199 resultados para Vacuna VPH
Resumo:
Problématique : Bien que le tabac et l’alcool soient les facteurs causaux principaux des cancers épidermoïdes de l’oropharynx, le virus du papillome humain (VPH) serait responsable de l’augmentation récente de l’incidence de ces cancers, particulièrement chez les patients jeunes et/ou non-fumeurs. La prévalence du VPH à haut risque, essentiellement de type 16, est passée de 20% à plus de 60% au cours des vingt dernières années. Certaines études indiquent que les cancers VPH-positifs ont un meilleur pronostic que les VPH- négatifs, mais des données prospectives à cet égard sont rares dans la littérature, surtout pour les études de phase III avec stratification basée sur les risques. Hypothèses et objectifs : Il est présumé que la présence du VPH est un facteur de bon pronostic. L’étude vise à documenter la prévalence du VPH dans les cancers de l’oropharynx, et à établir son impact sur le pronostic, chez des patients traités avec un schéma thérapeutique incluant la chimio-radiothérapie. Méthodologie : Les tumeurs proviennent de cas traités au CHUM pour des cancers épidermoïdes de la sphère ORL à un stade localement avancé (III, IVA et IVB). Elles sont conservées dans une banque tumorale, et les données cliniques sur l’efficacité du traitement et les effets secondaires, recueillies prospectivement. La présence du VPH est établie par biologie moléculaire déterminant la présence du génome VPH et son génotype. Résultats: 255 spécimens ont été soumis au test de génotypage Linear Array HPV. Après amplification par PCR, de l’ADN viral a été détecté dans 175 (68.6%) échantillons tumoraux ; le VPH de type 16 était impliqué dans 133 cas (52.25 %). Conclusion: Une proportion grandissante de cancers ORL est liée au VPH. Notre étude confirme que la présence du VPH est fortement associée à une amélioration du pronostic chez les patients atteints de cancers ORL traités par chimio-radiothérapie, et devrait être un facteur de stratification dans les essais cliniques comprenant des cas de cancers ORL.
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Le cancer du col utérin (CCU) est dans plus de 99% des cas provoqué par une infection avec le virus du papillome humain (VPH), dont le potentiel oncogénique réside dans l'expression des proto-oncogènes viraux E6/E7. Le potentiel carcinogénique de ces protéines virales réside essentiellement dans leurs actions sur les produits des gènes suppresseurs de tumeur p53 et RB. Les produits de ces gènes, p53 et Rb, font parti des voies de signalisation de réponse aux dommages de l'ADN cellulaire (RDA) et leur perte entraine une perte de fonctionnalité qui mène à une instabilité génomique. À long terme et en présence de d'autres facteurs ceux-ci mèneront au développement d'un cancer. Les protéines E6 et E7 sont constitutivement exprimées dans les cellules du CCU ainsi que dans les cellules de tout autre cancer induit par le VPH et seulement dans ces dernières. La prise en charge des cas avancés de ces cancers se fait principalement par radiothérapie et chimiothérapie concomitante. La chimio-radiothérapie utilisée en traitement est efficace mais résulte en un taux élevé de morbidité et un nombre important de patientes récidiveront. Nous proposons que l'exploitation de l'expression spécifique d’E6 et d’E7 dans les cellules du CCU permette d’envisager une stratégie de létalité synthétique afin d'amplifier l'effet létal de l'irradiation sur les cellules CCU. Ceci permettrait potentiellement d'augmenter l'efficacité du traitement et de diminuer les récidives, ainsi que la morbidité liée au traitement. En s'appuyant sur cette hypothèse, notre objectif est d’identifier des composés dont l'action seule ou couplée à l'irradiation provoquerait préférentiellement la mort des cellules exprimant les protéines E6 et E7 du VPH. Les cellules testées comprennent des cellules isogéniques humaines issues de kératinocytes normaux que nous avons modifiées séquentiellement pour obtenir les modifications associées aux cellules CCU (hTERT, E6 et E7), ainsi que les lignées de cellules de CCU HeLa et CaSki .Nous avons procédé à la mise au point et à la validation du protocole de criblage et des méthodes d’évaluation de la sensibilisation, qui se définit comme une perte de viabilité, un arrêt ou ralentissement de la croissance, par détection d’ATP ainsi que par coloration d’ADN génomique au DRAQ5. Suite à un criblage ciblé impliquant des inhibiteurs connus de la voie de réparation des dommages à l’ADN, nous avons identifié l’inhibiteur de mdm2, Nutlin-3, comme étant un composé sensibilisant et radio-sensibilisant préférentiellement les cellules exprimant E6 et E7 du VPH. La Nutlin-3 a été testée sur des cellules HEKn-hTERT-E6-E7, des cellules CaSki et HeLa. L’effet de sensibilisation et de radio-sensibilisation a été confirmé dans ces trois lignées. Tel que suggéré par son action sur mdmd2, la Nutlin-3 permet la stabilisation de p53 dans les cellules HEKn-hTERT-E6-E7 et CaSki et sa réactivation dans les lignées cellulaires HeLa et CaSki. Malgré cette stabilisation de p53, de façon surprenante, l’effet de la Nutlin-3 sur la sensibilisation et la radio-sensibilisation des cellules HeLa et CaSki semble indépendant de p53, tel qu’observé en utilisant des cellules HeLa-GSE et CaSki-GSE dont le p53 est déficient. In vivo la Nutlin-3a montre dans un essai préliminaire l’inhibition de la croissance tumorale des xénogreffes HeLa chez des souris RAG2γc. Ce résultat reste à confirmer avec un essai impliquant un nombre d’échantillons plus grand. À plus long terme, nous comptons étudier l’implication de mdm2 dans l’effet de sensibilisant de la Nutlin-3 dans les cellules CCUs, ainsi que les autres cibles pouvant être impliquées dans la création de cet effet sensibilisant observé.
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Problématique: Le virus du papillome humain (VPH) est présent dans près de 50% des cancers de l’oropharynx. Le potentiel oncogénique du VPH est encodé dans les oncoprotéines E6 et E7, qui agissent en modulant différents gènes, dont les gènes suppresseurs de tumeur p53 et pRb. Les cellules VPH positives démontrent une altération au niveau de la signalisation de la réponse aux dommages à l’ADN (RDA), un mécanisme de contrôle dans l’arrêt de la croissance des cellules ayant subit des dommages au niveau de leur ADN. Hypothèse et objectifs : Nous croyons que les défauts au niveau de la RDA des cancers VPH positifs peuvent être exploités afin de sensibiliser préférentiellement les cellules cancéreuses aux traitements de radiothérapie. Cette stratégie de recherche nécessite l’élaboration d’un modèle cellulaire de carcinogenèse isogénique pour le cancer de l’oropharynx que nous proposons de développer et de caractériser. L’étude vise à dériver des lignées isogéniques à partir de kératinocytes primaires et cellules épithéliales de l’oropharynx pour ensuite valider la carcinogenèse de notre modèle in vitro & in vivo Méthodologie : Des lignées cellulaires de kératinocytes primaires et de cellules épithéliales de l’oropharynx ont été successivement modifiées par transduction afin de présenter les mutations associées aux cancers de l’oropharynx induits par le VPH. Les cellules ont été modifiées avec des lentivirus codants pour la télomérase (hTERT), les oncogènes E6, E7 et RasV12. Afin de valider la cancérogenèse in vitro de notre modèle, des études d’invasion en matrigel et de croissance sans ancrage en agar mou ont été réalisées. Les populations cellulaires transformées ont été ensuite introduites dans des souris immunodéficientes afin d’évaluer leur tumorogénicité in vivo. Résultats : À partir des plasmides recombinés construits par méthodes de clonage traditionnelle et de recombinaison « Gateway », nous avons produit des lentivirus codants pour la télomérase humaine (hTERT), les oncogènes viraux E6 et E7 et l’oncogène Ras. Les kératinocytes primaires et cellules épithéliales de l’oropharynx ont été infectés successivement par transduction et sélectionnés. Nous avons validé l’expression de nos transgènes par méthode d’immunofluorescence, de Western Blot et de réaction de polymérisation en chaîne quantitative en temps réel (qRT-PCR). Nous avons établi trois lignées des cellules épithéliales de l’oropharynx (HNOE) à partir d’échantillons tissulaires prélevés lors d’amygdalectomie (HNOE42, HNO45, HNOE46). Les cellules transduites avec le lentivirus exprimant le promoteur fort CMV/TO de l’oncogène RasV12 ont présenté un changement morphologique compatible avec une sénescence prématurée induite par l’oncogène Ras. En exprimant des quantités plus faibles du RasV12 mutant, la lignée cellulaire HEKn hTERT-E6-E7 PGK RasV12 a réussi à échapper à la sénescence induite par l’oncogène Ras. La population cellulaire exprimant HEKn hTERT-E6-E7-PGK RasV12 a présenté un phénotype malin en culture et à l’étude d'invasion, mais n’a pas démontré de résultats positifs à l’étude de croissance sans ancrage en agar mou ni en xénogreffe en souris immunodéficientes. Conclusion : Nos résultats démontrent qu’en présence des oncogènes viraux E6 et E7, il y a un troisième mécanisme suppresseur de tumeur qui médie la sénescence induite par l’oncogène Ras. Nous avons identifié que la présence de E6 seule ne suffit pas à immortaliser les kératinocytes primaires humains (HEKn). Nous n’avons pas réussi à créer un modèle in vitro de carcinogenèse pour les cancers de l’oropharynx induits par le VPH.
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Los objetivos de este estudio fueron proveer datos con respecto a los patrones de infección de seis tipos de Papilomavirus humano de Alto Riesgo (AR-VPH-16, -18, -31, -33, -45, y -58) y dos tipos de Bajo Riesgo BR-VPH- 6 and -11), su asociación con factores de riesgo y coinfección. Se probaron muestras cervicales de 2110 mujeres para evaluar la presencia de DNA de HPV por reacción en cadena de la polimerasa. Se realizaron análisis estadísticos para determinar las frecuencias de los tipos virales encontrados en infecciones únicas y múltiples y la asociación entre infección y diferentes factores poblacionales. El tipo más prevalente fue VPH-16 seguido de VPH-31, siendo la distribución de éste último, variable según las diferentes ciudades analizadas. Los resultados evidenciaron una distribución tipo-específica diferencial entre regiones y una alta asociación entre ausencia de embarazos, ciudades como Girardot y Leticia, pertenecer a la etnia indígena (analizada en este estudio) y la adquisición de infecciones múltiples. Adicionalmente los datos sugieren que algunos factores sociodemográficos como la raza, el número de embarazos, el número de compañeros sexuales y la región geográfica se asocian significativamente y mostraron diferencias menores entre infecciones únicas y múltiples. Estos resultados proveen información relevante que permitirá evaluar el impacto de los programas de vacunación en estas poblaciones y la presión selectiva que podría tener la distribución de los tipos de VPH.
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Introducción: La enfermedad diarreica aguda (EDA) es la segunda causa de muerte a nivel mundial en menores de cinco años. El rotavirus es el principal entero-patógeno asociado a EDA severa por lo cual se ha iniciado la vacunación contra este virus en Colombia. Este trabajo evaluó la efectividad de la vacunación contra la hospitalización por diarrea en niños menores de dos años en cinco ciudades de Colombia. Metodología: Análisis de sobrevida para estimar la efectividad de la vacuna contra el rotavirus en la prevención de hospitalización por EDA, basado en los datos de una encuesta poblacional realizada en niños menores de dos años de Bogotá, Barranquilla, Cali, Cartagena y Riohacha, en la que se recolectó información socio-demográfica, de vacunación, factores de riesgo para EDA y antecedentes de EDA. Resultados: Incidencia acumulada de hospitalización por diarrea de 5,3%. Cobertura de vacunación fue de 88,5% y 78% para primera y segunda dosis respectivamente. La vacunación con dos dosis presentó una efectividad de 52,4% IC 95% (13,2% a 73,9%) en la prevención de hospitalizaciones por EDA y la vacunación adecuada una efectividad de 59,5% IC 95% (23,9% a78,4%). El sexo masculino y la ciudad de residencia (Riohacha) se asociaron al riesgo de hospitalización. Conclusiones: La vacunación contra rotavirus mostro ser efectiva en la prevención de la hospitalización por EDA. Las coberturas de vacunación y la adherencia al esquema presentan deficiencias que requieren medidas para asegurar la vacunación de todos los niños antes de los seis meses..
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Introducción: La concentración de ADN libre en plasma ha sido investigada como un biomarcador tumoral en diferentes tipos de cáncer. Sin embargo, son pocos los estudios que evalúan la concentración ADN libre en pacientes con cáncer cervical y hasta la fecha no hay estudios en pacientes con lesiones pre-cancerosas cervicales. Objetivo: Establecer la asociación entre la concentración de ADN libre y el grado de la neoplasia cervical y evaluar su posible asociación con el tipo viral. Metodología: Estudio de prevalencia de tipo analítico con un muestreo no probabilístico. Se cuantifico el ADN libre en plasma por PCR en tiempo real de 92 pacientes que presentaban algún tipo de lesión intraepitelial cervical, confirmado por biopsia en diferentes instituciones de la ciudad de Bogotá. Adicional a esto se realizó la genotipificación del virus por Reverse Line Blot. Resultados: La concentración de ADN libre en plasma de pacientes con lesiones pre-cancerosas fue 4515 ± 16402 ng/ µl (media ± DS), LIEBG fue de 5188.7 ± 14876.5 ng/ µl (media ± DS), en pacientes con LIEAG fue de 830.3 ± 1515.508 ng/ µl (media ± DS), en pacientes con resultado negativo fue de 7024.7 ± 24107.5 ng/ µl (media ± DS). Los serotipos encontrados en la poblacion de estudio no presentaron asociacion con la concentracion de ADN libre. Discusión: Los resultados demostraron que la concentración absoluta de ADN libre en plasma no tiene un valor predictivo para diferenciar los tipos de lesión pre-neoplasica de cuello uterino, puesto que no se encontraron diferencias significativas en la concentración de ADN libre en plasma de las diferentes etapas progresivas de cáncer de cuello uterino (p;0.57, gl;3 alfa 0.05) de la misma forma el serotipo no contribuye a explicar la concentración de ADN libre.
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Objectives: To evaluate the prophylactic efficacy of the human papillomavirus (HPV) quadrivalent vaccine in preventing low grade cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasias and anogenital warts (condyloma acuminata). Design: Data from two international, double blind, placebo controlled, randomised efficacy trials of quadrivalent HPV vaccine (protocol 013 (FUTURE I) and protocol 015 (FUTURE II)). The trials were to be 4 years in length, and the results reported are from final study data of 42 months' follow-up. Setting: Primary care centres and university or hospital associated health centres in 24 countries and territories around the world. Participants: 17 622 women aged 16-26 years enrolled between December 2001 and May 2003. Major exclusion criteria were lifetime number of sexual partners (>4), history of abnormal cervical smear test results, and pregnancy. Intervention: Three doses of quadrivalent HPV vaccine (for serotypes 6, 11, 16, and 18) or placebo at day 1, month 2, and month 6. Main outcome measures: Vaccine efficacy against cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasia grade I and condyloma in a per protocol susceptible population that included subjects who received all three vaccine doses, tested negative for the relevant vaccine HPV types at day 1 and remained negative through month 7, and had no major protocol violations. Intention to treat, generally HPV naive, and unrestricted susceptible populations were also studied. Results: In the per protocol susceptible population, vaccine efficacy against lesions related to the HPV types in the vaccine was 96% for cervical intraepithelial neoplasia grade I (95% confidence interval 91% to 98%), 100% for both vulvar and vaginal intraepithelial neoplasia grade I (95% CIs 74% to 100%, 64% to 100% respectively), and 99% for condyloma (96% to 100%). Vaccine efficacy against any lesion (regardless of HPV type) in the generally naive population was 30% (17% to 41%), 75% (22% to 94%), and 48% (10% to 71%) for cervical, vulvar, and vaginal intraepithelial neoplasia grade I, respectively, and 83% (74% to 89%) for condyloma. Conclusions: Quadrivalent HPV vaccine provided sustained protection against low grade lesions attributable to vaccine HPV types (6, 11, 16, and 18) and a substantial reduction in the burden of these diseases through 42 months of follow-up. Trial registrations: NCT00092521 and NCT00092534.
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La incidencia de la tosferina ha mostrado un incremento en los últimos años; afectando predominantemente a los niños menores de 1 año, adolescentes y adultos. En el 2005 el Comité Asesor de Prácticas en Inmunización (ACIP) recomendó administrar una dosis de refuerzo de la vacuna acelular antipertussis a los adolescentes. Esta estrategia ha sido adoptada por distintos países. Sin embargo hasta el momento no existe una revisión sistemática que evalúe la efectividad de esta medida de prevención primaria. Métodos: Revisión sistemática de la literatura de artículos acerca de la efectividad de la vacuna acelular antipertussis como dosis de refuerzo en adolescentes. Resultados: La búsqueda inicial arrojó un total de 121 resultados, de los cuales solo 4 cumplieron los criterios de selección. Se evaluó en éstos, la inmunogenicidad generada contra tétanos y difteria por la vacuna Tdap vs Td con resultados significativos y similares. Además se documentó la respuesta inmunológica protectora generada por la Tdap contra tosferina. En cuanto a la reactogenicidad, en general fue baja. Discusión: La vacuna Tdap genera inmunogenicidad similar a la Td contra tétanos y difteria. Además proporciona adecuada protección contra la tosferina como dosis de refuerzo en los adolescentes. Conclusión: La evidencia disponible sugiere que se puede recomendar la vacuna Tdap como dosis de refuerzo en adolescentes entre los 10 y los 18 años de edad por su baja reactogenicidad y adecuada inmunogenicidad contra tétanos, difteria y B. Pertussis.
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La ganader??a vacuna tiene gran incidencia en la econom??a de Colmenar Viejo y su comarca. Por ello, se elabora este proyecto con el fin de familiarizar a los alumnos en aspectos ganaderos y que conozcan los canales de distribuci??n de la leche, la carne y la piel, as?? como las industrias relacionadas con la caba??a vacuna. El resultado del proyecto es un informe que recoge datos sobre el ganado y sus derivados, sistemas de distribuci??n y estabulaci??n, investigaci??n sobre centrales lecheras y mataderos, vacunaciones, uso de pastos comunales o la evoluci??n de la caba??a vacuna en Colmenar Viejo desde 1900. Entre las actividades destacan visitas a centrales lecheras, confecci??n de murales y gr??ficas, y entrevistas a responsables de ganader??as. En anexos se incluye material elaborado por los alumnos..
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Resumen basado en el de la publicación
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Comunicaci??n presentada en las Jornadas sobre Investigaci??n e Innovaci??n en la Educaci??n F??sica escolar celebradas en el CEP de La Laguna, del 2 al 5 de junio de 2010
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Background: The possibility to acquire sexually transmitted diseases generates bio-psycho-social conflicts affecting daily life of women. Objective: To investigate the knowledge of women on the concept of being infected by the human papilloma virus (HPV) and to understand the significance they attributed to their condition as HPV carriers. Material and method: It is a qualitative study in which ten women were interviewed, after the result of a cytopathological exam suggesting HPV. Data were collected at the Center of Health School of the Universidade Estadual Paulista -UNESP-Brazil. Results: The significant items were: deception and preoccupation about the cure, since they indicate that it is very deceptive to be infected with an incurable disease by a person whom they trust; the method of having sexual relations and being infected again; the necessity of care and of being optimistic to face the disease and the threat of cervix cancer originating anxiety. Discussion: Orientations made by health professionals were efficacious to clarify the relationship with cancer development. It is possible to understand the necessity of assistance orientations and the opportunity to hear them, offering individualized quality care. This study also offers important elements to reinforce the educational role of health professionals, principally those referring to sexually transmitted infection and cancer, seeking prevention and early treatment with the offered information. However, there is no desire of finishing the subject regarding perception, thus there is much to discover about diseases related to human papilloma virus. Key words: women carriers of HPV, feelings attributed by women.
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von Karl Grumbach
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Para evaluar la posible disminución de la adición de cloruro de sodio, mediante el agregado de oleorresinas de especias, se elaboró una masa en la que se empleó 85 % de carne vacuna y 15 % de grasa. Se fraccionó en tres lotes, adicionándoles: 1000 mg/kg de oleorresina de Origanum x Majoricum, 750 mg/kg de la de Capsicum annum o de la de Acantholippia seriphioides, respectivamente. Luego se dividieron en cinco porciones iguales y se agregó sal, hasta alcanzar contenidos de 0.00 %; 0.25 %; 0.50 %; 0.75 % y 1.00 %. Se homogeneizaron y se elaboraron medallones de 100 g, que se cocinaron en horno hasta alcanzar una temperatura interna de 72 °C. Se realizó una evaluación sensorial con 15 jueces semientrenados, solicitándoles que asignaran puntajes, mediante escalas estructuradas de siete puntos e indicaran cuál/es rechazarían. Los puntajes asignados por el panel se sometieron a un análisis exploratorio de datos, a las pruebas de Page y de comparaciones múltiples. Los medallones adicionados con los tres tipos de oleorresinas para las dosis de sal ensayadas presentaron diferencias (= 0.05): las dosis de 0 y 1% fueron las menos aceptadas y la de 0.25 % fue la más aceptada. El 50 % de los jueces rechazó el medallón con 0 % de sal, para los tres tipos de oleorresinas. En las condiciones ensayadas, la incorporación de oleorresinas en dosis de 1000 mg/kg para orégano o de 750 mg/kg para pimiento y tomillo mendocino, permite formular medallones de carne vacuna, con bajo contenido de sal y alta aceptación.
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El virus del Papiloma Humano infecta de manera selectiva al epitelio de la piel y las mucosas. Cuando se producen las infecciones, éstas pueden ser asintomáticas, provocando lesiones de tipos verrugosos o asociados a diversas neoplasias, benignos o malignos del tracto respiratorio superior y la cavidad bucal principalmente. Se presenta el caso de una niña con lesiones orales producidas por el VPH. Las lesiones se manifiestan clínicamente: elevadas, pediculadas y de superficie papilar; otras son planas y difusas sobre una base sésil.