965 resultados para Constructions -- Allemagne -- Berlin (Allemagne)


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L'image qu'un pays a dans le monde est importante à plusieurs titres. Elle peut soutenir la commercialisation de biens et de services exportés, elle revêt un caractère tout particulier dans le cadre des promotions touristique et économique et elle peut aussi être de nature à contribuer aux relations qu'un pays entretient avec d'autres pays aux niveaux politique, économique ou culturel. L'image de la Suisse a fait l'objet d'études dans de nombreux pays, dont les Etats-Unis, l'Allemagne et la Chine, auprès d'échantillons représentatifs de la population ainsi qu'auprès de groupes de leaders d'opinion et cet ouvrage présente de manière synthétique les principaux résultats de ces études. Après une description de l'image globale de la Suisse auprès des personnes interrogées et une analyse des associations faites à l'évocation de la Suisse, une partie importante est consacrée aux dimensions qui caractérisent l'image du pays en différenciant notamment entre les dimensions liées à la Suisse en tant qu'espace socioculturel et les dimensions liées aux aspects économiques. Pour terminer, un dernier chapitre analyse l'impact de faits ayant marqué l'actualité helvétique, comme le grounding de Swissair, sur l'image de la Suisse dans les pays étudiés.

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Dès le milieu des années 1920 et le développement des premiers prototypes fonctionnels, la télévision se fait objet d'exposition. La nouvelle technologie est montrée à des foires industrielles et dans des grands magasins, à des expositions universelles et nationales : exposée, la télévision devient un mass media avant même qu'elle ne diffuse des émissions régulières. En étudiant les présentations publiques de la télévision en Allemagne, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis entre 1928 - date de l'ouverture des premières expositions annuelles dans les trois pays - et 1939 - moment de l'interruption de celles-ci suite à l'éclatement de la Deuxième Guerre mondiale - Television before TV montre que les lieux où le médium rencontre son premier public constituent les mêmes espaces qui, rétrospectivement, permettent de comprendre son avènement. Cette recherche propose ainsi de nouvelles pistes pour l'histoire des médias en interrogeant la définition de la télévision en tant que médium du privé. Elle rappelle l'importance historique de l'espace public pour la « vision à distance » et, dépassant la perspective nationale, reconstitue les différences et similarités techniques, médiatiques et institutionnelles de la télévision allemande, américaine et britannique dans l'entre-deux-guerres. Développée dans un contexte qui est simultanément nationaliste et nourri d'échanges et de compétitions internationales, la télévision sert de comparatif dans les rivalités entre pays, mais stimule également la circulation de savoir-faire et de personnes. Sa forte valeur symbolique comme emblème du progrès scientifique et, dans le cas allemand, comme preuve de la modernité du régime national-socialiste se traduit dans les salles d'expositions par des scénographies souvent innovatrices, dont les photographies et descriptions se propagent au-delà de la presse locale. Au centre d'un réseau discursif et représentationnel, les expositions jouent alors un rôle essentiel pour la construction sociale, politique et culturelle de la télévision. Remplaçant l'analyse de textes audiovisuels par l'étude de la machine exposée, ma recherche reformule la question bazinienne de qu'est-ce que la télévision ? pour demander où le médium se situe-t-il ? Cette prémisse méthodologique permet de contourner une évaluation qualitative de la technologie qui déplorerait ses multiples imperfections, et éclaire d'un nouveau jour des dispositifs télévisuels qui, même sans programme, intègrent un univers voué à la culture de consommation et du loisir.

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Un quart des essais cliniques est abandonné, le plus souvent faute de volontaires. Les explications d'Erik von Elm, chef de clinique du Centre d'épidémiologie clinique du CHUV et l'un des co-auteurs d'une étude réalisée sur ce sujet entre 2000 et 2003 en Suisse, en Allemagne et au Canada, et de Grégoire Wuerzner, coordinateur au Centre de recherches cliniques du CHUV.

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Da Bisanzio alla Santa Russia Résumé Ivan Foletti Le texte du premier volume de YIkonografija Bogomatri (Iconographie de la mère de Dieu), publié en 1914 à Saint Pétersbourg par Nikodim Kondakov et traduit dans le cadre de ce travail, soulève chez le lecteur contemporain de nombreuses questions quant au développement des études byzantines, entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. Il s'agit, avant tout, de comprendre les enjeux fondamentaux de la naissance de cette discipline, dans le cadre de l'Europe romantique et plus particulièrement de son acculturation à la réalité russe. En se concentrant sur le personnage de Nikodim Kondakov, considéré par ses contemporains comme le patriarche des études byzantines, ce travail propose d'articuler la réflexion autour de deux axes principaux. Il s'agit d'une part de la relation entre histoire de l'art et société : dans le contexte russe et plus largement dans celui de l'Europe, la recherche semble se développer en étroite relation avec les tendances politiques et sociales de ces années. C'est probablement la raison du choix pour Nikodim Kondakov de se dédier aux études de Byzance, dans les années où la Russie prépare sa guerre contre la Turquie (1877-1878), tandis que l'opinion publique est martelée avec un revival de l'ancienne idéologie de Moscou comme « troisième Rome » et héritière de Byzance. Un autre aspect significatif est la décision de ce même chercheur d'étudier les antiquités russes sous le règne de Alexandre III, le tzar « contre-réformateur », quand la Russie se replie sur elle même autour de trois mots d'ordre: Orthodoxie, autocratie, et nationalité. D'autre part, la réception de Kondakov en Occident, semble aussi dépendre de questions politiques. Son accueil très favorable en France et en Angleterre contraste avec une perception bien plus négative en Autriche et en Allemagne ; il s'agit là d'une position en étonnante harmonie avec les traités politiques - l'alliance franco-russe de 1891 et la triple entente de 1911 qui opposent les pays membres aux empires centraux. Le deuxième axe considéré est celui d'une analyse systématique de la naissance des études sur les images cultuelles russes, les icônes. Les pages dédiées à ce phénomène dans Γ Ikonograflja Bogomatri, mais également dans les autres ouvrages de Kondakov, posent clairement la question des raisons nationalistes et populistes de la redécouverte, autour de 1900, en Russie et en Europe de cette expression visuelle. Conclusion logique de la tradition historiographique du XIXe siècle - qui s'est préoccupé des icônes perçues comme documents historiques - cette nouvelle vague d'intérêt pose la question de l'icône commé"oeuvre d'art. C'est autour de ce débat, alimenté également par l'apparition des avant-gardes, que se situent les plus importants savants russes de ces années en opposant deux manières radicalement différentes de percevoir l'art : à l'approche positiviste s'oppose celle d'un renouveau d'Hegel. Ce débat sera brusquement interrompu par la révolution, suivie par les années staliniennes qui vont définitivement « discerner » laquelle des deux méthodes et approches est la « juste », en congelant de fait, pour des décennies, toute possibilité de discussion. Cette thèse souhaiterait donc ouvrir en Occident un débat pour l'instant marginal dans les études : celui de la naissance d'une histoire de l'art moderne en Russie, mais également de l'émergence d'une nouvelle Europe savante autour de 1900 où l'histoire de l'art byzantin s'affirme comme un domaine émergent.

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Loin d'être « purement allemands », nombre de contes des Grimm réécrivent les contes français largement diffusés en Allemagne au 18e siècle en les « reconfigurant » selon leurs propres paradigmes esthétiques et idéologiques. L'étude introductive de la comparatiste Ute Heidmann montre que ce dialogisme européen est resté peu exploré en raison d'une « scénographie en trompe-l'oeil » qui les présente comme issus du « terroir » hessois. Toutefois, les notes des Grimm (constituées en volume autonome dès 1822), dont une partie importante est traduite et commentée ici pour la première fois en français par Loreto Núñez, indiquent ces intertextes tout en les faisant passer pour des « correspondances » dues à une origine commune. L'étude de Jean Mainil retrace le dialogue intertextuel de Rapunzel (Raiponce) avec Persinette de La Force et Petrosinella de Basile. Les cinq études suivantes de Cyrille François, Nathalie Prince, Pascale Auraix-Jonchière, Jean-Michel Adam et Marcio Venício Barbosa retracent les dialogues intertextuels que les contes des Grimm, eux-mêmes fondamentalement intertextuels, ont sollicité à leur tour dans des textes du 19e et du 20e siècle. Elles montrent comment Hans-Christian Andersen, Jean Lorrain (dont l'étonnant conte Neigefleur est reproduit à la suite de l'étude de Nathalie Prince), Robert Walser, Henry Pourrat et les écrivains brésiliens Millôr Ferandes, Mario Prata, Chico Buarque et Guimarães Rosa inventent de nouvelles formes et des procédés intertextuels originaux en réponse aux contes des Grimm en créant de nouveaux contes originaux comme l'avaient fait les Grimm eux-mêmes en réponse aux narrateurs français. Dans les Mélanges, Veronica Bonanni prolonge ce dossier par une étude consacrée à la traduction par Collodi de L'Oiseau bleue de Marie-Catherine d'Aulnoy, qui procède également d'un véritable dialogue intertextuel.

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L'Académie de Lausanne est la première école supérieure protestante implantée en territoire francophone. Lausanne constitue ainsi, dès les années 1540, un pôle de première importance dans le monde réformé. De nombreux savants protestants, attirés par la liberté de pratiquer leur foi et par la présence de l'Académie, s'établissent dans cette ville et des étudiants affluent de toute l'Europe. Les structures de l'Académie de Lausanne et son programme d'enseignement, fixés par un règlement daté de 1547, condensent sous une forme nouvelle les réflexions pédagogiques de la Renaissance. Ils constituent un modèle, direct ou indirect, pour toutes les Académies calvinistes fondées aux XVIème et XVIIème siècles, que ce soit à Genève, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Écosse, en Pologne ou encore aux États-Unis, dont les trois premiers Colleges, Harvard, William and Mary et Yale, se situent dans la même tradition. Malgré la place fondamentale qu'occupe l'Académie de Lausanne dans l'histoire de l'éducation protestante, la phase de création et de développement de cette institution était encore très mal connue. Cette thèse comble cette lacune de l'historiographie par la mise au jour et par l'analyse de nombreux documents, en grande partie inédits. Elle détruit bon nombre de préjugés entourant la mise en place et les buts de l'Académie de Lausanne à ses débuts. Ainsi, l'Académie de Lausanne n'est pas uniquement une école de pasteurs, comme il a souvent été affirmé jusqu'à ce jour, mais plus largement une institution offrant une formation d'un niveau très élevé dans les trois langues anciennes, (latin, grec et hébreu), en arts libéraux, en philosophie naturelle et morale, et en théologie. Au milieu du XVIème siècle, l'Académie lausannoise est capable de rivaliser avec les meilleures institutions pédagogiques de la Renaissance et d'attirer, dans un rayon très large, non seulement des étudiants qui se destinent au pastorat, mais aussi ceux qui sont formés pour gouverner leurs cités. Plus généralement, cette thèse, qui combine des approches d'histoire intellectuelle, d'histoire politique et d'histoire sociale, reconstitue et analyse les structures de l'Académie de Lausanne jusqu'à 1560, ainsi que ses fonctions éducatives, confessionnelles et politiques.

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L'exposition aux bactéries résistantes aux antibiotiques, en particulier à Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM (1)) sur le lieu de travail, a été montrée comme étant un facteur de risque pour la santé des opérateurs, la fréquence des contacts avec cette bactérie augmentant la probabilité d'en devenir porteur. En plus du fait que les SARM augmentent d'un facteur 4 le risque d'infection chez le porteur, le choix du traitement antibiotique en cas d'infection est fortement limité. C'est pourquoi il est important d'identifier les environnements de travail et les conditions qui favorisent la transmission de cette bactérie de l'animal à l'Homme. La résistance à la méthicilline est conférée au S. aureus par un élément génétique mobile, appelé « staphylococcal cassette chromosome » mec (SCCmec), qui contient le gène de résistance à la méthicilline, mecA. SCCmec a cinq formes (I, II, III, IV and V) qui ont été acquises et intégrées dans le génome de S. aureus lors d'événements indépendants de transfert horizontal. Certaines de ces lignées spécifiquement associées au bétail traité aux antibiotiques (tel que le complexe clonal 398, CC398 (2)), peuvent également coloniser le nez humain. Ainsi, la colonisation nasale ou contamination a été constatée chez 23 à 86 % des agriculteurs et vétérinaires ayant un contact direct avec des porcs, ainsi que chez un à cinq pour cent des personnes ayant une exposition indirecte (par exemple les membres de la famille d'agriculteurs, les visiteurs de la ferme). La pathogénicité du SARM CC398 pour l'Homme a été documentée dans une série de rapports décrivant des cas d'endocardite, d'otomastoïdite et de pneumonie. En outre, le SARM CC398 a été introduit dans des structures de santé (hôpitaux, cliniques, etc.) situées principalement dans les zones d'élevage à forte densité. Si les porcs sont des vecteurs bien connus de transmission de CC398 à l'Homme, d'autres animaux peuvent l'être également, tels que les dindes en Allemagne, comme illustré par le premier article cité dans cette note. Par ailleurs, la propagation de ces souches résistantes aux antibiotiques est inquiétante. Le deuxième article de cette note révèle l'apparition de souches de CC398 dans le lait de vache au Royaume-Uni pays où, jusqu'alors, la surveillance n'en avait pas détecté.

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En 2004, en Hollande, une souche particulière de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (MRSA2 pour Methicillin-Resistant Staphylococcus aureus) a été découverte chez des personnes en contact avec des porcs. Après investigations, il s'est avéré que 39 % des porcs hollandais et 23 % des éleveurs de porcs étaient porteurs (dans leur conduit nasal) de cette souche dont le profil génétique obtenu par la technique MLST3 (ST398) est différent des clones MRSA habituellement responsables des infections nosocomiales (Maugat et al. 2009 ; Lucet et al. 2005). Depuis, un nombre croissant d'études concernant l'émergence de cette souche dans d'autres pays (Canada, France, Allemagne, Angleterre, Belgique, Italie, Espagne, Danemark et Singapour) et chez d'autres animaux (chevaux, chiens, vaches et poulets) ont été publiées. En janvier 2009, une étude rapporte que cette souche vient d'être isolée aux USA lors du contrôle de deux très grands élevages de porcs. Les souches MRSA ST398 ont été retrouvées chez 70 % des animaux et chez 9 des 14 des employés de l'un des deux élevages concernés. En Hollande, la proportion des éleveurs de porcs colonisés par ces MRSA est passée de 23 % en 2004 à 50 % en 2008 (contre 0,03 % dans la population générale, c'est-à-dire sans contact avec des animaux de ferme). Dans plusieurs pays, la possibilité d'une transmission de l'animal à l'homme, puis inter-humaine a été confirmée par plusieurs études et concernerait en premier lieu les éleveurs, leur famille et les vétérinaires (Khanna et al. 2008 ; Smith et al. 2008 ; Wulf et al. 2008). Dès lors, les élevages de porcs sont susceptibles de constituer un réservoir4 important de MRSA qui peuvent se propager à d'autres animaux et à l'homme. L'apparition de cette nouvelle zoonose peut avoir de graves impacts sur la santé publique et constitue un risque professionnel émergent pour les éleveurs de porcs. En effet, si dans la très grande majorité des cas, la colonisation nasale de l'homme par ces MRSA reste asymptomatique, l'implication de ces MRSA ST398 dans des complications infectieuses (endocardite, pneumonie, septicémie et infection de la peau) a déjà été observée. Les deux articles proposés dans cette note traitent de la problématique de ces complications infectieuses. [Auteur]

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Aquest treball se centra en l'experiència teoricopràctica de l'Escola Europea Bilingüe Espanyol-Alemany Joan Miró Grundschule, en el plantejament de la millora de la competència oral en L2.

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Résumé : Depuis la fin de la perestroïka s'est mis en place en Russie un discours identitaire qui, en linguistique, prend des formes extrêmes, reposant sur un strict déterminisme de la pensée par la langue. Les organismes de financement de la recherche scientifique soutiennent des projets qui étudient le rapport entre la grammaire russe et le « caractère national russe ». Des objets nouveaux apparaissent : « l'image linguistique russe du monde », « la personnalité linguistique », la « linguoculturologie ». Cet ensemble discursif construit dans l'imaginaire une identité collective rassurante, reposant sur l'idée que 1) tous les gens qui parlent la même langue pensent de la même façon; 2) les langues, donc les pensées collectives, sont imperméables entre elles, et donc intraduisibles. Cette tendance néo-humboldtienne dans la linguistique russe actuelle se déploie en toute méconnaissance de ses origines historiques : le Romantisme allemand dans son opposition à la philosophie des Lumières, le positivisme évolutionnisme d'Auguste Comte et la linguistique déterministe de l'Allemagne des années 1930.AbstractSince the end of perestroika, in linguistics in Russia, a new form of discourse has taken place, which stresses a very tight determinism of thought by language. The funding organizations of scientific research back up projects studying the relationship between Russiangrammar and the « Russian national character ». New objects of knowledge come to light : « the Russian linguistic image of the world », « linguistic personnality », « culturology ». This kind of discourse builds up an imaginary comforting collective identity, which relies on the principle that 1) all the people who speak the same language think the same way; 2) languages, hence collective kinds of thought, are hermetically closed to each other, and untranslatable. This neo-humboldtian trend in contemporary Russian linguistics has no knowledge of its historical origins : German Romanticism in its Anti-Enlightenment trend, evolutionnist positivism of Auguste Comte, and deterministic linguistics in Germany in the 1930s.