961 resultados para GLEASON SCORE


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Objective: The present study was aimed at evaluating the contribution of transrectal prostate ultrasound in the screening for prostate neoplasias and in the guidance of prostate biopsies. Materials and Methods: Prospective study developed over a one-year period. All the patients with indication for prostate biopsy were evaluated. Regardless of PSA values, the patients underwent ultrasound in order to identify suspicious nodules (confirmed by two observers). Sextant biopsy was subsequently performed. In cases of finding suspicious nodules, an additional puncture directed to such nodules was done. Results: In a total of 155 cases the prevalence of malignancy was of 53%. Suspicious nodules were detected in 34 patients, and 25 where malignant (positive predictive value of 74%). The specificity and sensitivity for suspicious nodules were 88% and 31% respectively. Comparatively with the randomly obtained sextant specimens, the rate of findings of neoplasia was higher in the specimens obtained with puncture directed to the nodule (p = 0.032). No statistically significant difference was observed in the Gleason score for both types of specimens (p = 0.172). Conclusion: The high positive predictive value and the high rate of findings of neoplasia in specimens of suspicious nodules should be taken into consideration in the future. The authors suggest a biopsy technique similar to the one described in the present study (sextant biopsy plus puncture directed to the suspicious nodule).

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The surgical specimens from 51 men submitted to radical prostatectomy for localized prostate cancer were examined by immunohistochemistry using proliferation cell nuclear antigen (PCNA) monoclonal antibody to evaluate the proliferative index (PI). The relationship between PI, biological variables and p53 protein expression was evaluated by immunohistochemistry. PI was low in invasive localized prostate carcinoma (mean, 12.4%) and the incidence of PCNA-positive cells was significantly higher in tumors with p53 expression (P = 0.0226). There was no statistical difference in PCNA values when biological parameters such as Gleason score, tumor volume, extraprostatic involvement, seminal vesicle infiltration or lymph node metastasis were considered. We conclude that proliferative activity is usually low in prostate carcinoma but is correlated with p53 immune staining, indicating that p53 is important in cell cycle control in this neoplasm.

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The purpose of this study was to investigate the relationship between cyclin D1 expression and clinicopathological parameters in patients with prostate carcinoma. We assessed cyclin D1 expression by conventional immunohistochemistry in 85 patients who underwent radical prostatectomy for prostate carcinoma and 10 normal prostate tissue samples retrieved from autopsies. We measured nuclear immunostaining in the entire tumor area and based the results on the percentage of positive tumor cells. The preoperative prostate-specific antigen (PSA) level was 8.68±5.16 ng/mL (mean±SD). Cyclin D1 staining was positive (cyclin D1 expression in >5% of tumor cells) in 64 cases (75.4%) and negative (cyclin D1 expression in ≤5% of tumor cells) in 21 cases (including 15 cases with no immunostaining). Normal prostate tissues were negative for cyclin D1. Among patients with a high-grade Gleason score (≥7), 86% of patients demonstrated cyclin D1 immunostaining of >5% (P<0.05). In the crude analysis of cyclin D1 expression, the high-grade Gleason score group showed a mean expression of 39.6%, compared to 26.9% in the low-grade Gleason score group (P<0.05). Perineural invasion tended to be associated with cyclin D1 expression (P=0.07), whereas cyclin D1 expression was not associated with PSA levels or other parameters. Our results suggest that high cyclin D1 expression could be a potential marker for tumor aggressiveness.

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Le cancer de la prostate (CaP) est le plus diagnostiqué chez les hommes au Canada et représente le troisième cancer le plus meurtrier au sein de cette population. Malgré l’efficacité des traitements de première ligne, de nombreux patients finiront par développer une résistance et, le cas échéant, verront leur CaP progresser vers une forme plus agressive. Plusieurs paramètres, essentiellement cliniques, permettent de prédire la progression du CaP mais leur sensibilité, encore limitée, implique la nécessité de nouveaux biomarqueurs afin de combler cette lacune. Dans cette optique nous nous intéressons au facteur de transcription NF-κB. Des études réalisées au laboratoire et ailleurs, associent RelA(p65) à un potentiel clinique dans le CaP, soulignant ainsi l’importance de la voie classique NF-κB. L’implication de la voie alternative NF-κB dans la progression du CaP a aussi été suggérée dans une de nos études illustrant la corrélation entre la distribution nucléaire de RelB et le score de Gleason. Alors que la voie classique est largement documentée et son implication dans la progression du CaP établie, la voie alternative, elle, reste à explorer. La présente thèse vise à clarifier l’implication de la voie alternative NF-κB dans le CaP et répond à deux objectifs fixés dans ce but. Le premier objectif fut d’évaluer l’impact de l'activation de la voie alternative NF-κB sur la biologie des cellules cancéreuses prostatiques. L’étude de la surexpression de RelB a souligné les effets de la voie alternative NF-κB sur la prolifération et l'autophagie. Étant ainsi impliquée tant dans la croissance tumorale que dans un processus de plus en plus associée à la progression tumorale, quoique potentiellement létal pour les cellules cancéreuses, son impact sur la tumorigénèse du CaP reste encore difficile à définir. Il n'existe, à ce jour, aucune étude permettant de comparer le potentiel clinique des voies classique et alternative NF-κB. Le second objectif de ce projet fut donc l'analyse conjointe de RelA(p65) et RelB au sein de mêmes tissus de patients atteints de CaP afin de déterminer l'importance clinique des deux signalisations NF-κB, l'une par rapport à l'autre. Le marquage immunofluorescent de RelA(p65) et RelB en a permis l'analyse quantitative et objective par un logiciel d'imagerie. Nos travaux ont confirmé le potentiel clinique associé à RelA(p65). La variable RelA(p65)/RelB s’est, elle, avérée moins informative que RelA(p65). Par contre, aucune corrélation entre RelB et les paramètres cliniques inclus dans l'étude n’est ressortie. En définitive, mon projet de thèse aura permis de préciser l'implication de la voie alternative NF-κB sur la biologie du CaP. Son impact sur la croissance des cellules cancéreuses prostatiques ainsi que sur l'autophagie, dénote l’ambivalence de la voie alternative NF-κB face à la tumorigénèse du CaP. L’étude exhaustive de la signalisation NF-κB souligne davantage l'importance de la voie classique dont l’intérêt clinique est principalement associé au statut de RelA(p65). Ainsi, bien que RelB n’affiche aucun potentiel en tant que biomarqueur exploitable en clinique, l’analyse de l’intervention de la voie alternative NF-κB sur la biologie des cellules cancéreuses prostatiques reste d’intérêt pour la compréhension de son rôle exact dans la progression du CaP.

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Introduction: Au Canada, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes et le plus mortel après les cancers du poumon et du côlon. Il y a place à optimiser le traitement du cancer de la prostate de manière à mettre en œuvre une médecine personnalisée qui s’adapte aux caractéristiques de la maladie de chaque patient de façon individuelle. Dans ce mémoire, nous avons évalué la réponse aux dommages de l’ADN (RDA) comme biomarqueur potentiel du cancer de la prostate. Les lésions potentiellement oncogènes de l'ADN déclenche une cascade de signalisation favorisant la réparation de l'ADN et l’activation des points de contrôle du cycle cellulaire pour préserver l’intégrité du génome. La RDA est un mécanisme central de suppression tumorale chez l’homme. La RDA joue un rôle important dans l’arrêt de la prolifération des cellules dont les génomes sont compromis, et donc, prévient la progression du cancer en agissant comme une barrière. Cette réponse cellulaire détermine également comment les cellules normales et cancéreuses réagissent aux agents utilisés pour endommager l'ADN lors du traitement du cancer comme la radiothérapie ou la chimiothérapie, en plus la présence d,un certain niveau de RDA dans les cellules du cancer de la prostate peuvent également influer sur l'issue de ces traitements. L’activation des signaux de la RDA peut agir comme un frein au cancer dans plusieurs lésions pré-néoplasiques de l'homme, y compris le cancer de la prostate. Il a été démontré que la RDA est augmentée dans les cellules de néoplasie intra- épithéliale (PIN) comparativement aux cellules prostatiques normales. Toutefois, le devient de la RDA entre le PIN et l’adénocarcinome est encore mal documenté et aucune corrélation n'a été réalisée avec les données cliniques des patients. Notre hypothèse est que les niveaux d’activation de la RDA seront variables selon les différents grades et agressivité du cancer de la prostate. Ces niveaux pourront être corrélés et possiblement prédire les réponses cliniques aux traitements des patients et aider à définir une stratégie plus efficace et de nouveaux biomarqueurs pour prédire les résultats du traitement et personnaliser les traitements en conséquence. Nos objectifs sont de caractériser l'activation de la RDA dans le carcinome de la prostate et corréler ses données avec les résultats cliniques. Méthodes : Nous avons utilisé des micro-étalages de tissus (tissue microarrays- TMAs) de 300 patients ayant subi une prostatectomie radicale pour un cancer de la prostate et déterminé le niveau d’expression de protéines de RDA dans le compartiment stromal et épithélial des tissus normaux et cancéreux. Les niveaux d’expression de 53BP1, p-H2AX, p65 et p-CHK2 ont été quantifiés par immunofluorescence (IF) et par un logiciel automatisé. Ces marqueurs de RDA ont d’abord été validés sur des TMAs-cellule constitués de cellules de fibroblastes normales ou irradiées (pour induire une activation du RDA). Les données ont été quantifiées à l'aide de couches binaires couramment utilisées pour classer les pixels d'une image pour que l’analyse se fasse de manière indépendante permettant la détection de plusieurs régions morphologiques tels que le noyau, l'épithélium et le stroma. Des opérations arithmétiques ont ensuite été réalisées pour obtenir des valeurs correspondant à l'activation de la RDA qui ont ensuite été corrélées à la récidive biochimique et l'apparition de métastases osseuses. Résultats : De faibles niveaux d'expression de la protéine p65 dans le compartiment nucléaire épithélial du tissu normal de la prostate sont associés à un faible risque de récidive biochimique. Par ailleurs, nous avons aussi observé que de faibles niveaux d'expression de la protéine 53BP1 dans le compartiment nucléaire épithéliale du tissu prostatique normal et cancéreux ont été associés à une plus faible incidence de métastases osseuses. Conclusion: Ces résultats confirment que p65 a une valeur pronostique chez les patients présentant un adénocarcinome de la prostate. Ces résultats suggèrent également que le marqueur 53BP1 peut aussi avoir une valeur pronostique chez les patients avec le cancer de la prostate. La validation d'autres marqueurs de RDA pourront également être corrélés aux résultats cliniques. De plus, avec un suivi des patients plus long, il se peut que ces résultats se traduisent par une corrélation avec la survie. Les niveaux d'activité de la RDA pourront éventuellement être utilisés en clinique dans le cadre du profil du patient comme le sont actuellement l’antigène prostatique spécifique (APS) ou le Gleason afin de personnaliser le traitement.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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A space between neoplastic acini and prostatic stroma is not rare and studies have interpreted this as an artifact, considering the absence of endothelial cells indicating vascular invasion. Thus, the aims of this work were to characterize and correlate the occurrence and extent of retraction clefting with the reactivities of alpha and beta dystroglycan (alpha DG, beta DG), laminin, matrix metalloproteinase 2 (MMP-2), p63, insulin-like growth factor 1(IGF-1), vimentin, and fibroblast growth factor 2 (FGF-2). The study was based on nonneoplastic and neoplastic prostatic tissues obtained from necropsies and retropubic radical prostatectomies. The results showed that periacinar retraction clefting was significantly more frequent in prostatic carcinoma samples than in normal prostatic acini. Most of the neoplastic acini (72.0%) showed retraction clefting of more than 50% of circumference, which were significantly more frequent in Gleason score 7 and 6. Decreased collagen and reticular and elastic fibers were verified in the stroma around neoplastic acini. Weak and discontinuous alpha DG, beta DG, and laminin immunoreactivities and intensified MMP-2, vimentin, IGF-1 and FGF-2 immunoreactivities were verified in the neoplastic acini; p63 immunoreactivity was negative in all carcinomas. Thus, these findings showed that the lack of epithelial basal cells, DGs, and laminin and increased MMP-2, IGF-1, and FGF-7 could be considered important pathways in periacinar retraction occurrence. This study demonstrated the origin of and the biological mechanisms responsible for periacinar retraction clefting in prostatic carcinoma.

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Prostatic lesions in Brazilian patients with benign prostatic hyperplasia (BPH, 26 cases) or adenocarcinoma (AC, 25 cases) were compared by qualitative microscopy and morphometric analysis. In 12 cases of BPH, prostate regions with no histological alterations were considered as controls (Ct). Archival material consisted of formalin-fixed, paraffin-embedded specimens obtained from prostatic transurethral resection and radical prostatectomy. Haematoxylin/eosin (HE)-stained sections were used to estimate the nuclear areas, perimeters and form factor values. HE-stained sections from AC specimens were also used for Gleason grading. BPH, AC and Ct could be discriminated by their nuclear areas and nuclear perimeters, but not by the nuclear form factor parameter. No significant differences were found when the AC data were compared using the combined version or the predominant grade version of the Gleason score (p = 0.8380 for nuclear area; p = 0.6076 for nuclear perimeter; p = 0.9202 for nuclear form factor; n = 200 nuclei per patient). This finding indicates that there is extensive heterogeneity in the size and shape of the nucleus in AC cells. These results also show that although the nuclear morphometry served to discriminate BPH and AC from each other and from Ct, it was not sufficient to correlate AC lesions with their respective Gleason scores in the human population analyzed.

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Pós-graduação em Bases Gerais da Cirurgia - FMB

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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Introduction: The widespread screening programs prompted a decrease in prostate cancer stage at diagnosis, and active surveillance is an option for patients who may harbor clinically insignificant prostate cancer (IPC). Pathologists include the possibility of an IPC in their reports based on the Gleason score and tumor volume. This study determined the accuracy of pathological data in the identification of IPC in radical prostatectomy (RP) specimens. Materials and Methods: Of 592 radical prostatectomy specimens examined in our laboratory from 2001 to 2010, 20 patients harbored IPC and exhibited biopsy findings suggestive of IPC. These biopsy features served as the criteria to define patients with potentially insignificant tumor in this population. The results of the prostate biopsies and surgical specimens of the 592 patients were compared. Results: The twenty patients who had IPC in both biopsy and RP were considered real positive cases. All patients were divided into groups based on their diagnoses following RP: true positives (n = 20), false positives (n = 149), true negatives (n = 421), false negatives (n = 2). The accuracy of the pathological data alone for the prediction of IPC was 91.4%, the sensitivity was 91% and the specificity was 74%. Conclusion: The identification of IPC using pathological data exclusively is accurate, and pathologists should suggest this in their reports to aid surgeons, urologists and radiotherapists to decide the best treatment for their patients.

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Objective: Extracellular matrix homeostasis is strictly maintained by a coordinated balance between the expression of metalloproteinases (MMPs) and their regulators. The purpose of this study was to investigate whether MMP-2 and its specific regulators, TIMP-2, MT1-MMP and IL-8, are expressed in a reproducible, specific pattern and if the profiles are related to prognosis and clinical outcome of prostate cancer (PCa). Materials and Methods: MMP-2, TIMP-2, MT1-MMP and IL-8 expression levels were analyzed by quantitative real-time polymerase chain reaction (qRT-PCR) in freshly frozen malignant and benign tissue specimens collected from 79 patients with clinically localized PCa who underwent radical prostatectomies. The control group consisted of 11 patients with benign prostate hyperplasia (BPH). The expression profile of the MMP-2 and its regulators were compared using Gleason scores, pathological stage, pre-operative PSA levels and the final outcome of the PCa. Results: The analysis of 79 specimens of PCa revealed that MMP-2, TIMP-2, MT1-MMP and IL-8 were underexpressed at 60.0%, 72.2%, 62.0% and 65.8%, respectively, in malignant prostatic tissue in relation to BPH samples. Considering the prognostic parameters, we demonstrated that high Gleason score tumors (>= 7) over-expressed MMP-2 (p = 0.048) and TIMP-2 (p = 0.021), compared to low Gleason score tumors (< 7). Conclusion: We have demonstrated that MMP-2 and its regulators are underexpressed in PCa. Alternatively, overexpression of MMP-2 and TIMP-2 was related to higher Gleason score tumors. We postulate that alterations in metalloproteinase expression may be important in the control of tissue homeostasis related to prostate carcinogenesis and tumor behavior.

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Objective: By reason of its heterogeneous behavior, it is difficult to determine the prognosis of many prostate cancer cases. Patients with the same clinicopathologic conditions may present varying clinical findings and rates of progression. We determined the role of new genes as potential molecular markers for prostate cancer prognosis. Materials and methods: We performed a microarray analysis of two pools of patients with prostate cancer divided according to their clinicopathologic characteristics. After that, we validated these results by testing the genes with most different expressions between the two pools using the quantitative real time polymerase chain reaction method. We analyzed gene expression in 33 patients with localized prostate cancer according to prostate specific antigen (PSA), pathologic stage, Gleason score, and biochemical recurrence. For statistical analysis we used the Mann-Whitney Test. Results: The microarray analysis revealed that 4,147 genes presented a different expression between the two pools. Among them, 3 genes, TMEFF2, GREB1, and THIL,, were at least 13-times overexpressed, and 1 gene, IGH3, which was at least 5times under-expressed in pool 1 (good prognosis) compared with pool 2 (bad prognosis), were selected for analysis. After the validation tests, GREB1 was significantly more overexpressed among patients with stage T2 compared with T3 (P = 0.020). The expressions of other 3 genes did not present significant differences according to the clinicopatholoOcal variables. Conclusions: Tissue expression of GREB1 is associated with organ-confined prostate cancer and may constitute a gene associated with a favorable prognosis. (C) 2012 Elsevier Inc. All rights reserved.