Discours et pratiques du théâtre populaire : le cas du Théâtre Populaire du Québec de 1963 à 1976

Le théâtre populaire, concept chargé des finalités les plus diverses, sʼinstitutionnalise en France à la fin du XIXe siècle, notamment grâce à Romain Rolland, Firmin Gémier, Jacques Copeau, Jean Vilar et Bertolt Brecht. De nombreuses traces de ces réflexions et pratiques se retrouvent dans le théâtre québécois, et tout au long de lʼexistence du Théâtre Populaire du Québec (TPQ) dont ce mémoire veut dégager les principaux éléments de la pensée artistique des directions successives pour les confronter aux programmes établis de la fondation de la compagnie en 1963 jusquʼen 1976. Au cours de cette période qui sʼest avérée déterminante dans le domaine de la production théâtrale au Québec, lʼhistoire de la compagnie met en lumière les paradoxes et les apories du concept de théâtre populaire.

Le Canada français face à sa destinée : la survivance confrontée au discours nationaliste des manuels scolaires, 1870-1880

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Impact de l'art de la guerre napoléonien dans la seconde moitié du XIXe siècle

Le 18 juin 1815, Napoléon fut renversé à Waterloo, mais son art de la guerre survécut. Il s'agit de cet art militaire qu'il avait révolutionné et dont d'autres firent de nombreuses applications longtemps après sa disparition. S'inspirant des méthodes des théoriciens du XVIIIe siècle, il avait privilégié la stratégie d'anéantissement dans la conduite d'opérations militaires et se classait ainsi dans la catégorie des stratèges recherchant avant tout la bataille décisive en vue de détruire les forces ennemies. À la lumière des tactiques et stratégies que Bonaparte utilisa dans ses plus célèbres campagnes, cette thèse tentera de dégager les méthodes napoléoniennes qui furent le plus souvent utilisées au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Les conflits étudiés durant cette période seront la guerre de Crimée (1853-1856), la campagne d'Italie (1859), la guerre de Sécession américaine (1861-1865), la guerre austro-prussienne (1866) et la guerre franco-prussienne (1870-1871). Cette recherche tiendra compte non seulement de l'influence des progrès de l'armement et des moyens de transport et de communication sur l'art de la guerre en général, mais aussi du contexte économique, financier, politique et militaire des États bélligérants de cette époque. Parmi les nombreux exégètes de Bonaparte du XIXe siècle, deux théoriciens militaires en particulier, Clausewitz et Jomini, se distinguèrent dans l'interprétation savante de la guerre napoléonienne. Tout en analysant l'impact des méthodes de l'Empereur dans les guerres selectionnées, nous allons déterminer dans quelle mesure la vision jominienne des campagnes de Bonaparte divergeait de celle de Clausewitz en ce qui concerne les conflits traités. Nous aborderons ensuite l'influence napoléonienne sur l'administration, l'organisation et les marches des armées impliquées dans les guerres en question et nous porterons une attention particulière à l'impact du système militaire de Bonaparte sur certains aspects du déroulement même des combats. Nous terminerons cette étude par un bref aperçu sur les enseignements que les militaires au XIXe siècle purent dégager des campagnes napoléoniennes pour la conduite des guerres de l'avenir.

De la musique au-delà des frontières du son

La musique aujourd’hui est régulièrement accompagnée d’environnements visuels. Depuis les propositions en provenance du vidéoclip jusqu’aux œuvres installatives en passant par l’art web ou le cinéma, l’audiovisuel occupe une place considérable dans notre monde médiatisé et constitue un foyer important du développement des pratiques musicales. L’alliage entre son et image est souvent rattachée à l’histoire du cinéma mais les prémisses entourant l’audiovisuel remontent en réalité à l’Antiquité. Les correspondances entre sons et couleurs ont pris racine en premier chez les Pythagoriciens et cet intérêt se poursuit encore aujourd’hui. L’avènement de différentes technologies est venu reformuler au fil des siècles cette recherche qui retourne du décloisonnement artistique. L’arrivée de l’électricité permet au XIXe siècle le développement d’une lutherie expérimentale avec entre autres l’orgue à couleur d’Alexander Rimington. Ces instruments audiovisuels donnent naissance plus tard au Lumia, un art de la couleur et du mouvement se voulant proche de la musique et qui ne donne pourtant rien à entendre. Parallèlement à ces nouvelles propositions artistiques, il se développe dès les tout début du XXe siècle au sein des avant-gardes cinématographiques un corpus d’œuvres qui sera ensuite appelé musique visuelle. Les possibilités offertes par le support filmique vient offrir de nouvelles possibilités quant à l’organisation de la couleur et du mouvement. La pratique de cet art hybride est ensuite reformulée par les artistes associés à l’art vidéo avant de connaitre une vaste phase de démocratisation avec l’avènement des ordinateurs domestiques depuis les années 1990. Je retrace le parcours historique de ces pratiques audiovisuelles qui s’inscrivent résolument sur le terrain du musical. Un parcours appuyé essentiellement sur des œuvres et des ouvrages théoriques tout en étant parsemé de réflexions personnelles. Je traite des enjeux théoriques associés à ces propositions artistiques en les différenciant d’un autre format audiovisuel majeur soit le cinéma. Cet exposé permet de préparer le terrain afin de présenter et contextualiser mon travail de création. Je traite de deux œuvres, Trombe (2011) et Lungta (2012), des propositions qui héritent à la fois des musiques visuelles, de l’art interactif et de l’art cinétique.

L'Autoportrait de 1879 par William Bouguereau (1825-1905) : la représentation d'un artiste académique

« Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal ».

A história da gestão de produção e operações

Conhecer o passado ajuda a entender o presente e a preparar-se para o futuro. Atribui-se ao início do Século XIX a origem da área do conhecimento que mais tarde passou a ser conhecida como a gestão de produção e operações. Ao longo dos séculos XIX e XX, esta área evoluiu e mudou. Nasceu predominantemente industrial, passou a incorporar também a gestão de operações mais ligadas ao setor terciário da economia (os serviços), passou a contemplar também as redes de empresas que interagem (as redes de suprimentos). Passou por períodos de evolução acelerada (como durante a Segunda Grande Guerra Mundial) e passou por períodos de quase estagnação (como no período pós Guerra). Técnicas e conceitos surgiram, foram aperfeiçoadas, beberam da fonte de outras áreas do conhecimento (como as abordagens sócio-técnicas aproveitando-se de conceitos da psicologia e o controle de qualidade utilizando a estatística), vertentes surgiram, uniram-se, separaram-se numa fascinante dinâmica que até hoje não foi explicitada na forma de um texto que ajude os acadêmicos e profissionais práticos a entenderem melhor sua área. Este projeto pretende preencher esta lacuna: sistematizar um texto que descreve comentadamente a evolução da área de produção e operações. Além disso comenta sobre os impactos que a nova economia está trazendo para a área e especula sobre quais são as questões que deverão merecer desenvolvimento adicional de pesquisa e de práticas no futuro.

Fragmentos da construção histórica do pensamento neo-empirista

O presente trabalho procura identificar as idéias principais na construção histórica do pensamento neo-empirista a partir da visão mecânica do mundo e do método hipotético-dedutivo de Descartes. O método indutivo moderno é apresentado por Bacon e os empiristas ingleses colaboram na questão do pensamento “a posteriori”. No século XIX surge o positivismo que exclui a metafísica e considera a explicação dos fatos apenas como relações de sucessão e similidade. É nesse âmbito que se constroem as bases do método experimental moderno. No início do século XX, se desenvolve a ciência neoempirista cujas principais proposições são (1) a idéia da verificabilidade como forma de conferir a veracidade das teorias a partir da indução e das probabilidades e (2) o crescimento contínuo e acumulativo do conhecimento científico. Popper apresenta a impossibilidade de se obter grandes teorias oriundas da indução e sugere a substituição da indução pela dedução e da verificabilidade pela falseabilidade. Kuhn afirma que o conhecimento científico depende de paradigmas convencionais e Lakatos explica que a ciência não é uma sucessão temporal de períodos normais e revoluções, e sim sua justaposição.

O Brasil que Portugal escreveu: pedagogia e política sem comemorações

O estudo aqui proposto centrar-se-á nas imagens do Brasil expressas por manuais didáticos, por periódicos e por intelectuais portugueses do século XIX. Pretende-se, a partir de tal documentação, reconstituir alguma atmosfera mental que circundava as idéias de Brasil e a percepção da nação portuguesa sobre o tema do Brasil, da emigração e dos brasileiros. Mediante tal enfoque, entendemos ser possível tanto compreender as identidades que configuravam uma dada mitologia cultural quanto a demarcação de distâncias e diferenças.

O mundo criado pelas imagens: paisagens e espaços coloniais na obra do holandês Frans Post

The aims of this dissertation is to study formation of the Dutch view seeing the colonial scenery in screens by Frans Post, as well as, to perceive a colonial world constitution through landscape paintings by him with his natural and human representation. The artist was the first to portray South American views, after he landed in Pernambuco with retinue of Dutch governor of colony, John Maurice, Prince of Nassau-Siegen. Post, by his 24 years old, was designated to represent for Dutch people their colony. The text reflects on visual construction of natural and human aspects in landscapes by Dutchman and how that aspects were included in colonizer imaginary about the strange world of America. European (Dutch) look about their conquered possessions in the New World was charged with exoticism and imagination. In order to understand that view, it`s paramount to study imaginary pictures reared by Frans Post, on his return to the Netherlands, and notions of landscape and exotic, wild and unspoiled nature which the Dutch people had when they thought about the Dutch colony in America. Our principal (visual) sources of research are six paintings: Vista da Sé de Olinda (1662), Vista das ruínas de Olinda (undated), Engenho (undated), Engenho (1660), Vista da cidade Maurícia e do Recife (1653), e Paisagem com rio e tamanduá (1649), all these canvases were painted when Frans Post returned to Europe. We seek to work through a methodology that focuses on investigation of primary visual and textual material, because these textual and pictorial representations reflect the 17th-century colonial view of colonial history themes of the - here called - Dutch America

As fronteiras da província: rotas de comércio interprovincial, Minas Gerais, 1839-1884

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Uma Paris dos trópicos?: perspectivas da europeização do Rio de Janeiro na primeira metade do Oitocentos

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

O tempo sagrado do Império: história e religião na obra do Cônego Joaquim Caetano Fernandes Pinheiro

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Iniciação musical ao piano para crianças: um olhar sobre a prática pedagógica em conservatórios da cidade de São Paulo

Pós-graduação em Música - IA

A Igreja Católica Apostólica Romana e o Estado Brasileiro: estratégias de inserção política da Santa Sé no Brasil entre 1920 e 1937

Pós-graduação em História - FCHS