches, le roy, qui les a fait faire à ses despens, les reprent pour les autres gaiges qui survenir porroient. Éxplicit » ; 3 « Cy commance le Breviaire des nobles, fait par maistre ALAIN CHARTIER ». Premier vers : « Je noblesse, dame de bon-vouloir » ; dernier vers : « Nobles hommes en ce livre » ; 4 « Cy commance le Psaultier des villains, fait par MICHAULT TAILLEVANT ». Premier vers : « Des nobles ay veu le breviaire » ; dernier vers : « La fin de tout est vraye experience » ; 5 Recueil de contes appelés moralités, parce que chaque conte est suivi de sa moralité ; Autre conte, sans titre. Premier vers : « Enmy l'eaue ung crout, le jour » ; dernier vers : « Auquel ilz firent deshonneur » ; « Compte des coulons, qui demendent seignour ». Premier vers : « Coullons demendent seigneur » ; dernier vers : « Jà n'en aura se honte non » ; « Compte du larron qui embla brebis ». Premier vers : « D'un larron compte qui ala » ; dernier vers : « Com le chien fist du larron » ; « Compte du loup et de la truye prains ». Premier vers : « Jadis advint que loup entra » ; dernier vers : « Ne laissent peril (sic) leur enffant » ; « Compte des lievres ». Premier vers : « Cy dit que les lievres s'assemblerent » ; dernier vers : « Ou sans traveil ou sans doulour » ; « Compte du lyon et de l'aigle ». Premier vers : « D'un lyon dist qui assembla » ; dernier vers : « Et si ne doit en court parler » ; « Compte du serf qui vit ses cornes en beuvant ». Premier vers : « Aussi advint qu'ung serf vivoit » ; dernier vers : « Forment amer se tant savoient » ; « Compte du larron et du chevalier ». Premier vers : « D'um homme compte ly escrips » ; dernier vers : « Tant faulx est le monde et fautif » ; « Compte du lyon ». Premier vers : « D'un lyon dist qu'il voult aler » ; dernier vers : « Com fist le loup du serment » ; « Compte du mire qui seigna l'omme ». Premier vers : « D'un mire compte, qui seigna » ; dernier vers : « Lors sont encombrez et occis » ; « Compte de l'omme et de l'escarbote ». Premier vers : « D'un villain dist qui se gisoit » ; dernier vers : « Ou vanité les trait et muet » ; « Compte de l'omme qui vit sa femme avec I. autre homme ». Premier vers : « D'un villain dit qu'il esgarda » ; dernier vers : « Que son avoir ne ses parens » ; « Compte du villain qui vit sa femme avec son amy ». Premier vers : « D'un villain vueil ycy raconter » ; dernier vers : « Plus ont ung art que ly diable » ; « Compte du Breton qui occist les brebis ». Premier vers : « Jadis advint qu'en I. patis » ; dernier vers : « Jusques ad ce qu'ilz en ont du pis » ; « Compte du singe et de l'empereur ». Premier vers : « Ung empereur nourry jà » ; dernier vers : « Et par mensonge formigier » ; « Compte de l'asne et du lyon » (sic). Premier vers de ce qui n'est qu'un fragment du conte indiqué plus bas sous la cote fol. 142-3 : « Puis a pensé à son couraige » ; dernier vers : « Dont il est mort et affolez » ; « Compte du loup, du corbel et de la brebis ». Premier vers : « D'un loup compte qui vit jadis » ; dernier vers : « Qu'il ne tourne ses fays à mal » ; « Compte du coq et du goupil ». Premier vers : « D'un coq racompte qui estoit » ; dernier vers : « Pour les nouvelles escouter » ; « Compte du lyon et du villain ». Premier vers : « Cy nous raconte d'un lyon » ; dernier vers : « Qui la verité en desqueuvre » ; « Compte d'une puce et d'ung chamel ». Premier vers : « Une puce, ce dit, monta » ; dernier vers : « Ne qu'elle luy feist ennuy » ; « Compte du timon et du fourmy ». Premier vers : « D'un timon compte la maniere » ; dernier vers : « Que se à autruy se veult actendre » ; « Compte des oyseaulx qui voulurent avoir pour roy le quoqu ». Premier vers : « Des oyseaulx dist qui s'asemblerent » ; dernier vers : « Et larges com doit estre roys » ; « Compte du larron et de la sorciere ». Premier vers : « D'un larron compte qui estoit » ; dernier vers : « Et l'ame va en grant peril » ; « Compte de la congnie et du boys et du fevre ». Premier vers : « Ung feuvre fist une congnie » ; dernier vers : « Qui plus les a au dessus mys » ; « Compte du villain qui vouloit vendre son cheval ». Premier vers : « D'un villain nous racompte cy » ; dernier vers : « Tourne souvent son tort à droit » ; « Compte du loup et du moton ». Premier vers : « Jadis advint qu'un loup promest » ; dernier vers : « Ne garderay veu ne promesse » ; « Compte de la singesse qui monstroit son faon aux autres bestes ». Premier vers : « Une singesse ala monstrant » ; dernier vers : « N'est pas li siecles trop loyaulx » ; « Compte du villain et du dragon ». Premier vers : « Cy nous racompte d'ung dragon » ; dernier vers : « Ne se doit nulz homs fier » ; « Compte d'un reclus et du villain ». Premier vers : « D'un reclus compte qui avoit » ; dernier vers : « Que mieulx devroit reprendre luy » ; « Compte du villain et de son cheval ». Premier vers : « D'un villain compte, qui entra » ; dernier vers : « Sy lui souffise en loyaulté » ; « Compte d'un villain qui prioit pour sa femme et ses enfans ». Premier vers : « Ung villain ala (sic) moustier » ; dernier vers : « Et qui à Dieu soit acceptable » ; « Compte du villain et de la choue ». Premier vers : « D'un villain compte qui avoit » ; dernier vers : « Car sa droicture en est perie » ; « Compte de goupil et de la lune ». Premier vers : « D'un goupil dit que par une nuyt » ; dernier vers : « Dont en la fin en est courcez » ; « Compte du loup et du mouton ». Premier vers : « D'ung loup nous raconte cy » ; dernier vers : « Et sans que... ». La fin de ce vers manque ; « Compte de la grue et du loup ». Premier vers, le seul qui soit écrit : « D'ung loup dit ly escris... ». L'écriture des feuillets 143-4 est postérieure à celle des feuillets précédents
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Youth-Adult Partnerships (Y-APs) have been found to foster youth engagement and positive youth development. However, existing research tends to confound the characteristics of Y-APs with their general outcomes and the existing methods of evaluating Y-APs tend to be based on correlational methodologies. I sought to create a measure of Y-AP success that did not confound the characteristics of a successful Y-AP with outcomes. Using the existing literature as a guide, three components were selected for inclusion in the Y-AP success measure: 1) perceptions of productivity; 2) positive affect; and 3) having one's contributions welcomed and considered. Using this new measure, I tested a model to assess how adult warmth and expertise interacted with task difficulty to influence three components of Y-AP success. Participants included 402 university students (M = 19.27, SD = 1.28, 89.1 % female) from Brock University and Cape Breton University. Video clips of an adult, depicting all possible combinations of warmth and expertise were created for this study, as well as a pair of hypothetical tasks designed to elicit differential degrees of perceived difficulty. Participants were exposed to one video of a hypothetical adult and two hypothetical tasks and responded to the Y-AP success measures twice, for each ofthe tasks. Results from mixed-model ANOVAs revealed that the adult and task characteristics were not consistently related to all components of Y-AP success. However, several significant interactions suggested that youth perceptions of task difficulty and their impressions of adult partners influenced the extent to which they expected a Y-AP to be successful. The results are discussed in the context of how they support or conflict with the existing literature and serve as a first step in the inference of causality within the study of Y-APs.
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The origins of Upper Lakes Shipping can be traced back to 1931, when Gordon Leitch, the general manager of Toronto elevators, sent Captain Bruce Angus to scout for potential ships that could be used to transport grain. The ship Sarnian was purchased as a result. It soon became apparent that more ships would be needed by the business, and Leitch subsequently partnered with James Norris of the Norris Grain Company, in order to transport their products more economically. The Upper Lakes and St. Lawrence Transportation Company (which later become known as Upper Lakes Shipping), was incorporated in 1932. In 1956, the company bought Port Weller Dry docks. At this point, the company began constructing new vessels designed to meet specific freight and classification needs.
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In the aftermath of World War II, a wave of Dutch Reformed immigrants arrived in Ontario, many of whom joined the Christian Reformed Church. Following familiar cultural patterns, history, and their Reformed Christian faith, these immigrants settled in Ontario with remarkable institutional completeness (Breton, 1964). They quickly established independent, parent-operated Christian schools across Ontario. The primary purpose of the schools was to educate children through a comprehensive biblically based school program, yet this religious purpose often intersected with a Dutch immigrant ethnic culture. Van Dijk (2001) states that “the schools were the most important organization in maintaining the religious and ethnic identity of Calvinists” (p. 66). In this qualitative study I explore the intersection of Reformed faith and Dutch Canadian immigrant ethnic culture in Christian schools through the experiential and professional lens of eight retired principals. Employing a theoretical framework informed by Berger’s (1967) Sacred Canopy, I suggest that the intersection of faith and culture was experienced in the schools and was embodied by the schools themselves. Findings point to this intersection being located in the participants’ experience of (a) Dutchness, (b) the struggle for Christian education, (c) the ties that bound the school community together, and (d) the cloud of witnesses that founded and continues to support and encourage the Christian school community. The study offers insight into a Dutch Reformed immigrant group’s experience carving out a niche for themselves on the educational landscape in Ontario. This study also offers suggestions on how Christian schools can broaden their canopy and become more ethnically and denominationally diverse in the future.
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A desirable property of a voting procedure is that it be immune to the strategic withdrawal of a candidate for election. Dutta, Jackson, and Le Breton (Econometrica, 2001) have established a number of theorems that demonstrate that this condition is incompatible with some other desirable properties of voting procedures. This article shows that Grether and Plott's nonbinary generalization of Arrow's Theorem can be used to provide simple proofs of two of these impossibility theorems.
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UANL
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Actuellement, le diagnostic différentiel du trouble bipolaire (TB) et du trouble de personnalité limite (TPL) à l’adolescence s’avère difficile et complique le choix thérapeutique. Portant sur le TB et le TPL, ce mémoire fait le point sur la littérature scientifique adulte et adolescente, vérifie la faisabilité et présente les résultats d’une étude exploratoire portant sur les variables cliniques (instabilité émotionnelle, hostilité, impulsivité, tempraément) et le rythme veille-sommeil à l’adolescence. L’étude exploratoire comprend sept adolescents TB et huit TPL (12-17 ans), évalués par questionnaires autoadministrés pour les variables cliniques, et par actigraphie et agenda de sommeil pour le rythme veille-sommeil. Aucune différence significative n’existe entre les deux troubles pour les variables cliniques. En moyenne, les adolescents TB ont porté l'actigraphie pendant 9,9 jours et ont rempli un agenda de sommeil pendant 5,7 jours; chez les TPL, les chiffres sont respectivement 9,8 et 8,9 jours. Comparés aux TPL, les TB ont un plus grand intervalle d’éveil (p=0,035), ont un plus grand intervalle de sommeil (p>0,05), et ont une plus grand variabilité intrajournalière (p=0,04). Les données subjectives (agenda de sommeil) semblent refléter les données objectives (actigraphie) : aucune différence statistique n’est observée entre les deux mesures pour le délai d’endormissement, la durée du dernier réveil et le temps total de sommeil. La recension de la littérature montre un manque de données chez l’adolescent quant aux deux troubles. La faisabilité de l’étude est démontrée par la présence de résultats analysables. Ceci encourage la poursuite des recherches sur ces variables, afin de distinguer les deux psychopathologies à l’adolescence.
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En 2004, le gouvernement québécois s’est engagé dans une importante réorganisation de son système de santé en créant les Centres de santé et des services sociaux (CSSS). Conjugué à leur mandat de production de soins et services, les CSSS se sont vus attribuer un nouveau mandat de « responsabilité populationnelle ». Les gestionnaires se voient donc attribuer le mandat d’améliorer la santé et le bien-être d’une population définie géographiquement, en plus de répondre aux besoins des utilisateurs de soins et services. Cette double responsabilité demande aux gestionnaires d’articuler plus formellement au sein d’une gouverne locale, deux secteurs de prestations de services qui ont longtemps évolué avec peu d’interactions, « la santé publique » et « le système de soins ». Ainsi, l’incorporation de la responsabilité populationnelle amène à développer une plus grande synergie entre ces deux secteurs dans une organisation productrice de soins et services. Elle appelle des changements importants au niveau des domaines d’activités investis et demande des transformations dans certains rôles de gestion. L’objectif général de ce projet de recherche est de mieux comprendre comment le travail des gestionnaires des CSSS se transforme en situation de changement mandaté afin d’incorporer la responsabilité populationnelle dans leurs actions et leurs pratiques de gestion. Le devis de recherche s’appuie sur deux études de cas. Nous avons réalisé une étude de deux CSSS de la région de Montréal. Ces cas ont été choisis selon la variabilité des contextes socio-économiques et sanitaires ainsi que le nombre et la variété d’établissements sous la gouverne des CSSS. L’un des cas avait au sein de sa gouverne un Centre hospitalier de courte durée et l’autre non. La collecte de données se base sur trois sources principales; 1) l’analyse documentaire, 2) des entrevues semi-structurées (N=46) et 3) des observations non-participantes sur une période de près de deux ans (2005-2007). Nous avons adopté une démarche itérative, basée sur un raisonnement inductif. Pour analyser la transformation des CSSS, nous nous appuyons sur la théorie institutionnelle en théorie des organisations. Cette perspective est intéressante car elle permet de lier l’analyse du champ organisationnel, soit les différentes pressions issues des acteurs gravitant dans le système de santé québécois et le rôle des acteurs dans le processus de changement. Elle propose d’analyser à la fois les pressions environnementales qui expliquent les contraintes et les opportunités des acteurs gravitant dans le champ organisationnel de même que les pressions exercées par les CSSS et les stratégies d’actions locales que ceux-ci développent. Nous discutons de l’évolution des CSSS en présentant trois phases temporelles caractérisées par des dynamiques d’interaction entre les pressions exercées par les CSSS et celles exercées par les autres acteurs du champ organisationnel; la phase 1 porte sur l’appropriation des politiques dictées par l’État, la phase 2 réfère à l’adaptation aux orientations proposées par différents acteurs du champ organisationnel et la phase 3 correspond au développement de certains projets initiés localement. Nous montrons à travers le processus d’incorporation de la responsabilité populationnelle que les gestionnaires modifient certaines pratiques de gestion. Certains de ces rôles sont plus en lien avec la notion d’entrepreneur institutionnel, notamment, le rôle de leader, de négociateur et d’entrepreneur. À travers le processus de transformation de ces rôles, d’importants changements au niveau des actions entreprises par les CSSS se réalisent, notamment, l’organisation des services de première ligne, le développement d’interventions de prévention et de promotion de la santé de même qu’un rôle plus actif au sein de leur communauté. En conclusion, nous discutons des leons tirées de l’incorporation de la responsabilité populationnelle au niveau d’une organisation productrice de soins et services. Nous échangeons sur les enjeux liés au développement d’une plus grande synergie entre la santé publique et le système de soins au sein d’une gouverne locale. Également, nous présentons un modèle synthèse d’un processus de mise en œuvre d’un changement mandaté dans un champ organisationnel fortement institutionnalisé en approfondissant les rôles des entrepreneurs institutionnels dans ce processus. Cette situation a été peu analysée dans la littérature jusqu’à maintenant.