939 resultados para Hellenic languages Classical Greek
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A co-authored article about the Icelandic sagas, and a journey undertaken to tell the saga stories in the places of their setting. "Kári Gislason and Richard Fidler travelled to Iceland with a two-part mission: to tell stories from the Viking sagas written early in the country's history in the places where they actually unfolded a thousand years ago, and to settle a longstanding family mystery."--Publisher website
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This is a four-part radio documentary produced for the Australian Broadcasting Corporation's Radio National. Richard Fidler and Kári Gíslason travel to Iceland to tell the stories of the ancient Vikings, and to settle a longstanding family mystery.
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Resumen: Se plantea, en primer lugar, el estado de la cuestión de la índole de la Filosofía Política como filosofía práctica, desde sus inicios en la tradición clásica griega hasta la actualidad. En el pensamiento griego se destaca Aristóteles con la justificación del ejercicio de la racionalidad práctica en los asuntos políticos. En la modernidad la filosofía práctica sale de escena, privándosela de legitimidad epistemológica. Por último, se valora una interesante propuesta en el pensamiento alemán del siglo XX por rehabilitar la filosofía práctica en clave aristotélica. Frente al estado de la cuestión se retoma a Aristóteles desde la lectura tomasiana de lo político y de la Filosofía Política. Su propósito ha sido el de salvar la verdad y la certeza de la Filosofía Política, la posibilidad de juicios de verdad y falsedad en el orden moral y político y, en especial, afirmar su validez normativa como saber filosófico, analizando la comunidad política en esa posibilidad de ser considerada como objeto-científico- filosófico-práctico-moral.
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Introducción a las contribuciones presentadas al curso "Conflictos, treguas y amnistías en el mundo antiguo", desarrollado en agosto de 1999 en el marco de los XVIII Cursos de Verano de la UPV/EHU en Donostia.
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No presente trabalho avalia-se o contributo de uma vasta tradição literária na configuração de um topos/motivo – o locus amoenus – patente na produção dinisiana. Analisaram-se as influências da literatura clássica greco-romana, das Sagradas Escrituras, da literatura italiana, e também da literatura produzida em Portugal desde o final da Idade Média até ao Maneirismo. As obras de dois escritores representativos do Romantismo vintista português, Pároco da Aldeia, de Alexandre Herculano, e Os contos do tio Joaquim, de Rodrigo Paganino, tornaram-se tributárias do topos/motivo. A pesquisa centrou-se na narrativa dinisiana com vista a investigar, por um lado, as relações que o locus amoenus, topos/motivo em estudo, mantém com categorias narrativas contíguas, como sejam o espaço ou a descrição; e, por outro, a aferir o eventual contributo do lugar ameno para a dissipação das fronteiras entre a narrativa e a lírica. Pretendeu-se igualmente, sem desprezar uma inclinação natural de Júlio Dinis para os ambientes campestres, demonstrar a existência de três dimensões fundamentais do lugar ameno: a psicológica, cujas origens se perdem no tempo; a social, vertente inovadora no contexto do tópico abordado; e a simbólica, em que a conexão com o locus horrendus se revelou incontornável. Com o estudo do vocabulário configurador do locus amoenus da produção narrativa dinisiana, reflectiu-se mais aprofundadamente sobre as questões tratadas no cômputo geral desta tese. A complexidade que envolve a tentativa de filiação de Júlio Dinis a um movimento ou escola não fica ainda resolvida com este trabalho. Porém surge a proposta de lançar um novo olhar sobre este assunto, à luz dos pressupostos do movimento alemão Biedermeier. Independentemente dos problemas que se levantam, fica a certeza de que muitos escritores do panorama literário nacional se inspiraram nas obras de Júlio Dinis
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Cette étude porte sur l’analyse de l’identité, en termes de fonction, des monuments érigés sous tumulus dans le territoire actuel de la Bulgarie. Ces monuments sont généralement datés du Ve au IIIe siècle avant notre ère et ont été associés aux peuples thraces qui ont évolué sur ce territoire durant cette époque. Les monuments thraces sous tumulus, aux structures en blocs de pierre ou en moellons, ou d’un mélange de matériaux et de techniques différentes, ont été invariablement recouverts de monticules de terre dès l’Antiquité. Les tumuli ainsi obtenus ont été utilisés à différentes fins par les peuples locaux jusqu’à l’époque moderne. Les études plus ou moins détaillées des monuments thraces sous tumulus, qui ont débuté dès la fin du XIXe siècle de notre ère, ainsi que l’accumulation rapide de nouveaux exemplaires durant les deux dernières décennies, ont permis de constater une grande variabilité de formes architecturales en ce qui a trait aux différentes composantes de ces constructions. Cette variabilité a poussé certains chercheurs à proposer des typologies des monuments afin de permettre une meilleure maîtrise des données, mais aussi dans le but d’appuyer des hypothèses portant sur les origines des différents types de constructions sous tumulus, ou sur les origines des différentes formes architectoniques identifiées dans leurs structures. Des hypothèses portant sur la fonction de ces monuments, à savoir, sur l’usage qu’en ont fait les peuples thraces antiques, ont également été émises : certains chercheurs ont argumenté pour un usage funéraire, d’autres pour une fonction cultuelle. Un débat de plus en plus vif s’est développé durant les deux dernières décennies entre chercheurs de l’un et de l’autre camp intellectuel. Il a été constamment alimenté par de nouvelles découvertes sur le terrain, ainsi que par la multiplication des publications portant sur les monuments thraces sous tumulus. Il est, de ce fait, étonnant de constater que ni les hypothèses portant sur les origines possibles de ces constructions, ni celles ayant trait à leurs fonctions, n’ont été basées sur des données tangibles – situation qui a eu pour résultat la désignation des monuments thraces par « tombes-temples-mausolées », étiquette chargée sinon d’un sens précis, du moins d’une certaine connotation, à laquelle le terme « hérôon » a été ajouté relativement récemment. Notre étude propose de dresser un tableau actuel des recherches portant sur les monuments thraces sous tumulus, ainsi que d’analyser les détails de ce tableau, non pas dans le but de trancher en faveur de l’une ou de l’autre des hypothèses mentionnées, mais afin d’expliquer les origines et la nature des problèmes que les recherches portant sur ces monuments ont non seulement identifiés, mais ont également créés. Soulignant un fait déjà noté par plusieurs chercheurs-thracologues, celui du manque frappant de données archéologiques exactes et précises dans la grande majorité des publications des monuments thraces, nous avons décidé d’éviter la tendance optimiste qui persiste dans les études de ces derniers et qui consiste à baser toute analyse sur le plus grand nombre de trouvailles possible dans l’espoir de dresser un portrait « complet » du contexte archéologique immédiat des monuments ; portrait qui permettrait au chercheur de puiser les réponses qui en émergeraient automatiquement, puisqu’il fournirait les éléments nécessaires pour placer l’objet de l’analyse – les monuments – dans un contexte historique précis, reconstitué séparément. Ce manque de données précises nous a porté à concentrer notre analyse sur les publications portant sur les monuments, ainsi qu’à proposer une approche théoriquement informée de l’étude de ces derniers, en nous fondant sur les discussions actuelles portant sur les méthodes et techniques des domaines de l’archéologie, de l’anthropologie et de l’histoire – approche étayée dans la première partie de cette thèse. Les éléments archéologiques (avant tout architecturaux) qui ont servi de base aux différentes hypothèses portant sur les constructions monumentales thraces sont décrits et analysés dans le deuxième volet de notre étude. Sur la base de cette analyse, et en employant la méthodologie décrite et argumentée dans le premier volet de notre thèse, nous remettons en question les différentes hypothèses ayant trait à l’identité des monuments. L’approche de l’étude des monuments thraces sous tumulus que nous avons adoptée tient compte tant de l’aspect méthodologique des recherches portant sur ceux-ci, que des données sur lesquelles les hypothèses présentées dans ces recherches ont été basées. Nous avons porté une attention particulière à deux aspects différents de ces recherches : celui du vocabulaire technique et théorique implicitement ou explicitement employé par les spécialistes et celui de la façon dont la perception de l’identité des monuments thraces a été affectée par l’emploi de ce vocabulaire. Ces analyses nous ont permis de reconstituer, dans le dernier volet de la présente étude, l’identité des monuments thraces telle qu’implicitement ou explicitement perçue par les thracologues et de comparer cette restitution à celle que nous proposons sur la base de nos propres études et observations. À son tour, cette comparaison des restitutions des différentes fonctions des monuments permet de conclure que celle optant pour une fonction funéraire, telle que nous la reconstituons dans cette thèse, est plus économe en inférences et mieux argumentée que celle identifiant les monuments thraces de lieux de culte. Cependant, l’impossibilité de réfuter complètement l’hypothèse des « tombes-temples » (notamment en raison du manque de données), ainsi que certains indices que nous avons repérés dans le contexte architectural et archéologique des monuments et qui pourraient supporter des interprétations allant dans le sens d’une telle identification de ces derniers, imposent, d’après nous, la réévaluation de la fonction des constructions thraces sous tumulus sur la base d’une restitution complète des pratiques cultuelles thraces d’après les données archéologiques plutôt que sur la base d’extrapolations à partir des textes grecs anciens. À notre connaissance, une telle restitution n’a pas encore été faite. De plus, le résultat de notre analyse des données archéologiques ayant trait aux monuments thraces sous tumulus, ainsi que des hypothèses et, plus généralement, des publications portant sur les origines et les fonctions de ces monuments, nous ont permis de constater que : 1) aucune des hypothèses en question ne peut être validée en raison de leur recours démesuré à des extrapolations non argumentées (que nous appelons des « sauts d’inférence ») ; 2) le manque flagrant de données ou, plus généralement, de contextes archéologiques précis et complets ne permet ni l’élaboration de ces hypothèses trop complexes, ni leur validation, justifiant notre approche théorique et méthodologique tant des monuments en question, que des études publiées de ceux-ci ; 3) le niveau actuel des connaissances et l’application rigoureuse d’une méthodologie d’analyse permettent d’argumenter en faveur de la réconciliation des hypothèses « funéraires » et « cultuelles » – fait qui ne justifie pas l’emploi d’étiquettes composites comme « templestombes », ni les conclusions sur lesquelles ces étiquettes sont basées ; 4) il y a besoin urgent dans le domaine de l’étude des monuments thraces d’une redéfinition des approches méthodologiques, tant dans les analyses théoriques des données que dans le travail sur le terrain – à défaut de procéder à une telle redéfinition, l’identité des monuments thraces sous tumulus demeurera une question d’opinion et risque de se transformer rapidement en une question de dogmatisme.
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Classical Greek and Roman influence on the material culture of Central Asia and northwestern India is often considered in the abstract. This article attempts to examine the mechanisms of craft production and movement of artisans and objects which made such influence possible, through four case studies: (1) Mould-made ceramics in Hellenistic eastern Bactria; (2) Plaster casts used in the production of metalware from Begram; (3) Terracotta figurines and the moulds used to produce them, from various archaeological sites; and (4) Mass production of identical gold adornments in the nomadic tombs from Tillya Tepe. The implications of such techniques for our understanding of the development of Gandhāran art are also discussed.
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O presente estudo debruça-se sobre a interface do problema educativo com a problemática da ética, compreendendo a pedagogia com a arte/ciência voltada para a busca do bem educar/instruir/formar. Para tanto, o texto mobilizará conceitos da concepção ética da Aristóteles; e, na atmosfera mental da Grécia clássica, recorre-se ao termo específico grego e transdisciplinar na origem: paideia. A seguir, este ensaio procura pontuar alguns aspectos da concepção iluminista a propósito do tema, valendo-se da noção kantiana de imperativo categórico, a qual teria sido precedida pelo parecer de Rousseau, segundo o qual a vontade - e não a razão - seria a marca distintiva do gênero humano no ambiente natural. A idéia de Piaget de uma ética da reciprocidade também é aqui mobilizada. Abordando diacronicamente a temática, serão analisados conceitos de autores clássicos no debate da relação entre educação e ética, com destaque para o sentido conferido por Hanna Arendt para a autoridade como critério distintivo da relação assimétrica entre o educador (as gerações adultas de maneira geral) e os estudantes (ou as novas gerações). Arendt defende, como conceito e pressuposto operatório, a dimensão necessariamente conservadora do ato educativo: compete ao educador preservar do mundo as novas gerações e preservar o mundo das novas gerações - para que estas não destruam o suporte e o acervo cultural acumulados.
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O presente trabalho discute a relação entre o poema épico Argonáutica, de Apolônio de Rodes, e as tragédias gregas precedentes a ele. Considera-se que as tragédias, ao lado da poesia homérica, são importantes fontes para sua abordagem do mito e, subsequentemente, para a narrativa de Apolônio. Além disso, a narrativa e os recursos expressivos que o poeta utiliza são muito próximos às tragédias de Eurípides (1939) e Ésquilo, e essa relação nos ajuda a compreender melhor como um poeta alexandrino trabalha a matéria épica após o advento da tragédia clássica.
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Seeking to contribute to the research of classical Greek and Roman translations into Portuguese and to the reception of these texts in Brazilian literature, this study intends to inventory, study and promote the work of translation of José Feliciano de Castilho, a distinguished Luso-Brazilian who has lived in Rio de Janeiro from 1847 until his death in 1879. Focusing on the poetic translations of Catullus, this study shows our intent to put together the learning of Latin language and approaches of history of translation
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This study was developed based on Classical Greek Language classes, reading and translation of texts. There is also the presence of computer elements due to use of Alpheios digital platform. As an example of a larger proposal, this proposal aims at produce translation aligned with the Portuguese and syntactic annotation with the production of the Greek dependency trees. To achieve the goal, we chose Chapter 34, Volume 1 of The Histories from Herodotus. The methods adopted contain a list and description of the instruments and the morphological categories from the guide (manual rules of syntax tree). The procedures adopted are the description of the alignment process and of syntactic annotation. As study results, we have the production line translation and the syntactic annotation of the excerpt 1.34. It was concluded that the study of this text is relevant, because the lexical density of Herodotus it's interesting at future researchers and students that will use the digital platform Alpheios
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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En el teatro griego clásico, el imaginario de la enfermedad trasunta aspectos significativos de las relaciones entre tragedia y medicina hipocrática; en él ocupa un lugar central la metáfora agonal. A partir de este presupuesto, el presente trabajo se centrará en el análisis de la metáfora agonal en Orestes de Eurípides (408 a.C.). Imágenes provenientes del campo atlético y militar, asociadas a la marcada presencia del término agón, reflejan en esta tragedia euripidea tardía la violencia de la locura. El objetivo del presente trabajo será demostrar de qué modo este imaginario singular muestra en el drama aspectos conflictivos de la indisociable relación entre el matricida y su nósos, y revela la patología de la locura como irrupción de una lucha entre fuerzas que pugnan en el interior del mismo Orestes
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Entre las definiciones que el concepto de ATH presenta en la tragedia griega clásica, en las obras de Esquilo hay elementos que lo aproximan a la definición dada por E. R. Dodds en The greeks and the irrational, en referencia a la presencia del término en la Ilíada como un "state of mind". Este "estado de ánimo", sin embargo, se perfila como una ceguera profunda del héroe, que sólo entiende las consecuencias de sus acciones después de un intenso sufrimiento. En las siete tragedias conservadas de Esquilo, se puede encontrar el concepto íntimamente vinculado a las muertes heroicas, en el destino de Jerjes en Los persas, o en la maldición de los hermanos Etéocles y Polinices, herederos de las aflicciones de Edipo, en Los siete contra Tebas. Por lo tanto, esta ponencia examina algunos aspectos del concepto en Esquilo y cómo esta "ceguera profunda" es el elemento desencadenante de los acontecimientos trágicos
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Los epigramas son pequeñas composiciones en verso grabadas inicialmente sobre algún objeto, bien con fines votivos, como fórmulas de maldición, o simplemente como marcas de propiedad. Dentro de los epigramas destacan los funerarios, consistentes, en su origen, en versos inscritos sobre las tumbas, que indicaban filiación, edad y alguna característica del difunto, pero que más tarde se convirtieron en verdaderas composiciones literarias, por lo que resultan testimonios útiles para conocer a la sociedad griega. En esta ponencia se analizará la concepción griega de la vejez a través de los epigramas funerarios áticos de la época clásica (siglos V y IV a. C.). Este análisis se hará comparando lo inscrito en éstos con lo que algunos autores clásicos dijeron acerca de ese tema (ya sea con o sin intención). El objetivo es conocer más de esta cultura y demostrar cómo el imaginario social se reflejó en estos testimonios funerarios