873 resultados para Theory of mind
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There have been many functional imaging studies of the brain basis of theory of mind (ToM) skills, but the findings are heterogeneous and implicate anatomical regions as far apart as orbitofrontal cortex and the inferior parietal lobe. The functional imaging studies are reviewed to determine whether the diverse findings are due to methodological factors. The studies are considered according to the paradigm employed (e.g., stories vs. cartoons and explicit vs. implicit ToM instructions), the mental state(s) investigated, and the language demands of the tasks. Methodological variability does not seem to account for the variation in findings, although this conclusion may partly reflect the relatively small number of studies. Alternatively, several distinct brain regions may be activated during ToM reasoning, forming an integrated functional "network." The imaging findings suggest that there are several "core" regions in the network-including parts of the prefrontal cortex and superior temporal sulcus-while several more "peripheral" regions may contribute to ToM reasoning in a manner contingent on relatively minor aspects of the ToM task. © 2008 Wiley-Liss, Inc.
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The medial pFC (mPFC) is frequently reported to play a central role in Theory of Mind (ToM). However, the contribution of this large cortical region in ToM is not well understood. Combining a novel behavioral task with fMRI, we sought to demonstrate functional divisions between dorsal and rostral mPFC. All conditions of the task required the representation of mental states (beliefs and desires). The level of demands on cognitive control (high vs. low) and the nature of the demands on reasoning (deductive vs. abductive) were varied orthogonally between conditions. Activation in dorsal mPFC was modulated by the need for control, whereas rostral mPFC was modulated by reasoning demands. These findings fit with previously suggested domain-general functions for different parts of mPFC and suggest that these functions are recruited selectively in the service of ToM.
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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.
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Perspective taking is a crucial ability that guides our social interactions. In this study, we show how the specific patterns of errors of brain-damaged patients in perspective taking tasks can help us further understand the factors contributing to perspective taking abilities. Previous work (e.g., Samson, Apperly, Chiavarino, & Humphreys, 2004; Samson, Apperly, Kathirgamanathan, & Humphreys, 2005) distinguished two components of perspective taking: the ability to inhibit our own perspective and the ability to infer someone else’s perspective. We assessed these components using a new nonverbal false belief task which provided different response options to detect three types of response strategies that participants might be using: a complete and spared belief reasoning strategy, a reality-based response selection strategy in which participants respond from their own perspective, and a simplified mentalising strategy in which participants avoid responding from their own perspective but rely on inaccurate cues to infer the other person’s belief. One patient, with a self-perspective inhibition deficit, almost always used the reality-based response strategy; in contrast, the other patient, with a deficit in taking other perspectives, tended to use the simplified mentalising strategy without necessarily transposing her own perspective. We discuss the extent to which the pattern of performance of both patients could relate to their executive function deficit and how it can inform us on the cognitive and neural components involved in belief reasoning.
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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.
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Schurz and Tholen (2016) argue that common approaches to studying the neural basis of “theory of mind” (ToM) obscure a potentially important role for inferior frontal gyrus (IFG) in managing conflict between perspectives, and urge new work to address this question: “to gain a full understanding of the IFG's role in ToM, we encourage future imaging studies to use a wider range of control conditions.” (p332). We wholeheartedly agree, but note that this observation has been made before, and has already led to a programme of work that provides evidence from fMRI, EEG, and TMS on the role of IFG in managing conflict between self and other perspectives in ToM. We highlight these works, and in particular we demonstrate how careful manipulation within ToM tasks has been used to act as an internal control condition, wherein conflict has been manipulated within-subject. We further add to the discussion by framing key questions that remain regarding IFG in the context of these. Using limitations in the existing research, we outline how best researchers can proceed with the challenge set by Schurz and Tholen (2016).
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Mode of access: Internet.
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"We have taken IQ tests but, strangely, no Compassion Aptitude Tests (CATs). Yet mind and emotions need to be seen as two different parts of the same spectrum, says holistic thinker Henryk Skolimowski, if the human psyche, having taken an unprecedented battering this century, is to be mended. This cannot be accomplished, however, either through the offices of dusty philosophical treatises or popular psychological fixes, only by our arriving at a new way of looking at the world." "In a Grand Theory of participatory mind that builds on the insights of such thinkers as Teilhard de Chardin and Bergson as well as contemporaries Dobzhansky and Bateson, Skolimowski points to a new order, one brought about by a Western mind returning to, then reintegrating, the spiritual. This quest for fresh perspectives, as we approach the twenty-first century, has now become 'the hallmark of our times'."--BOOK JACKET.
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Attention Deficit Hyperactivity Disorder is a diagnostic term now indelibly scored on the public psyche. In some quarters, a diagnosis of “ADHD” is regarded with derision. In others it is welcomed with relief. Despite intense multi-disciplinary research, the jury is still out with regards to the “truth” of ADHD. Not surprisingly, the rapid increase in diagnosis over the past fifteen years, coupled with an exponential rise in the prescription of restricted class psychopharmaceuticals has stirred virulent debate. Provoking the most interest, it seems, are questions regarding causality. Typically, these revolve around possible antecedents for “disorderly” behaviour – bad food, bad tv and bad parents. Very seldom is the institution of schooling ever in the line of sight. To investigate this gap, I draw on Foucault to question what might be happening in schools and how this may be contributing to the definition, recognition and classification of particular children as a particular kind of “disorderly”.
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Space in musical semiosis is a study of musical meaning, spatiality and composition. Earlier studies on musical composition have not adequately treated the problems of musical signification. Here, composition is considered an epitomic process of musical signification. Hence the core problems of composition theory are core problems of musical semiotics. The study employs a framework of naturalist pragmatism, based on C. S. Peirce’s philosophy. It operates on concepts such as subject, experience, mind and inquiry, and incorporates relevant ideas of Aristotle, Peirce and John Dewey into a synthetic view of esthetic, practic, and semiotic for the benefit of grasping musical signification process as a case of semiosis in general. Based on expert accounts, music is depicted as real, communicative, representational, useful, embodied and non-arbitrary. These describe how music and the musical composition process are mental processes. Peirce’s theories are combined with current morphological theories of cognition into a view of mind, in which space is central. This requires an analysis of space, and the acceptance of a relativist understanding of spatiality. This approach to signification suggests that mental processes are spatially embodied, by virtue of hard facts of the world, literal representations of objects, as well as primary and complex metaphors each sharing identities of spatial structures. Consequently, music and the musical composition process are spatially embodied. Composing music appears as a process of constructing metaphors—as a praxis of shaping and reshaping features of sound, representable from simple quality dimensions to complex domains. In principle, any conceptual space, metaphorical or literal, may set off and steer elaboration, depending on the practical bearings on the habits of feeling, thinking and action, induced in musical communication. In this sense, it is evident that music helps us to reorganize our habits of feeling, thinking, and action. These habits, in turn, constitute our existence. The combination of Peirce and morphological approaches to cognition serves well for understanding musical and general signification. It appears both possible and worthwhile to address a variety of issues central to musicological inquiry in the framework of naturalist pragmatism. The study may also contribute to the development of Peircean semiotics.
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In two experiments, we tested some of the central claims of the empathizing-systemizing (E-S) theory. Experiment 1 showed that the systemizing quotient (SQ) was unrelated to performance on a mathematics test, although it was correlated with statistics-related attitudes, self-efficacy, and anxiety. In Experiment 2, systemizing skills, and gender differences in these skills, were more strongly related to spatial thinking styles than to SQ. In fact, when we partialled the effect of spatial thinking styles, SQ was no longer related to systemizing skills. Additionally, there was no relationship between the Autism Spectrum Quotient (AQ) and the SQ, or skills and interest in mathematics and mechanical reasoning. We discuss the implications of our findings for the E-S theory, and for understanding the autistic cognitive profile.
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Dans le but d’examiner les mécanismes qui sous-tendent le développement de la sécurité d’attachement chez l’enfant, Grossmann et al. (1999; 2008) proposent une perspective plus vaste de l’étude de l’attachement chez l’enfant, examinant les comportements parentaux pertinents aux deux côtés de l’équilibre entre le système d’attachement et le système d’exploration. La thèse se base sur cette approche pour explorer la relation entre la sécurité d’attachement chez l’enfant et deux comportements maternels, soit la sensibilité maternelle et le soutien à l’autonomie maternel, de même que la relation entre ces deux comportements et l’état d’esprit maternel face à l’attachement. Le premier article propose que la théorie de l’autodétermination, avec ses études empiriques portant sur les comportements parentaux liés à l’exploration, offre une perspective utile pour l’étude des comportements d’exploration dans le cadre de l’équilibre attachement/exploration. L’article présente une revue théorique et empirique des domaines de l’attachement et de la théorie de l’autodétermination et souligne des analogies conceptuelles et empiriques entre les deux domaines, en plus de décrire la façon dont ils se complètent et se complémentent. Le deuxième article étudie les liens entre la sensibilité maternelle, le soutien à l’autonomie maternel et la sécurité d’attachement chez l’enfant. Soixante et onze dyades ont participé à deux visites à domicile. La sensibilité maternelle a été évaluée lorsque les enfants étaient âgés de 12 mois, alors que le soutien à l’autonomie maternel et la sécurité d’attachement chez l’enfant l’ont été lorsque les enfants avaient atteint l’âge de 15 mois. Les résultats indiquent que le soutien à l’autonomie maternel explique une portion significative de la variance de la sécurité d’attachement, et ce, après avoir contrôlé pour la sensibilité maternelle et le statut socio-économique. Le troisième article examine les relations entre deux dimensions de l’état d’esprit maternel face à l’attachement (esquivant et préoccupé/non-résolu), la sensibilité maternelle et le soutien à l’autonomie maternel. Soixante et onze dyades ont participé à trois visites à domicile. L’Entrevue d’Attachement Adulte (EAA) a été administrée lorsque les enfants étaient âgés de 8 mois, la sensibilité maternelle a été évaluée alors qu’ils avaient atteint l’âge de 12 mois et le soutien à l’autonomie maternel, lorsqu’ils avaient 15 mois. Les résultats révèlent qu’après avoir contrôlé pour le statut socio-économique, la sensibilité maternelle est liée de façon négative à la dimension « esquivant » de l’EAA, alors que le soutien à l’autonomie maternel est lié de façon négative à la dimension « préoccupé/non-résolu ». Les résultats présentés dans le deuxième et le troisième article sont discutés, de même que de leurs répercussions théoriques et cliniques. Des questions susceptibles de guider des recherches futures sont proposées.
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Introduction: Schizophrenia is a serious and chronic mental illness that has effect on cognitive and social functioning of a person who suffers it. Recent research points out that social cognition subprocesses, such as Theory of Mind, social perception or emotional processing, have to do with some problems that patients show in their social adjustment. Aim: Assessing ability of recognizing mental states from facial expressions in schizophrenia patients compared to a control group. Subjects and methods: 17 stable schizophrenia patients who are aware of the illness and 17 healthy people, with the same age and sociocultural level, took the “Reading the Mind in the Eyes” Test Revised Version of Baron- Cohen. Results: Compared with the control group, subjects with schizophrenia showed much lower scores. Conclusions: It is confirmed that schizophrenia patients have impairments to understand facial expressions, especially from the eyes. That is typical of this illness, so it is necessary to do interventions at that point. Furthermore, inability to recognize emotions, as a domain of social cognition, contributes to deficit in functional outcome in schizophrenia. Finally, some treatment programs are put forward.