976 resultados para Nichols, H. S. (Harry Sidney)
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Référence bibliographique : Rol, 60168
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Collection : Bibliothèque morale et amusante ; 4
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Photographic copy of an engraved portrait of Sidney Smith Chapman, father of Charles C. Chapman, Illinois.
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Family portrait taken at Charles C. Chapman's birthday celebration, Fullerton, California,July 2, 1932. The group poses outside his residence on the lawn. Top row [left to right]: Arthur Irvin, Charles Wickett, Irvin Chapman, Sam Collins, Paul Williams, Grant Chapman,, Sidney Chapman, Clay McCarn, Earl Chapman's son David McDougal, Earl Chapman's son William McDougal, Earl Chapman, Harry Chapman, William Wickett Sr. Second row [left to right]: Mr. VanMeter, Mrs. Sinclair, C. C. Sinclair, John Franklin, Way Bagley, Marjorie Collins, Emma Williams, Ruth Chapman, Vesta Chapman, Inez Bagley, Grace Chapman, Bertha Chapman, Clough Chapman, Frank and Bertha Chapman's daughter Agnes McDougal [Streech], Georgiana Chapman, Thela Clough, Mrs. Earl [Ann] Chapman, Bessie Reynolds, Fred Chapman, E. B. [Bert] Reynolds. Seated [left to right]: Mrs. VanMeter, Hattie Clark, Louie Messlar, Charlie Thamer, Louella Thamer, Dolla Harris, Stanley Chapman Sr. holding Mary Anne, Ethel Wickett, Charles C. Chapman, Clara Chapman, Colum C. Chapman, Aunt Annie Colum, Deryth Chapman, Anna Marie Chapman, Floy Chapman, Edith Chapman. Front row [left to right]: Sam E. Collins, Bill Wickett Jr., Joyce Chapman, Marilyn Chapman, Elizabeth Chapman, Mary McCarn, Nina Chapman Lescher, Jodeane Collins, Bob Gibb, Jean Chapman. In front is a floral arrangement with drawing of a Western Union telegram "To Chas. C. Chapman, July 2, 1932, N. Fullerton, Cal., 'Wishing you a happy birthday, Nina."
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A letter from the president of the Dominion Alliance for the Suppression of the Liquor Traffic, Joseph Gibson. The letter is dated November 18th, 1910 and requests "subscription". The request is to add to the campaign fund and the "new fight...voting upon the question of bar-room abolition". The voting is stated to take place in "January next" for about one hundred municipalities in Ontario.
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Letter to T. H. Wiley from J.J. Nichols and Sons, Mason Contractors and Plasterers, St. Catharines regarding tenders for the proposed lily pond, May 12, 1916.
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UANL
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UANL
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Il est généralement admis que le romancier et journaliste Harry Bernard (1898-1979) se rattache aux auteurs régionalistes dont les œuvres sont empreintes de l'idéologie clérico-nationaliste. Ce qu'on ne peut démentir, car les romans de Bernard ne sont en effet aucunement étrangers à un certain moule terroiriste, dictat incontournable de la production littéraire dans le Québec de la première moitié du XXe siècle. Son appartenance au mouvement régionaliste, considéré comme plus idéologique que littéraire, marquera si bien l’œuvre qu'elle s'en trouvera quasi ignorée par notre histoire littéraire. Il convient cependant de s'interroger à propos de cette place plutôt ingrate qu'elle occupe. Si ses premiers romans, L'homme tombé (1924) et La terre vivante (1925), sont en phase avec l'idéologie clérico-nationaliste, il en va autrement avec son dernier roman, Les jours sont longs (1951). Celui-ci présente un certain affranchissement de l'ordre moral catholique et une ouverture à davantage de réalisme, laissant entrevoir des transformations d'ordre identitaire, idéologique et symbolique, telles que le métissage, l'hybridation culturelle, les libertés individuelles, etc. Il s'agit donc d'analyser le déplacement discursif qui s'opère sur une période de 25 ans, des romans de jeunesse de Bernard jusqu'à un roman de maturité, démontrant ainsi que l’œuvre n'est pas que le reflet d'un unique paradigme identitaire, mais que, parallèlement à l'avènement de la modernité, elle donne à voir un discours en évolution.
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Peut-on être blâmé pour ses croyances ? Bien qu’il s’agisse d’une pratique courante et en apparence légitime, le blâme doxastique entre en conflit avec deux thèses intuitivement plausibles. D’un côté, il semble que nous puissions seulement être blâmés pour ce qui est sous notre contrôle volontaire. Mais de l’autre, il est largement admis que la croyance est un état fondamentalement passif et involontaire (l’involontarisme doxastique). Il s’ensuit que nous ne pouvons jamais être blâmés pour nos croyances. Le présent article examine la réponse que propose Christoph Jäger à cet argument. Sa stratégie consiste à invoquer le rejet, par Harry Frankfurt, du principe des possibilités alternatives contre la thèse voulant que nous puissions seulement être blâmés pour nos croyances si elles sont sous notre contrôle volontaire. J’aimerais montrer que l’argument de Jäger n’est pas concluant et, plus généralement, que la stratégie qu’il adopte aboutit inévitablement à un dilemme.