936 resultados para Effort alimentaire
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As part of the Prato Collaborative I am undertaking a Delphi Study to explore the developmental journeys that nine different countries (including NI and Ireland) have undertaken to better meet the needs of families where a parent has a mental illness in adult mental health and children’s services. This research has potential to impact FFP in adult mental health and children's services.
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In many sport associations, regardless of level, women and men rarely practice together. Previous studies indicate that work groups are generally more efficient when there is an even distribution between the sexes. Could that also be the case in sports? This study aims to investigate whether the sex composition of a training group affects the effort and performance of the participants. Eleven volunteers participated in the crossover study consisting of three different 150-meter sprint conditions; individually, single-sex group and mixed-sex group. Sprint times, heart rate and RPE were recorded during all three trials. The result of this study suggests that there might be practical benefits in regards to physical performance and effort to exercise in a training group consisting of both sexes instead of training only with the same-sex or individually. The understanding could be useful in areas such as; training optimisation for both athletes and in patient- and rehabilitation groups, increasing efficiency in work environments, in schools and sports clubs striving for both athletic success and gender equality.
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Manger est un geste davantage relié aux sensations plutôt qu’aux cognitions. Les ateliers Les aventuriers du goût constituent l’objet de cette évaluation qui cible les enfants âgés de 5 à 7 ans en milieu scolaire dans la région de Sherbrooke. Les objectifs de l’étude sont de décrire 1) les effets des ateliers sur la reconnaissance des aliments, l’envie de goûter et le comportement alimentaire quant à la diversité du choix alimentaire, et de décrire 2) le comportement alimentaire des enfants tel que perçu par leurs parents. Un devis mixte d’évaluation comportant des observations faites avant et après les ateliers avec groupe témoin a été utilisé. Il en ressort que les ateliers ont favorisé la reconnaissance des aliments et l’attitude envers l’envie de goûter à de nouveaux aliments. L’éveil sensoriel au goût semble une avenue prometteuse pour favoriser la reconnaissance d’aliments, encourager la diversité ainsi que l’acquisition de saines habitudes alimentaires.
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L’objectif de cet essai est de formuler des recommandations afin de diminuer le gaspillage alimentaire dans les épiceries québécoises. Le gaspillage alimentaire est une problématique mondiale de plus en plus considérée comme une préoccupation prioritaire par le public, les entreprises et les instances nationales et internationales. Les causes du gaspillage alimentaire sont multiples et le phénomène se produit dans toutes les régions du monde, à toutes les étapes de la chaîne agroalimentaire, de la production agricole à la consommation. Le gaspillage alimentaire engendre de lourdes conséquences environnementales, économiques et sociales. Il participe à l’insécurité alimentaire et contribue aux changements climatiques et à l’épuisement des ressources, en plus de générer des coûts économiques pour la production d’aliments qui ne seront pas consommés. S’attaquer à la problématique du gaspillage alimentaire signifie donc s’attaquer à tous ces impacts négatifs. Au Québec, l’intérêt envers le phénomène du gaspillage alimentaire s’accroît, mais les solutions structurées tardent à se mettre en place. Les épiceries ont un important rôle à jouer dans la réduction du gaspillage alimentaire puisqu’elles influencent, en amont et en aval, tous les acteurs de la chaîne agroalimentaire. L’étude du marché agroalimentaire québécois et des différentes initiatives locales et étrangères de lutte au gaspillage alimentaire met en évidence trois grandes solutions structurées de réduction du gaspillage dans les épiceries : le don alimentaire, la vente de produits déclassés et la révision du système de dates de péremption des aliments. L’analyse du fonctionnement de ces solutions et de leur mise en œuvre dans le contexte des épiceries québécoises permet d’identifier les contraintes et les éléments à considérer pour réduire le gaspillage alimentaire de façon concrète et efficace. Ainsi, en respect d’une hiérarchie des modes de gestion des aliments qui favorise la réduction à la source et le détournement avant l’élimination, les recommandations formulées suggèrent de : réviser le système des dates de péremption pour améliorer la distinction entre les notions de fraîcheur et de salubrité des aliments; promouvoir et faciliter la vente de fruits et légumes déclassés dans les épiceries en diminuant les critères esthétiques exigés qui conduisent à un important gaspillage de denrées comestibles; mettre en place des incitatifs économiques pour réduire les contraintes financières et logistiques reliées au don alimentaire pour les épiceries et les organismes de redistribution; et valoriser les résidus alimentaires par la biométhanisation ou le compostage pour limiter les impacts environnementaux du gaspillage alimentaire. Les recommandations soulignent également l’importance d’étudier le phénomène et de documenter la problématique, afin de suggérer des solutions toujours plus efficaces et adaptées à chaque groupe d’acteurs et chaque étape de la chaîne agroalimentaire.
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Les villes d’Afrique subsaharienne devront faire face à de grands phénomènes complexes dans les prochaines décennies : une forte croissance démographique, une demande alimentaire croissante, des impacts des changements climatiques, une augmentation des problématiques environnementales dues aux activités humaines en développement. Les difficultés de gestion de ces grands phénomènes s’ajouteront aux problématiques économiques, politiques, alimentaires, législatives, sanitaires et sociales déjà omniprésentes à différentes échelles dans les villes d’Afrique subsaharienne. L’ensemble de ces défis et ces contraintes nuit au développement des activités agricoles urbaines et périurbaines qui ont peu d’options à leur disposition pour bâtir des systèmes efficaces et productifs dans ces milieux denses et perturbés. Les préoccupations de durabilité et de santé peuvent alors souvent se trouver au bas de la liste de priorité des producteurs. L’agriculture maraîchère urbaine et périurbaine peut cependant offrir plusieurs bénéfices importants pour les citoyens et la gestion écologiques des villes. Elle participe d’une part à l’approvisionnement en aliments frais localement produits pour les citoyens urbains de diverses classes sociales. Elle a des impacts positifs sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi que sur les conditions économiques des ménages à faible revenu. La proximité des marchés et des services urbains offrent aussi des avantages intéressants pour les producteurs qui peuvent écouler leur marchandise hautement périssable sur les marchés urbains et s’approvisionner en intrants dans les commerces et les industries urbaines. Les activités agricoles urbaines et périurbaines présentent cependant des risques pour la santé et la qualité de l’environnement urbain et périurbain puisqu’elles utilisent parfois de grandes quantités d’intrants synthétiques ou des sources de fertilisation inappropriée pour la culture des fruits et légumes. Les dernières décennies de domination d’agriculture conventionnelle nous ont permis d’apprendre que les pratiques tels que l’usage abondant d’intrants chimiques et synthétiques, le lourd travail des sols, l’utilisation d’une faible diversité de cultivars à haut rendement et les techniques d’irrigation inadaptée aux conditions locales engendrent des impacts négatifs importants sur le plan environnemental et écologique. Aujourd’hui, de nombreuses solutions de rechange sont proposées pour remplacer le modèle agricole conventionnel mondial. L’agroécologie fait partie de ces solutions de rechange et propose une vision plus intégrative de l’agriculture. Elle propose une vision des systèmes alimentaires en entier plutôt que des paramètres agricoles qui permettent d’augmenter la production alimentaire. Cet essai explore la possibilité de pratiquer une agriculture urbaine et périurbaine basée selon les principes de cette vision agroécologique dans les villes d’Afrique subsaharienne. Cet essai explore aussi de façon complémentaire l’opportunité que représente cette avenue pour répondre aux besoins alimentaires des villes d’Afrique subsaharienne. Les pratiques agroécologiques proposées et décrites offrent des possibilités différentes de travailler sur les principaux éléments agricoles d’une exploitation urbaine ou périurbaine (e.g. travail du sol, fertilisation, irrigation, protection des cultures, organisation des cultures et du paysage). Les pratiques agroécologiques présentent des possibilités variables de transformer les agroécosystèmes urbains en systèmes durables, équitables, socialement et culturellement sensibles ainsi qu’économiquement viables. Pour évaluer si les pratiques agroécologiques ont un bon potentiel d’application dans un lieu donné, il faut regarder si elles offrent la possibilité de répondre aux besoins et aux contraintes du type de production agricole concerné, des acteurs impliqués et des caractéristiques agroécologiques et environnementales du site d’exploitation. Si ces éléments ne sont pas tenus en compte, les agroécosystèmes ne pourront pas tirer profit au maximum des avantages que représente l’approche agroécologique. L’implication des autorités nationales et internationales, ainsi que des investissements dans le domaine de la recherche et du développement sont essentiels pour arriver à une plus grande adoption de pratiques agroécologiques dans les milieux urbains et périurbains.
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Les méthodes agricoles ou les modes de production alimentaire sont guidés par nos besoins en tant que société. Se nourrir reste un besoin vital pour l’être humain et les sphères du développement durable font partie intégrante de cette nécessité. Nos comportements sociétaux ont contribué à dégrader radicalement les conditions environnementales des sols et des enjeux importants en ressortent. L’un des exemples le plus connu est les changements climatiques et son lot de problèmes associés. Le cercle vicieux se poursuit et va jusqu’à toucher nos besoins vitaux, donc se nourrir. La production agricole, en conséquence, fait face à cet enjeu climatique et elle doit y répondre pour survivre. Ainsi, l’objectif de cet essai est d’analyser les autres solutions possibles à l’agriculture conventionnelle qui existent en matière de productions alimentaires, et ce, en réponse aux enjeux de sécurité alimentaire. Le but est de démontrer comment ces solutions promeuvent les aspects du développement durable. Ultimement, des recommandations seront formulées afin que les acteurs du milieu alimentaire et agricole soient prêts à mettre de l’avant de meilleures pratiques pour l’avenir. L’agriculture urbaine, les microfermes, l’agriculture soutenue par la communauté, les marchés publics, l’évitement du gaspillage alimentaire et plusieurs autres solutions existent pour rendre le système agricole québécois plus durable. L’environnement, la société, l’économie et les autres sphères du développement durable doivent être des piliers importants dans la planification de projets en agriculture. La relève agricole doit se tourner vers ces autres options qui existent et qui sont mieux adaptées pour elle. L’implantation d’une microferme est un choix à privilégier pour sa capacité de produire de manière efficace sur une petite surface tout en étant une entreprise profitable. La formation continue permettrait de faire profiter les jeunes et les moins jeunes agriculteurs à de nouvelles initiatives en agriculture durable. L’efficacité énergétique doit être une priorité pour les producteurs et ainsi les énergies renouvelables doivent remplacer le carburant fossile. Les solutions sont à portée de main pour le milieu agricole, ainsi que les consommateurs. Il ne reste qu’à agir concrètement et mettre en place ces pratiques.
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Le nombre de jeunes avec un surplus de poids est en hausse au Canada (Roberts, Shields, de Groh, Aziz et Gilbert, 2012). Les conséquences négatives de cette condition sont multiples pour le jeune, actuellement et pour son avenir. La recherche visant à comprendre les raisons de cette augmentation cible, entre autres, les environnements alimentaires dont le paysage scolaire. Des restaurants rapides et des dépanneurs sont dénombrés dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire (Lalonde et Robitaille, 2014). La présence et la concentration de commerces alimentaires dans le voisinage des écoles favorisent l’achat d’aliments et de boissons par les jeunes (He, Tucker, Gilliland, Irwin, Larsen, et Hess, 2012a; Robitaille, Paquette, Cutumisu, Lalonde, Cazale, Traoré et Camirand, 2015; Seliske, Pickett, Rosu et Janssen, 2013; Virtanen, Kivimäki, Ervasti, Oksanen, Pentti, Kouvonen, Halonen, Kivimäki, Vahtera, 2015). Pourtant, le lien causal entre le paysage alimentaire scolaire et les achats des jeunes n’est pas soutenu par la littérature scientifique actuelle. À Sherbrooke, un changement dans l’environnement alimentaire bâti est survenu en 2012 suite à l’implantation de commerces alimentaires en périphérie d’une école secondaire. Ce projet était une occasion exceptionnelle de valider si la modification naturelle de la densité alimentaire autour d’une école avait un effet sur les comportements d’achat des jeunes dans cet environnement. L’objectif de ce travail de maîtrise était de mesurer le lien entre les comportements d’achat des jeunes du secondaire dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire et la densité de certains commerces alimentaires circonscrite autour de leur école. L’hypothèse émise était que les jeunes dont l’école était entourée d’une densité plus élevée de commerces alimentaires étaient plus nombreux à acheter des aliments et des boissons dans ces commerces que les autres adolescents. Pour ce faire, un questionnaire auto-administré a été rempli en classe par des élèves de trois écoles secondaires sherbrookoises. Les données obtenues ont permis de documenter les comportements d’achat de près de 3 000 jeunes en 2013. Ces comportements d’achat ont été comparés à ceux collectés dans le Portrait des jeunes sherbrookois de 4 à 17 ans en matière d’alimentation et d’activité physique et sportive réalisé en 2008 (n = 3 867) (Morin et al., 2009a). Parallèlement, une cartographie des environnements alimentaires autour de chaque école participante à chaque temps a permis de décrire les densités alimentaires scolaires. Au regard de l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire, peu de liens existent entre la prévalence d’acheteurs le midi et la densité de restaurants rapides autour des écoles, selon nos résultats. Seul l’effet défavorable d’une très forte concentration en restaurants rapides (soit plus d’une douzaine) a émergé de nos résultats. De plus, aucune tendance n’a été décelée entre l’évolution du paysage alimentaire autour des écoles entre les deux temps et les changements dans les prévalences d’acheteurs. Ainsi, les efforts fournis pour diminuer la densité alimentaire en périphérie des écoles doivent être remis en question considérant le faible effet mesuré sur les comportements d’achat des jeunes dans notre étude. En ce qui trait aux comportements d’achat des jeunes, nos résultats ont montré que seule une faible proportion de jeunes était des consommateurs dans les environnements alimentaires scolaires. En effet, moins d’un jeune sur dix a acheté un aliment ou une boisson sur l’heure du midi dans un restaurant rapide dans la semaine sondée. Cette pratique ne semblait donc pas caractériser le régime alimentaire global des jeunes et ainsi, son influence réelle sur la hausse des taux d’obésité est incertaine (Macdiarmid, Wills, Masson, Craig, Bromley et McNeill, 2015). De plus, selon nos résultats, la prévalence des acheteurs au restaurant rapide durant une semaine typique a diminué entre les deux temps. D’un autre côté, la qualité nutritive des achats dans ces commerces durant une semaine s’était améliorée entre les deux temps. Cependant, les choix moins nutritifs étaient toujours achetés par plus de jeunes que les aliments et les boissons nutritifs. Les quantités achetées à chaque visite dans un restaurant rapide étant inconnues dans notre étude, il était difficile de statuer sur l’effet réel des achats sur les prévalences d’obésité. En conclusion, il demeure essentiel d’améliorer les habitudes alimentaires des jeunes, entre autres, dans les restaurants rapides lors d’une journée scolaire (Macdiarmid et al., 2015). Par conséquent, l’offre alimentaire dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire doit être bonifiée, par exemple en collaborant avec les commerçants alimentaires déjà établis. Il faut également maintenir les efforts déployés pour améliorer l’environnement alimentaire dans l’école et élaborer des stratégies pour que les jeunes mangent à la cafétéria de l’école.
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Over recent decades recreational fisheries have grown substantially throughout the world. Despite this increase, catches from recreational fisheries have often been ignored in fisheries management, although this is now being remedied. Monitoring recreational fisheries can be expensive, and the primary means used for monitoring is angler (creel) surveys, typically funded from sales of fishing licences. The studies presented in this thesis examine different approaches to monitoring recreational trolling fisheries’ catch and effort, where fishing licenses are not required and there are no reporting requirements. I present results from a complemented roving/mail-in survey undertaken during 2013-2014 to estimate recreational effort and catch of Atlantic salmon (Salmo salar) and brown trout (S. trutta) in the largest lake in the European Union, Lake Vänern, Sweden. I also evaluate different angler catch reporting methods (mail-in, tournament reports and face-to-face interviews) and compare catch rates within and among spring and fall fishing periods. In addition, mail-in survey data are examined for recall bias. I estimate that 28.7 tonnes of salmon and trout combined were harvested by the recreational trolling fishery in 2014, more than the commercial and subsistence fisheries combined. Seasonal differences in both recreational effort and catch were observed. Effort, in boat hours, was significantly higher in spring than in fall. Catch rates of trout were higher in fall than in spring, but there were no seasonal differences in catches of salmon. Harvest per boat day did not differ significantly among catch reporting methods, indicating that all three methods could be useful for managers interested in harvest rates. In contrast, total and released catch per boat day differed among reporting methods, with tournament anglers catching more fish in total. Finally, there was little evidence for recall bias in mail-in surveys, indicating that mail-in surveys are useful for collecting unbiased catch data. My study is the most comprehensive angler survey to date for Lake Vänern, and my results should be of immediate use to local fisheries managers and should also be of interest to researchers and managers interested in estimating catch and effort for fisheries at large spatial scales.
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L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est une maladie caractérisée par l’augmentation progressive des résistances vasculaires pulmonaires causant une augmentation de la pression artérielle pulmonaire qui mène au décès prématuré des patients. Malgré une amélioration rapide ces dernières années des traitements spécifiques, les patients souffrant d’HTAP demeurent dyspnéiques et intolérants à l’effort. L’atteinte vasculaire pulmonaire est actuellement irréversible. Elle est également la source de plusieurs anomalies au niveau des systèmes cardiovasculaires, ventilatoires et musculaires constituant les principaux déterminants physiologiques de la capacité à l’effort des patients. Cette thèse a investigué différentes facettes de la tolérance à l’effort en HTAP : les différents mécanismes ayant un impact sur l’apport musculaire en oxygène, l’altération des voies de signalisation cellulaire impliquées dans l’angiogenèse musculaire et les mécanismes ayant un impact sur la régulation du débit sanguin et l’oxygénation cérébrale en HTAP. Nous avons premièrement documenté une diminution de l’apport en oxygène aux muscles squelettiques à l’effort des patients en relation avec une diminution de la densité capillaire musculaire. Ce défaut d’angiogenèse corrélait d’ailleurs avec la capacité à l’effort des sujets. Par la suite, nous avons étudié les voies de signalisations cellulaires de l’angiogenèse musculaire. Ces résultats ont permis de démontrer une diminution de l’expression de miR-126, unique aux patients HTAP, qui était responsable de la diminution de la densité capillaire et qui contribuait à leur intolérance à l’effort. De plus, il était possible de moduler in vivo l’expression de miR-126. L’expérimentation in vivo, à l’aide d’un modèle murin d’HTAP, a permis de rétablir l’expression de miR-126, d’augmenter la microcirculation musculaire et d’améliorer la tolérance à l’effort des animaux, ce qui met en lumière le potentiel thérapeutique de l’angiogenèse musculaire pour améliorer la capacité à l’effort en HTAP. Notre dernier projet a démontré que les patients HTAP présentaient une diminution de débit sanguin cérébral. Ce projet a également démontré que les changements de pression artérielle sont moins bien amortis par les vaisseaux cérébraux des patients et que leurs vaisseaux cérébraux étaient moins réactifs aux changements de CO2. Les patients présentaient aussi une augmentation de la sensibilité des chémorécepteurs centraux qui contribuait à augmenter leur ventilation au repos, mais aussi à l’exercice. Finalement, à l’effort, nous avons démontré que le débit sanguin cérébral des patients HTAP était principalement influencé par la pression artérielle alors que chez les sujets sains, le débit sanguin cérébral était influencé principalement par la PETCO2. Nous avons également démontré que les patients HTAP présentaient une diminution progressive de leur oxygénation cérébrale, qui corrélait avec leur capacité à l’effort. Les résultats obtenus au cours de ce doctorat démontrent bien que la capacité à l’effort en HTAP est aussi déterminée par plusieurs anomalies physiopathologiques périphériques.
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PURPOSE: The use of information and communication technology (ICT) is common in modern working life. ICT demands may give rise to experience of work-related stress. Knowledge about ICT demands in relation to other types of work-related stress and to self-rated health is limited. Consequently, the aim of this study was to examine the association between ICT demands and two types of work-related stress [job strain and effort-reward imbalance (ERI)] and to evaluate the association between these work-related stress measures and self-rated health, in general and in different SES strata. METHODS: This study is based on cross-sectional data from the Swedish Longitudinal Occupational Survey of Health collected in 2014, from 14,873 gainfully employed people. ICT demands, job strain, ERI and self-rated health were analysed as the main measures. Sex, age, SES, lifestyle factors and BMI were used as covariates. RESULTS: ICT demands correlated significantly with the dimensions of the job strain and ERI models, especially with the demands (r = 0.42; p < 0.01) and effort (r = 0.51; p < 0.01) dimensions. ICT demands were associated with suboptimal self-rated health, also after adjustment for age, sex, SES, lifestyle and BMI (OR 1.49 [95 % CI 1.36-1.63]), but job strain (OR 1.93 [95 % CI 1.74-2.14) and ERI (OR 2.15 [95 % CI 1.95-2.35]) showed somewhat stronger associations with suboptimal self-rated health. CONCLUSION: ICT demands are common among people with intermediate and high SES and associated with job strain, ERI and suboptimal self-rated health. ICT demands should thus be acknowledged as a potential stressor of work-related stress in modern working life.
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Ce mémoire présente mon projet de maîtrise dont l’objectif était d’étudier les associations entre la récompense alimentaire à l’égard des aliments riches en gras et en sucres, le statut pondéral et les comportements alimentaires. Cent cinquante femmes de poids normal ou obèses ont été invitées à compléter deux questionnaires : un sur la récompense alimentaire (plaisir explicite, motivation explicite et motivation implicite) et l’autre sur les comportements alimentaires [restriction cognitive (totale, flexible et rigide), désinhibition (totale, habituelle, émotionnelle et situationnelle) et susceptibilité à la faim (totale, interne et externe)]. Aucune association n’a été observée entre la récompense alimentaire et le statut pondéral. Toutefois, un plaisir et une motivation explicites plus importants pour les aliments en général ont été notés chez les femmes avec un score plus élevé de restriction flexible. De plus, une motivation implicite plus importante pour les aliments riches en gras tendait à être associée avec un score plus élevé de susceptibilité émotionnelle à la désinhibition et a été associée significativement avec un score plus élevé de faim externe. Ces résultats suggèrent que les comportements alimentaires ont une plus grande influence sur la récompense alimentaire que le statut pondéral.
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À la suite d'un examen de la problématique agricole qui prédomine en général sur le continent africain et de la signification des paysans dans toute recherche de solution au problème agricole en Afrique et plus particulièrement au MALI, l'auteur identifie une région-cible sur laquelle il s'attarde. La contribution essentielle de la thèse porte sur cette région. Les témoignages des personnes enquêtées sont révélateurs. Il y a incontestablement un clivage entre les politiques mises en place par les gouvernements et les aspirations profondes des paysans. Ce clivage aide à comprendre pourquoi les performances agricoles de ces paysans ne répondent pas aux attentes des planificateurs. Ils ne se sentent pas concernés par leurs politiques.
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Abstract Scheduling problems are generally NP-hard combinatorial problems, and a lot of research has been done to solve these problems heuristically. However, most of the previous approaches are problem-specific and research into the development of a general scheduling algorithm is still in its infancy. Mimicking the natural evolutionary process of the survival of the fittest, Genetic Algorithms (GAs) have attracted much attention in solving difficult scheduling problems in recent years. Some obstacles exist when using GAs: there is no canonical mechanism to deal with constraints, which are commonly met in most real-world scheduling problems, and small changes to a solution are difficult. To overcome both difficulties, indirect approaches have been presented (in [1] and [2]) for nurse scheduling and driver scheduling, where GAs are used by mapping the solution space, and separate decoding routines then build solutions to the original problem. In our previous indirect GAs, learning is implicit and is restricted to the efficient adjustment of weights for a set of rules that are used to construct schedules. The major limitation of those approaches is that they learn in a non-human way: like most existing construction algorithms, once the best weight combination is found, the rules used in the construction process are fixed at each iteration. However, normally a long sequence of moves is needed to construct a schedule and using fixed rules at each move is thus unreasonable and not coherent with human learning processes. When a human scheduler is working, he normally builds a schedule step by step following a set of rules. After much practice, the scheduler gradually masters the knowledge of which solution parts go well with others. He can identify good parts and is aware of the solution quality even if the scheduling process is not completed yet, thus having the ability to finish a schedule by using flexible, rather than fixed, rules. In this research we intend to design more human-like scheduling algorithms, by using ideas derived from Bayesian Optimization Algorithms (BOA) and Learning Classifier Systems (LCS) to implement explicit learning from past solutions. BOA can be applied to learn to identify good partial solutions and to complete them by building a Bayesian network of the joint distribution of solutions [3]. A Bayesian network is a directed acyclic graph with each node corresponding to one variable, and each variable corresponding to individual rule by which a schedule will be constructed step by step. The conditional probabilities are computed according to an initial set of promising solutions. Subsequently, each new instance for each node is generated by using the corresponding conditional probabilities, until values for all nodes have been generated. Another set of rule strings will be generated in this way, some of which will replace previous strings based on fitness selection. If stopping conditions are not met, the Bayesian network is updated again using the current set of good rule strings. The algorithm thereby tries to explicitly identify and mix promising building blocks. It should be noted that for most scheduling problems the structure of the network model is known and all the variables are fully observed. In this case, the goal of learning is to find the rule values that maximize the likelihood of the training data. Thus learning can amount to 'counting' in the case of multinomial distributions. In the LCS approach, each rule has its strength showing its current usefulness in the system, and this strength is constantly assessed [4]. To implement sophisticated learning based on previous solutions, an improved LCS-based algorithm is designed, which consists of the following three steps. The initialization step is to assign each rule at each stage a constant initial strength. Then rules are selected by using the Roulette Wheel strategy. The next step is to reinforce the strengths of the rules used in the previous solution, keeping the strength of unused rules unchanged. The selection step is to select fitter rules for the next generation. It is envisaged that the LCS part of the algorithm will be used as a hill climber to the BOA algorithm. This is exciting and ambitious research, which might provide the stepping-stone for a new class of scheduling algorithms. Data sets from nurse scheduling and mall problems will be used as test-beds. It is envisaged that once the concept has been proven successful, it will be implemented into general scheduling algorithms. It is also hoped that this research will give some preliminary answers about how to include human-like learning into scheduling algorithms and may therefore be of interest to researchers and practitioners in areas of scheduling and evolutionary computation. References 1. Aickelin, U. and Dowsland, K. (2003) 'Indirect Genetic Algorithm for a Nurse Scheduling Problem', Computer & Operational Research (in print). 2. Li, J. and Kwan, R.S.K. (2003), 'Fuzzy Genetic Algorithm for Driver Scheduling', European Journal of Operational Research 147(2): 334-344. 3. Pelikan, M., Goldberg, D. and Cantu-Paz, E. (1999) 'BOA: The Bayesian Optimization Algorithm', IlliGAL Report No 99003, University of Illinois. 4. Wilson, S. (1994) 'ZCS: A Zeroth-level Classifier System', Evolutionary Computation 2(1), pp 1-18.
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Lake Kyoga at the time of Worthington Survey (Worthington, 1929) was fished by only natives around it. The fishing gears consisted of locally made basket traps, hooks and seine nets made out of papyrus. Fishing was mainly during the dry season as in wet season, the fishers would revert to crop growing. During 1937 to 1950s Oreochromis variabilis, oreochromis esculentus (Ngege) and Protopterus aethiopicus (Mamba) were the most important commercial fish species and contributed over 95% to the total landings until early 1950s when their proportions started to change as a result of changes in fishing techniques. The tilapiines' were then being caught using mainly basket traps and P.aethiopicus was caught in hooks prior to the mid 1950s.