974 resultados para Monuments


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Restoration of Buildings and Monuments, vol.11, nº 2 (2005), p.105-110

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International Seminar in Conservation. A Tribute to Cesari Brandi. Lisboa, LNEC, May 2006, p.273-282

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In a world that has moved away from narratives based on the idea of progress, the past has established itself as a place of reference: confirming to ourselves that what we were is indispensible for sustaining what we think we are. The recovery of the past is thus one of the most common symbolic instruments used in negotiating identities. The cultural practices that have recourse to representation mechanisms that call on the past in order to consider the present always end up translating themselves, insofar as they fragment, reorganize and interpret it in their transformation, or, to use a formula that has become unavoidable, in their “invention”. Patrimonialization is one such practice. It associates the notion of heritage – which is not a given fact, but rather a socially constructed classification, and therefore one that is constantly being negotiated – with specific objects that come to serve as cultural representations of the groups who consider themselves to be their rightful owners. In the Lisbon Metropolitan Area, as in other ethnographic contexts, patrimonialization encompasses things as diverse as landscapes, monuments, popular architecture, handicrafts, local feast days/processions/pilgrimages and people; all things that can, once transformed into material representations of the past, serve as arguments for the identity fictions of the people who inhabit them.

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Cultural heritage has arousing the interest of the general public (e.g. tourists), resulting in the increasing number of visitations to archaeological sites. However, many buildings and monuments are severely damaged or completely destroyed, which doesn’t allow to get a full experience of “travelling in time”. Over the years, several Augmented Reality (AR) approaches were proposed to overcome these issues by providing three-dimensional visualization of reconstructed ancient structures in situ. However, most of these systems were made available through heavy and expensive technological bundles. Alternatively, MixAR intends to be a lightweight and cost-effective Mixed Reality system which aims to provide the visualization of virtual ancient buildings reconstructions in situ, properly superimposed and aligned with real-world ruins. This paper proposes and compares different AR mobile units setups to be used in the MixAR system, with low-cost and lightweight requirements in mind, providing different levels of immersion. It was propounded four different mobile units, based on: a laptop computer, a single-board computer (SBC), a tablet and a smartphone, which underwent a set of tests to evaluate their performances. The results show that mobile units based on laptop computer and SBC reached a good overall performance while mobile units based on tablet and smartphone did not meet such a satisfactory result even though they are acceptable for the intended use.

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Dissertação de mestrado em Structural Analysis of Monuments and Historical Constructions

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Dissertação de mestrado em Structural Analysis of Monuments and Historical Constructions

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Dissertação de mestrado em Arqueologia

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La carte postale est un kaléidoscope de vues, d’ornements et de couleurs, qui consacre un tout petit espace au message. C’est à la photographie et aux procédés de reproduction photomécaniques que revient le mérite d’avoir industrialisé la production de la carte postale. Et ce sont les clichés de villes, avec leurs monuments et leurs paysages, qui confèrent à la carte postale son statut de moyen de communication de masse et qui lui concèdent une affinité avec l’industrie du tourisme. La carte postale s’est ainsi emparée de l’ambition photographique de reproduire le monde, s’alliant aux « besoins de l’exploration, des expéditions et des relevés topographiques » du médium photographique à ses débuts. Ayant comme point de départ la carte postale, notre objectif est de montrer les conséquences culturelles de la révolution optique, commencée au milieu du XIXe siècle, avec l’invention de l’appareil photo, et consumée dans la seconde moitié du XXe siècle, avec l’apparition de l’ordinateur. En effet, depuis l’apparition de l’appareil photographique et des cartes postales jusqu’au flux de pixels de Google Images et aux images satellite de Google Earth, un entrelacement de territoire, puissance et technique a été mis en oeuvre, la terre devenant, en conséquence, de plus en plus auscultée par les appareils de vision, ce qui impacte sur la perception de l’espace. Nous espérons pouvoir montrer avec cette étude que la lettre traditionnelle est à l’email ce que la carte postale est au post que l’on publie dans un blog ou dans des réseaux comme Facebook et Twitter. À notre sens, les cartes postales correspondent à l’ouverture maximale du système postal moderne, qui d’universel devient dépendant et partie intégrante des réseaux télématiques d’envoi. Par elles sont annoncés, en effet, la vitesse de transmission de l’information, la brièveté de la parole et l’hégémonie de la dimension imagétique du message, et pour finir, l’embarras provoqué par la fusion de l’espace public avec l’espace privé.

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Relatório de estágio de mestrado em Arqueologia

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Dissertação de mestrado em Técnicas de Caracterização e Análise Química

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This paper aims to identify and characterize the organizational models of construction site and building activity in late fifteenth and early sixteenth centuries, through the analysis of specific Portuguese case studies, related with important buildings financed by the royal power. This paper also intends to develop a comparative analysis between those different organizational models, identifying the main features of each one, as well as their similarities and differences. In this sense, we intend to present a comparative analysis between the two main models of organization of the construction site, through a methodology of crossing different types of sources, including written ones, such as books of accounts, but also iconographic and material sources, as well as the buildings and monuments still preserved today. In terms of written sources, the construction site accounting books allow us to study several specific aspects of the construction process, but also allow us to infer the organizational models of the construction activity.

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Relatório de estágio de mestrado em Ensino do 1.º e 2.º Ciclo do Ensino Básico

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დმანისის რაიონის ნაქალაქარის ტერიტორიზე ჩატარებულია გეოელექტრული ჭრილების ანალიზი. დამტკიცებულია, რომ ამ ტერიტორიაზე ძიების ელექტრული მეთოდებით შესაძლებელია უცნობი არქეოლოგიური ძეგლების მოძიება და ცნობილი ობიექტების მიწით გადაფარული ნაწილების გამოვლენა. კვლევის პროცესში გამოკვლეულია სამი კედლის ნარჩენები, ხოლო ერთ უბანზე კი, ნაყარის ქვეშ, გადევნებულია კედელი 7 მეტრის მანძილზე.

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Considérations méthodologiques Nous avons limité aux précisions indispensables à la compréhension de notre propos les considérations sur la gigantomachie en général. Nous renvoyons aux études signalées plus haut (supra, p. 7, n. 2), principalement pour ce qui concerne les géants avant leur transformation en anguipèdes à partir de l'époque hellénistique. Notre recherche de parallèles reposera sur quelques oeuvres d'art encore existantes : les sculptures décorant les plus importantes d'entre elles feront dès lors figure d'archétype, même si, bien sûr, rien ne permet d'exclure qu'il en ait existé de plus significatives. Parmi les nombreux monuments aujourd'hui disparus, respectivement parmi ceux qui seraient encore à découvrir, il s'en trouvait sans doute qui auraient été susceptibles de servir de modèle pour les sculptures ornant le fanum de Lousonna, duquel bien peu de restes nous sont parvenus. A l'exception de quelques renvois ponctuels, notre démarche s'est appuyée exclusivement sur du matériel et des informations déjà publiés. Pour la reconstitution des bas-reliefs de Lousonna, nous nous sommes inspiré généralement de sculptures hellénistiques et romaines dont l'ornementation présentait des similitudes avec les fragments à notre disposition ; la plupart des parallèles sont mentionnés dans le Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae. L'examen des volumes du Corpus Signorum Imperii Romani et de quelques autres recueils nous a permis de faire des propositions pour les cas restés en suspens. A une exception près, l'échantillonnage aéré formé à partir d'ensembles sculptés qui devaient avoir les mêmes caractéristiques que le matériel que nous tenterons d'identifier : ils comportaient des monstres anguipèdes avec les jambes se terminant par la tête du serpent, remontant au plus tard à la fin de la période romaine et produits dans un atelier gréco-romain. Afin de recréer avec le plus de vraisemblance possible l'environnement du fanum de Lousonna, nous avons recherché des édifices de caractéristiques semblables dans les catalogues de temples gallo-romains dressés par P. D. HORNE et A. C. KING (1980), respectivement I. FAUDUET et P. ARCELIN (1993). Tant l'absence presque complète de restes architecturaux susceptibles d'être rapportés à l'édifice religieux que la nature somme toute modeste du vicus lémanique nous ont fait opter pour une variante minimaliste, se limitant finalement à la structure supportant la gigantomachie devant un temple sans aucune décoration. Pour tenter de préciser les modalités de la transmission du thème des géants, nous envisagerons trois cheminements possibles : la tradition orale, la transmission littéraire et, enfin, la représentation iconographique, qu'il s'agisse de monuments, d'objets mobiliers ou même des quelques rares illustrations de textes antiques. Sauf indication contraire, les textes anciens sont cités dans les traductions des Belles-Lettres, des Sources chrétiennes ou de la Loeb Classical Library dont la liste figure à la page 161. La version française des textes dont aucune traduction n'était disponible est généralement due à François Mottas (traduction F.M.). Nous ne reportons les dates de naissance des auteurs ou des artistes mentionnés que lorsqu'elles sont utiles à la compréhension de notre exposé. En plus du rôle qu'ont pu jouer les oeuvres d'art disparues au cours des deux derniers millénaires, divers facteurs ont dû assurer la constitution et la mise au point d'un imaginaire de plus en plus élaboré des gigantomachies. La mémoire a certes sa part dans l'inspiration des artistes qui réalisèrent les sculptures de la cité lémanique; mais si un mythe ou le récit d'un événement peuvent s'être transmis de bouche à oreille au cours des siècles, certaines ressemblances dans l'attitude des personnages sont trop frappantes, même en tenant compte de ces gestes qu'il n'existe qu'une seule façon de représenter: il n'est dès lors pas possible d'imaginer que la transmission des détails des scènes se serait pratiquée uniquement par voie orale. Si le voyage touristique; tel que nous l'entendons de nos jours, n'a pas existé, les personnes susceptibles d'avoir ramené des informations de leurs déplacements à travers l'Empire sont plus nombreuses qu'on ne le croirait au premier abord. Fonctionnaires allant prendre leur charge ou en mission dans une contrée voisine; soldats, parmi lesquels des mercenaires gaulois; pèlerins ayant visité de grands sanctuaires, comme celui d'Esculape à Pergame, emplacement de la gigantomachie la plus impressionnante, ou d'autres lieux de culte; jeunes fortunés ayant étudié à Athènes; commerçants accompagnés par des muletiers ou des portefaix acheminant leurs marchandises; membres de corporations ou artisans exerçant des métiers itinérants; esclaves, dont l'exportation devait représenter une source de revenus intéressante pour les commerçants romains; en dernier lieu, sans parler des artistes eux-mêmes, ces arpenteurs-géomètres chargés de toutes sortes de relevés qui accompagnaient les empereurs lors de leurs déplacements (infra, p. 36). Il faudra cependant rester prudent quant à l'affirmation d'une connaissance visuelle directe que les sculpteurs de Lousonna auraient eue des réalisations antiques avec lesquelles nous mettrons la gigantomachie en parallèle. Même si elle n'a toujours pas pu être prouvée, la circulation de cahiers de modèles semble bel et bien assurée: dans un atelier, les maîtres ont forcément passé leurs croquis à leurs successeurs et ceci s'est peut-être répété pour plusieurs générations d'artisans. Sans parler des monnaies, d'autres moyens de transmission peuvent encore être mentionnés : éventuelles éditions illustrées de textes antiques, motifs gravés sur des gemmes ou représentés sur des récipients décorés... Une observation s'impose ici : la plupart des monuments que nous utiliserons pour notre reconstitution existaient encore lors de l'érection de notre gigantomachie. Une fois les bas-reliefs de Lousonna reconstitués, restait donc à combler l'absence de toute étude sur la survie de la gigantomachie à travers les âges et à préciser l'emploi qui en serait fait à la Renaissance. Divers recueils d'ouvrages consacrés à la mythologie et remontant à cette période nous ont permis de décrire les modalités de la reprise du récit de la guerre des géants; en l'absence de toute synthèse sur ceux-ci dans la peinture de la Renaissance, c'est en partant de l'examen des nombreux travaux consacrés au Palazzo del Te à Mantoue que nous avons pu établir un lien entre les représentations de géants peintes durant la première moitié du 16ème siècle, au cours duquel la gigantomachie était redevenue un sujet d'actualité. Le monument de la bourgade lémanique comporte encore neuf personnages et constitue, avec celui d'Yzeures-sur-Creuse, l'exemplaire le plus complet découvert dans la partie occidentale de l'Empire romain : il méritait bien d'être à l'origine d'une telle démarche.