1000 resultados para Maladie mental grave
Resumo:
Objetivo Intervenções psicossociais têm tido impacto positivo na vida das pessoas com transtorno mental grave, porém tais intervenções devem ser implementadas fielmente ao protocolo. A fidelidade refere-se à medida que uma intervenção adere ao modelo original e sua avaliação é essencial para que os desfechos possam ser creditados à intervenção. O objetivo deste estudo foi realizar uma revisão sistemática da literatura mundial das intervenções psicossociais destinadas a pacientes com transtornos mentais que possuem um instrumento ou método de avaliação de fidelidade ao modelo original. Métodos Pesquisas bibliográficas sistemáticas foram realizadas para encontrar estudos relevantes ao tema nas seguintes bases de dados: Embase, Medline, Scopus e SciELO. Foram incluídos estudos de intervenções psicossociais, realizados na comunidade, dirigidos a pacientes diagnosticados com transtornos mentais. Intervenções de comparação poderiam incluir tanto o tratamento-padrão como uma intervenção de comparação ativa. A qualidade dos estudos foi avaliada de forma independente por dois revisores, utilizando critérios adaptados de instrumentos validados. Resultados Trinta estudos preencheram os critérios de inclusão. Os estudos mostraram a eficácia da avaliação da fidelidade em diferenciar diferentes modelos de tratamento, sua validade preditiva para os desfechos e a confiabilidade dos instrumentos utilizados, bem como os fatores facilitadores e os obstáculos para a obtenção de alta fidelidade nas intervenções avaliadas. Conclusão Além de documentar a adesão ao modelo original, a fidelidade fornece informações relativas à população-alvo e aos desfechos esperados, o que contribui para que seja alcançada excelência no processo de implementação das intervenções psicossociais.
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'Al lado' con ... ha desarrollado las siguientes estrategias: 'Al lado' con las personas afectadas con Alzheimer; 'Al lado' con las personas afectadas por una Enfermedad Mental Grave; 'Al lado' con las personas afectadas por Esclerosis Lateral Amiotrófica; 'Al lado' con las personas afectadas con otros procesos; INFA 'Al lado', con los menores afectados por enfermedades crónicas.
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Bipolar disorder is a chronic disease that causes abnormal shifts in mood. Although it may be infra diagnosed, a prevalence of 1-2.5% is estimated. As treatment, there is a wide range of medicines but the bests goals are achieved with a mix of psicotherapy and medicines.The following is the case of AF, Who was diagnosed of bipolar disorder 20 years ago. Along this time, he has been amitted to hospital several times. This case runs the normal course of bipolar disorder and shows that treating severe mental illness may be really complex.
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El objetivo del proceso de investigación de mi Trabajo de Fin de Grado recae en los beneficios que tienen la naturaleza y los animales sobre las personas con diversidad funcional y más precisamente sobre las personas con trastorno mental. Lo que me motivó en esta investigación fue en primer lugar mi pasión por estos ámbitos y en segundo lugar porque conocía la existencia de dos proyectos magníficos. Uno en el Zoo de Barcelona (Proyecto de voluntariado de personas con Trastorno Mental grave con el Zoo de Barcelona) y otro en la protectora de perros y gatos (CCAAS : Centro Comarcal de Atención a animales de compañía). Para eso me he sumergido en estos proyectos para poder comprender el impacto que tenía la naturaleza y los animales sobre los usuarios. Han participado directamente cinco usuarios. He usado varias metodologías como la observación, el diario de campo, la fotografía y la entrevista semi-estructurada. Los resultados extraídos de la investigación muestran como existen beneficios y tienen un impacto positivo hacia las dimensiones bio-psico-social de las personas con trastorno mental. Las limitaciones del proyecto dependen de la voluntad de participación de cada usuario y a la naturaleza del estudio.
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Le désir d’avoir un enfant est universel. Les récentes avancées en génétique ont donné naissance au test génétique prénatal. Le diagnostic prénatal classique ou préimplantatoire permet de déceler des anomalies au stade foetal ou préembryonnaire. Ce type de test génétique est offert aux parents « à risque » de donner naissance à un enfant atteint d’une maladie génétique grave cependant la demande est grandissante auprès des autres couples. Il y a diverses pressions (directes ou indirectes) qui poussent les parents à recourir à ce type d’examen. La pression de la société et même l’État pousse les parents à se soumettre au test qui est une source importante de stress. La pression établit une normativité et renforce les préjugés envers les handicapés et influence la prise de décision des parents face au résultat. L’équipe médicale exerce une influence et le sentiment de culpabilité de mettre un enfant malade au monde hante les parents. Bien que les progrès de la génétique ont plusieurs avantages comme de permettre à des couples qui sans le dépistage prénatal n’auraient pas eu d’enfant la liberté de procréer doit rester au premier plan.
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La schizophrénie est une maladie mentale grave qui présente une comorbidité fréquente avec la toxicomanie et avec divers troubles immunitaires. Une méta-analyse réalisée récemment dans notre laboratoire a montré une augmentation d’IL-6 (une cytokine pro-inflammatoire), du récepteur soluble d’IL-2 (un marqueur d’activation du système immunitaire), et d’IL-1RA (une cytokine anti-inflammatoire) dans la schizophrénie, suggérant l’existence d’un syndrome inflammatoire dans cette maladie. La toxicomanie aussi est associée au dérèglement du réseau des cytokines inflammatoires, mais les effets dépendent du type de drogues et ils sont parfois diamétralement opposés. On dispose encore de peu d’informations sur le statut immunitaire et inflammatoire des patients qui ont un double diagnostic de schizophrénie et de toxicomanie. Le but de ce travail était d’explorer l’existence d’un état inflammatoire systémique chez les patients schizophrènes et toxicomanes, et l’influence du traitement avec un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine. Les objectifs spécifiques étaient : 1) Mesurer les concentrations plasmatiques des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes et toxicomanes avant, pendant et après traitement avec la quétiapine ; et 2) Faire des études de corrélations entre les taux de cytokines, les symptômes cliniques, et la consommation de drogues. Les résultats montrent que comparativement aux contrôles normaux, les patients avec un double diagnostic présentent une augmentation d’IL-6, d’IL-1RA, du sIL-2R et d’IL-8 avant traitement à la quétiapine. Les augmentations des concentrations plasmatiques d’IL-1RA sont particulièrement importantes chez les patients avec double diagnostic, si on les compare à celles publiées chez les schizophrènes sans toxicomanie. Le traitement à la quétiapine n’influence pas les concentrations plasmatiques de ces cytokines, sauf sIL-2R qui augmente davantage au cours du traitement. Des corrélations positives de puissance modérée sont retrouvées entre IL-6 et dépression, IL-6 et alcool, IL-1RA et cognition, IL-8 et dépression, IL-8 et alcool, sIL-2R et cannabis. Notre étude révèle que la réponse inflammatoire est activée chez les schizophrènes et toxicomanes. De plus, la toxicomanie semble jouer un rôle facilitant ou potentialisateur dans les augmentations des taux circulants d’IL-1RA. Les études en cours sur différentes populations de schizophrènes avec ou sans toxicomanie, et chez des toxicomanes non schizophrènes permettront de préciser le rôle des différentes drogues d’abus dans le syndrome inflammatoire chez les schizophrènes, ainsi que les implications de ce syndrome sur le plan clinique et thérapeutique.
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La schizophrénie est une maladie psychiatrique grave qui affecte approximativement 1 % de la population. Il est clairement établi que la maladie possède une composante génétique très importante, mais jusqu’à présent, les études ont été limitées au niveau de l’identification de facteurs génétiques spécifiquement liés à la maladie. Avec l’avènement des nouvelles avancées technologiques dans le domaine du séquençage de l’ADN, il est maintenant possible d’effectuer des études sur un type de variation génétique jusqu’à présent laissé pour compte : les mutations de novo, c.-à-d. les nouvelles mutations non transmises de manière mendélienne par les parents. Ces mutations peuvent avoir deux origines distinctes : une origine germinale au niveau des gamètes chez les parents ou une origine somatique, donc au niveau embryonnaire directement chez l’individu. L’objectif général de la présente recherche est de mieux caractériser les mutations de novo dans la schizophrénie. Comme le rôle de ces variations est peu connu, il sera également nécessaire de les étudier dans un contexte global au niveau de la population humaine. La première partie du projet consiste en une analyse exhaustive des mutations de novo dans la partie codante (exome) de patients atteints de schizophrénie. Nous avons pu constater que non seulement le taux de mutations était plus élevé qu’attendu, mais nous avons également été en mesure de relever un nombre anormalement élevé de mutations non-sens, ce qui suggère un profil pathogénique. Ainsi, nous avons pu fortement suggérer que les mutations de novo sont des actrices importantes dans le mécanisme génétique de la schizophrénie. La deuxième partie du projet porte directement sur les gènes identifiés lors de la première partie. Nous avons séquencé ces gènes dans une plus grande cohorte de cas et de contrôles afin d’établir le profil des variations rares pour ces gènes. Nous avons ainsi conclu que l’ensemble des gènes identifiés par les études de mutations de novo possède un profil pathogénique, ce qui permet d’établir que la plupart de ces gènes ont un rôle réel dans la maladie et ne sont pas des artéfacts expérimentaux. De plus, nous avons pu établir une association directe avec quelques gènes qui montrent un profil aberrant de variations rares. La troisième partie du projet se concentre sur l’effet de l’âge paternel sur le taux de mutations de novo. En effet, pour la schizophrénie, il est démontré que l’âge du père est un facteur de risque important. Ainsi, nous avons tenté de caractériser l’effet de l’âge du père chez des patients en santé. Nous avons observé une grande corrélation entre l’âge du père et le taux de mutations germinales et nous avons ainsi pu répertorier certaines zones avec un grand nombre de mutations de novo, ce qui suggère l’existence de zone chaude pour les mutations. Nos résultats ont été parmi les premiers impliquant directement les mutations de novo dans le mécanisme génétique de la schizophrénie. Ils permettent de jeter un nouveau regard sur les réseaux biologiques à l’origine de la schizophrénie en mettant sous les projecteurs un type de variations génétiques longtemps laissé pour compte.
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La psychopathie et le trouble de personnalité antisociale sont deux syndromes reliés qui ont été identifiés comme prédicteurs importants de comportements violents et de criminalité. Cependant, la recherche indique que les facteurs de la psychopathie centrés sur la personnalité ne sont pas des prédicteurs fiables de récidive violente chez les personnes atteintes de maladies mentales. Toutefois, peu d’études se sont centrées sur l’identification des facteurs associés au patron des antécédents criminels. Les 96 hommes de l’étude ont été déclarés non criminellement responsables en raison de troubles mentaux. Ils ont été évalués quant au trouble de la personnalité antisociale ainsi qu’à la psychopathie. Les dossiers criminels de la Gendarmerie Royale du Canada ont également été consultés afin de reconstituer l’histoire criminelle. Les résultats suggèrent que ni les traits de personnalité antisociaux, ni les facteurs de la psychopathie ne démontrent une validité prédictive incrémentielle les uns sur les autres quant au nombre ou à la sévérité des délits. La présence d’un grand nombre de traits antisociaux est associée à un plus grand nombre et à une plus importante sévérité d’actes criminels non-violents. Les résultats sont discutés en termes de l’utilité d’une classification du trouble de personnalité antisociale, et de la pertinence du construit de la psychopathie pour les personnes atteintes de maladies mentales graves.
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Essai critique de stage
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Resumen basado en el de la publicación. El artículo pertenece a la monografía VI: I Jornada profesional. Recursos Asistenciales de Terapia Ocupacional en Salud Mental
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Monográfico con el título: 'La profesión docente: escenarios, perfiles y tendencias'. Resumen basado en el de la publicación
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The autism is a severe mental illness that involves psychological, social, educational and neurobiological aspects. The Education plays an important role in recovering, preserving and increasing the cognitive task of people with autism. There are several ways to observe a person with autism. Through the studying of cases, it is also possible to address issues of everyday life of the person with the illness, its cognitive issues and its obstacles of psychosocial involvement, as well as psychological aspects such as illness acknowledgement. Through specialized literature, it is possible to identify characteristics referring to the learning process and neurobiological components involved in the condition, such as brain activity disorder and genetic factors. The objectives of this paper are: from the analysis of two books: Unique World: comprehend the Autism (SILVA, A. B. B; GAIATO, M.B; REVELES, L.T) and The cats never lie about love (DILLON, J.), it is intended to describe cognitive and psychosocial aspects of the autism. Based on the specialized literature, the goal is to identify cognitive and neurobiological components in the illness. The methods that were used: analysis of the books Unique World: comprehend the Autism and The cats never lie about love to describe psychosocial and educational aspects of the autism; analysis of the specialized literature to identify clinical and neurobiological components of the illness, such as changes in brain activity, genetic factors or clinical evolution; and also details of the Education role in preserving the person with autism and his cognitive and emotional development. The study had the documentary research as reference for the methodological design, including book analysis and research in specialized literature. It is intended to deepen discussions about the Education roles related to the cognitive and neurobiological aspects of the autism
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Schizophrenia is a severe and persistent mental illness; diagnosis occurs mainly during adolescence. The pharmacological treatment is done with typical and atypical antipsychotics. Atypical have the advantage of reduced extrapyramidal effects, which make them promising for the treatment of schizophrenia, furthermore, they have shown significant metabolic and hormonal changes. The objective of this study was to evaluate the influence of atypical antipsychotics, olanzapine and risperidone on the quality of life and on their adverse effects in schizophrenic patients. For this we analyzed the quality of life of patients with implementation of EuroQol-5D-3L instrument and performing biochemical and hormonal tests, blood pressure measurement, and measurement of anthropometric indices, besides the application of Ugvalg scales for Kliniske Undersgelser (UKU) and Simpson-Angus, who evaluated the side effects caused by drugs. Data were analyzed using the Student t test and chi-square test, with 5% significance level. The results showed that the EuroQol the antipsychotic olanzapine causes significant losses associated with personal care (p <0.001). Comparing the two groups of antipsychotics, the average years of quality-adjusted life, known per QALY was favorable for the risperidone group (p <0.032). The results of olanzapine and risperidone groups were compared. In terms of socioeconomic, it was observed that men used, the prevalent form, olanzapine (p <0.008); this same group showed the following results significantly unfavorable, related to anthropometric variables: waist circumference (p <0.01), hip circumference (p <0.02), weight (p <0.02) and blood pressure (p <0.04). The biochemical and hormonal analyzes showed that olanzapine resulted in losses related to the following variables: triglycerides (p <0.04), HDL cholesterol in men (p < 0.02) and cortisol (p < 0.01). In risperidone users, the only negative value was prolactin (p < 0.04). Regarding the analysis of the Simpson-Angus scale, the group treated with olanzapine was handicapped because the average total scores for olanzapine was 0.38, while for risperidone was 0.11 (p < 0.02). In the UKU scale, the following results were obtained also unfavorable for the olanzapine group: fatigue (P <0.02), dystonia (p <0.01) and tremor (p <0.03). According to the UKU scale, the side effects present in the risperidone group included: gynecomastia (p <0.01), ejaculatory dysfunction (p <0.02) and erectile dysfunction (p <0.02). It was concluded that olanzapine users had the worst score of quality of life, higher metabolic risks associated with overweight and inadequate lipid profile and greater tendency to extrapyramidal manifestations. However, risperidone users were more likely to adverse reactions due to hormonal changes.
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Based on the results of an ethnographic study with people diagnosed with schizophrenia and their relatives in Barcelona and Tarragona along one year, I problematize the transformation of roles and relationships inside the household from the first burst and the assignation of a diagnosis as rite of passage. I appeal to a cultural interpretation of family, understanding the family group as a specific ethnoscape. I analyze the chronicity meaning, and its consequences in the conformation of the “role of sick person” in the context of parental relationships. I also discuss the paradoxes in terms of autonomy for the affected persons because of the projection of cultural connotation of chronicity.
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Los Centros de Rehabilitación Psicosocial para personas con trastorno mental grave son recursos de la red pública de atención social de la Comunidad de Madrid. A pesar de su larga tradición son pocos los estudios que intentan evaluar su efectividad. En el presente trabajo se analizan retrospectivamente los resultados obtenidos en tres dominios centrales en la recuperación: el funcionamiento psicosocial, la calidad de vida y la discapacidad. Se analizan las 3173 puntuaciones de 1457 personas atendidas durante 5 años (2008-2012) en 10 Centros de Rehabilitación Psicosocial. Se utilizaron los siguientes instrumentos: cuestionario de datos sociodemográficos y clínicos de elaboración propia, Satisfaction with Life Domain Scale (SLDS), Escala de Evaluación del Funcionamiento Global (EEFG) y WHO Short Disability Assessment Schedule (WHO DAS-S). Se observan correlaciones estadísticamente significativas entre todas las medidas de los diferentes instrumentos y la duración de la estancia en los centros, de tal forma que a más tiempo de intervención se obtienen mejores resultados, al menos durante los primeros 5 años. Desagregando los datos por sexo se constata que las mujeres mejoran más y más rápido que los hombres. Las personas que son atendidas en los Centros de Rehabilitación Psicosocial mejoran en calidad de vida, funcionamientos psicosocial y discapacidad. Esa mejoría es más pronunciada en los primeros cinco a ocho años de intervención y es mayor en mujeres que en hombres.