Playing with the ‘Erbe’: The Legacy of the Songs of the 1848 Revolution in the GDR

After the twelve-year rupture caused by the Nazis, in the Soviet zone after 1945 attempts were made to reconnect with the traditions of workers’ songs and critical folk songs that were viewed as the cultural heritage of the communist movement. One of these ‘repertoires’ of song was that of the 1848 Revolution. In the 1950s GDR researchers such as the Germanist Bruno Kaiser, the musicologist Inge Lammel and in particular the folklorist Wolfgang Steinitz made substantial contributions to the collecting and publication of the 1848 songs. Their work provided an important reference point for the singers of the German folk song revival in the GDR from the late 1970s onwards. As the cases of groups such as Folkländer and Wacholder showed, theirs was a particularly creative appropriation of the revolutionary Erbe that involved performing protest songs of the past as if they were criticising the present.

AHRC-DFG Project "Songs of the Revolution of 1848 and their Reception History in Germany"

This on-line project consists of commentaries and critical editions of the songs of the 'Vormaerz' and the 1848 Revolution which have shaped the cultural memory of this period in Germany. Looking at both textual and musical developments the research deals with the history of reception of key 1848 songs by established as well as anonymous poets. These together have formed an enduring corpus in the repertoires of singers of German political song. One of the main findings is how songs are not static: they evolve musically and textually and can undergo changes of function during a process of historical reception which is often ideologically motivated.

Songs of the Seventeenth Century

"Songs of the Seventeenth Century" was published in-house and was the result of an innovative teaching/research project that brought together staff and students in history and music. The package was distributed in other universities and included documents, commentary and new musical recordings (made by QUB students and recent graduates).

Canções / Songs: Fernando Pessoa traduz António Botto

Dissertação apresentada com vista à obtenção do grau de Mestre em Tradução e Interpretação Especializada. Instituto Politécnico do Porto (Portaria nº 602/2003 de 21 Julho)

Le blues et le jazz au service de la révolution? : les positions des communistes américains blancs à l’égard de la musique noire et son utilisation à des fins d’agit-prop durant l’entre-deux-guerres (1919-1941)

En 1936, l’American Music League publiait le recueil de chansons afro-américaines Negro Songs of Protest collectées par le folkloriste communiste Lawrence Gellert. Puis en 1938 et 1939, grâce au financement du mouvement communiste américain, le producteur John Hammond présentait deux concerts intitulés From Spirituals to Swing au Carnegie Hall de New York. En plus de rendre hommage à l’histoire de la musique noire américaine, ces deux concerts défiaient la ségrégation raciale, permettant au Noirs et aux Blancs d’être rassemblés sur une même scène et de s’asseoir ensemble dans l’assistance. Au même moment, la chanteuse jazz Billie Holiday faisait fureur au Café Society, premier club « intégré » de New York et lieu de rassemblement de la gauche radicale, en interprétant soir après soir la chanson ‘’Strange Fruit’’ qui dénonçait l’horreur du lynchage toujours en vigueur dans le Sud des États-Unis. C’était l’époque du Front Populaire, la plus importante période d’influence du mouvement communiste aux États-Unis et, de surcroît, le moment de l’histoire américaine durant lequel la gauche organisée détenait un pouvoir sans précédent sur la culture de masse. Partant d’une discussion sur le potentiel révolutionnaire de la musique noire américaine et cherchant à comprendre le positionnement des mouvements sociaux vis-à-vis la culture, ce mémoire met en lumière le point de vue des communistes américains blancs face à l’émergence et à la popularité grandissante du blues et du jazz noirs aux États-Unis. En fonction des trois principales phases politiques du Parti Communiste américain (CPUSA) – la phase du colorblind class (1919-1928); la phase du nationalisme noir (1928-1935); le Front Populaire (1935-1940) – ce mémoire retrace les changements d’attitude de la vieille gauche envers la culture populaire et suggère que le mouvement communiste américain a tenté d’utiliser le blues et le jazz à des fins d’agit-prop.