998 resultados para Éducation à la paix
Resumo:
Contient : 1 Copie de la transaction passée entre François Ier et Louise de Savoie, sa mère, relativement aux biens de la maison de Bourbon. La Fère, 25 août 1527 ; 2 Lettre de RENEE DE FRANCE « au roy, monseigneur », signée : « Votre très humble et très obeissante fille, Renée de France ». Sans date. Autographe ; 3 Lettre d'ANTOINE DE CASTELNAU, évêque de Tarbes, à François Ier, signée : « de Castelnau, É. de Tarbe ». Londres, 3 mars 1536 n. st. Orig ; 4 Lettre de GEORGES DE SELVE, évêque de Lavaur, à François Ier, signée : « de Selve, É. de Lavaur ». Venise, 6 novembre 1535. Orig ; 5 Lettre du même à M. de La Bourdaisière, signée de même. Rome, 24 décembre 1537. Orig ; 6 Lettre de M. DE LA ROCHEPOT au connétable Anne de Montmorency, signée : « La Rochepot ». 20 juillet 1548. Entre Ardres et Calais. Orig ; 7 Assemblée des députés de France et des députés de l'empereur, tenue à « Marc, terre angloise, prez d'Ardres et Gravellines, en may 1555 ». Copie ; 8 Instructions données par FRANÇOIS Ier au Sr de La Forest, envoyé en mission auprès de la duchesse de Parme, régente des Pays-Bas, signées : « Françoys » et contresignées : « de L'Aubespine ». 21 août 1559. Orig ; 9 Harangue du chancelier de L'HOPITAL aux états d'Orléans, en 1561. Copie ; 10 « Remonstranse » de CHARLES IX à messieurs du parlement, « du 12 mars 1571 » ; 11 Mémoire de CLAUDE, maréchal de LA CHATRE, sur l'« ordre qu'il fault tenir pour la conservation d'une ville, sur une entreprise descouverte sur icelle », signé : « La Chastre ». Bourges, 21 décembre 1569. Orig ; 12 État succinct du revenu de la France. Sans date ; 13 Le poids du marc servant aux monnaies, avec le rôle des villes ayant privilège de battre monnaie, et leur marque ; 14 Dépense du pain bénit en France, par an ; 15 Dénombrement des lieues et arpents de terre du royaume de France ; 16 Villes, châteaux et places fortes de France au pouvoir des protestants ; 17 Harangue de HENRI III aux états tenus à Blois en 1576-1577. Copie ; 18 États de Blois. Extrait des harangues des députés généraux des trois états : messieurs l'évêque de Lyon pour le clergé, le baron de Senecey pour la noblesse, Versoris pour le tiers état. 17 janvier 1577 ; 19 Copie d'un cri sur la retraite de la gendarmerie. Poitiers, 26 septembre 1577 ; 20 Liste de conseillers d'État ; 21 Protestation de HENRI, prince DE CONDE, duc d'Enghien, contre la résolution prise aux états de Blois, en violation de l'édit de pacification. 23 janvier. 1577 ; 22 Nouvelles de Montpellier, datées des 10 et 24 février ; 23 Nouvelles de la prise de La Charité. 1er mai 1577 ; 24 Articles pour la paix, envoyés par Henri III au roi de Navarre. 5 septembre 1577. Copie ; 25 Accord entre Catherine de Médicis et les protestants du Dauphiné. Montluel, 20 octobre 1579. Copie ; 26 « Coppie de la lettre du Grand Seigneur... AMURAT III,... escrite au roy de Navarre, traduitte de grec en françois ». Au dos on lit : « Fausse » ; 27 Liste des dames et demoiselles d'honneur de la « royne regnante » ; 28 Liste de dames d'honneur de Catherine de Médicis ; 29 Remontrances du clergé de France à Henri III, prononcées par « messire Arnauld de Pontac, evesque de Bazas, le » 3 juillet 1579 ; 30 Remontrances du clergé de France à Henri III, prononcées par « messire Nicolas Langelier, evesque de Saint-Brieu », le 3 octobre 1579 ; 31 Protestation du clergé de France, contre les contrats prétendus par l'hôtel de ville de Paris sur ledit clergé. 11 décembre 1579 ; 32 Copie d'une lettre présentée de la part de FRANÇOIS DE FRANCE, duc D'ALENÇON, au parlement de Paris. 1581 ; 33 Copie d'une lettre de HENRI, roi DE NAVARRE, à Guillaume, duc de Brunswick-Lunebourg. Nérac, 31 juillet 1583. En latin ; 34 Trois pièces, en allemand, relatives à une capitulation de reitres et fixant la montre aux environs de Thionville. 13 mars 1585. Copie ; 35 Déclaration de CHARLES, cardinal DE BOURBON, sur la prise des armes en 1585 ; 36 Requête dudit cardinal et des princes de la Ligue au roi Henri III ; 37 Articles de la paix avec messieurs de Guise. Nemours, 7 juillet 1585. Copie ; 38 Lettre de HENRI, roi DE NAVARRE, à Henri III. Bergerac, 26 juillet 1585. Copie ; 39 Discours fait par Henri III, après la réception de la lettre du roi de Navarre. 11 août 1585 ; 40 Avis de Rome touchant l'affaire de M. de Saint-Goard, et le présent imaginaire du Turc envoyé à Philippe II, roi d'Espagne. Rome, 3 août 1585. En italien ; 41 Lettres patentes de HENRI III, relatives à la ville de Metz. Paris, 23 août 1585. Copie ; 42 Copie des derniers articles présentés à Henri III de la part des princes ; 43 « Articles de l'accord, non imprimez » ; 44 Réponse de Henri III aux derniers articles des princes ; 45 Copie d'une lettre du duc DE MAYENNE à Henri III, relative à l'enlèvement par lui effectué pour son fils de la fille de mad. de Caumont. 1586 ; 46 « Discours de ce qui c'est passé par monseigneur le duc de Mayenne, à l'endroit de la fille de » madame de Caumont, « envoyé à madame de Nemours, messieurs ses frères et madame de Montpensier, sa soeur » ; 47 Articles de la capitulation de Saint-Maixent. 12 juillet 1587 ; 48 Lettres patentes de RODOLPHE II, empereur d'Allemagne, pour la levée des reitres du roi. Prague, 30 août 1587. En allemand. Copie ; 49 Lettre signée : « PASQUIER », adressée « à monsieur mon frère, monsieur Ancel, conseiller et secretaire du roy, et son agent près l'empereur », contenant la relation des causes du voyage du roi Henri III en Berry. « Du camp de S. Aignan en Berry, le 29e septembre 1587 ». Orig ; 50 « Lettre de M. DE CHASTILLON au duc Casimir, apportée, comme on dict, par monseigneur de La Roche Chandieu ». Montpellier, 17 février 1588. Copie ; 51 Relation de « l'esmeute de Paris », en 1588, « venue par voye de Savoye » ; 52 Copie d'une lettre du duc DE GUISE au roi Henri III, datée de Paris, 17 mai 1588, et extrait d'une autre lettre dudit duc « aux princes et seigneurs françois » concernant « l'esmeute de Paris » en 1588 ; 53 Mémoire pour justifier vis-à-vis de la Ligue la conduite du roi Henri III. Chartres, mai 1588. Copie ; 54 « Lettre de M. DE C... sur le fait de l'esmeute de Paris ». Mai 1588. Copie ; 55 « Narratio eorum quae mense maio Parisiis acciderunt ». 1588. En latin ; 56 Relation, en allemand, de ce qui s'est passé à Paris du 9 au 15 mai 1588 ; 57 Lettre signée : « GOURDAN », adressée au roi Henri III. Calais, 10 août 1588. « Double » ; 58 Destruction de l'Invincible Armada. Relation par le même des manoeuvres des armées de mer d'Espagne et d'Angleterre devant Calais. Juillet-août 1588 ; 59 « Discours de ce qui s'est passé de naguières au destroit de Callais entre les deux armées d'Espagne et d'Angleterre ». Août 1588. Par le même ; 60 Excuses de CHARLES EMMANUEL Ier, duc DE SAVOIE, sur l'usurpation de Saluces. Carmagnole, 27 septembre 1588. En italien. Copie ; 61 Excuses du même sur l'usurpation de Carmagnole. Carmagnole, 29 septembre 1588. En italien. Autre copie du même texte que ci-dessus ; 62 Lettre du colonel ALPHONSE CORSE à François de Mandelot, gouverneur de Lyon. Sorgues, 28 octobre 1588. Copie ; 63 Lettre de M. DE LONGLEE au même. Madrid, 15 octobre 1588. Copie ; 64 Résumé, en italien, de lettres venues de Lyon, le 30 octobre 1588, où sont relatés plusieurs événements dudit mois d'octobre ; 65 Lettre de HENRI III à Monsieur de Mandelot. 23 octobre 1588. Copie ; 66 Relation, en allemand, des causes de l'assassinat du duc de Guise par les ordres de Henri III. Décembre 1588 ; 67 « Extrait de l'instruction de Baradat sur la mort des Srs duc et cardinal de Guise » pour les « princes d'Allemagne ». 1589 ; 68 Nouvelles datées de Bourges. 7 février 1589 ; 69 Autres nouvelles datées de Bourges. 17 février 1589 ; 70 Nouvelles datées de Lyon, 12 mars 1589 ; 71 Résumé de la décision prise en Sorbonne par la Faculté de théologie, le 7 janvier 1589, contre Henri III. Le peuple français est délié du serment de fidélité et d'obéissance prêté au roi ; il peut s'unir et s'imposer pour contribuer à la défense de la religion contre les entreprises dudit roi. En latin ; 72 Extrait d'une lettre de HENRI III sur la mort des duc et cardinal de Guise, et sur la révolte du duc de Mayenne. Blois, 3 février 1589 ; 73 Relation de l'état de la France au commencement de 1589, par MANELLI, secrétaire du cardinal de Gondi, parti de France le 11, et arrivé à Prague le 22 février 1589. En italien. Copie ; 74 Nouvelles datées de Tours. 14 mars 1589 ; 75 Liste des villes qui appartiennent à la Ligue et de celles qui sont du parti royal. Après 1588. En italien ; 76 Liste de ceux qui suivent le parti du roi Henri III, de ceux qui suivent le parti du roi de Navarre, et de ceux qui suivent le parti du duc de Mayenne. 1589. En italien ; 77 Nouvelles datées de Langres, 4 août 1589 ; 78 Relation, en italien, des événements de France. 1589 ; 79 Lettre du pape SIXTE-QUINT à François, duc de Luxembourg. Marino, 11 oct. 1589. En latin. Copie ; 80 « Contribution des princes d'Allemagne pour le roy » de France. Octobre 1589. En allemand ; 81 Relation des affaires de France, faite à Charles Emmanuel Ier, duc de Savoie, par FRANÇOIS PANIGAROLA. Déchiffrement. Inachevé ; 82 Relation des causes qui ont été l'occasion de l'assaut donné à Paris par Henri IV, du 31 octobre au 1er novembre 1589, et des motifs de sa retraite ; 83 Relation de la prise de Vendôme par le roi Henri IV. 19 novembre 1589 ; 84 Horoscope, en allemand, du roi Henri IV ; 85 Déclaration de HENRI IV sur la venue en France du cardinal Henri Cajetan. Au camp devant Falaise, 5 janvier 1590. En italien ; 86 Lettres monitoires du pape GREGOIRE XIV, engageant le peuple français à ne pas prendre parti pour Henri de Bourbon, qui se dit roi de France et de Navarre. St Pierre de Rome, 1er mars 1590. Copie. En latin ; 87 Lettre de HENRI IV au duc de Longueville, pour lui annoncer la victoire d'Ivry. Rosny près de Mantes, 14 mars 1590. Trad. latine ; 88 Lettre du même à Guillaume Ancel, son ambassadeur auprès de l'empereur, sur la victoire d'Ivry. 14 mars 1590. Trad. latine ; 89 Défense faite par l'empereur RODOLPHE II de lever des troupes. Prague, 15 mars 1590. En allemand. Copie ; 90 « Suitte des choses passées en l'armée du roy » depuis la bataille d'Ivry ; 91 Lettre du cardinal CHARLES DE BOURBON VENDOME au duc de Luxembourg, à Rome. Tours, 6 avril 1590. Traduction en italien ; 92 Lettre de HENRI IV, datée du camp de Gonesse, 31 mai 1590. Copie ; 93 Nouvelles datées du 17 mai 1590, concernant une tentative de Henri IV contre Paris ; 94 Nouvelles du 5 juillet 1590 sur le même sujet ; 95 Nouvelles du 9 juillet 1590 sur le même sujet ; 96 Lettre du sieur DE MONTIGNY au duc Casimir. Saint-Denis, 10 juillet 1590. Copie ; 97 Lettre de HENRI IV aux « bourgmaistre, consul et eschevins de la ville et republique de Francfort... Au camp, à Aubervilliers, le 10 juillet 1590 ». Copie ; 98 Lettre du cardinal HENRI CAJETAN, légat du pape Sixte V en France, au cardinal Montalto. Paris, 31 août 1590. En italien. Copie ; 99 Discours sur les progrès autour de Paris de l'armée d'Alexandre Farnèse, duc de Parme. Du 29 août au 11 sept. 1590 ; 100 Déclaration de HENRI IV, envoyée à Paris. St-Denis, 11 août 1590. Copie ; 101 Nouvelles de Soleure sur les événements de France. 9 octobre 1590 ; 102 Nouvelles de Francfort sur le même sujet. 14 octobre 1590 ; 103 Lettre de HENRI IV sur la prise de Lagny par les ennemis. Au camp de Chelles, le 7 septembre 1590. Copie ; 104 « Sommaire discours de ce qui est advenu en l'armée du roy » Henri IV, depuis que le duc de Parme s'est joint à celle des ennemis jusques au XVe de ce mois de septembre » 1590 ; 105 « Mémoire de ce qui est advenu en l'armée du roy » Henri IV « depuis le XVe septembre jusques au IIIIe novembre 1590 » ; 106 Additions datées du 16 et du 28 novembre 1590 ; 107 « Articles accordez et convenus sur le fait de la reduction de la ville de Grenoble sous l'obeissance du roy entre le Sr Desdiguières » et les députés du parlement de Dauphiné et de la ville de Grenoble. A Saint-Laurent de Grenoble, le 22 décembre 1590. Copie ; 108 « Articles de la trefve accordée entre les gens du roy » Henri IV « estans au pais Messin, et ceus de monsieur de Lorraine ». Novéan-sur-Moselle, 28 septembre 1590 ; 109 Relation des faits de guerre arrivés en Champagne durant le mois d'octobre 1590 ; 110 Lettre du duc de Luxembourg au consistoire des cardinaux, après la mort de Sixte-Quint. Acquapendente, 26 octobre 1590. Traduction en italien ; 111 Nouvelles de France, allant du 10 décembre 1590 au 10 février 1591 ; 112 Extrait d'une lettre de HENRI IV à M. de Schomberg. Senlis, 23 décembre 1590 ; 113 Lettre du même à M. de Guitry. Harbonnières, 15 décembre 1590. Copie ; 114 Relation de la prise du Mans par Henri IV, le 2 décembre 1589 ; 115 Instructions de Philippe Il, roi d'Espagne, à Bernardin de Mendoza et à ses agents en France, pour s'emparer de l'Etat. Entre 1590 et 1591 ; 116 Substance d'une lettre écrite de Paris par Ferrante Farnèse, évêque de Plaisance « qui est à Paris pour le pape », au cardinal Henri Cajetan. En italien ; 117 Copie d'une lettre de M. DE MAISSE, ambassadeur du roi à Venise, à M. de Fresnes. Venise, 1er février 1591 ; 118 Copie d'une lettre de M. DE VULCOB au même. Padoue, 31 janvier 1591 ; 119 Copie d'une lettre de FRANÇOIS, duc DE LUXEMBOURG, à son fils. Sedan, 25 février 1591 ; 120 Copie d'une lettre du sieur ROUSSART, maire de Langres, à monsieur de Sancy. Langres, 7 décembre 1590 ; 121 Copie d'une lettre du comte DE CHAMPLITTE au même. Gray, 29 avril 1591 ; 122 « Nouvelles d'Angleterre de monsieur DE BEAUVOIR ». 14 janvier 1591 ; 123 Nouvelles postérieures au 2 juin 1592 ; 124 Lettre « interceptée des ligueurs », sans adresse, date ni signature ; 125 Lettre du commandeur « DE DIOU » au « duc du Mayne, lieutenant general de l'Estat et couronne de France ». 5 avril 1591. Copie ; 126 Lettre « à M. Desportes, secretaire d'Estat », pour la Ligue. 4 avril 1591. Copie. Premiers mots : « Cousin, pour les nouvelles, vous les entendrés... » ; 127 « Coppie d'une lettre du Sr DESPORTES à monsieur du Mayne ». Rome, 6 avril 1591 ; 128 « Du mesme audit sieur du Maine ». Sans date. Copie ; 129 « Coppie d'une lettre de M. Desportes à son cousin ». 6 avril 1591 ; 130 Lettre de FRANÇOIS, duc DE LUXEMBOURG, à Grégoire XIV. « Del campo sotto Sciartres » (Chartres), 8 avril 1591. Copie. En italien ; 131 Arrêt du parlement de Châlons « sur certains libelles injurieux et scandaleux, intitulez : Bulles monitorialles, et imprimées à Reins ». 10 juin 1591 ; 132 Le même, en latin ; 133 « Liste des colonelz et rittmaistres de la gendarmerie allemande qui va en France pour le service du roy très chrestien » ; 134 Autre liste, en allemand. Au dos on lit : « Liste de l'armée allemande de l'an 1591 » ; 135 Autre liste, en allemand, pour la même année ; 136 Lettre de CHRISTIAN, prince D'ANHALT, à l'évêque de Wurtzbourg, Julius Echter de Mespelbrunn. Dessau, 13 juin 1591. En allemand. Copie ; 137 « Inhibition de l'empereur » d'Allemagne, RODOLPHE II, « contre la gendarmerie qui va en France ». Prague, 2 juillet 1591. En allemand. Copie ; 138 Lettre de l'empereur Rodolphe II à Christian, prince d'Anhalt. Prague, 13 juillet 1591. En allemand. Copie ; 139 Lettre du même au même, en latin. Prague, 13 juillet 1591 ; 140 « Discours du siège et de la prinse de la ville de Noyon, faite à la veue du duc de Mayenne et de toute son armée, le 19e jour d'aoust 1591 » ; 141 Lettre dans laquelle on raconte comment Charles de Lorraine, duc de Guise, s'est évadé, le 15 août 1591, du château de Tours, et comment il est arrivé à Bourges le 18 du même mois, veille de la date de ladite lettre. Copie ; 142 Extrait d'une lettre écrite « au camp devant Noyon, ce 8 aoust 1591 » ; 143 Extrait d'une lettre « du jour susdit » ; 144 « Extrait de lettre escritte le 18 d'aoust 1591, de Dieppe » ; 145 « Extraict de lettre de monseigneur de Formentières, du 21 aoust » 1591 ; 146 Déclaration des « cardinaus, archevesques, evesques, abbez, chapitres et autres ecclesiastiques convoquez à Mante et depuis à Chartres, pour adviser et pourvoir aux affaires de l'Eglise, à tous les Estatz, ordres, villes et peuples catholiques » de France, contre les agissements du pape Grégoire XIV. Chartres, 21 septembre 1591 ; 147 Lettre de HENRI IV. Attigny, 5 octobre 1591. Copie ; 148 Relation de la prise, le 17 novembre 1591, de la ville de Saint-Esprit de Rue et de la reddition de la citadelle, le 18 dudit mois au soir ; 149 Lettre adressée aux magistrats de Cambrai par des habitants de ladite ville. Laon, 22 novembre 1591. Copie ; 150 Extrait d'une lettre datée de Sedan, 24 novembre 1591 ; 151 Extrait d'une lettre datée de Soleure, 22 novembre 1591 ; 152 Lettre de HENRI IV. Noyon, novembre 1591. Copie ; 153 Déchiffrement des « lettres de M. DE VAUDEMONT à M. de Lorraine ». La Fère, 28 décembre 1591 ; 154 Extrait d'une lettre datée de Paris, 27 décembre 1591, relative à la répression par le duc de Mayenne du meurtre du président Brisson ; 155 Copie d'une lettre envoyée à M. d'Épernon pour le réduire au service du roi. Avant 1595 ; 156 Relation du combat d'Aumale, dans lequel le roi Henri IV fut blessé. Neufchâtel, 6 février 1592 ; 157 Lettre de HENRI IV à Charles II de Luxembourg, comte de Brienne. 26 février 1592. Copie ; 158 Extrait d'une lettre de Henri IV, datée de Dieppe, 18 avril 1592 ; 159 Relation datée « du camp de France à Gouy », 24 avril 1592, concernant les mouvements de Henri IV et du duc de Parme autour de Rouen ; 160 Copie d'une lettre de HENRI IV à « monseigneur de Beauvoir », ambassadeur en Angleterre. Yvetot, 28 avril 1592 ; 161 Copie, destinée à « monsieur Ancell », d'une lettre adressée par le roi HENRI IV à Elisabeth, reine d'Angleterre, le 1er mai 1592 ; 162 Traduction d'une lettre du « B. de Z. », datée « de l'armée du roy, à Varicarville, le 3 may 1592 » ; 163 La même lettre, en allemand. Copie ; 164 Copie d'une lettre datée de Francfort, 27 mai 1592. En allemand ; 165 Lettre de HENRI IV au cardinal Charles de Bourbon Condé, son cousin. Varicarville, 5 mai 1592. Copie ; 166 Lettre du même au même. Yvetot, 11 mai 1592. Copie ; 167 Lettre du même à Catherine de Bourbon, sa tante, abbesse de Soissons. Yvetot, 11 mai 1592. Copie ; 168 « Discours de ce qui s'est passé depuis le partement du roy », Henri IV, « de Gouy, pour venir rencontrer le duc de Parme, jusques au deuxiesme may » 1592 ; 169 Le même, en allemand ; 170 « Continuation des discours » des bons succès qu'il a plu à Dieu donner au roi Henri IV sur l'armée ennemie, depuis qu'il l'a approchée. 10 mai 1592. En allemand ; 171 Extrait d'une lettre de Henri IV. Devant Yvetot, 11 mai 1592. En allemand ; 172 Lettre adressée aux états généraux des Pays-Bas par leur agent monseigneur DE LA PRE. Outeville, 17 mai 1592. En allemand. Copie ; 173 Copie d'une lettre du gouverneur d'Evreux, monseigneur DE LARCHANT, au roi Henri IV. 15 mai 1592. En allemand ; 174 Même pièce que le n° 170 du présent recueil, en français ; 175 Même pièce que le n° 172 du présent recueil, en français ; 176 Même pièce que le n° 173 du présent recueil, en français ; 177 Copie d'une lettre écrite à Châlons, le 27 mai 1592 ; 178 « Mémoire de ce qui s'est passé entre l'armée du roy et celle du duc de Parme », Alexandre Farnèse, du 10 au 24 mai 1592 ; 179 Copie d'une lettre écrite de Caen par le premier président à M. de Saldaigne, le 28 mai 1592 ; 180 Extrait d'une lettre datée du 29 mai 1592, relative à la conférence projetée de Suresnes ; 181 Copie d'une lettre adressée par M. DE SALDAIGNE à M. de Buzanval, ambassadeur pour le roi aux Pays-Bas. Dieppe, 11 mai-juin 1592. Au dos on lit : « Pour monseigneur Ancell » ; 182 Lettre orig. signée : « REVOL » et datée « du camp de Pendé, près St Vallery, ce 10... juing 1592 ». Au bas on lit : « Monseigneur Ancel » ; 183 Lettre du Sr « DE COMMENGE », datée de la citadelle de Metz, 23 juillet 1592. Au dos on lit : « Copie de lectre de Mr DE SOBOLLES à un prince d'Allemagne » ; 184 « Brief discours de ce qui s'est passé en Piedmont, depuis » que l'armée de Henri IV, commandée par Lesdiguières, y est entrée, le 26 septembre 1592. jusqu'au 5 octobre de la même année ; 185 Copie d'une lettre adressée à Henri IV par HENRI Ier DE MONTMORENCY, « le 25e octobre 1592 », concernant la défaite et la mort de « M. de Joyeuse » devant Villemur ; 186 Mandement de HENRI IV envoyé par lettres de cachet à ses cours de parlement, « pour surseance contre la bulle electorale ». Étampes, 22 novembre 1592 ; 187 « Arrest de la court de parlement seant à Chaalons, contre le rescrit en forme de bule adressé au cardinal de Plaisance, publié par les rebelles de Paris au mois d'octobre dernier ». 18 novembre 1592. Imprimé ; 188 Même pièce, manuscrite, en latin ; 189 Mandement de HENRI IV à ses parlements. Etampes, 22 novembre 1592. Traduction en latin de la pièce indiquée plus haut sous le n° 186 ; 190 « Discours de la défaitte » des princes de Conti et de Dombes au siège de Craon en Bretagne. Mai 1592 ; 191 « Copie d'une lettre escrite en latin par un gentilhomme françois au sieur Hermand Vineberg, jurisconsulte, traduite en françois », contenant la « justification de M. le duc de Bouillon sur l'entreprise de Stenay » ; 192 « Du 25e » juillet 1591. Nouvelles du siège de Noyon ; 193 Lettre sur la prise de Dun en Lorraine, par M. le duc de Bouillon, en 1592. Copie ; 194 « Discours de la deffaite d'Amblise, mareschal de Lorraine, par Monseigneur le duc et mareschal de Bouillon », près de Beaumont, en Lorraine, le 14 octobre 1592 ; 195 Résumé d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à son agent à Rome. 1592 ; 196 Dialogue entre « messieurs de Rosne et Revol,... en un jardin du village de Suresne », recueilli par un « clerc des vivres ». 1592 ; 197 « Lettre du duc DE MAYNE » à Philippe II, roi d'Espagne. Paris, 26 novembre 1592. Copie ; 198 « Copie d'une instruction... envoyée à M. le marquis de Pisany,... à Rome... Fait au camp... 1592 ». Ont souscrit : « CHARLES, cardinal DE BOURBON, LUDOVIC GONZAGUE, CHIVERNY, CHARLES DE MONTMORANCY, FRANÇOIS D'O, et plus bas, Revol » ; 199 « Procuration de la noblesse de France pour M. le marquis de Pisany ». Décembre 1592. Formule. Copie ; 200 Lettre de créance auprès des états généraux de France pour le duc de Féria, écrite par PHILIPPE II, roi D'ESPAGNE. Madrid, 2 janvier 1593. En espagnol. Copie ; 201 Lettre du duc DE MAYENNE à M. de Monpezat, « estant en Espagne ». Paris, 4 février 1594. Copie ; 202 Lettre de M. DE LA CHATRE à M. de Mayenne. Février 1594. Copie ; 203 Lettre du même à « M. de Guise ». Février 1594. Copie ; 204 « Replicque à la responce envoyé[e] soubz le nom de mons. le duc de Mayenne et aultres princes, prelatz, sieurs et aultres personnages assemblés à Paris, sur la proposition à eulx faicte de la part des princes, prelatz, officiers de la coronne et principaux seigneurs catholiques suyvans le party du roy de Navarre, affin de parvenir au repos tant necessaire à ce royaume, pour la conservation de la religion catholicque et de l'Estat. Avec la responce à la susdite replicque. A Paris, par Federic Morel, imprimeur ordinayre du roy. 1593 ». Copie manuscrite ; 205 Lettre interceptée, « à monseigneur de Dyou, ambassadeur de France à Rome » pour la Ligue, et datée : « C'est du camp de Han, le 9e jour d'avril 1593 ». Copie ; 206 « Convocation des prelats pour l'instruction du roy... Mantes, le ... jour de may 1593 ». Copie d'une lettre circulaire du roi HENRI IV, pour être instruit de la religion catholique ; 207 « Convocation du tiers estat pour l'instruction du roy ». Copie d'une lettre de HENRI IV à M. de La Court, premier président en sa cour de parlement de Normandie, Mantes, 18 mai 1593 ; 208 « Proposition » faite par l'archevêque de Bourges, RENAUD DE BEAUNE DE SAMBLANÇAY, à l'assemblée de Suresnes, le 17 mai 1593. Copie ; 209 Copie d'une lettre interceptée du duc DE MAYENNE au duc de Mercoeur. 21 mai 1593 ; 210 Répétition du n° 202 du présent recueil ; 211 Répétition du n° 203 du présent recueil ; 212 Réponse des députés de l'assemblée de Paris en 1593, concernant les dispositions du roi Henri IV à « se faire instruire et rendre bon et vray catholicque dans peu de jours ». Copie ; 213 Lettre de HENRI IV à « M. de Buzanval », touchant les manoeuvres de l'Espagne pour faire élire le duc de Guise roi de France. Mantes, 17 juillet 1593. Extrait ; 214 « Articles accordez pour la trefve generale ». Saint-Denis, 31 juillet 1593 ; 215 Pièce imprimée contenant une lettre de HENRI IV, datée de Saint-Denis, 25 juillet 1593, dans laquelle il annonce sa conversion aux gens de sa chambre de justice et parlement à Châlons-sur-Marne, et l'enregistrement par ladite chambre et parlement, le 29 juillet 1593, de ladite lettre ; 216 Note relative à la conversion de Henri IV, contenant copie d'une lettre à lui adressée par ELISABETH D'ANGLETERRE ; 217 Relation de l'emprisonnement du duc de Nemours à Lyon, en 1593. En allemand ; 218 Récit des événements qui se sont passés à Paris depuis le 26 oct. jusqu'au 5 nov. 1593, événements provoqués par le mécontentement du peuple contre le duc de Mayenne et les menées du parti espagnol ; 219 Réponse faite par le duc DE MAYENNE en l'assemblée générale tenue à Paris en la maison de ville, le jeudi 5 novembre 1593, et ce qui s'en est suivi ; 220 Réponse des princes et seigneurs catholiques à la dernière. lettre du duc de Mayenne, dans laquelle ils déclarent qu'ils acceptent de se trouver quatre des principaux députés catholiques, au 1er avril, en l'abbaye de Montmartre, pour traiter de la paix. 1593 ; 221 Copie d'une lettre de M. DE VILLEROY à M. de Mayenne. Pontoise, 2 janvier 1594 ; 222 Répétition du n° 201 du présent recueil ; 223 Répétition des nos 202 et 210 du présent recueil ; 224 Répétitions des nos 203 et 211 du présent recueil ; 225 Arrêt de la cour du parlement en faveur du roi. Paris, 3 janvier 1594. Au dos on lit : 13 février 1594. Copie ; 226 Déclaration de la ville de Meaux à MM. les prévôts des marchands, échevins et bourgeois de la ville de Paris. 1594. Copie ; 227 Récit de ce qui s'est passé lors de la prise de Lyon pour Henri IV, en février 1594. En allemand. Copie ; 228 Lettre d'ALPHONSE CORSO, souscrite : « Alfonse de Dornano », à Henri IV, concernant le retour de Lyon à l'obéissance envers le roi. Lyon, 9 février 1594. Copie ; 229 Arrêt du parlement de Paris, ordonnant la sortie de Paris des garnisons étrangères. 14 janvier 1594. Copie ; 230 Copie d'une lettre de HENRI IV à M. de Sobolle, gouverneur de Metz, sur la reddition de Paris en son obéissance. Paris, 22 mars 1594 ; 231 Particularités de la reddition de Paris et des événements qui l'ont suivie. 25 mars 1594 ; 232 Arrêt du parlement de Paris, du 30 mars 1594, « sur ce qu'il s'est passé durant les... troubles » de la Ligue, et « contenant la revocation de ce qui a esté fait au prejudice de l'auctorité du roy et des loix du royaume ». Copie ; 233 Règlement du conseil des finances. St-Germain, 25 et 26 novembre 1594 ; 234 Liste des chevaliers du Saint-Esprit. 1596 ; 235 Liste des maîtres d'hôtel du roi ayant gages et quartier ; 236 Harangue de HENRI IV en l'assemblée de Rouen. 1596 ; 237 Avis donné sur l'état des affaires du roi en l'assemblée tenue à Rouen en 1596 ; 238 « Mémoire de monseigneur DE FRESNE FORGET, pour l'assemblée de Rouen. 1596 ». Double modifié de l'Avis précédent ; 239 « Copie d'un memoire retrouvé au logis du Lion d'or à Monbelliard, qui a esté laissé et oublié par un gentilhomme du duché de Bourgogne venant d'Italie. La Resolution de l'assemblée de Rouan... » 1597 ; 240 Nouvelles datées « du camp devant Amiens, le 16 septembre 1597. Aussy tost arrivé, aussy tost je fus employé... » ; 241 « Articles accordez par » Henri IV « au marquis de Montenegre, commandant en la ville d'Amyens, et aux autres capitaines et gens de guerre estans en icelle... Faict au camp devant Amyens, le 19... septembre 1597 ». Copie ; 242 Liste des principaux évèques et gouverneurs de France. 1597 ; 243 Lettre du cardinal ALBERT D'AUTRICHE au « maistre de camp Hernan Tello », lui annonçant qu'il arrivera au secours d'Amiens vers la fin d'août. Bruxelles, 18 août 1597. Copie ; 244 Lettre de HENRI IV à M. de Marcoussis, gouverneur d'Orléans. Au camp devant Amiens, 17 septembre 1597. Copie ; 245 « Conditions sous lesquelles » Henri IV « a esté absous par le pape » ; 246 Traité de Vervins entre Henri IV, roi de France, Philippe II, roi d'Espagne, et Charles-Emmanuel Ier, duc de Savoie, et pièces accessoires. 2 mai 1598. Copie, accompagnée de corrections ; 247 Promesse de HENRI IV de tenir le précédent traité. Paris, 21 juin 1598. Au dos on lit : « Serment non presté sur la paix » ; 248 « Conseil tenu à Saint-Germain-en-Laye... sur ce qu'il semble ... le plus necessaire à executer pour le service du roy... Avec le resultat d'iceluy » en marge. « Juillet 1598 ». Copie ; 249 « Discours de HENRI IV au parlement. 7 janvier 1599 ; 250 « Discours de ce qui est arrivé à Marseille, le jeudi saint, 19 avril 1601. Découverte d'un complot tramé par les Srs Maurizé de L'Isle, Pierre Bonnet et Cresel, pour livrer Marseille au roi d'Espagne et au duc de Savoie ; 251 « C'est ce que contient le grand carcant que le roy » Henri IV « a fait faire pour donner à la royne » Marie de Médicis ; 252 Description d'un « buffet d'argent tout vermeil doré » destiné sans doute par Henri IV à ladite reine ; 253 Copie d'une lettre relative à la consommation du mariage de Henri IV et de Marie de Médicis. Lyon, la nuit du 9 au 10 décembre 1600 ; 254 Relation de l'attentat de « Desisles, pratticien de Sanlis », sur la personne de Henri IV. « Paris, 19 decembre 1605 »
Resumo:
Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »
Resumo:
Contient : 1 « Epistre faicte par Jehan, evesque et conte de Beauvais, pour envoyer aux trois estats tenuz à Bloys, l'an mil IIIICXXXIII » ; 2 Épître relative à l'assemblée d'Orléans. 1440 ; 3 Discours sur la paix d'Arras (1435) entre la France et l'Angleterre ; 4 Traité de l'office de chancelier, adressé à son frère Guillaume ; 5 Rapport sur la mission que le roi lui avait confiée de rechercher à la chambre des comptes, au trésor des chartes, ou ailleurs, toutes les pièces qui pouvaient servir à l'établissement des droits respectifs des rois de France et d'Angleterre. 1444 ; 6 Remontrances au roi pour la réformation du royaume
Resumo:
Le Conseil de sécurité est l’organe principal du système onusien chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Face à une situation illégale, il ne peut donc l’ignorer et s’en désintéresser. Cependant, la perpétration d’un acte à la légalité controversée par l’un ou plusieurs de ses membres permanents peut nous laisser entendre que l’organe politique onusien aura des difficultés à remplir son rôle. Les membres permanents vont tenter d’instrumentaliser le Conseil de sécurité afin de diminuer l’illégalité de la situation. Ceci pose avec acuité le problème du contrôle de son activité en matière de maintien de la paix. L’accomplissement d’un acte illégal par un ou plusieurs membres permanents du Conseil de sécurité nécessite alors de réfléchir à des moyens d’ordre juridique pour limiter son pouvoir. Cette réflexion s’avère particulièrement pressante lorsque le Conseil est confronté à une occupation de guerre impliquant ses membres permanents ou, lorsqu’il crée ou autorise des opérations de paix de grandes envergures suite à un conflit armé impliquant ses membres permanents. Afin de limiter les prérogatives du Conseil de sécurité, le régime juridique de l’occupation tel qu’énoncé par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 devrait être appliquer par l’organe politique onusien lorsqu’il intervient dans une situation d’occupation de guerre impliquant ses membres permanents. L’objectif est d’éviter qu’il n’attribue aux puissances occupantes des missions qui dépassent le cadre juridique imposé par le droit des conflits armés. L’autorisation, par le Conseil de sécurité d’opérations de paix, telles qu’une administration civile transitoire ou une force multinationale avec un mandat de la paix avec recours à la force armée, suite à un conflit armé impliquant ses propres membres permanents, ouvre le débat sur leur réglementation. Alors, il sera proposé une interprétation progressiste de la définition de l’occupation telle qu’énoncée par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 afin d’y intégrer ces nouvelles formes d’occupations pacifiques, présentant de grandes similitudes avec les occupations de guerre. Ainsi, le régime juridique de l’occupation pourra leur être appliqué.
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La Ruah YHWH joue un rôle important dans la transformation créative de l’univers et des entités actuelles; cependant, une réflexion concernant les modalités de ce rôle reste à développer. La théologie processuelle offre une plateforme à partir de laquelle sont examinées diverses facettes des rôles que peut jouer la Ruah YHWH dans un monde où le chaos semble dominer. L’objectif de ce mémoire est justement d’explorer la Ruah YHWH dans son rôle de transformation créative au service, ultimement de l’ordre, de la paix et de l’harmonie dans le monde, les communautés, la vie des entités actuelles, etc. Le Chapitre 1 passe en revue des notions clés de la théologie processuelle. Le concept des “entités actuelles” est d’abord défini. Sont ensuite examinées les différentes phases du devenir d’une entité actuelle. Finalement, les concepts de “créativité” et de “transformation”, dans une perspective de la Ruah YHWH font l’objet d’observations attentives avant d’aborder « trois natures » de Dieu, à savoir primordiale, conséquente, et superjective. Le Chapitre 2 s’intéresse à la péricope centrale de ce mémoire : Juges 13:24-14:20. Le découpage de la structure de cette péricope est basé sur des critères de critique textuelle et d’analyse syntaxique. La première analyse s’attarde aux difficultés que le texte hébreu présente, alors que la deuxième met l’accent sur l’organisation structurelle des propositions grammaticales des versets. Les deux analyses me permettent ensuite de proposer une traduction du péricope. Le Chapitre 3 se veut une application de ce qui a été élaboré au Chapitre 1 sur la péricope analysée au Chapitre 2. Ce troisième chapitre permet de mettre en pratique une approche processuelle originale développée par Robert David dans son livre Déli_l’ ÉCRITURE. Dans la foulée des chapitres qui le précèdent, le Chapitre 4 propose quelques principes herméneutiques contemporains pouvant éclairer le rôle de la Ruah YHWH dans l’avancée créative du monde : vie, amour, et paix.
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La réforme des secteurs de sécurité est au cœur du processus de reconstruction postconflictuelle et du rétablissement de l’État de droit. Souvent implantées par des acteurs internationaux, ces réformes sont nécessaires au développement socio-économique des sociétés sortant de conflit. L’objectif premier de ce travail est d’établir si la coordination des forces militaires et policières internationales a une influence sur la réussite de la réforme des secteurs de sécurité dans le cadre des missions de paix de l’ONU. L'hypothèse de départ est la suivante : la coordination entre les policiers et les militaires sur le terrain, facilitée par la coopération entre les composantes policières et militaires du Département des opérations de maintien de la paix de l'ONU (DOMP), favorise le succès de la RSS. C’est la culture bureaucratique de l’ONU qui influencera la qualité et le degré de coopération entre les composantes policières et militaires du DOMP. Cela sera vérifié à travers l’étude en deux temps de l’aide internationale apportée à la réforme des secteurs de sécurité en Haïti de 1993 à 1997, puis de 2004 à aujourd’hui. La qualité de la coordination entre policiers et militaires dépend de facteurs internes à la mission plutôt que des initiatives mises de l’avant par les quartiers généraux de l’ONU. De plus, la coordination militaropolicière sur le terrain facilite certains aspects de la réforme des secteurs de sécurité, comme la professionnalisation des forces policières locales et le rétablissement de la sécurité.
Towards an ethic of cultural harmonization : translating history textbooks in the province of Québec
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Confronté à un projet de traduction de manuels d’histoire du français à l’anglais, destinés aux écoles publiques anglophones au Québec, Michael Varga définit une méthode qui ne s’appuie pas sur les théories de traduction classiques reliées aux structures binaires, mais qui s’inspire plutôt du modèle de la narratologie (narrative theory) prôné par Mona Baker. Varga reconnaît la légitimité d’une pluralité de narrations en compétition entre elles qui se manifestent parmi les différents groupes socioculturels faisant partie d’une même société (le Québec). Il identifie des passages en provenance du texte d’origine qui mettent en relief des conflits reliés à l’accommodation culturelle. Il traite la façon dont ces conflits échouent à communiquer adéquatement des réalités culturelles appropriées, lesquelles seront en concert avec les normes et valeurs propres à la société québécoise. Il propose des traductions, apte au domaine pédagogique, qui désamorceront ces conflits et les accommoderont tout en respectant la pluralité des réalités culturelles en évidence dans la société québécoise.
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L’Adversus nationes est un texte polémique où l’auteur, Arnobe de Sicca, défend le christianisme en plus d’attaquer le paganisme. Nous y retrouvons les principales accusations lancées contre le christianisme ainsi que les attaques des intellectuels chrétiens contre les païens. Il s’agit de l’un des derniers textes apologétiques rédigé avant la paix de Milan (311). Arnobe y explique l’importance de s’éloigner des erreurs du paganisme et d’adhérer au christianisme dans le but de sauver son âme. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une œuvre à caractère historique, Arnobe fournit, pour étayer son argumentation, plusieurs indices sur sa conception de l’histoire romaine. L’Adversus nationes, qui n’est pas traduit intégralement en français à ce jour, n’a pas été très souvent étudié du point de vue de l’interprétation de l’histoire. Une telle étude permet de comprendre la pensée de son auteur sur Rome, son histoire et ses périodes politiques. La première partie de ce mémoire présentera une petite biographie d’Arnobe ainsi qu’un survol du contexte historique dans lequel il vivait. Puis, les principales caractéristiques de l’histoire rhétorique seront exposées au deuxième chapitre. La seconde partie du mémoire traitera de l’analyse de passages de l’Adversus nationes. Le troisième chapitre sera consacré aux grands personnages romains. Le quatrième chapitre traitera de la providence divine dans l’histoire romaine. Finalement, le cinquième chapitre cherchera à retrouver les sources d’Arnobe lorsqu’il traite d’évènements historiques importants. Ce mémoire offre, comme conclusions, une nouvelle hypothèse concernant la datation du livre 1 de l’Adversus nationes et une nouvelle influence concernant certains récits historiques rapportés par Arnobe.
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Depuis des années, le Kenya avait donné l’impression d’être un pays relativement stable dans la région d’Afrique sub-saharienne, régulièrement secouée par les conflits, et un « centre » autour duquel la communauté internationale coordonne ses missions vers certains pays d’Afrique comme ceux faisant partie de la Région des Grandes Lacs (Burundi, Rwanda, Ouganda, République démocratique du Congo, Kenya et Tanzanie) et ceux de la Corne de l’Afrique (Kenya, Somalie, Éthiopie, Djibouti et Ouganda). Toutefois, les élections présidentielles très contestées en 2007 et les conflits qui se sont enchaînés ont entrainé de nombreuses préoccupations en ce qui concerne la stabilité du Kenya à l’ère de l’insécurité globale. Alors que le rétablissement de la paix continue, la coexistence entre groupes est toujours délicate car le Kenya compte au moins quarante-deux ethnies qui sont toutes distinctes les unes par rapport aux autres. Par ailleurs, l’ouverture d’une enquête judiciaire, par la Cour Pénale Internationale (CPI), contre quatre des six personnes présumées être les principaux auteurs des violences postélectorales de 2007/08, s’ajoute aux problèmes liés à la coexistence pacifique entre les différents groupes avant les prochaines élections. Cette thèse examine les politiques relatives à l’accommodation des différents groupes à travers les radios vernaculaires et comment ces politiques ont influencé les relations entre les groupes lors des conflits de 2007/08 au Kenya. Partant du constat qu’un conflit est un processus communicatif, elle intègre le concept d’encadrement médiatique à la théorie de Protracted Social Conflict (PSC) définie par Azar (1990) pour tracer non seulement les changements dans les discours d’encadrement de ces conflits, mais aussi pour illustrer les mutations des attitudes à l’égard des relations entre groupes survenues avant, durant et après ces conflits. Cette étude emploie principalement les méthodes qualitatives pour rassembler les données issues des trois régions au Kenya qui sont ethniquement et linguistiquement divergentes: Nyeri (la majorité Kikuyu), Kisumu (la majorité Luo) et Eldoret (la majorité Kalenjin). L’argument central de cette thèse est que l’encadrement des relations entre groupes, notamment lors des conflits, est soit différencié soit concerté dépendamment du stade auquel le conflit se manifeste. Alors que dans l’encadrement différencié, les discours médiatiques sont articulés de façon à ce que ceux-ci soient susceptibles d’entrainer une polarisation entre groupes, l’encadrement concerté décrit les discours médiatiques négociés de manière à ce que ceux-ci reflètent les valeurs partagées au travers des différents groupes, et donc sont susceptibles d’engendrer une coopération entre groupes. J’argumente que les changements dans le discours des radios vernaculaires prennent effet lorsque de nouveaux éléments sont ajoutés aux discours caractérisant un conflit déjà existant, et les « nouveaux significations » que ces éléments apportent à la compréhension du conflit en question. J’argumente également que le changement du l’encadrement différentiée à l’encadrement concerté (et vice-versa) dépende du degré de résonance de ces discours avec la population cible. De façon générale, cette étude suggère que le langage de diffusion et la proximité culturelle induisent l’encadrement entre groupes à travers les radios vernaculaires au Kenya. La force de cette thèse se trouve donc dans les perspectives analytiques qu’elle propose pour localiser les discours changeants lors des conflits, plus particulièrement dans les états multiethniques où les politiques d’accommodation entre les différents groupes demeurent toujours fragiles et conditionnelles.
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L’objectif de cette recherche est de comparer deux modes d’intervention internationale (étatique et non-étatique) qui ont une optique de maintien ou de rétablissement de l’ordre et de la paix, de développement économique et social, pour des raisons humanitaires. De fait, la frontière est aujourd’hui floue entre les interventions étatiques et non-étatiques. Pour éviter une confusion conceptuelle, l’objet de l’étude est la comparaison de trois moments historiques d’intervention américaine en Haïti. L’étude se déroule en deux temps. D’abord elle servira à comprendre la logique d’action de l’État américain lors des interventions passées et présente afin de relever les objectifs implicites et explicites de ces interventions. Dans un deuxième temps elle se concentrera sur la biopolitique dans l’intervention humanitaire et l’application de la théorie de régulation du chaos. Celle-ci impliquant des conditions variées, elle propose un modèle théorique qui vise à comprendre l’intervention contemporaine en tant que nouveau cadre épistémique d’action politique, celle du ‘chaos régulé’ (‘Regulated Chaos’: McFalls, Pandolfi, Nguyen). Cette recherche transpose donc l’emphase sur la nécessité effective de l’intervention vers les propriétés de l’intervention. Elle est une tentative de comprendre les expériences sociales de pouvoir dans une zone humanitaire comme Port-au-Prince.
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Die morawische Nacht (2008) de Peter Handke représente un tournant: l’auteur y renonce à son engagement politique concernant les Balkans et il revient au « royaume de la poésie ». En reprenant des concepts de la théorie de l’espace dans les études culturelles, cette étude examine les moyens narratifs à partir desquels Handke projette une nouvelle image des Balkans. L’écrivain autrichien déconstruit son propre mythe du « Neuvième Pays » (Die Wiederholung, 1986), dont il a sans cesse défendu le concept dans les années 1990 (Eine winterliche Reise, 1996; Zurüstungen für die Unsterblichkeit, 1997; Die Fahrt im Einbaum, 1999; Unter Tränen fragend, 1999). Dans Die morawische Nacht, de fréquentes allusions et connotations nous ramènent aux œuvres antérieures, mentionnées ci-dessus. La signification et la fonction des nouvelles images des Balkans ne sont pas comprises que dans le cadre des références intertextuelles. Par l’entremise d’un maniement raffiné et ludique de l’ancien contenu et des vieilles structures, objets d’un nouvel usage, la poétique de Handke, toujours basée sur les soi-disant « Zwischenräume » (espaces intermédiaires) prouve toute sa puissance. Même si les Balkans perdent leur caractère absolu, ils continuent cependant à servir comme moyen de critique de la société moderne qui aspire cette fois à la mondialisation. Pendant que Handke réfute ironiquement sa naïveté de rechercher l’absolu dans le monde extérieur, le récit se révèle être le seul royaume où la paix et l’harmonie peuvent être créées.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal
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Article
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A prática educativa protestante no Brasi I se ex pressou principalmente através de colégios destinados as camadas dominantes da sociedade. No entanto, existiram também outras escolas, para atendimento a alunos provenientes das classes populares. No caso específico dos metodistas, foram cria - das escolas paroquiais e, no Rio de Janeiro, na zona portuária, surgiu o Instituto Central do Povo, com ativida - des ligadas a educação, saúde e higiene, trabalho, lazer, além da pregação religiosa. Este tipo de proposta de trabalho foi liderado por setores da igreja metodista que revelavam especial in teresse pelas questões sociais. De fato, desde sua origem na Inglaterra existem evidências de que os metodistas se preocupavam com as condições sociais a que o povo da epoca estava submetido, como se pode ver nos discursos de seus líderes e mesmo na sua prática. Posteriormente, ao transplantar-se o meto - dismo para a América, persistiram as discussões acerca des sas questoes, inclusive provocando divisões internas. Embora a orientação predominante, trazida para o Brasil pelos missionários, tenha sido a influenciada p~ 10 pietismo e pela fi losofia 1 iberal, em íntima relação com o processo de consolidação do capitalismo na sociedade norte-americana durante o Século XIX, é necessário reconhecer entre os metodistas a existência de grupos que defenderam o envolvimento dos cristãos e da igreja nas lu tas sociais, em defesa dos setores populares. Dentro do quadro do protestantismo norte-americano esses grupos se fil iam à corrente conhecida como Evangelho Social.A tentativa de atuação dos missionários metodis tas, 1 igados a esta tendência, que vieram ao Brasil teve, porem, alcance limitado na medida em que esbarrou em di - versos obstáculos: nos fundamentos teóricos sobre os quais as atividades foram concebidas, nas dificuldades de inser ção num contexto social diferente e na própria situação de inferioridade numérica dessa corrente dentro da Igreja.
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o Vale do Rio Preto, região limítrofe dos Estados do Rio de Janeiro e Minas Gerais, teve marcante influência na economia e na política do país no século XIX, com a expansão da cafeicultura. A partir de 1930, com a crise do café, a paisagem agrária é dominada pela pecuária extensiva. A transformação do sistema econômico modifica as atividades produtivas, embora perpetue as tradicionais relações de produção. A educação desenvolvida neste vale, nas duas últimas décadas, fundamenta-se na teoria do capital humano que enfatiza a racionalidade e produtividade, impedindo o desenvolvimento da consciência crítica. A redução da educação a essa concepção desenvolve mentalidades ou consciências alienadas das verdadeiras determinações sociais, a concentração de capital, as desigualdades e injustiças. Para que os trabalhadores da educação, produzidos em tais circunstâncias de dominação, venham a assumir o papel de sujeitos hegemônicos na construção da sociedade, é indispensável que se apropriem de instrumentos práticos e teóricos, embasados numa fundamentação que reverta esse quadro social. Para tal, apontamos como uma proposta de devir, a adesão dos profissionais da educação à perspectiva da praxis, para a realização de um trabalho crítico e consciente com os pequenos produtores rurais. A tarefa de socialização do conhecimento, a trans formação da visão de mundo e da prática educativa dos profissionais que se propõem a desenvolver uma açao conjunta com os pequenos produtores do Vale do Rio Preto, só poderão ocorrer a partir de inovações das relações no real.