952 resultados para diagnostic différentiel
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Les artériopathies non athéromateuses doivent être considérées dans le diagnostic différentiel de l'atteinte obstructive des membres inférieurs, surtout lors d'absence de facteurs de risque cardiovasculaires classiques. La prise en charge, médicamenteuse et/ou de revascularisation, est propre à la pathologie diagnostiquée. Non atherogenic peripheral arterial diseases must be taken into consideration whenever lower limb obstructive peripheral disease is diagnosed. This is particularly important in absence of classical cardiovascular risk factors. Management and treatment of these non atherogenic arterial disease are dependant on their causes.
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Objectifs: Le dosage des biomarqueurs du liquide céphalorachidien (LCR) ne fait pas partie des recommandations de la démarche diagnostique de la maladie d'Alzheimer (MA) en France. Nous voulions analyser l'apport de leur dosage en pratique clinique quotidienne. Matériel et méthode: Étude rétrospective observationnelle, portant sur l'ensemble des dosages de biomarqueurs du LCR de la MA effectués entre le 1er novembre 2010 et le 30 septembre 2012 dans l'hôpital de jour (HDJ) et le service de médecine interne gériatrique (SMIG) du centre mémoire de ressources et de recherche (CMRR) des hôpitaux universitaires de Strasbourg (Alsace, France). Résultats: Quatre-vingt-dix-sept patients (femmes : 60,8 % ; âge moyen : 80 ± 6,5 ans) ont été considérés. En HDJ (n = 50), les biomarqueurs étaient utilisés pour le diagnostic positif de MA (64,0 %) ou le diagnostic différentiel entre les démences (36,0 %). Au SMIG (n = 47), leur dosage était effectué afin de confirmer une MA (19,1 %), de rechercher une pathologie cognitive sous-jacente à un syndrome confusionnel (17,0 %) ou pour diagnostiquer une démence chez des patients atteints de pathologies psychiatriques (29,8 %). Si 49,5 % des patients ont eu un diagnostic de MA confirmée, les biomarqueurs ont contribué à infirmer cette étiologie dans 9,2 % des cas. Le doute entre une MA et une autre étiologie persistait cependant encore chez 10 patients. Les analyses comparatives des taux des différents biomarqueurs ont montré que la protéine tau est observée avec un taux significativement plus élevé dans la MA que dans la démence vasculaire (p = 0,003) et à la limite de la significativité pour la maladie de Parkinson (p = 0,06). Le profil observé avec la Ptau est similaire mais avec une significativité atteinte vis-à-vis de la démence de la maladie de Parkinson (p = 0,01). En ce qui concerne l'Aβ1-42, si les taux moyens étaient les plus élevés dans les démences vasculaire et à corps de Lewy, (p < 0,0001 et p < 0,01), ils étaient plus faibles en cas de démence de la maladie de Parkinson mais sans atteindre le seuil de signification (p = 0,12). Conclusion: Cette étude a analysé l'utilisation des biomarqueurs de la MA en pratique courante. Si leur intérêt se positionne actuellement dans le diagnostic de la MA à un stade léger, ces biomarqueurs montrent leur utilité dans les situations où le diagnostic clinique est rendu difficile par un trouble psychiatrique et/ou une confusion, une clinique atypique où lorsque les tests cognitifs sont irréalisables.
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Résumé Le cancer implique rarement l'oeil et risque d'être reconnu tardivement. Les tumeurs intraoculaires primaires les plus fréquentes sont le rétinoblastome chez l'enfant et le mélanome uvéal chez l'adulte.Le diagnostic différentiel d'une baisse de vision dans un contexte de cancer systémique est varié. Des métastases uvéales sont souvent associées au cancer du sein ou du poumon. Un masquerade syndrome est l'atteinte oculaire, pseudo-inflammatoire, d'un lymphome primaire non hodgkinien du système nerveux central. Un traitement oncologique médicamenteux ou radique peut induire une toxicité, souvent rétinienne. Les syndromes paranéoplasiques, rares, sont causés par des anticorps anticancéreux réagissant contre la rétine. Si le cancer touche l'oeil, référer le patient rapidement vers un centre spécialisé pourra faire la différence aux niveaux pronostiques vital et visuel. Abstract Cancer involves so rarely the eye that it may be recognized late. The most frequent primary intra-ocular tumours are retinoblastoma in small children and uveal melanoma in adults.Vision loss in systemic cancer has a varied differential diagnosis. Uveal metastases are most often associated with breast cancer, but can herald lung carcinoma. Masquerade syndrome looks like infllammation but represents the ocular involvement of primary CNS non-Hodgkin lymphoma. Systemic cancer drugs, as well as radiotherapy, can cause ocular toxicity, mostly at the retina. In the rare paraneoplastic syndromes, patient's cancer antibodies cross-react with retinal antigens, leading to severe vision loss. When cancer involves the eye, a fast referral into specialized care can signifiicantly improve visual and vital prognosis.
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Actuellement, le diagnostic différentiel du trouble bipolaire (TB) et du trouble de personnalité limite (TPL) à l’adolescence s’avère difficile et complique le choix thérapeutique. Portant sur le TB et le TPL, ce mémoire fait le point sur la littérature scientifique adulte et adolescente, vérifie la faisabilité et présente les résultats d’une étude exploratoire portant sur les variables cliniques (instabilité émotionnelle, hostilité, impulsivité, tempraément) et le rythme veille-sommeil à l’adolescence. L’étude exploratoire comprend sept adolescents TB et huit TPL (12-17 ans), évalués par questionnaires autoadministrés pour les variables cliniques, et par actigraphie et agenda de sommeil pour le rythme veille-sommeil. Aucune différence significative n’existe entre les deux troubles pour les variables cliniques. En moyenne, les adolescents TB ont porté l'actigraphie pendant 9,9 jours et ont rempli un agenda de sommeil pendant 5,7 jours; chez les TPL, les chiffres sont respectivement 9,8 et 8,9 jours. Comparés aux TPL, les TB ont un plus grand intervalle d’éveil (p=0,035), ont un plus grand intervalle de sommeil (p>0,05), et ont une plus grand variabilité intrajournalière (p=0,04). Les données subjectives (agenda de sommeil) semblent refléter les données objectives (actigraphie) : aucune différence statistique n’est observée entre les deux mesures pour le délai d’endormissement, la durée du dernier réveil et le temps total de sommeil. La recension de la littérature montre un manque de données chez l’adolescent quant aux deux troubles. La faisabilité de l’étude est démontrée par la présence de résultats analysables. Ceci encourage la poursuite des recherches sur ces variables, afin de distinguer les deux psychopathologies à l’adolescence.
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L’objectif de cette étude était de démontrer que le léchage excessif de surface (LES) chez le chien représente un signe clinique d’un trouble digestif sous-jacent plutôt qu’un trouble obsessionnel compulsif. Vingt chiens présentés pour LES (groupe L) ont été divisés en 2 sous-groupes de 10 chiens chacun : L0, sans, et LD, avec des signes cliniques digestifs concomitants. Dix chiens en santé ont été assignés à un groupe contrôle (groupe C). Une évaluation comportementale complète, un examen physique et neurologique ont été réalisés avant un bilan diagnostic gastro-intestinal (GI) complet (hématologie, biochimie, analyse urinaire, mesure des acides biliaires pré et post-prandiaux et de l’immunoréactivité spécifique de la lipase pancréatique canine, flottaison fécale au sulfate de zinc, culture de selles, échographie abdominale et endoscopie GI haute avec prise de biopsies). En fonction des résultats, un interniste recommandait un traitement approprié. Les chiens étaient suivis pendant 90 jours durant lesquels le comportement de léchage était enregistré. Des troubles GI ont été identifiés chez 14/20 chiens du groupe L. Ces troubles GI sous-jacents incluaient une infiltration éosinophilique du tractus GI, une infiltration lymphoplasmocytaire du tractus GI, un retard de vidange gastrique, un syndrome du côlon irritable, une pancréatite chronique, un corps étranger gastrique et une giardiose. Une amélioration >50% en fréquence ou en durée par rapport au comportement de léchage initial a été observée chez une majorité de chiens (56%). La moitié des chiens ont complètement cessé le LES. En dehors du LES, il n’y avait pas de différence significative de comportement (p.ex. anxiété), entre les chiens L et les chiens C. Les troubles GI doivent être considérés dans le diagnostic différentiel du LES chez le chien.
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Chest pain in children and adolescents is a frequent observation, although potentially relevant disease is rather rare and then found in situations with acute presentation. In children with an inflammatory/infectious clinical context the differential diagnosis is oesophagitis, pleuropneumonia or pericarditis. Potentially dangerous complications may be found in youth with predisposing conditions for aortic dissection, pneumothorax or pulmonary embolism, or even in rare instances for an acute coronary complication. In these cases aggressive diagnostic work-up is mandatory. In the frequent elective outpatient evaluation of teenagers with long-lasting episodes of chest pain, relevant underlying cardiovascular disease only rarely can be found as the cause. In the elective outpatient evaluation for chest pain, usually patient history and clinical examination may be enough to track the problem, the main role of the physician is to provide reassurance with minimal but appropriate testing.
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Case report of a 66-year-old woman with episodes of amaurosis fugax and hemicranic headache with otherwise normal ophthalmologic and neurological examinations and normal imaging. While ESR was in the normal range for patient's age, acute phase proteins (C-reactive protein and fibrinogen) were elevated. Giant cell arteritis was proved by temporal artery biopsy. Giant cell arteritis should be considered as an important differential diagnosis of amaurosis fugax even in patients with normal ESR. Acute phase protein testing can give relevant diagnostic information.
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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lésions qui ne sont pas toujours observables à l’oeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complémentaire issue de l’imagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. L’objectif est donc de tester ici l’efficacité et les limites de l’analyse scanographique durant l’analyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostéologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complète a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consisté à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à l’Institut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complémentaires sur la structure interne de l’os (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à l’aide de la littérature clinique et l’expertise de médecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lésions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à l’âge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complémentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.
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Sachant que plusieurs maladies entrainent des lésions qui ne sont pas toujours observables à l’oeil, cette étude préliminaire en paléopathologie humaine utilise une approche complémentaire issue de l’imagerie médicale, le ct-scan, afin de fournir des diagnostics plus précis. L’objectif est donc de tester ici l’efficacité et les limites de l’analyse scanographique durant l’analyse de spécimens archéologiques. Un échantillon de 55 individus a été sélectionné à partir de la collection ostéologique provenant du cimetière protestant St. Matthew (ville de Québec, 1771 – 1860). Une analyse macroscopique et scanographique complète a alors été effectuée sur chaque squelette. Les observations macroscopiques ont consisté à enregistrer une dizaine de critères standardisés par la littérature de référence en lien avec des manifestations anormales à la surface du squelette. Les ct-scans ont été réalisés à l’Institut National de la Recherche Scientifique de la Ville de Québec avec un tomodensitomètre Somatom de Siemens (définition AS+ 128). Les données scanographiques ont permis d’enregistrer une série de critères complémentaires sur la structure interne de l’os (amincissement/épaississement de la corticale, variation de densité, etc.) Selon la méthode du diagnostic différentiel, des hypothèses ou diagnostics ont été proposés. Ils sont principalement basés sur les critères diagnostiques mentionnés dans les manuels de référence en paléopathologie, mais aussi à l’aide de la littérature clinique et l’expertise de médecins. Les résultats présentés ici supportent que: 1) Dans 43% des cas, les données scanographiques ont apporté des informations essentielles dans la diagnose pathologique. Cette tendance se confirme en fonction de certaines maladies, mais pas d’autres, car certains diagnostics ne peuvent se faire sans la présence de tissus mous. 2) La distribution spatiale de la plupart des lésions varie selon les régions anatomiques, aussi bien en macroscopie qu’en scanographie. 3) Certains types de maladie semblent associés à l’âge et au sexe, ce qui est conforté par la littérature. 4) Cette recherche démontre aussi que le processus de diagnose nécessite, dans 38% des cas, une analyse complémentaire (ex. histologie, scintigraphie, radiographie) pour préciser le diagnostic final.
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The purpose of this study was to assess the efficacy and reproducibility of the cytologic diagnosis of salivary gland tumors (SGTs) using fine-needle aspiration cytology (FNAC). The study aimed to determine diagnostic accuracy, sensitivity, and specificity and to evaluate the extent of interobserver agreement. We retrospectively evaluated SGTs from the files of the Division of Pathology at the Clinics Hospital of São Paulo and Piracicaba Dental School between 2000 and 2006. We performed cytohistologic correlation in 182 SGTs. The sensitivity, specificity, positive predictive value, negative predictive value, and diagnostic accuracy were 94%, 100%, 100%, 100%, and 99%, respectively. The interobserver cytologic reproducibility showed significant statistical concordance (P < .0001). FNAC is an effective tool for performing a reliable preoperative diagnosis in SGTs and shows high diagnostic accuracy and consistent interobserver reproducibility. Further FNAC studies analyzing large samples of malignant SGTs and reactive salivary lesions are needed to confirm their accuracy.
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The aim was to describe the outcome of neonatal hearing screening (NHS) and audiological diagnosis in neonates in the NICU. The sample was divided into Group I: neonates who underwent NHS in one step and Group II: neonates who underwent a test and retest NHS. NHS procedure was automated auditory brainstem response. NHS was performed in 82.1% of surviving neonates. For GI, referral rate was 18.6% and false-positive was 62.2% (normal hearing in the diagnostic stage). In GII, with retest, referral rate dropped to 4.1% and false-positive to 12.5%. Sensorineural hearing loss was found in 13.2% of infants and conductive in 26.4% of cases. There was one case of auditory neuropathy spectrum (1.9%). Dropout rate in whole process was 21.7% for GI and 24.03% for GII. We concluded that it was not possible to perform universal NHS in the studied sample or, in many cases, to apply it within the first month of life. Retest reduced failure and false-positive rate and did not increase evasion, indicating that it is a recommendable step in NHS programs in the NICU. The incidence of hearing loss was 2.9%, considering sensorineural hearing loss (0.91%), conductive (1.83%) and auditory neuropathy spectrum (0.19%).
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A retrospective survey was designed to identify diagnostic subgroups and clinical factors associated with odontogenic pain and discomfort in dental urgency patients. A consecutive sample of 1,765 patients seeking treatment for dental pain at the Urgency Service of the Dental School of the Federal University of Goiás, Brazil, was selected. Inclusion criteria were pulpal or periapical pain that occurred before dental treatment (minimum 6 months after the last dental appointment), and the exclusion criteria were teeth with odontogenic developmental anomalies and missing information or incomplete records. Clinical and radiographic examinations were performed to assess clinical presentation of pain complaints including origin, duration, frequency and location of pain, palpation, percussion and vitality tests, radiographic features, endodontic diagnosis and characteristics of teeth. Chi-square test and multiple logistic regression were used to analyze association between pulpal and periapical pain and independent variables. The most frequent endodontic diagnosis of pulpal pain were symptomatic pulpitis (28.3%) and hyperreactive pulpalgia (14.4%), and the most frequent periapical pain was symptomatic apical periodontitis of infectious origin (26.4%). Regression analysis revealed that closed pulp chamber and caries were highly associated with pulpal pain and, conversely, open pulp chamber was associated with periapical pain (p<0.001). Endodontic diagnosis and local factors associated with pulpal and periapical pain suggest that the important clinical factor of pulpal pain was closed pulp chamber and caries, and of periapical pain was open pulp chamber.
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The aim of this study was to investigate the agreement between diagnoses of calcified atheroma seen on panoramic radiographs and color Doppler images. Our interest stems from the fact that panoramic images can show the presence of atheroma regardless of the level of obstruction detected by color Doppler images. Panoramic and color Doppler images of 16 patients obtained from the archives of the Health Department of the city of Valença, RJ, Brazil, were analyzed in this study. Both sides of each patient were observed on the images, with a total of 32 analyzed cervical regions. The level of agreement between diagnoses was analyzed using the Kappa statistics. There was a high level of agreement, with a Kappa value of 0.78. In conclusion, panoramic radiographs can help detecting calcifications in the cervical region of patients susceptible to vascular diseases predisposing to myocardial infarction and cerebrovascular accidents. If properly trained and informed, dentists can refer their patients to a physician for a cardiovascular evaluation in order to receive proper and timely medical treatment.
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Wing diagnostic characters for Culex quinquefasciatus and Culex nigripalpus (Diptera, Culicidae). Culex quinquefasciatus and Culex nigripalpus are mosquitoes of public health interest, which can occur sympatrically in urban and semi-urban localities. Morphological identification of these species may be difficult when specimens are not perfectly preserved. In order to suggest an alternative taxonomical diagnosis, wings of these species were comparatively characterized using geometric morphometrics. Both species could be distinguished by wing shape with accuracy rates ranging from 85-100%. Present results indicate that one can identify these species relying only on wing characters when traditional taxonomical characters are not visible.