997 resultados para VENEZUELA - RELACIONES EXTERIORES - COLOMBIA - 2002-2008
Resumo:
En la actualidad, uno de los temas que presenta mayor relevancia en el contexto mundial es la crisis energética, cuyas manifestaciones se han representado en la escasez de reservas de petróleo generado altos costos en las explotaciones y volatilidad en los precios. Por tanto, los países dependientes han conducido sus propósitos a la búsqueda de fuentes de energía alternativa y renovable. La más importante la constituye los biocombustibles, los cuales se derivan de la biomasa de materia orgánica, proveniente de diversos cultivos, generalmente agrícolas y forestales, y que ha presentado un incremento de producción mundial a un ritmo anual del 10% desde el año 20101. Esta dinámica va acompañada del rol activo de los Estados que articulan instrumentos que favorecen la multiplicación de cultivos energéticos, ocasionando intensos debates en el ámbito mundial, que conllevan a revisar los efectos que en la actualidad estas políticas han generado en el mundo y en Colombia, país que desde el año 2002 ha realizado apuestas en torno a esta posibilidad de conseguir energía de forma alternativa.
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Avant-proposParfois pour le meilleur et parfois pour le pire, notre monde est un monde globalisé.Nous connaissons actuellement une profonde crise financière à l'échelle planétaire. Fin octobre 2008, le Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations unies pour la coordination (CEB) déclarait que «la crise que nous traversons aujourd'Hui va avoir des répercussions sur tous les pays, développés et en développement, mais les effets les plus graves seront ressentis essentiellement par ceux qui ne sont pour rien dans le déclenchement de cette crise, à savoir les pauvres des pays en développement».Avant que cette crise n'éclate, Alain Rouquié1 affirmait déjà : «l'état est de retour. Son rôle économique et social pour atténuer les chocs extérieurs et l'impact d'une concurrence sans frontières est à l'ordre du jour».Selon Rouquié, l'ouverture et les réformes structurelles des années quatre-vingt, aussi douloureuses qu'elles aient été, ont eu une utilité fonctionnelle durable. Le problème, dit-il, est que ces réformes ont été accompagnées d'une idéologie opportuniste qui absolutisait le recours à la «main invisible» du marché dans tous les domaines. Ainsi, au nom des nécessités d'une économie mondialisée, l'état, était dénoncé comme un obstacle à la croissance et au progrès. Le fondamentalisme dogmatique et anti-étatique de marché imposait une recette universelle, non discutable et anti-démocratique.L'histoire récente nous démontre qu'il n'existe pas une façon unique de s'intégrer aux courants mondiaux des biens et des capitaux et que l'ensemble des réformes (ouverture, privatisations, dérégulation) considéré à un moment donné comme la seule modalité d'intégration à l'économie mondiale, a été à l'origine d'une série de crises successives en Amérique latine et dans les Caraïbes dont le bilan est étique en termes de réalisations et lourd en frustrations; par ailleurs, les voies hétérodoxes vers la globalisation empruntées par la Chine et par l'inde, par exemple, fortement teintées de caractéristiques idiosyncrasiques en matière de politique économique et dont la direction est restée aux mains des états nationaux affichent des résultats plus positifs.Ce document rend compte des idées centrales de publications récentes de la Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC). Les principales sources des thèses dans lesquelles s'inscrivent les idées développées dans les pages qui suivent sont: Mondialisation et développement2, publié en 2002, et Desarrollo productivo en economías abiertas3, publié en 2004. l'information quantitative plus conjoncturelle et les analyses à court terme ont été extraites de différentes éditions des publications annuelles : Balance preliminar de las economías de América Latina y el Caribe, et Estudio económico de América Latina y el Caribe.l'Amérique latine et les Caraïbes a été la région du monde en développement qui a le plus misé sur le programme d'internationalisation et de libéralisation économiques, cristallisé dans ce qui a été connu comme le Consensus de Washington. Les années 1990 ont été marquées par une vague de réformes en ce sens dans tout le continent, dont les résultats, cependant, ont été maigres. Au bilan, certes, des aspects favorables comme l'Atténuation des déséquilibres budgétaires, la fin des processus chroniques d'Hyperinflation qui sévissait dans la région, la modernisation de secteurs spécifiques de l'Appareil de production et l'essor des exportations. Mais dans la colonne des éléments négatifs, on ne peut manquer d'inscrire un taux de croissance faible et volatil, le démantèlement de l'Appareil de production, la hausse du chômage, de l'informalité et de l'inégalité, l'Accroissement de la vulnérabilité extérieure et la dégradation des relations macroéconomiques clés.La région de l'Amérique latine et des Caraïbes est sortie du marasme qui a caractérisé la fin des années 90 et le début de la présente décennie et a retrouvé la voie de la croissance. En effet, l'Année 2007 a été la cinquième année consécutive d'augmentation du produit et, en raison des projections positives pour l'Année 2008, le taux moyen d'augmentation du PIB par habitant pour la période 2003 - 2008 devrait être légèrement supérieur à 3 %, ce qui en ferait la période de croissance la plus marquée et la plus longue depuis 1980.Cette évolution positive a été favorisée par un contexte international propice. l'Augmentation du produit mondial ainsi que l'essor du commerce international, le relèvement du cours international de nombreux produits de base exportés par la région et le faible niveau des taux d'intérêt (situation qui a commencé à se modifier vers le milieu de l'Année 2004 avec le changement de signede la politique monétaire adopté par la Réserve fédérale des états-Unis) se sont avérés favorables à la croissance du PIB ainsi qu'à l'Apparition de caractéristiques inédites dans un processus de croissance soutenue dans la région. C'est ainsi que les pays ont pu mettre fin à la contrainte extérieure, grâce à un excédent continu sur le compte courant résultant à son tour de l'évolution favorable des termes de l'échange, de l'Accélération de la tendance à long terme à la hausse du taux de croissance des exportations et à la forte augmentation des fonds envoyés par les émigrants.Dans le passé, néanmoins, des conjonctures tout aussi positives sur les marchés internationaux n'avaient pas été accompagnées d'une bonne performance régionale. En l'occurrence, l'orientation adoptée en matière de politique économique par de nombreux états de l'Amérique latine et des Caraïbes a joué un rôle déterminant pour tirer parti de facteurs qui, dans un autre contexte, n'auraient pu constituer qu'une autre opportunité perdue. l'obtention d'excédents primaires réitérés dans les comptes publics (grâce à un recouvrement accru et à une attitude prudente dans la gestion des dépenses) ainsi que la volonté de maintenir un taux de change réel compétitif sont des mesures qui, dans le cadre de ce scénario international propice, autorisent un optimisme modéré quant à l'évolution à moyen terme de la région.Cependant, dans un monde en pleine croissance, une gestion macroéconomique ordonnée n'est pas suffisante pour asseoir un processus de développement. l'un des héritages des années 90 est L'hétérogénéité croissante de la structure de production qui s'est traduite par l'exclusion massive de certains agents économiques alors que d'autres progressaient vers la modernisation productive.On peut distinguer aujourd'Hui, dans l'économie latino-américaine, trois grands groupes d'unités productives en fonction de leur degré de formalisation et de leur taille. Le premier groupe est celui composé par les grandes entreprises, dont beaucoup sont transnationales et dont les niveaux de productivité sont proches de la barre internationale mais qui, dans le même temps, n'ont guère de liens avec l'économie locale et présentent une très faible capacité endogène de générer des innovations. Le deuxième groupe englobe les petites et moyennes entreprises du secteur formel qui éprouvent généralement de grandes difficultés d'accès à certains marchés, en particulier au marché financier et à celui des services technologiques, et qui présentent surtout une faible capacité d'articulation productive au sein même du groupe et avec les plus grandes entreprises. Le dernier groupe est celui des micro et petites entreprises du secteur informel qui, en raison de leur structure et de leurs capacités, affichent la productivité relative la plus faible et fonctionnent dans un contexte qui les prive de toute possibilité de développement et d'apprentissage. En outre, les travailleurs salariés et les chefs de micro-entreprises de ce secteur n'ont aucune forme de protection sociale contre les risques qui les menacent, incluant la perte d'emploi ou de revenus.Le développement productif de cette véritable économie à trois vitesses passe par l'Adoption de politiques publiques volontaristes propres à niveler le terrain de jeu grâce à une structure différenciée d'aides et d'incitations.l'Administration de la macroéconomie et les politiques productives ne représentent toutefois qu'une partie des initiatives nécessaires pour jeter les bases d'un processus de développement économique à long terme. Il est indispensable de réparer la déchirure du tissu social qui est l'un des effets secondaires les plus graves de l'expérience de politique mise en oeuvre dans les années 90. l'Aggravation de L'hétérogénéité productive et de l'inégalité, ainsi que l'Augmentation de l'informalité et du chômage ne se traduisent pas seulement en pertes statiques et dynamiques en termes de niveau du produit et de taux de croissance à long terme; elles constituent également une menace latente à la cohabitation démocratique et à l'unité des perspectives et d'objectifs qui doit accompagner les processus de changement historique inévitablement impliqués dans le développement économique.C'est pourquoi la CEPALC a proposé la création d'un pacte de cohésion sociale fondé sur l'Adoption d'engagements réciproques entre les différents secteurs sociaux et l'état afin de jeter les bases d'un avenir inclusif du point de vue social dans la région. Ce pacte repose sur plusieurs piliers: la cohérence vis-à-vis des fondements de la politique économique, la création d'emplois, la protection sociale, ainsi que l'éducation et la formation professionnelle pour l'ensemble de la population.Depuis l'époque de Celso Furtado et Raúl Prebisch, des concepts comme le schéma centre - périphérie et l'étude des tendances à long terme des termes de l'échange, l'importance de la contrainte extérieure pour la stabilité macroéconomique des économies moins développées, la nécessité de promouvoir, à partir de l'état, la croissance de certaines activités ou de certains secteurs productifs considérés comme stratégiques ainsi que le lien entre le phénomène inflationniste et l'Action distributive ont nourri le débat intellectuel dans le continent et inspiré les responsables de la prise de décision de différents gouvernements et à différentes périodes.La synthèse de documents récents présentée ici prétend suivre cette même voie de construction d'une pensée locale qui se découvre universelle en révélant les particularités de son contexte et qui trouve sa justification dans la volonté de contribuer à l'émergence d'acteurs sociaux et de réalités nationales souvent oubliés.Devant la profondeur de la crise d'origine financière qui touche toute la planète et dont les répercussions les plus graves seront ressenties par les pauvres des pays en développement, nous rejoignons Rouquié pour dire, au sens vertueux, que l'état est de retour pour s'acquitter des tâches que le marché a été, à lui seul, incapable de réaliser.Alicia BárcenaSecrétaire exécutiveCommission économique pour l'Amériquelatine et les Caraïbes (CEPALC)RésuméCe livre de la CEPALC est publié conjointement avec la Coopération française et contient deux essais sur l'Amérique latine et les Caraïbes où sont essentiellement abordés les défis qui se posent à la région au seuil de ce millénaire. Ces premières années du millénaire se caractérisent d'ores et déjà par une conjoncture économique difficile dont il est encore difficile de mesurer les conséquences.Le premier article rédigé par des experts de la CEPALC rend compte des idées centrales de publications récentes de la Commission. Les thèses dans lesquelles s'inscrivent les idées développées dans les pages qui suivent émanent des publications ci-après: Mondialisation et développement, publié en 2002, et Desarrollo productivo en economías abiertas, publié en 2004. l'information quantitative plus conjoncturelle et les analyses à court terme ont été extraites de différentes éditions des publications annuelles: Balance preliminar de las economías de América Latina y el Caribe, et Estudio económico de América Latina.Le deuxième article, rédigé par Alain Rouquié, expert en questions latino-américaines et président de la Maison de l'Amérique latine à Paris, propose, selon les propres dires de l'Auteur, une série de réflexions libres sur l'Amérique latine.La publication conjointe de ces deux essais met en relief une complémentarité de perspectives issues des deux hémisphères du globe, ce qui confère à cet ouvrage un intérêt tout particulier.
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Incluye Bibliografía
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Pós-graduação em Relações Internacionais (UNESP - UNICAMP - PUC-SP) - FFC
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En este trabajo me propongo analizar la influencia de la revolución de Haití en las independencias de Venezuela y Colombia durante los años 1804-1825. Miintención es demostrar que las repercusiones del proceso haitiano fueron vastas, complejas y sufrieron importantes cambios durante el transcurso de los años. En líneas generales, la revolución generó pánico entre las elites criollas y peninsulares y esperanzas entre grupos de esclavos y pardos. Inicialmente los sectores criollos revolucionarios buscaron evitar todo contacto con la isla y eludir el modelo insurgente haitiano por considerar que produciría en la Tierra Firme una "guerra de razas" y una hecatombe similar a la que, en su opinión, allí había acontecido. Sin embargo, a partir de 1812-1813 debido a las dificultades de la guerra de independencia una fracción de la elite criolla comenzó a estrechar vínculos con la República del Sur de Haití a través de contactos diplomáticos y corsarios. Estas primeras relaciones, más bien tímidas, fueron la condición de posibilidad de un cambio importante que sobrevino en 1816. En dicho año, debido a la reconquista de la expedición realista, la mayoría de los líderes independentistas huyeron de Tierra Firme y tuvieron que exiliarse en Haití, uno de los pocos lugares donde encontraron refugio y apoyo. En aquel contexto, se dio el pacto entre Alexandre Petión y Simón Bolívar, por el cual el primero se comprometió a aportar armas, barcos y hombres a la causa patriota a cambio de la emancipación de los esclavos hispanoamericanos. Este acuerdo fue fundamental ya que no sólo posibilitó la exitosa contraofensiva independentista, sino que además le dio un cariz social al proceso revolucionario de Venezuela y Colombia. Así, a partir de 1816 y hasta 1821, se dieron numerosos contactos e incluso el gobierno de Jean Pierre Boyer (sucesor de Alexandre Petión) colaboró con otras dos expediciones a cargo de Gregor Mac Gregor para liberar Panamá y Río Hacha. Sin embargo, el cambio no fue total y aún durante estos años, los líderes criollos continuaron teniendo reparos frente al peligro de la explosión de un nuevo Haití en la Tierra Firme hispana. Por último, el fin de la guerra de independencia abrió un nuevo contexto en el cual aquellos miedos se intensificaron debido a la movilización social interna. Esto derivó en nuevo alejamiento y el gobierno de Colombia no sólo se negó a mantener relaciones con Haití, sino que incluso lo excluyó del Congreso de Panamá.
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En este trabajo me propongo analizar la influencia de la revolución de Haití en las independencias de Venezuela y Colombia durante los años 1804-1825. Miintención es demostrar que las repercusiones del proceso haitiano fueron vastas, complejas y sufrieron importantes cambios durante el transcurso de los años. En líneas generales, la revolución generó pánico entre las elites criollas y peninsulares y esperanzas entre grupos de esclavos y pardos. Inicialmente los sectores criollos revolucionarios buscaron evitar todo contacto con la isla y eludir el modelo insurgente haitiano por considerar que produciría en la Tierra Firme una "guerra de razas" y una hecatombe similar a la que, en su opinión, allí había acontecido. Sin embargo, a partir de 1812-1813 debido a las dificultades de la guerra de independencia una fracción de la elite criolla comenzó a estrechar vínculos con la República del Sur de Haití a través de contactos diplomáticos y corsarios. Estas primeras relaciones, más bien tímidas, fueron la condición de posibilidad de un cambio importante que sobrevino en 1816. En dicho año, debido a la reconquista de la expedición realista, la mayoría de los líderes independentistas huyeron de Tierra Firme y tuvieron que exiliarse en Haití, uno de los pocos lugares donde encontraron refugio y apoyo. En aquel contexto, se dio el pacto entre Alexandre Petión y Simón Bolívar, por el cual el primero se comprometió a aportar armas, barcos y hombres a la causa patriota a cambio de la emancipación de los esclavos hispanoamericanos. Este acuerdo fue fundamental ya que no sólo posibilitó la exitosa contraofensiva independentista, sino que además le dio un cariz social al proceso revolucionario de Venezuela y Colombia. Así, a partir de 1816 y hasta 1821, se dieron numerosos contactos e incluso el gobierno de Jean Pierre Boyer (sucesor de Alexandre Petión) colaboró con otras dos expediciones a cargo de Gregor Mac Gregor para liberar Panamá y Río Hacha. Sin embargo, el cambio no fue total y aún durante estos años, los líderes criollos continuaron teniendo reparos frente al peligro de la explosión de un nuevo Haití en la Tierra Firme hispana. Por último, el fin de la guerra de independencia abrió un nuevo contexto en el cual aquellos miedos se intensificaron debido a la movilización social interna. Esto derivó en nuevo alejamiento y el gobierno de Colombia no sólo se negó a mantener relaciones con Haití, sino que incluso lo excluyó del Congreso de Panamá.
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Ed. oficial.
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En este trabajo me propongo analizar la influencia de la revolución de Haití en las independencias de Venezuela y Colombia durante los años 1804-1825. Miintención es demostrar que las repercusiones del proceso haitiano fueron vastas, complejas y sufrieron importantes cambios durante el transcurso de los años. En líneas generales, la revolución generó pánico entre las elites criollas y peninsulares y esperanzas entre grupos de esclavos y pardos. Inicialmente los sectores criollos revolucionarios buscaron evitar todo contacto con la isla y eludir el modelo insurgente haitiano por considerar que produciría en la Tierra Firme una "guerra de razas" y una hecatombe similar a la que, en su opinión, allí había acontecido. Sin embargo, a partir de 1812-1813 debido a las dificultades de la guerra de independencia una fracción de la elite criolla comenzó a estrechar vínculos con la República del Sur de Haití a través de contactos diplomáticos y corsarios. Estas primeras relaciones, más bien tímidas, fueron la condición de posibilidad de un cambio importante que sobrevino en 1816. En dicho año, debido a la reconquista de la expedición realista, la mayoría de los líderes independentistas huyeron de Tierra Firme y tuvieron que exiliarse en Haití, uno de los pocos lugares donde encontraron refugio y apoyo. En aquel contexto, se dio el pacto entre Alexandre Petión y Simón Bolívar, por el cual el primero se comprometió a aportar armas, barcos y hombres a la causa patriota a cambio de la emancipación de los esclavos hispanoamericanos. Este acuerdo fue fundamental ya que no sólo posibilitó la exitosa contraofensiva independentista, sino que además le dio un cariz social al proceso revolucionario de Venezuela y Colombia. Así, a partir de 1816 y hasta 1821, se dieron numerosos contactos e incluso el gobierno de Jean Pierre Boyer (sucesor de Alexandre Petión) colaboró con otras dos expediciones a cargo de Gregor Mac Gregor para liberar Panamá y Río Hacha. Sin embargo, el cambio no fue total y aún durante estos años, los líderes criollos continuaron teniendo reparos frente al peligro de la explosión de un nuevo Haití en la Tierra Firme hispana. Por último, el fin de la guerra de independencia abrió un nuevo contexto en el cual aquellos miedos se intensificaron debido a la movilización social interna. Esto derivó en nuevo alejamiento y el gobierno de Colombia no sólo se negó a mantener relaciones con Haití, sino que incluso lo excluyó del Congreso de Panamá.
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Tesis (Maestría en Estudios y Gestión del Desarrollo).-- Universidad de La Salle. Maestría en Estudios y Gestión del Desarrollo, 2014
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Fondo Margaritainés Restrepo
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El interés de esta monografía es evaluar la relación entre el derecho internacional, la guerra y la política exterior a la luz del concepto de lawfare. Esta relación se evalúa a la luz del caso de las relaciones de Nicaragua con sus vecinos. Se analiza y explican las distintas nociones de derecho internacional desarrolladas por las teorías de Relaciones y sus limitaciones; la utilización de la guerra jurídica como estrategia sustitutiva de la guerra material en el caso de Nicaragua. Utilizando el concepto desarrollado por Charles Dunlap, el trabajo busca demostrar que el lawfare explica algunas relaciones entre derecho, guerra, y relaciones internacionales que las teorías clásicas no pueden y, adicionalmente da razón de las acciones de Nicaragua mediante la utilización del Derecho Internacional.
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A partir de la dinámica evolutiva de la economía de las Tecnologías de la Información y las Comunicaciones y el establecimiento de estándares mínimos de velocidad en distintos contextos regulatorios a nivel mundial, en particular en Colombia, en el presente artículo se presentan diversas aproximaciones empíricas para evaluar los efectos reales que conlleva el establecimiento de definiciones de servicios de banda ancha en el mercado de Internet fijo. Con base en los datos disponibles para Colombia sobre los planes de servicios de Internet fijo ofrecidos durante el periodo 2006-2012, se estima para los segmentos residencial y corporativo el proceso de difusión logístico modificado y el modelo de interacción estratégica para identificar los impactos generados sobre la masificación del servicio a nivel municipal y sobre las decisiones estratégicas que adoptan los operadores, respectivamente. Respecto a los resultados, se encuentra, por una parte, que las dos medidas regulatorias establecidas en Colombia en 2008 y 2010 presentan efectos significativos y positivos sobre el desplazamiento y el crecimiento de los procesos de difusión a nivel municipal. Por otra parte, se observa sustituibilidad estratégica en las decisiones de oferta de velocidad de descarga por parte de los operadores corporativos mientras que, a partir del análisis de distanciamiento de la velocidad ofrecida respecto al estándar mínimo de banda ancha, se demuestra que los proveedores de servicios residenciales tienden a agrupar sus decisiones de velocidad alrededor de los niveles establecidos por regulación.
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A raíz del impacto ambiental que produce la actividad minera sobre la biodiversidad y los recursos naturales, el sistema jurídico colombiano sustrajo de esta actividad, zonas de especial importancia ecológica y ambiental, que podrían llegar a deteriorarse en su totalidad. Sin embargo, si bien es clara la importancia de proteger estas zonas de la actividad extractiva, lo cierto es que en la actualidad se presenta un alto porcentaje de estas zonas que se superponen con títulos mineros. Circunstancia que conlleva a que entren en tensión intereses constitucionales protegidos. Por un lado, el interés general de proteger el medio ambiente y los recursos naturales y por el otro, el interés público de desarrollar la actividad minera. De acuerdo a lo anterior, a través de este trabajo de investigación, se busca describir y analizar las consecuencias en el ámbito jurídico, que se generan, al prohibir la actividad minera en zonas sobre las cuales el Estado había autorizado la realización de actividades de exploración y /o explotación minera con anterioridad al cambio regulatorio. En consecuencia, se expondrán los escenarios en que se puede encontrar un contrato de concesión, con la prohibición legal de desarrollar actividades mineras en ecosistemas de páramos. Específicamente, se analizará la situación de los títulos mineros que cuenten con licencia ambiental, títulos mineros que se encuentren en etapa de exploración y los títulos que habiendo terminado la etapa de exploración su licencia ambiental se encuentre en trámite.
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El siguiente estudio de caso analiza la influencia de la llegada de la migración infantil indocumentada centroamericana en la reformulación de la política migratoria de Estados Unidos en el período 2010-2014. Enfocándose en el caso de Honduras para dar a conocer y analizar las causas que crean las dinámicas migratorias por parte de los menores, este trabajo analiza como la llegada de estas poblaciones genera ciertos efectos en el proceso de toma de decisión de las políticas internas de los Estados Unidos. Por un lado, para resaltar las características del fenómeno migratorio, se utilizan las teorías de redes sociales y la teoría push and pull. Por otro, mediante los conceptos de Sensibilidad y Vulnerabilidad expuestos en la teoría de la Interdependencia Compleja de las Relaciones Internacionales, como también el concepto de Seguridad Societal propuesto por Barry Buzan se estudia el nivel de influencia del fenómeno infantil en el gobierno norteamericano.
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Este trabajo analiza la Minga Nacional de Resistencia Indígena y Popular del año 2008, como una acción política no-violenta que surgió en respuesta al recrudecimiento de la violencia en Colombia, durante el gobierno de Álvaro Uribe Vélez. A través de la revisión de prensa, de entrevistas en profundidad realizadas a algunos actores que participaron y contribuyeron en la materialización de la Minga, el trabajo muestra el desarrollo y el alcance de esta acción política no-violenta. La Minga, a pesar de no mejorar las condiciones de vida de los indígenas del Cauca, logró alcanzar una dimensión considerable a la luz de la teoría de los movimientos sociales y de las acciones colectivas en Colombia, dada su gran convocatoria a nivel nacional y resistencia a la represión gubernamental durante 41 días continuos.