456 resultados para liturgie russe orthodoxe
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"Abrégé de la grammaire russe": t. 1, p. [i]-lix.
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Includes index.
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Publisher's pl. no.: R.M.V. 232, R.M.V. 233.
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Available on demand as hard copy or computer file from Cornell University Library.
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Only no. 1 of v. 13,14 and 20 was issued.
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Binder's title: Divers Egypte et Napoléon III; 2 brochure.
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Translation of Lettres à un gentilhomme russe sur l'Inquisition espagnole.
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Translation of Considérations sur la doctrine et l'esprit de l'Église orthodoxe.
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Signatures: [1]⁴ 2-9⁴, ²[1]⁴ ²2-6⁴ ²7² [chi]⁶
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Law.--La Chine.--L'Empire russe depuis le Congrès de Vienne.--Tallemant des Réaux.--La société française pendant la révolution.--L'Empire chinois.--Le Sahara algérien et le Grand désert.--Les Kœnigsmark.--L'ancien régime et la révolution.--Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet.--L'insurrection normande en 1793.--Les Philippiques de La Grange-Chancel.--Louis XVI et sa cour.--Gabrielle d'Estrées et Henry IV.--Mathilde de Toscane.--Joseph de Maistre.--Royalistes et républicains.--Les civilisations.--La diplomatie au XVIIe siècle.--Deux diplomates [Le comte Raczynski et Donoso Cortès]--Saint-Simon.--Le marquis de Grignan.--Philippe II.
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"Le texte officiel du traité de Riga"--P. [80]-95.
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Vladimir S. Soloviev (1853-1900) était un philosophe russe, poète et dissident de la période prérévolutionnaire. Comme celle de beaucoup de ses contemporains prérévolutionnaires russes, la pensée de Soloviev fut constamment sollicitée par la réfection imminente de l’État russe dans un futur très proche. Dans le contexte de cette époque, un examen des fondements théoriques du système juridique était peut-être inévitable. Néanmoins, dans la pensée russe, c’est seulement avec Soloviev que le droit cessa d’être un sujet spécialisé dans le domaine de l’administration, ne concernant guère les grands enjeux de société, et devint intimement lié au développement même de la philosophie morale et sociale. Au sein du projet philosophique systématique que propose Soloviev, le concept de l’unitotalité est envahissant, en termes épistémologique et social. Une pierre d’assise également fondamentale est le concept philosophico-religieux de la divino-humanité, à travers lequel la source de la dignité humaine est ultimement exprimée. La philosophie juridique de Soloviev, contenue pour l’essentiel dans un traité intitulé La Justification du bien : essai de philosophie morale (1897), a pour principal objet l’interaction entre le droit et la morale. Alors que l’objet et la portée du droit peuvent être directement déduits de principes moraux, le droit ne peut pas coïncider exactement avec la morale, compte tenu de son caractère plus limité, fini et coercitif. Pour Soloviev, le droit doit imposer un niveau minimum du bien en fournissant les conditions de base (par ex. la primauté du droit, le droit à une existence digne, la liberté de conscience) pour le libre développement des facultés humaines sans transposer directement en lui la plénitude complète du bien. La principale motivation de Soloviev réside dans la prémisse théologique sous-jacente que le bien ne peut jamais être complètement subsumé sauf par un acte conscient de liberté personnelle. En tandem, Soloviev souligne le rôle progressiste de l’État pour favoriser le libre perfectionnement humain. En tant que tel, Soloviev nous fournit certaines voies innovatrices dans le façonnement de la relation tant théorique que pratique entre le droit et la religion. À l’encontre d’un compromis entre objets, c’est-à-dire un arrangement de type interculturel situé entre fragmentation culturelle (multiculturalisme idéologique) et assimilation antireligieuse (laïcité militante), l’analyse de Soloviev présente la nécessité d’une conciliation temporelle, dans une perspective historique beaucoup plus large, où la laïcité est considérée non pas comme une finalité ontologique en soi, figée dans le temps, mais comme un moyen au service d’une destinée humaine en cours d’actualisation. Le cadre philosophico-juridique de Soloviev peut être utilement mis en dialogue avec des auteurs contemporains comme Stephen L. Carter, Charles Taylor, John Witte Jr, Ronald Dworkin et Jürgen Habermas. La contribution potentielle de Soloviev sur la place de la religion dans la société russe contemporaine est également mentionnée, avec un accent particulier sur le réexamen critique de l’héritage durable de la notion byzantine de la symphonie entre l’Église et l’État. Enfin, une théorie du fédéralisme inspirée par Soloviev est développée en appliquant, sur une base comparative, des avancées théoriques dans le domaine de l’histoire juridique global à l’évolution constitutionnelle du Canada et d’Israël.
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El presente articulo intenta determinar las razones por las que el santuario de Sant Miquel de Llíria, uno de los más importantes de la actual provincia de Valencia, se consagró al arcàngel guerrero. Se estudia para ello la historia de su culto en Occidente, haciendo hincapié en aspectos como su relación con los lugares elevados y la frecuente proximidad de sus santuarios con aquellos dedicados a la Virgen. Atenderemos también a aspectos fundamentales del contexto histórico, como los movimientos de renovación espiritual medievales, la influencia del médico y teólogo Arnau de Vilanova en la Valencia de principios del siglo XIV y las profecías escatológicas vinculadas a la llegada del Anticristo.
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La tesis mariológica de la conceptio per aurem, según la cual la Virgen María habría concebido a Jesucristo por el oído en el momento de escuchar del ángel el mensaje celestial anunciándole que, sin perder su virginidad, sería madre del Hijo de Dios encarnado, ha merecido hasta ahora muy pocos estudios académicos rigurosamente fundados en fuentes primarias. De hecho, en la literatura especializada son muy escasas las referencias a tal teoría y, cuando algún estudioso la evoca, casi siempre se contenta con aludir a ella, sin aportar pruebas documentales. Sin embargo, tal como lo revelan las nueve pinturas italianas aquí analizadas, esa teoría fue ilustrada mediante sutiles metáforas visuales en muchas obras pictóricas medievales, las cuales se inspiraron en una sólida tradición literaria. Además una pléyade de Padres de la Iglesia y teólogos medievales testimonia, mediante afirmaciones explícitas, que semejante teoría gozó de notable aceptación entre los maestros del pensamiento cristiano. Basándose en numerosos textos patrísticos y teológicos, este artículo intenta dos objetivos esenciales: exponer, ante todo, las distintas formulaciones teóricas propuestas por esos pensadores; y además, tratar de poner en luz los significados dogmáticos que subyacen bajo esa sorprendente tesis.
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El doble aspecto documental y artístico de la escritura de la historia ha quedado prácticamente oculto por la insistencia en el carácter científico de la disciplina y su expulsión subsiguiente del canon literario desde el siglo XIX. El cultivo de la historiografía ficticia o imaginaria (fictohistoria) surgió entonces como un modo de salvar la literariedad de la historia, en su calidad de género formal, mediante el uso del discurso historiográfico como procedimiento retórico para conseguir un efecto de historicidad en textos que son, no obstante, claramente ficticios, y que tienen a menudo un carácter satírico o admonitorio. Esto no está reñido con el hecho de que la mayoría manifieste en primer lugar una reflexión sobre el devenir de la humanidad, es decir, sobre la Historia. Los ejemplos de este género son relativamente abundantes y se pueden clasificar en varias categorías temáticas. Esta segunda parte del estudio se centra en la historia prospectiva.