74 resultados para Papillomaviruses
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Inverted ductal papilloma of the oral cavity is an infrequent benign neoplasm of papillary appearance that originates in the secretory duct of a salivary gland. The etiology is unknown, though some authors have related it to human papillomavirus (HPV) infection. We present the case of a 40-year-old woman with a tumor of the lower lip mucosa. Histopathological study of the lesion diagnosed inverted ductal papilloma of the oral cavity. Human papillomavirus DNA detection and typing based on tumor lesion DNA amplification and posterior hybridization, revealed no presence of viral DNA. The antecedents of trauma reported by the patient could have played an important role in the development of this tumor
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The incidence of head and neck squamous cell carcinoma (HNSCC) has been gradually increasing over the last three decades. Recent data have now attributed a viral aetiology to a subset of head and neck cancers. Several studies indicate that oral human papillomavirus (HPV) infection is likely to be sexually acquired. The dominance of HPV 16 in HPV+ HNSCC is even greater than that seen in cervical carcinoma of total worldwide cases. Strong evidence suggests that HPV+ status is an important prognostic factor associated with a favourable outcome in head and neck cancers. Approximately 30 to 40% of HNSCC patients with present with early stage I/II disease. These patients are treated with curative intent using single modality treatments either radiation or surgery alone. A non-operative approach is favored for patients in which surgery followed by either radiation alone or radiochemotherapy may lead to severe functional impairment. Cetuximab, a humanized mouse anti-EGFR IgG1 monoclonal antibody, improved locoregional control and overall survival in combination with radiotherapy in locally advanced tumours but at the cost of some increased cardiac morbidity and mortality. Finally, the improved prognosis and treatment responses to chemotherapy and radiotherapy by HPV+ tumours may suggest that HPV status detection is required to better plan and individualize patient treatment regimes.
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La infección endodóntica es la infección que afecta al sistema de conductos radiculares y, sin duda, es el principal agente etiológico de las periodontitis apicales. Además, de las bacterias patógenas endodónticas, se ha buscado en los últimos años asociar la presencia de virus en distintos tipos de patología endodóntica. Los virus que más se han buscado y asociado son los pertenecientes a la familia herpesvirus, los cuales se han encontrado presentes en patologías periapicales principalmente. Se ha buscado además, relacionar su presencia a patologías que cursan con mayor sintomatología, o que presentan a la imagen radiográfica destrucciones óseas periapicales mayores. El rol de los virus en las lesiones apicales de origen endodóntico está aún poco claro, se habla de efectos acumulativos a los de las bacterias, además de posibles inmunosupresiones locales que favorecerían el crecimiento y el efecto de estas últimas
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Anti-cancer DNA vaccines have attracted growing interest as a simple and non-invasive method for both the treatment and prevention of tumors induced by human papillomaviruses. Nonetheless, the low immunogenicity of parenterally administered vaccines, particularly regarding the activation of cytotoxic CD8+ T cell responses, suggests that further improvements in both vaccine composition and administration routes are still required. In the present study, we report the immune responses and anti-tumor effects of a DNA vaccine (pgD-E7E6E5) expressing three proteins (E7, E6, and E5) of the human papillomavirus type 16 genetically fused to the glycoprotein D of the human herpes simplex virus type 1, which was administered to mice by the intradermal (id) route using a gene gun. A single id dose of pgD-E7E6E5 (2 µg/dose) induced a strong activation of E7-specific interferon-γ (INF-γ)-producing CD8+ T cells and full prophylactic anti-tumor effects in the vaccinated mice. Three vaccine doses inhibited tumor growth in 70% of the mice with established tumors. In addition, a single vaccine dose consisting of the co-administration of pgD-E7E6E5 and the vector encoding interleukin-12 or granulocyte-macrophage colony-stimulating factor further enhanced the therapeutic anti-tumor effects and conferred protection to 60 and 50% of the vaccinated mice, respectively. In conclusion, id administration of pgD-E7E6E5 significantly enhanced the immunogenicity and anti-tumor effects of the DNA vaccine, representing a promising administration route for future clinical trials.
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Le gène L1 encode pour la protéine majeure de la capside des papillomavirus humains (VPH). L’information relative au polymorphisme de L1 pour les types autres que VPH- 16 est jusqu’ici limitée. Cet ouvrage explore le polymorphisme de L1 en comparant les séquences des types phylogénétiquement apparentés VPH-31, -33, -35 à VPH-16. Des spécimens génitaux recueillis de 732 femmes VIH-séropositives et 323 VIHséronégatives ont été criblés à le recherche d’ADN de VPH par PCR consensus au niveau du gène L1. Les échantillons positifs pour VPH-16 (n=74), -31 (n=74), -33 (n=37) et -35 (n=58) étaient analysés par PCR-séquençage pour la totalité du gène L1. Le nombre de nucléotides substitués pour L1 variait de 19 pour VPH-33 à 52 pour VPH-31. Le rapport du nombre de variantes sur le nombre d’isolats testés était plus élevé pour VPH-31 (56.4%, p=0.05) et VPH-35 (60.3%, p=0.04) comparativement à VPH-16 (40.5%), alors que ce ratio était inférieur pour VPH-33 mais sans différence statistiquement significative (24.3%, p=0.14). La distance entre les variantes était plus grande à l’intérieur des cinq boucles présumément exposées à la surface de la protéine L1 que dans la séquence à l’extérieur (p<0.01) Des variations synonymes étaient observées chez 1.7% (95% CI 1.1- 2.3) des nucléotides intra-boucles et 2.4% (95% CI 1.2-3.7) de ceux extra-boucles. Les variations non-synonymes étaient rencontrées pour 1.8% (95% CI 1.1-2.5) des nucléotides intra-boucles et 0.2% (95% CI 0-0.4) pour les nucléotides extra-boucles. Les ratios dN/dS étaient inférieurs à 1.0 pour les régions extra-boucles et encore davantage pour les régions intra-boucles. Ces résultats suggèrent que les séquences des régions hypervariables de L1 ont été sélectionnées positivement.
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Les papillomavirus sont des virus à ADN qui infectent la peau et les muqueuses. Ils causent des verrues et peuvent aussi mener au développement de cancers, dont le cancer du col de l’utérus. La réplication de leur génome nécessite deux protéines virales : l’hélicase E1 et le facteur de transcription E2, qui recrute E1 à l’origine de réplication virale. Pour faciliter l’étude de la réplication du génome viral, un essai quantitatif et à haut débit basé sur l’expression de la luciférase a été développé. Parallèlement, un domaine de transactivation a été identifié dans la région régulatrice N-terminale de la protéine E1. La caractérisation de ce domaine a montré que son intégrité est importante pour la réplication de l’ADN. Cette étude suggère que le domaine de transactivation de E1 est une région protéique intrinsèquement désordonnée qui permet la régulation de la réplication du génome viral par son interaction avec diverses protéines.
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Les virus du papillome humain (VPH) sont de petits virus à ADN double brin infectant les épithéliums de la peau et des muqueuses. La réplication nécessaire au maintien de leur génome dans les cellules infectées dépend des protéines virales E1 et E2. Au cours de la réplication, E1 est recrutée à l’origine de réplication par E2 afin d’être assemblée en doubles hexamères capables de dérouler l’ADN. E1 contient un domaine C-terminal responsable de l’activité ATPase/hélicase, un domaine central de liaison à l’origine et une région N-terminale régulant la réplication in vivo. Cette région contient des signaux de localisation et d’export nucléaire qui modulent le transport intracellulaire de E1. Chez le virus du papillome bovin (VPB), il a été proposé que ce transport est régulé par la sumoylation de E1. Finalement, la région N-terminale de E1 contient un motif de liaison aux cyclines permettant son interaction avec la cycline E/A-Cdk2. La phosphorylation de E1 par cette dernière régule différemment l’export nucléaire des protéines E1 du VPB et du VPH. Dans la première partie de cette étude, nous avons démontré que bien que la protéine E1 des VPH interagit avec Ubc9, l’enzyme de conjugaison de la voie de sumoylation, cette voie n’est pas requise pour son accumulation au noyau. Dans la seconde partie, nous avons déterminé que l’accumulation nucléaire de E1 est plutôt régulée pas sa phosphorylation. En fait, nous avons démontré que l’export nucléaire de E1 est inhibé par la phosphorylation de sérines conservées de la région N-terminale de E1 par Cdk2. Puis, nous avons établi que l’export nucléaire de E1 n’est pas nécessaire à l’amplification du génome dans les kératinocytes différenciés mais qu’il est requis pour le maintien du génome dans les kératinocytes non différenciés. En particulier, nous avons découvert que l’accumulation nucléaire de E1 inhibe la prolifération cellulaire en induisant un arrêt du cycle cellulaire en phase S et que cet effet anti-prolifératif est contrecarrée par l’export de E1 au cytoplasme. Dans la troisième partie de cette étude, nous avons démontré que l’arrêt cellulaire induit par E1 dépend de sa liaison à l’ADN et à l’ATP, et qu’il est accompagné par l’activation de la voie de réponse aux dommages à l’ADN dépendante de ATM (Ataxia Telangiectasia Mutated). Ces deux événements semblent toutefois distincts puisque la formation d’un complexe E1-E2 réduit l’activation de la voie de réponse aux dommages par E1 sans toutefois prévenir l’arrêt de cycle cellulaire. Finalement, nous avons démontré que la réplication transitoire de l’ADN viral peut avoir lieu dans des cellules arrêtées en phase S, indépendamment de l’activation de la voie de réponse aux dommages à l’ADN et de la kinase ATM. Globalement, nos résultats démontrent que l’export nucléaire de E1 est régulé par sa phosphorylation et non par sa sumoylation. Ils démontrent également que l’export nucléaire de E1 est essentiel au maintien du génome dans les kératinocytes, possiblement parce qu’il prévient l’inhibition de la prolifération cellulaire et l’activation de la voie de réponse aux dommages à l’ADN en limitant l’accumulation de E1 au noyau.
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Les papillomavirus humains (VPHs) sont reconnus comme les agents étiologiques du cancer du col de l’utérus. Notre étude a pour but de décrire le polymorphisme de la région régulatrice virale (LCR) et du gène E6 du VPH52 chez 216 femmes canadiennes avec différents grades de lésion du col et d’établir s’il existe une association entre les variantes décrites et la présence de lésions intraépithéliales de haut-grade (CIN2,3) du col de l’utérus ou de cancer invasif. L’âge (OR 1.1, 95% CI 1.02-1.17, p=0.005) fut significativement associé à la présence de cancer invasif. Une variante de la région régulatrice virale, MTL-52-LCR-02, présentant une substitution nucléotidique au niveau du nucléotide 7436, fut aussi associée à la présence de cancer du col de l’utérus (p=0.015). Dans une analyse multivariée, après ajustement pour l’âge, l’ethnicité et le site de recrutement, une délétion au niveau du nucléotide 7695 (OR 5.7, 95% CI 1.2-27.9) ainsi qu’une substitution au niveau du nucléotide 7744 (OR 8.3, 95% CI 1.1-61.0) du LCR, et la variante K93R de la protéine E6 (OR 9.5, 95% CI 1.3-68.9) furent associées de façon significative avec la présence de CIN2,3. Ainsi, le polymorphisme du LCR et du gène E6 du VPH52 est associé avec la présence de CIN2,3 et probablement avec celle d’un cancer invasif.
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Les papillomavirus sont de petits virus à ADN double brin qui infectent les cellules de l’épithélium de la peau et des muqueuses d’une variété de vertébrés causant des lésions bénignes telles des verrues. Certains de ces virus sont également associés au développement de lésions malignes, notamment le cancer du col utérin. La protéine régulatrice E2 des papillomavirus est impliquée dans diverses fonctions contribuant à l’établissement de l’infection par ces virus. Entre autre, E2 régule la transcription des gènes viraux, participe à l’initiation de la réplication de l’ADN viral en s’associant à l’hélicase virale E1 et est responsable du maintien et de la ségrégation de l’épisome viral au cours de la division cellulaire. Toutes ces activités sont attribuables à la capacité de E2 à s’associer au génome viral et à interagir avec des protéines virales et cellulaires. De plus, ces fonctions sont elles-mêmes régulées par des modifications post-traductionnelles de la protéine E2. Plusieurs études ont été réalisées afin de découvrir les mécanismes de régulation des fonctions de E2 mais le rôle exact des différents domaines de E2 dans ces contrôles reste à être défini. En premier lieu, nous nous sommes intéressés à l’interaction entre E2 et Brd4(L) qui avait été définie comme étant essentielle à la ségrégation de l’épisome. Plusieurs caractéristiques associées à la protéine Brd4(L) telles que sa capacité à lier les lysines acétylées des histones, son interaction avec le complexe Mediator et sa participation à l’activation de la transcription en formant un complexe avec pTEFb, nous ont permis d’émettre l’hypothèse que l’interaction E2-Brd4(L) est nécessaire à l’activité transcriptionnelle de E2. Nous avons démontré que la protéine Brd4(L) interagit avec le domaine de transactivation de E2 de divers types de papillomavirus. De plus, cette interaction implique les résidus de E2 essentiels à son activité transcriptionnelle. Ainsi, ces résultats proposent que l’association E2-Brd4(L) serve à la régulation de la transcription des gènes viraux. Dans un second temps, nos recherches se sont concentrées sur l’existence d’une interface de dimérisation au sein du domaine de transactivation de E2 et de son implication dans les activités transcriptionnelles et réplicatives de la protéine. Nos études ont aussi mis en évidence que l’intégrité de la structure de ce domaine contribue au bon fonctionnement de la réplication du génome viral. Cette découverte suggère que la dimérisation de E2 peut réguler l’initiation de la réplication et propose l’existence d’un niveau de régulation additionnel impliquant l’état de la structure quaternaire de la protéine E2 et une modulation de l’interaction entre E1 et E2 à cette étape du cycle viral. Finalement, l’étude de l’instabilité de la protéine E2 nous a permis de définir une région importante dans le domaine flexible de la protéine, nécessaire à sa dégradation par le protéasome. De plus, la présence de résidus conservés localisés dans ce domaine, sont associés à la dégradation et portent la signature d’un signal de localisation nucléaire de type PY-NLS, suggérant que la stabilité de la protéine E2 est régulée par sa localisation au sein de la cellule. Ces études démontrent l’existence de nouvelles stratégies de régulation des activités transcriptionnelle et réplicative de la protéine E2 des papillomavirus. La compréhension de ces mécanismes nous permet de mieux cerner les étapes favorisant l’établissement et la progression du cycle viral et d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques contre les infections aux papillomavirus.
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Le virus du papillome humain (VPH) est l’agent étiologique du cancer du col utérin, ainsi que d’autre néoplasies anogénitales et des voies aérodigestives supérieures. La réplication de son génome d’ADN double brin est assurée par les protéines virales E1 et E2, de concert avec la machinerie cellulaire de réplication. E1 assure le déroulement de l’ADN en aval de la fourche de réplication, grâce à son activité hélicase, et orchestre la duplication du génome viral. Nos travaux antérieurs ont démontré que le domaine N-terminal de E1 contient un motif de liaison à la protéine cellulaire p80/UAF1 qui est hautement conservé chez tous les VPH anogénitaux. L’intégrité de ce motif est essentielle au maintien de l’épisome viral. Les travaux présentés dans cette thèse ont d’abord déterminé que le motif de liaison à UAF1 n’est pas requis pour l’assemblage du pré-réplisome viral, mais important pour la réplication subséquente de l’ADN du VPH. Nous avons constaté qu’en présence de E1 et E2, UAF1 est relocalisé dans des foyers nucléaires typiques de sites de réplication du virus et qu’en outre, UAF1 s’associe physiquement à l’origine de réplication du VPH. Nous avons aussi déterminé que l’inhibition du recrutement de UAF1 par la surexpression d’un peptide dérivé de E1 (N40) contenant le motif de liaison à UAF1 réduit la réplication de l’ADN viral. Cette observation soutient le modèle selon lequel UAF1 est relocalisé par E1 au réplisome pour promouvoir la réplication de l’ADN viral. UAF1 est une protéine à domaine WD40 n’encodant aucune activité enzymatique et présumée exploiter des interactions protéine-protéine pour accomplir sa fonction. Nous avons donc investigué les protéines associées à UAF1 dans des cellules du col utérin et avons détecté des interactions avec les enzymes de déubiquitination USP1, USP12 et USP46, ainsi qu’avec la phosphatase PHLPP1. Nous avons établi que E1 forme un complexe ternaire avec UAF1 et n’importe laquelle des USP associés : USP1, USP12 ou USP46. Ces USP sont relocalisés au noyau par E1 et s’associent à l’ADN viral. De plus, l’activité enzymatique des USP est essentielle à la réplication optimale du génome viral. Au contraire, PHLPP1 ne forme pas de complexe avec E1, puisque leurs interactions respectives avec UAF1 sont mutuellement exclusives. PHLPP1 contient un peptide de liaison à UAF1 homologue à celui de E1. Ce peptide dérivé de PHLPP1 (P1) interagit avec le complexe UAF1-USP et, similairement au peptide N40, antagonise l’interaction E1-UAF1. Incidemment, la surexpression du peptide P1 inhibe la réplication de l’ADN viral. La génération de protéines chimériques entre P1 et des variants de E1 (E1Δ) défectifs pour l’interaction avec UAF1 restaure la capacité de E1Δ à interagir avec UAF1 et USP46, ainsi qu’à relocaliser UAF1 dans les foyers nucléaires contenant E1 et E2. Ce recrutement artificiel de UAF1 et des USP promeut la réplication de l’ADN viral, un phénotype dépendant de l’activité déubiquitinase du complexe. Globalement, nos travaux suggèrent que la protéine E1 du VPH interagit avec UAF1 afin de recruter au réplisome un complexe de déubiquitination dont l’activité est importante pour la réplication de l’ADN viral.
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Los objetivos de este estudio fueron proveer datos con respecto a los patrones de infección de seis tipos de Papilomavirus humano de Alto Riesgo (AR-VPH-16, -18, -31, -33, -45, y -58) y dos tipos de Bajo Riesgo BR-VPH- 6 and -11), su asociación con factores de riesgo y coinfección. Se probaron muestras cervicales de 2110 mujeres para evaluar la presencia de DNA de HPV por reacción en cadena de la polimerasa. Se realizaron análisis estadísticos para determinar las frecuencias de los tipos virales encontrados en infecciones únicas y múltiples y la asociación entre infección y diferentes factores poblacionales. El tipo más prevalente fue VPH-16 seguido de VPH-31, siendo la distribución de éste último, variable según las diferentes ciudades analizadas. Los resultados evidenciaron una distribución tipo-específica diferencial entre regiones y una alta asociación entre ausencia de embarazos, ciudades como Girardot y Leticia, pertenecer a la etnia indígena (analizada en este estudio) y la adquisición de infecciones múltiples. Adicionalmente los datos sugieren que algunos factores sociodemográficos como la raza, el número de embarazos, el número de compañeros sexuales y la región geográfica se asocian significativamente y mostraron diferencias menores entre infecciones únicas y múltiples. Estos resultados proveen información relevante que permitirá evaluar el impacto de los programas de vacunación en estas poblaciones y la presión selectiva que podría tener la distribución de los tipos de VPH.
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Introducción. Con la creación de la vacuna contra el virus de papiloma humano en los años ochentas, se ha promovido su aplicación de manera sistemática para evitar el cáncer cervical, que es la segunda causa de mortalidad por cáncer en mujeres en edad fértil. Actualmente se desconoce el impacto de los resultados de su aplicación. Se pretendió evaluar la mejor evidencia relacionada con los resultados de la vacuna contra VPH en mujeres en edad fértil. Metodología Se realizó una revisión sistemática de literatura incluyendo los artículos con mejor evidencia en los últimos cinco años. Los términos mesH incluyeron HPV vaccine, women, efficacy entre otros. Todos los artículos fueron clasificados por evidencia antes de ser analizados. Resultados Se encontraron un total de 557 artículos relacionados con el tema de los cuales 21 cumplieron criterios para su selección. La mayoría de artículos fueron clasificados como evidencia II. Las causas más frecuentes de exclusión fueron por tema no acorde y título. Discusión Los resultados de la revisión sistemática permiten definir que la eficacia de la vacuna contra VPH, tanto y la vacuna bivalente como y la cuadrivalente supera el 97% cuando se completan tres dosis. No hay reportes de eventos adversos graves, la edad de aplicación ideal es entre 9-14 años de edad.
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Introducción: La infección por un tipo de Virus del Papiloma Humano de alto riesgo (VPH-AR), es el factor principal en el desarrollo de Cáncer de Cérvix (CC). La carga viral puede modular esta asociación, por lo que resulta importante su cuantificación y el establecimiento de su relación con lesiones precursoras de CC. Metodología: 60 mujeres con lesiones escamosas intraepiteliales (LEI) y 120 mujeres sin LEI, confirmadas por colposcopia, fueron incluidas en el estudio. Se determinó la carga viral de 6 tipos de VPH-AR, mediante PCR en tiempo real. Se estimaron OR crudos y ajustados para evaluar la asociación entre la carga viral de cada tipo y las lesiones cervicales. Resultados: 93.22% de mujeres con LEI y 91.23% de mujeres negativas, fueron positivas para al menos un tipo de VPH. VPH-18 y VPH-16 fueron los tipos más prevalentes, junto con VPH-31 en mujeres sin LEI. No se encontraron diferencias estadísticamente significativas de las cargas virales entre éstos dos grupos, aunque se observó un mayor carga viral en lesiones para algunos tipos virales. Una mayor frecuencia de lesiones se asoció a infecciones con carga baja de VPH-16 (ORa: 3.53; IC95%: 1.16 – 10.74), en comparación a mujeres con carga alta de VPH-16, (ORa: 2.63; IC95%: 1.09 – 6.36). En infecciones por VPH-31, la presencia de carga viral alta, se asoció con una menor frecuencia de lesiones (ORa: 0.34; IC95%: 0.15 – 0.78). Conclusiones: La prevalencia tipo-específica de VPH se corresponde con las reportadas a nivel mundial. La asociación entre la carga viral del VPH y la frecuencia de LEI es tipo específica y podría depender de la duración de la infección, altas cargas relacionadas con infecciones transitorias, y bajas cargas con persistentes. Este trabajo contribuye al entendimiento del efecto de la carga viral en la historia natural del CC; sin embargo, estudios prospectivos son necesarios para confirmar estos resultados.
Emerging infectious diseases in cetaceans worldwide and the possible role of environmental stressors
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Human Papillomaviruses (HPVs) are epitheliotropic viruses, that induce benign and malignant lesions on several body sites. It's a small circular DNA virus, non-enveloped and 75 types have been identified. Frequently HPV 6, 11 (benign lesions) and 16, 18 (malignant lesions) are occurred on mucosa. The infection takes place at the basal layer cells with microlesions, when the virus enters into the cells and looses the capsid. The benign HPV types is associated to cell's genome in epissomal way. In malignant lesions, it integrates into the cell's DNA. HPV viruses are sexually transmitted and responsable for malignant cell transformation. Thus this viruses have an extremely epidemiologic importance. This paper reports a HPV review study about: epidemiology, diagnostic methods and treatment to papillomavirus infection.