983 resultados para glass ceiling barriers
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Women and Performance in Corporate America The glass ceiling has been shattered. Women like Indra Nooyi, the CEO of PepsiCo.; Angela Braly, the CEO of Wellpoint; and Patricia Woertz, the CEO of Archer Daniels Midland, are proof that women can achieve top leadership positions in corporate America. However, the scarcity of female leaders occupying the top ranks of corporate America, and the significant wage gap between men and women, suggest that there are significant complications along the path toward success for women in the corporate world.The data show that a disproportionately small number of women are making it to top leadership positions in corporate America. According to the US Department of Labor, in 2007 women accounted for 46% of the total work force, and 51 % of all workers in management, professional, and related occupations. Women outnumbered men in occupations including financial managers, human resource managers, education administrators, medical and health service managers, accountants and auditors, budget analysts, and property, real estate, and social and community association managers (US Department of Labor, 2007). However, women hold only 15.2% of board director positions, 15.7% of corporate officer positions, and 6.2% of top earner positions (Catalyst, 2009b). Additionally, according to a 2008 Corporate Library survey, only 2.6% of Fortune 500 companies currently have female CEOs (as cited in Jones, 2009).The data also show that women earn less than men in the work force. The US Department of Labor found that women working full time in 2007 made only 80% of the salaries of men (US Department of Labor, 2008). Studies designed to control for factors other than gender have not been able to account for the wage gap between men and women (Eagly & Carli, 2007, US Government Accountability Office, 2003). Even among CEO's of fortune 500 companies, female CEO's make only 85% of the salaries of male CEO's (Jones, 2009).
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El artículo presenta las conclusiones de la investigación «Evaluación de la conciliación, corresponsabilidad y promoción profesional en la Universidad de Alicante». Específicamente, se profundiza en el conocimiento de los mecanismos que reproducen la desigualdad en el ámbito universitario: el síndrome de desequilibrio en la cumbre definido por Díez, Terrón y Anguita (2006). A partir de la triangulación de datos, procedentes de dos grupos de discusión y de una encuesta administrada al colectivo docente e investigador, se identifican tres factores explicativos que dibujan el particular techo de cristal de las académicas: la costumbre social, la disímil definición del poder entre mujeres y hombres y la ausencia de redes de apoyo informales.
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Developing the social identity theory of leadership (e.g., [Hogg, M. A. (2001). A social identity theory of leadership. Personality and Social Psychology Review, 5, 184-200]), an experiment (N=257) tested the hypothesis that as group members identify more strongly with their group (salience) their evaluations of leadership effectiveness become more strongly influenced by the extent to which their demographic stereotype-based impressions of their leader match the norm of the group (prototypicality). Participants, with more or less traditional gender attitudes (orientation), were members, under high or low group salience conditions (salience), of non-interactive laboratory groups that had instrumental or expressive group norms (norm), and a male or female leader (leader gender). As predicted, these four variables interacted significantly to affect perceptions of leadership effectiveness. Reconfiguration of the eight conditions formed by orientation, norm and leader gender produced a single prototypicality variable. Irrespective of participant gender, prototypical leaders were considered more effective in high then low salience groups, and in high salience groups prototypical leaders were more effective than less prototypical leaders. Alternative explanations based on status characteristics and role incongruity theory do not account well for the findings. Implications of these results for the glass ceiling effect and for a wider social identity analysis of the impact of demographic group membership on leadership in small groups are discussed. (c) 2006 Elsevier Inc. All rights reserved.
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Cette thèse analyse les pratiques d’égalité entre les femmes et les hommes au sein des organisations non gouvernementales (ONG) maliennes qui ont reçu du financement canadien. En effet, l’aide publique au développement a subi des transformations majeures depuis les années 1950. L’une de ces transformations a été le rôle important joué par les ONG dans les années 1990, à la suite de l’adoption des politiques d’ajustements structurels et de la fin de la monopolisation par l’État en ce qui a trait à l’aide publique pour les projets de développement. Entre autres, les ONG ont été sollicitées pour promouvoir les politiques d’égalité entre hommes et femmes. L’importance des ONG dans l’aide publique au développement a créé des relations de dépendances vis-à-vis des bailleurs de fonds qui imposent des conditionnalités. Nos résultats ont montré que les bailleurs de fonds exigent l’égalité entre les sexes en ce qui concerne les bénéficiaires des programmes, mais, paradoxalement, ne l’exigent pas à l’intérieur des ONG et dans leurs ressources humaines. En analysant la composition du personnel de huit ONG maliennes, nos résultats montrent que 34 % du personnel sont des femmes alors que 66 % sont des hommes, ce qui démontre un déséquilibre assez important en matière de parité. Cependant, une analyse plus fine nous indique que les pratiques d’égalité entre femmes et hommes dans les structures et dans la gestion des ressources humaines diffèrent d’une ONG à une autre. Ces pratiques dépendent beaucoup de la volonté et des valeurs des gestionnaires. Notre recherche a fait ressortir plusieurs explications de cette disparité au niveau de l’emploi des femmes. Les raisons souvent mentionnées étaient : 1) la nécessité d’avoir du personnel compétent, 2) la conciliation famille-travail, 3) le contexte socioculturel, 4) l’interprétation de la religion musulmane en matière d’égalité. En effet, nos résultats ont démontré que sous l’influence des bailleurs de fonds les ONG se sont professionnalisées, que l’impact de la professionnalisation a été différent selon le genre et que celle-ci s’est faite aux dépens des femmes. Ainsi, certains gestionnaires, quel que soit leur sexe, préfèrent recruter plus d’hommes parce qu’ils les jugent plus compétents.Nos résultats confirment la théorie du plafond de verre qui met en exergue le fait que les femmes ont de la difficulté à accéder à des postes de responsabilité. Nos résultats ont aussi démontré qu’au Mali, le contexte socioculturel et la religion jouent un grand rôle dans les relations sociales et surtout en ce qui concerne la place des femmes au sein de la société.
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Cette thèse analyse les pratiques d’égalité entre les femmes et les hommes au sein des organisations non gouvernementales (ONG) maliennes qui ont reçu du financement canadien. En effet, l’aide publique au développement a subi des transformations majeures depuis les années 1950. L’une de ces transformations a été le rôle important joué par les ONG dans les années 1990, à la suite de l’adoption des politiques d’ajustements structurels et de la fin de la monopolisation par l’État en ce qui a trait à l’aide publique pour les projets de développement. Entre autres, les ONG ont été sollicitées pour promouvoir les politiques d’égalité entre hommes et femmes. L’importance des ONG dans l’aide publique au développement a créé des relations de dépendances vis-à-vis des bailleurs de fonds qui imposent des conditionnalités. Nos résultats ont montré que les bailleurs de fonds exigent l’égalité entre les sexes en ce qui concerne les bénéficiaires des programmes, mais, paradoxalement, ne l’exigent pas à l’intérieur des ONG et dans leurs ressources humaines. En analysant la composition du personnel de huit ONG maliennes, nos résultats montrent que 34 % du personnel sont des femmes alors que 66 % sont des hommes, ce qui démontre un déséquilibre assez important en matière de parité. Cependant, une analyse plus fine nous indique que les pratiques d’égalité entre femmes et hommes dans les structures et dans la gestion des ressources humaines diffèrent d’une ONG à une autre. Ces pratiques dépendent beaucoup de la volonté et des valeurs des gestionnaires. Notre recherche a fait ressortir plusieurs explications de cette disparité au niveau de l’emploi des femmes. Les raisons souvent mentionnées étaient : 1) la nécessité d’avoir du personnel compétent, 2) la conciliation famille-travail, 3) le contexte socioculturel, 4) l’interprétation de la religion musulmane en matière d’égalité. En effet, nos résultats ont démontré que sous l’influence des bailleurs de fonds les ONG se sont professionnalisées, que l’impact de la professionnalisation a été différent selon le genre et que celle-ci s’est faite aux dépens des femmes. Ainsi, certains gestionnaires, quel que soit leur sexe, préfèrent recruter plus d’hommes parce qu’ils les jugent plus compétents.Nos résultats confirment la théorie du plafond de verre qui met en exergue le fait que les femmes ont de la difficulté à accéder à des postes de responsabilité. Nos résultats ont aussi démontré qu’au Mali, le contexte socioculturel et la religion jouent un grand rôle dans les relations sociales et surtout en ce qui concerne la place des femmes au sein de la société.
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"January 1994."
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Federal Highway Administration, McLean Va.
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Fragility is viewed as a measure of the loss of rigidity of a glass structure above its glass transition temperature. It is attributed to the weakness of directional bonding and to the presence of a high density of low-energy configurational states. An a priori fragility function of electronegativities and bond distances is proposed which quite remarkably reproduces the entire range of reported fragilities and demonstrates that the fragility of a melt is indeed encrypted in the chemistry of the parent material. It has also been shown that the use of fragility-modified activation barriers in the Arrhenius function account for the whole gamut of viscosity behavior of liquids. It is shown that fragility can be a universal scaling parameter to collapse all viscosity curves on to a master plot.
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We develop a framework for understanding the difference between strong and fragile behavior in the dynamics of glass-forming liquids from the properties of the potential energy landscape. Our approach is based on a master equation description of the activated jump dynamics among the local minima of the potential energy (the so-called inherent structures) that characterize the potential energy landscape of the system. We study the dynamics of a small atomic cluster using this description as well as molecular dynamics simulations and demonstrate the usefulness of our approach for this system. Many of the remarkable features of the complex dynamics of glassy systems emerge from the activated dynamics in the potential energy landscape of the atomic cluster. The dynamics of the system exhibits typical characteristics of a strong supercooled liquid when the system is allowed to explore the full configuration space. This behavior arises because the dynamics is dominated by a few lowest-lying minima of the potential energy and the potential energy barriers between these minima. When the system is constrained to explore only a limited region of the potential energy landscape that excludes the basins of attraction of a few lowest-lying minima, the dynamics is found to exhibit the characteristics of a fragile liquid.
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Despite intensive research during the last decades, thetheoreticalunderstanding of supercooled liquids and the glasstransition is stillfar from being complete. Besides analytical investigations,theso-called energy-landscape approach has turned out to beveryfruitful. In the literature, many numerical studies havedemonstratedthat, at sufficiently low temperatures, all thermodynamicquantities can be predicted with the help of the propertiesof localminima in the potential-energy-landscape (PEL). The main purpose of this thesis is to strive for anunderstanding ofdynamics in terms of the potential energy landscape. Incontrast to the study of static quantities, this requirestheknowledge of barriers separating the minima.Up to now, it has been the general viewpoint that thermallyactivatedprocesses ('hopping') determine the dynamics only belowTc(the critical temperature of mode-coupling theory), in thesense that relaxation rates follow from local energybarriers.As we show here, this viewpoint should be revisedsince the temperature dependence of dynamics is governed byhoppingprocesses already below 1.5Tc.At the example of a binary mixture of Lennard-Jonesparticles (BMLJ),we establish a quantitative link from the diffusioncoefficient,D(T), to the PEL topology. This is achieved in three steps:First, we show that it is essential to consider wholesuperstructuresof many PEL minima, called metabasins, rather than singleminima. Thisis a consequence of strong correlations within groups of PELminima.Second, we show that D(T) is inversely proportional to theaverageresidence time in these metabasins. Third, the temperaturedependenceof the residence times is related to the depths of themetabasins, asgiven by the surrounding energy barriers. We further discuss that the study of small (but not toosmall) systemsis essential, in that one deals with a less complex energylandscapethan in large systems. In a detailed analysis of differentsystemsizes, we show that the small BMLJ system consideredthroughout thethesis is free of major finite-size-related artifacts.