998 resultados para Adenet, le Roi, 13th cent.
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Series note also at head of t.-p.
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Design on title-page was drawn by Mrs. Harding Andrews from the middle 13th cent. B. M. Royal ms. 2, B. II, and the binding designs is copied from a fine 15th cent. example in the Laurentian library, Florence. The letterpress is wholly revised from a previous publication.
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"Anmerkungen zu Heinrichs von Freiberg Tristan, von Reinhold Bechstein" in Germania, 32. jahrg., 1887, p. 1-48.
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Cover title.
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Based on the life of Bánk bán.
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Block print.
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On double leaves, oriental style, in case.
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Translation of La Constitution Française, décrétée par l'Assemblée national constituante, aux années 1789, 1790 et 1791, acceptée par le roi le 14 septembre 1791.
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Cette thèse a comme objectif de démontrer combien Alaric et ses Goths étaient Romains dans pratiquement toutes les catégories connues sur leur compte. Pour ce faire, l’auteur a puisé dans les sciences sociales et a emprunté le champ conceptuel de l’éminent sociologue Pierre Bourdieu. À l’aide du concept d’habitus, entre autres choses, l’auteur a tenté de faire valoir à quel point les actions d’Alaric s’apparentaient à celles des généraux romains de son époque. Naturellement, il a fallu étaler le raisonnement au long de plusieurs chapitres et sur de nombreux niveaux. C’est-à-dire qu’il a fallu d’abord définir les concepts populaires en ce moment pour « faire » l’histoire des barbares durant l’Antiquité tardive. Pensons ici à des termes tels que l’ethnicité et l’ethnogenèse. L’auteur s’est distancé de ces concepts qu’il croyait mal adaptés à la réalité des Goths et d’Alaric. C’est qu’il fallait comprendre ces hommes dans une structure romaine, au lieu de leur octroyer une histoire et des traditions barbares. Il a ensuite fallu montrer que la thèse explorait des avenues restées peu empruntées jusqu’à aujourd’hui. Il a été question de remonter jusqu’à Gibbon pour ensuite promouvoir le fait que quelques érudits avaient autrefois effleuré la question d’Alaric comme étant un homme beaucoup moins barbare que ce que la tradition véhiculait à son sujet, tel que Fustel de Coulanges, Amédée Thierry ou encore Marcel Brion. Il s’agissait donc de valider l’angle de recherche en prenant appui d’abord sur ces anciens luminaires de la discipline. Vint ensuite l’apport majeur de cette thèse, c’est-à-dire essentiellement les sections B, C et D. La section B a analysé la logistique durant la carrière d’Alaric. Cette section a permis avant tout de démontrer clairement qu’on n’a pas affaire à une troupe de brigands révoltés; le voyage de 401-402 en Italie prouve à lui seul ce fait. L’analyse approfondie de l’itinéraire d’Alaric durant ses nombreux voyages a démontré que cette armée n’aurait pas pu effectuer tous ces déplacements sans l’appui de la cour orientale. En l’occurrence, Alaric et son armée étaient véritablement des soldats romains à ce moment précis, et non pas simplement les fédérés barbares de la tradition. La section C s’est concentrée sur les Goths d’Alaric, où on peut trouver deux chapitres qui analysent deux sujets distincts : origine/migration et comparaison. C’est dans cette section que l’auteur tente de valider l’hypothèse que les Goths d’Alaric n’étaient pas vraiment Goths, d’abord, et qu’ils étaient plutôt Romains, ensuite. Le chapitre sur la migration n’a comme but que de faire tomber les nombreuses présomptions sur la tradition gothe que des érudits comme Wolfram et Heather s’efforcent de défendre encore aujourd’hui. L’auteur argumente pour voir les Goths d’Alaric comme un groupe formé à partir d’éléments romains; qu’ils eurent été d’une origine barbare quelconque dans les faits n’a aucun impact sur le résultat final : ces hommes avaient vécu dans l’Empire durant toute leur vie (Alaric inclus) et leurs habitus ne pouvaient pas être autre chose que romain. Le dernier chapitre de la section C a aussi démontré que le groupe d’Alaric était d’abord profondément différent des Goths de 376-382, puis d’autres groupes que l’on dit barbares au tournant du 5e siècle, comme l’étaient les Vandales et les Alamans par exemple. Ensemble, ces trois chapitres couvrent la totalité de ce que l’on connait du groupe d’Alaric et en offre une nouvelle interprétation à la lumière des dernières tendances sociologiques. La section D analyse quant à elle en profondeur Alaric et sa place dans l’Empire romain. L’auteur a avant tout lancé l’idée, en s’appuyant sur les sources, qu’Alaric n’était pas un Goth ni un roi. Il a ensuite analysé le rôle d’Alaric dans la structure du pouvoir de l’Empire et en est venu à la conclusion qu’il était l’un des plus importants personnages de l’Empire d’Orient entre 397 et 408, tout en étant soumis irrémédiablement à cette structure. Sa carrière militaire était des plus normale et s’inscrivait dans l’habitus militaire romain de l’époque. Il a d’ailleurs montré que, par ses actions, Alaric était tout aussi Romain qu’un Stilicon. À dire le vrai, mis à part Claudien, rien ne pourrait nous indiquer qu’Alaric était un barbare et qu’il essayait d’anéantir l’Empire. La mauvaise image d’Alaric n’est en effet redevable qu’à Claudien : aucun auteur contemporain n’en a dressé un portrait aussi sombre. En découle que les auteurs subséquents qui firent d’Alaric le roi des Goths et le ravageur de la Grèce avaient sans doute été fortement influencés eux aussi par les textes de Claudien.
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Este artículo es un estudio histórico de la leyenda de la «Piedra del Destino», que fue parte del asiento del trono de coronación de los reyes de Escocia y que fue trasladada a la abadía de Westminster por el rey Eduardo de Inglaterra, que la situó bajo el trono de la coronación de los reyes de Inglaterra. La «Piedra del Destino», como muchas reliquias y antigüedades de la Edad Media, tuvo una larga historia, escrita por cronistas e historiadores. Una historia muy semejante a otras translationes de reliquias. La historia de la «Piedra del Destino» contiene ricos aspectos jurídicos, políticos y sacrales. Para comprenderlos es necesario analizar las crónicas, entendidas como textos históricos, que dan sentido a los rituales jurídicos y políticos de la Edad Media.
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El concurso de transformación mágica, esquema narrativo difundido en la tradición popular, se presenta en dos variantes principales: los hechiceros que compiten pueden metamorfosearse en varios seres o crear esos seres por medios mágicos. En cualquier caso el concursante ganador da a luz criaturas más fuertes que superan las de su oponente. La segunda variante fue preferida en el antiguo Cercano Oriente (Sumeria, Egipto, Israel). La primera se puede encontrar en algunos mitos griegos sobre cambiadores de forma (por ejemplo, Zeus y Némesis). El mismo esquema narrativo puede haber influido en un episodio de la Novela de Alejandro (1.36-38), en el que Darío envía regalos simbólicos a Alejandro y los dos monarcas enemigos ofrecen contrastantes explicaciones de ellos. Esta historia griega racionaliza el concurso de cuento de hadas, transfiriendo las fantásticas hazañas de creaciones milagrosas a un plano secundario pero realista de metáfora lingüística.
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Este trabajo estudia la presencia e importancia de las diversiones y el placer en distintos momentos de la vida de la corte de los reyes de Aragón: las prostitutas, dirigidas por el rey Arlot, la música, el juego, el baile o los juglares, observando el aumento de su presencia a lo largo del siglo xiv, con el correlativo aumento de los gastos. También se observa el incremento en el lujo y la complejidad de estas actividades y la siempre mayor presencia de elementos espectaculares como bestias, carros, figuras alegóricas y otros entremeses en coronaciones, bodas o entradas reales, todos ellos aspectos de la progresiva glorificación de la monarquía.